Au départ de l’ascenseur funiculaire de Strépy-Thieu, embarquez pour une croisière sur le Canal du Centre historique. Après l’ascenseur n°4, direction l’ascenseur n°3, où une visite de la salle des machines vous dévoile les secrets de ces ascenseurs centenaires.
Leslie Artamonow
Un lieu de mémoire et de loisirs au bord de l’eau
Découvrez la Cantine des Italiens et son centre d’interprétation sur la vie des immigrés italiens. Profitez du cadre bucolique pour vous restaurer ou louer un bateau électrique sans permis et naviguer jusqu’au plus vieil ascenseur à bateaux de Belgique (1888). Accessible aux PMR.
Utopix_Hyacinthe
Découvrez les secrets du géant de Strépy-Thieu
Mis en service en 2000, l’ascenseur funiculaire de Strépy-Thieu est une prouesse du génie civil belge. Plus grand ascenseur à bateaux d’Europe, il franchit 73,15 m de dénivelé. Au dernier étage, visitez le Centre d’interprétation « Voies d’eau d’Hier, d’Aujourd’hui et de Demain » qui retrace l’histoire de la navigation intérieure belge.
Le Vatican frappe ses propres pièces en euros, avec la tête du pape. Ces pièces sont rares, précieuses, et très recherchées par les collectionneurs. Pourtant, sur place, il est quasiment impossible de les utiliser : la cité ne compte pratiquement aucun commerce.
2. Une armée haute couture
La fameuse Garde suisse est plus qu’un simple attrape-touristes en tenue flashy. Ces jeunes Suisses, sélectionnés sur des critères stricts (âge, religion, taille), assurent la sécurité du pape. Leur style rappelle la Renaissance, mais leur entraînement est aussi strict qu’un bootcamp militaire.
3. Une gare qui ne mène nulle part
Le train du Vatican est une curiosité : une voie de 300 mètres, avec un quai, un tunnel… mais presque jamais de train. Il fut construit pour le transport des biens et des hôtes papaux, mais sert aujourd’hui plus de décor que de moyen de locomotion, à part pour les marchandises et lors de quelques événements.
4. Plus de visiteurs que d’habitants — chaque jour
Avec moins de 800 résidents officiels, le Vatican est envahi quotidiennement par des flots de touristes. Résultat : un pays où l’on trouve plus de perches à selfies que de boîtes aux lettres.
5. Le ciel comme terrain d’étude
Le Vatican a un observatoire astronomique, dirigé par des jésuites. Celui-ci est complété par un deuxième observatoire situé en Arizona, pour échapper à la pollution lumineuse. Non, vous ne rêvez pas : les prêtres analysent vraiment les galaxies !
Petites balades, grandes randonnées ou boucles vélo à travers les Beaux Villages
Pour les cyclistes, le Cyclo Guide offre 12 itinéraires adaptés à tous les niveaux via l’utilisation du réseau Points-Nœuds.
Les amateurs de randonnée peuvent explorer les Beaux Villages grâce à la brochure « Randonnées » ou au triple topo-guide « Grand Tour », un parcours balisé GR® de 1500km à travers Les Plus Beaux paysages.
Une nouvelle brochure « Authenticité » vous propose des petits itinéraires dans les cœurs des Beaux Villages, des balades accessibles à tous.
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Découvrez les Beaux Villages en famille et de manière ludique et festive
Les chasses au trésor Totemus permettent aux petits et grands d’explorer les Beaux Villages de manière ludique et interactive.
Enfin, toute l’année, des balades guidées et concerts vous feront découvrir ces Beaux Villages de caractère. Nos événements 2025 sont disponibles sur beauxvillages.be
Les Maldives ont frappé un grand coup diplomatique : le pays a interdit l’entrée des ressortissants israéliens sur son territoire, invoquant sa “solidarité résolue” avec le peuple de Gaza, plongé dans le conflit entre Israël et le Hamas.
