C’est reparti pour un tour ! L’Union européenne relance son initiative DiscoverEU, un programme qui offre aux jeunes de 18 ans l’opportunité de voyager gratuitement en train à travers une trentaine de pays européens.
Cette année, plus de 900 Belges auront la chance de mettre la main sur un pass Interrail, leur permettant de sillonner l’Europe pendant plusieurs semaines. Les heureux élus devront être nés entre le 1er juillet 2006 et le 30 juin 2007.
Comment participer ?
Rendez-vous sur le Portail Européen de la Jeunesse entre le 2 et le 16 avril 2025. Les candidats devront répondre à cinq questions sur l’Europe, son histoire et sa culture. Un petit quiz pour mériter sa place dans le wagon, en somme.
Et ce n’est pas tout…
En plus du pass, les gagnants recevront une carte jeune européenne, avec des réductions sur des musées, des transports locaux, des logements ou encore de la restauration. De quoi ménager son portefeuille tout en se construisant des souvenirs à la pelle.
Cette année, le show est prévu pour la deuxième quinzaine d’avril – les petites fleurs ont en effet leurs habitudes…
Objectif : foule zen, forêt préservée
Pour éviter l’effet “ring de Bruxelles aux heures de pointe“, la ville de Hal et l’Agence flamande pour la nature et les forêts misent sur une stratégie douce : venir sans voiture. Bus, vélo, marche à pied…
Et pour choyer les visiteurs, une navette gratuite et électrique est mise en service les jours les plus prisés :
📅 12, 13, 19, 20, 21, 26, 27 avril et 1er mai,
🕘 de 9h à 19h
Des fleurs pour tous
Un bus électrique adapté (mais pas pour fauteuil roulant, pour raisons techniques) est aussi prévu pour les personnes de +65 ans, les femmes enceintes et les personnes à mobilité réduite. Et pour les plus sportifs : des vélos gratuits vous attendent à la gare de Hal.
Aquarium Museum Universitaire de Liège – Maurine Mewissen
Une incroyable biodiversité à découvrir
Situé sur les rives de la Meuse, l’Aquarium-Muséum de Liège est une étape incontournable pour les amoureux de la nature et des milieux aquatiques. Nul besoin d’être un expert en biologie marine pour en apprécier toute la richesse ! Divisé en trois espaces, cet aquarium vous invite à une exploration fascinante.
Dans la section « Biodiversité du Monde Aquatique », cap sur la Mer du Nord et la Méditerranée, où mérous, roussettes et hippocampes évoluent sous vos yeux. Plus loin, les eaux tropicales révèlent leurs merveilles : poissons-clowns virevoltants, requins nourrices nains et l’étonnant poisson-coffre. Côté eau douce, vous ferez connaissance avec l’anguille, l’esturgeon ou encore le brochet rappellent la richesse de nos rivières.
Aquarium Museum Universitaire de Liège – Maurine Mewissen
Le voyage se poursuit avec l’espace « Requins et récifs coralliens », où vous rencontrerez les impressionnants requins-tapis Wobbegongs, maîtres du camouflage, ainsi que des coraux qui changent au fil des saisons. Enfin, plongez au cœur de l’Amazonie, un univers luxuriant où terre et eau s’entrelacent, abritant une faune exceptionnelle entre aquariums et terrariums.
Exploration Mobile : des rencontres enrichissantes
Chaque week-end, l’animation « Mobile » vous offre une expérience interactive unique. Autour d’une table d’observation, nos animateurs passionnés partagent anecdotes et faits surprenants sur les espèces de l’Aquarium. L’occasion idéale d’en apprendre davantage sur leurs comportements et particularités !
Visite des coulisses : une immersion exclusive !
Envie de découvrir l’envers du décor ? Depuis le 5 mars 2025, chaque premier mercredi du mois, l’équipe vous ouvre les coulisses de l’aquarium. Cette expérience inédite offre un accès privilégié à l’envers du décor, dévoilant les zones techniques, le fonctionnement des bassins et le quotidien des soigneurs. Cette visite guidée de 45 minutes, accessible pour 7 € (en supplément de l’entrée), est l’occasion de percer les secrets de la vie en aquarium.
Aquarium-Muséum Universitaire de Liège
Stage de printemps : à la découverte de la nature
Du 5 au 9 mai 2025, l’Aquarium-Muséum (en collaboration avec l’Observatoire du Monde des Plantes) propose un stage exceptionnel pour les jeunes curieux de nature ! Entre visites, défis et balades, les enfants plongeront dans le monde fascinant des animaux aquatiques tout en développant leur esprit d’observation. Une aventure ludique et éducative, proposée au tarif de 90 €.