Adoptée à l’unanimité au Parlement puis ratifiée dans la foulée par le président Mohamed Muizzu, cette mesure a pris effet immédiatement. La présidence maldivienne a dénoncé les “atrocités répétées” et “actes de génocide” qu’elle impute à Israël dans un communiqué officiel.
Une décision largement symbolique
Destination prisée pour ses lagons turquoise et ses plages paradisiaques, l’archipel de l’océan Indien ne recevait qu’un nombre très restreint de touristes israéliens : 59 visiteurs enregistrés en février dernier, sur un total de 214.000 touristes étrangers.
Ce n’est pas une première : les Maldives avaient déjà interdit l’entrée aux Israéliens par le passé, avant de rouvrir progressivement dans les années 1990 et de renouer brièvement des relations en 2010.
À noter que le ministère israélien des Affaires étrangères recommandait déjà à ses ressortissants d’éviter tout voyage vers cette destination depuis l’année dernière.
Face à l’afflux record de passagers — 24 millions en 2024, 32 millions espérés d’ici 2032 — Zaventem a décidé de revoir ses plans. L’aéroport belge investit pas moins de 500 millions d’euros pour éviter la saturation annoncée. Au programme : une refonte des halls d’arrivées et de départs, et une cure de jouvence qui sent bon l’architecture lumineuse et végétale.
« Le terminal actuel est prévu pour 28 à 30 millions de passagers par an », précise Arnaud Feist, CEO de l’aéroport. Autant dire qu’il est temps de passer à la taille supérieure.
Un hub intermodal pour relier tout le monde
L’ambition ne s’arrête pas aux halls. Zaventem veut devenir un pôle de mobilité exemplaire. Bus, trains, taxis, trams : tout le monde descend… au même endroit. Un nouvel accès à la gare sera aménagé et la future ligne de tram qui reliera l’aéroport à Bruxelles bénéficiera d’un boulevard vert flambant neuf.
Le ministre de la Mobilité Jean-Luc Crucke applaudit : « Nous devons évoluer vers des pôles intelligents qui allient confort, connectivité et ambition climatique. »
Hôtel 4 étoiles, bureaux et verdure au menu
Cerise sur le tarmac : un nouvel hôtel 4 étoiles de 300 chambres viendra épauler le Sheraton, souvent complet. Des bureaux sortiront aussi de terre, et une zone « drop-off » sera redessinée dans un écrin de verdure. Brussels Airport mise sur le confort, mais aussi sur une image plus responsable, tant pour les voyageurs que pour la planète. Début des travaux : fin 2026. Fin prévue : 2032.
La côte belge reste une destination de choix pour de nombreux compatriotes, tant pour les vacances que pour l’achat d’une résidence secondaire. Mais à seulement deux heures et demie de Bruxelles, il existe une splendide alternative, à savoir la Côte d’Opale. À Hardelot, une commune côtière à la fois paisible et dynamique, un projet immobilier de grande qualité sera lancé dès la fin de cette année par l’un des grands noms belges de l’immobilier haut de gamme : la Compagnie Het Zoute. Joris Vrielynck, Directeur Général du promoteur, nous partage la vision derrière ce projet.
Vacancesweb : Pour un promoteur immobilier principalement connu pour ses projets à Knokke, le choix de Hardelot est plutôt surprenant, non ?
Joris Vrielynck : Oui et non. Nous élargissons constamment notre offre, même en dehors de Knokke. Par exemple, nous sommes également actifs aux Pays-Bas, à Cadzand, qui constitue pour de nombreux Belges une alternative plus réaliste que Knokke. A Hardelot, nous rencontrons une ambiance similaire : cette station balnéaire assez paisible offre une alternative moins huppée que Le Touquet et moins urbaine que Boulogne-sur-Mer. On y trouve une architecture typiquement anglo-normande, qui offre un tout autre panorama que celui que nous connaissons en Belgique. Hardelot n’a plus de secrets pour les francophones, mais nous constatons que les Flamands n’ont pas encore découvert l’endroit. Et c’est vraiment dommage : Hardelot et la Côte d’Opale sont des destinations chaudement recommandées !
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Vacancesweb : Pour ceux qui ne connaissent pas la région : qu’y a-t-il à découvrir ?
Joris Vrielynck : Hardelot est formidable. En soi, c’est l’une des stations balnéaires les plus tranquilles de la Côte d’Opale, mais elle a tant à offrir. C’est une petite ville à taille humaine, idéale pour les familles, avec une offre solide en matière d’horeca et de commerces, mais surtout un cadre propice à la détente et aux loisirs. Elle est nichée dans la verdure, et comme il n’y a pas de brise-lames, la large plage de sable se fond harmonieusement dans de magnifiques dunes. Cela offre de nombreuses possibilités de promenades ! L’arrière-pays est différent de la côte belge, avec des forêts et des collines qui apportent de la diversité, comme le Mont-Saint-Frieux qui offre un panorama magnifique et qui se situe dans une zone naturelle protégée. En outre, Hardelot abrite deux des plus beaux parcours de golf de France, un impressionnant club de tennis et une large gamme d’activités adaptées aux familles.
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Vacancesweb : Une région intéressante donc, mais que peut apporter un projet immobilier comme « Odunes » ?
Joris Vrielynck : Hardelot et la Côte d’Opale en général, offrent un magnifique cadre historique, mais la plupart des projets immobiliers contemporains sont davantage axés sur des attentes différentes de celles des Belges. C’est pourquoi, avec « Odunes », nous misons sur une conception bien pensée, des matériaux de qualité et une finition irréprochable.
Le projet se compose de 4 bâtiments sur le dernier terrain disponible à l’extrémité de la digue, offrant ainsi aux 108 appartements et penthouse – tous dotés de terrasses avec vue sur la mer ou sur les dunes – une vue qui restera toujours dégagée ! Ces atouts nous font penser que nous attirerons principalement des acheteurs qui souhaitent en profiter pour leur propre usage plutôt que pour la location. Nous prévoyons également un mélange d’acheteurs composé pour moitié de Belges et pour moitié de Français. Parmi les Français, qui ont découvert la région pendant la période du Covid, il y a d’ailleurs un grand intérêt pour des projets de haute qualité. Cela garantit que « Odunes » sera un excellent investissement, même sur le long terme !
La construction de « Odunes » débutera fin 2025, avec les premiers appartements livrés pour la mi-2028. Les prix commencent à partir de 450.000 €, hors frais.
Depuis le 2 avril, tout Belge souhaitant traverser la Manche doit se munir d’une autorisation électronique de voyage (ETA). Prix officiel : 16 livres sterling, soit un peu moins de 19 euros. Mais certains voyageurs ont payé jusqu’à 200 euros pour cette formalité. Pourquoi ? À cause d’arnaques bien ficelées qui pullulent en ligne.
Des sites plus vrais que nature
Les polices de Weser-Göhl et d’Anvers ont donné l’alerte. Des sites frauduleux, au design pro et aux promesses séduisantes (“traitement express”, “formule tout compris”), apparaissent en tête des résultats de recherche. Le hic ? “Il s’agit en réalité d’arnaques”, prévient la zone de police de Weser-Göhl.
Vos données en prime
Au-delà du prix, les escrocs jouent une autre carte : le vol de données personnelles. Identité, coordonnées bancaires, voire échanges par e-mail pour soutirer plus d’infos… Les forces de l’ordre insistent sur les risques.
La bonne démarche
Pour éviter le piège, la marche à suivre est simple. Direction le site officiel du gouvernement britannique (gov.uk) ou l’application UK ETA.
En mars 2025, les voyages des Européens vers les États-Unis ont connu un sévère coup de frein. Avec 905.603 visiteurs venus d’Europe de l’Ouest, on assiste à une baisse de 17 % par rapport à mars 2024, selon les chiffres préliminaires du Département du Commerce américain. Un plongeon qui n’avait plus été observé (hors pandémie) depuis… la crise financière de 2009.