« Je ne suis pas certain que l’île Norfolk soit un concurrent commercial du géant économique que sont les États-Unis », a ironisé le Premier ministre australien Anthony Albanese, visiblement aussi surpris que nous. Ce geste s’inscrit dans une offensive plus large lancée par Donald Trump. Parmi les cibles de cette croisade tarifaire : la Chine, bien sûr, mais aussi… les îles Heard et McDonald, autre territoire australien. Le détail amusant ? Elles sont inhabitées et peuplées uniquement de pingouins.
Faut-il réserver avant l’embargo ?
Si vous hésitiez à mettre le cap sur Norfolk, sachez que l’île, désormais star involontaire de la géopolitique, vaut le détour. Plages désertes, récifs turquoise, et une scène culinaire insulaire qui, jusqu’à preuve du contraire, ne menace personne.
D’après un communiqué « confidentiel » du SPF Mobilité, un projet de tunnel sous-marin pour piétons entre Ostende et Londres serait à l’étude. Oui, vous avez bien lu : marcher de la Côte belge à la City. Sans vélo, sans navette, sans logique.
Long d’environ 200 kilomètres, il offrirait « une alternative douce à l’avion et au train » (et probablement à toute forme de bon sens). Le tout avec des aires de repos tous les 5 kilomètres, dotées de distributeurs de gaufres et de chargeurs pour smartphones, bien entendu. Des logements de type « capsule », copiés sur ce qui se fait au Japon, seraient également prévus pour héberger les marcheurs éreintés. Quant aux cyclistes et autres utilisateurs de trottinette, ils pourraient profiter d’une « fast lane ».
Les autorités parlent de « mobilité durable » et « d’expérience transfrontalière immersive » (tout ça pour 50 à 60 heures de marche avec vue sur l’obscurité). Le coût ? Environ 27 milliards d’euros, financés par un consortium public-privé dont personne n’a entendu parler.
Une fuite indique que les passants devront porter un bracelet fluorescent pour ne pas se perdre dans le tunnel. Et pour les claustrophobes ? « On recommande les bottines et la méditation. » Vraiment. Une partie vitrée permettrait néanmoins d’admirer les fonds marins. De quoi vous poussez à mettre le Turbot ?
Chamonix, célèbre pour sa station de ski, ses paysages à couper le souffle et son ambiance unique, prend un virage audacieux pour préserver son authenticité. Avec 70% de résidences secondaires, la station veut redonner la priorité aux habitants et travailleurs locaux en limitant fortement les nouvelles constructions dédiées aux résidences de villégiature : plus aucune construction neuve dédiée aux résidences secondaires ne sera autorisée dans la station française !
Les projets hôteliers de grande envergure, c’est fini ! Seuls les hôtels de petite taille pourront s’agrandir légèrement. L’objectif ? Préserver l’âme de Chamonix et surtout, contenir l’envolée des prix pour les locaux.
En effet, le droit d’entrée passe de 12 à 24 euros (4 000 yens) pour accéder au sentier Yoshida, l’itinéraire le plus populaire. Et cette fois, les autres chemins – jusqu’alors gratuits – seront aussi concernés. Une première pour la préfecture de Shizuoka, qui applique désormais le même tarif.
Limiter l’affluence pour protéger le site
Le mont Fuji attire chaque année des milliers de randonneurs en seulement deux mois d’été. Résultat ? Surfréquentation, insécurité et impact environnemental préoccupent les autorités. En 2024, le nombre de grimpeurs a chuté à 204.316 contre 221.322 en 2023. Une tendance que les nouvelles restrictions pourraient (et voudraient) accentuer.
“Aucune autre montagne au Japon n’attire autant de monde en un peu plus de deux mois. Certaines restrictions sont donc nécessaires pour assurer la sécurité“, explique Natsuko Sodeyama, responsable de la région de Shizuoka.
Tourisme de masse : le Japon serre la vis
Avec un afflux record de touristes en 2024 (36,8 millions), le Japon tente de mieux encadrer la fréquentation de ses sites emblématiques. Kyoto et d’autres destinations souffrent de la même problématique. L’objectif : éviter que la montagne sacrée ne devienne une simple attraction surpeuplée… et préserver son charme mystique.
On savait que voyager, c’est manger, mais qui aurait parié que La Nouvelle-Orléans détrônerait les grandes capitales gastronomiques ? Selon Time Out, la ville de Louisiane est la meilleure destination culinaire du monde en 2025 ! Avec son mélange d’influences françaises, espagnoles, africaines et vietnamiennes, elle semble avoir rallié tous les suffrages !