Ce reflux soudain s’explique en partie par un cocktail peu alléchant : tensions diplomatiques, procédures de contrôle migratoire parfois abruptes, et une réputation sécuritaire un peu écornée. Même les Belges, pourtant grands amateurs de road trips sur la Route 66, semblent revoir leurs plans.
Les Belges aussi font demi-tour
En mars, 18.824 voyageurs belges ont foulé le sol américain, soit 16 % de moins qu’un an plus tôt. Ce recul s’est même accéléré : -3 % en janvier, -9 % en février, et maintenant -16 %. Le message est clair : entre inflation, visa stress et rumeurs de détentions surprises, l’Oncle Sam perd de son attrait.
Le SPF Affaires étrangères reste modérément rassurant en qualifiant les États-Unis de pays “relativement sûr pour les touristes”. Mais il met aussi en garde contre “le risque d’emprisonnement temporaire à la frontière”..
Le projet, qui fête les 80 ans de la fin de la seconde guerre mondiale, vous fera vivre une immersion totale au cœur des bivouacs des armées américaine, britannique, belge, canadienne… Autant vous dire que l’émotion sera au rendez-vous.
Musée vivant et démonstrations spectaculaires
Ce musée vivant vous permettra, entre autres, d’admirer des véhicules et avions militaires d’époque. Vous assisterez même peut-être à un parachutage depuis un avion C-47 ! Des displays, du matériel radio, des ustensiles de cuisine de campagne seront, entre autres, donnés à voir.
Exposition poignante : la Résistance européenne à l’honneur
Vous pourrez accéder aussi à l’exposition qui retrace les mouvements de résistance de 21 pays européens lors de la seconde guerre mondiale ! 5 thèmes puissants s’y articuleront : presse clandestine, résistance armée, sabotage, chemins de fuite, aide aux juifs et objecteurs de conscience. Une exposition (trilingue) dont vous ne sortirez pas indemne.
Pierre Szuwalski
Visite du musée Spitfire et concerts mémorables
Vous aurez encore l’opportunité de visiter le Musée Spitfire de la base de Florennes, en empruntant un petit train au départ des aires nord. Points d’orgue du week-end, les concerts de la libération de type Gleen Miller et du groupe les Marie-Claire, et le défilé de la libération.
Infos pratiques : Réservation obligatoire !
Le « Marshalling Area Florennes 2025 » vaut sacrément le détour : découvertes et frissons seront, comme vous l’aurez compris, au programme de l’évènement. L’entrée est gratuite pour les moins de 12 ans : une belle occasion de rappeler aux jeunes l’importance des valeurs de liberté, de démocratie, d’égalité et de respect de la dignité humaine.
Attention néanmoins : il faut absolument réserver vos billets d’entrée sur la billetterie en ligne : aucun billet ne sera vendu sur place !
Et si vous êtes dans les parages la veille déjà, sachez qu’un concert de jazz gratuit aura lieu sur la Place Verte de Florennes à 18h. Inscriptions ici.
Venez vivre ce moment mémorable et plongez au cœur de l’Histoire.
La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) vient de rendre une décision qui va soulager certains voyageurs malchanceux. Une carte d’embarquement peut désormais suffire pour prouver qu’un passager a une réservation confirmée, et donc exiger une indemnisation en cas de retard important.
L’affaire concerne deux passagers dont le vol entre Tenerife et Varsovie a été retardé de… 22 heures ! 😱 Ils avaient acheté un voyage à forfait, mais la compagnie aérienne a refusé de les indemniser. Son argument ? Leur réservation ne serait pas “confirmée” car elle avait été payée par l’agence de voyage à un tarif préférentiel.
Un paiement indirect ne signifie pas un vol gratuit
Selon la CJUE, le fait que le billet ait été payé par un tiers (l’organisateur du voyage) ne signifie pas que les passagers ont voyagé gratuitement ou à prix réduit. Ils ont bien une réservation valide, et donc droit à une compensation. Autre précision : c’est à la compagnie aérienne de prouver qu’un passager a voyagé gratuitement ou à tarif réduit, et non l’inverse.