Derrière, Bangkok et sa street food imbattable prennent la seconde place, suivies par Medellín, qui prouve que la Colombie, ce n’est pas que du café !
Top 10 des villes où l’on mange le mieux !
1. La Nouvelle-Orléans (États-Unis) – Gumbo, jambalaya et fusion culinaire incroyable. 2. Bangkok (Thaïlande) – Du Michelin au trottoir, le paradis des saveurs. 3. Medellín (Colombie) – Une scène culinaire en pleine effervescence. 4. Le Cap (Afrique du Sud) – Poissons frais et cuisine métissée. 5. Madrid (Espagne) – Tapas et créativité à l’espagnole. 6. Mexico (Mexique) – L’épicentre du taco et de la tequila. 7. Lagos (Nigeria) – Riz jollof et suya, le goût de l’Afrique de l’Ouest. 8. Shanghai (Chine) – Traditions millénaires et audace culinaire. 9. Paris (France) – Toujours une référence, mais moins surprenante. 10. Jakarta (Indonésie) – Rendang et autres délices indonésiens.
Mini-Europe s’agrandit ! Le parc bruxellois dédié aux maquettes des monuments européens a inauguré deux nouvelles pépites : le Palais sur l’île (Palais Lazienki) et le Monument de Chopin, tous deux issus de la capitale polonaise, Varsovie.
Ces maquettes, fidèlement reproduites au 1/25, viennent étoffer l’espace polonais qui comptait déjà la Cour d’Arthus et le Monument des trois croix de Gdansk, présents depuis 2004, année où la Pologne a rejoint l’Union européenne.
🎹 L’art polonais à l’honneur
Le Palais Lazienki et le Monument de Chopin ne sont pas là par hasard. Ces deux trésors se situent dans le Parc Lazienki, le plus grand parc de Varsovie, véritable écrin de verdure qui respire la culture et l’histoire polonaise. Comme l’explique Vincianne Meeus, administratrice-déléguée de Mini-Europe : « On essaie vraiment de mettre en avant ce qui rassemble les Européens […] on a une histoire, une culture, des héritages communs et que tous les pays finalement se sont mélangés et influencés l’un l’autre. »
L’inauguration de ces nouvelles maquettes intervient alors que la Pologne préside le Conseil de l’Union européenne. Pour Philippe Close, bourgmestre de Bruxelles, c’est aussi l’occasion de saluer le rôle essentiel de la Pologne dans l’aide humanitaire en Ukraine. « La guerre en Ukraine nous rappelle l’importance d’être unis. […] C’est aussi l’occasion de donner envie d’aller découvrir la Pologne, un pays que peut-être peu de gens connaissent, mais qui a un vrai intérêt architectural, culturel et aussi sociétal. »
Brussels Airlines a révélé son tout nouvel avion thématique, et pas des moindres ! Un de ses Airbus A320 est désormais décoré de motifs inspirés de l’Atomium, le célèbre édifice bruxellois qui attire chaque année des centaines de milliers de visiteurs. Cette décoration unique a été choisie grâce à un concours ayant recueilli plus de 900 propositions. L’architecte Thomas Faes a remporté la mise avec son design hommage à l’Atomium, un monument qui le fascine depuis l’enfance. À bord, les passagers pourront profiter d’un intérieur décoré de photos et croquis retraçant l’histoire de l’Atomium.
Brussels Airlines
« Le mariage parfait de deux icônes belges »
Pour la CEO de la compagnie, Dorothea von Boxberg, le choix s’imposait : « C’était un choix difficile mais finalement, je trouve que cela s’impose de façon évidente. » D’ailleurs, elle rappelle que les neuf boules de l’Atomium sont déjà subtilement représentées dans le logo de Brussels Airlines.
Brussels Airlines
Du côté de l’Atomium, Julie Almau Gonzalez, directrice générale, parle d’une collaboration réussie : « L’avion Atomium va permettre de rendre le monument visible dans de nombreux pays, peut-être même pour des gens qui n’auront jamais l’occasion de visiter la Belgique. »
Brussels Airlines
Et de 4 !
Il s’agit du quatrième avion thématique de Brussels Airlines, après le Rackham (Tintin), l’Amare (Tomorrowland) et le Trident (Diables rouges et Red Flames). Et ce n’est pas fini, un cinquième modèle est prévu pour novembre.
Brussels Airlines
L’Atomium, une inspiration inépuisable
Construit en 1958 pour l’Expo universelle de Bruxelles, l’Atomium représente un cristal élémentaire de fer agrandi 165 milliards de fois. Un monument qui, en 2024, a attiré plus de 844.000 visiteurs, un record !