Une découverte fascinante vous attend…, la Ferme aux Crocodiles ne cesse d’évoluer autour d’un concept immersif de Réserve Tropicale, avec 600 espèces et variétés de plantes exotiques. Aujourd’hui, ce sont près de 1200 animaux, dont 150 oiseaux en vol libre, qui évoluent dans un environnement foisonnant de vie. Et non, il n’y a pas que des crocodiles ! Serpents, tortues, poissons et autres espèces cohabitent dans un décor luxuriant.
Le parcours de visite s’est enrichi pour offrir une immersion encore plus spectaculaire : pontons vitrés, baies d’observation et ambiances sonores vous transportent au cœur de la jungle. Une expérience sensorielle inoubliable, à vivre en famille.
ferme aux crocodiles
Ne manquez pas non plus la toute nouvelle exposition installée dans le couloir photo en fin de parcours, en partenariat avec l’AFdPZ (Association Française des Parcs Zoologiques). Présentée sous forme de bandes dessinées grand format, cette expo ludique et pédagogique met en lumière les missions essentielles des parcs zoologiques : conservation de la biodiversité, recherche scientifique et sensibilisation du public. Une belle façon d’apprendre tout en s’amusant… Et pour prolonger le plaisir, retrouvez les BD à la boutique !
La visite s’effectue dans une serre à climat tempéré, agréable toute l’année. En été, même lors des fortes chaleurs, la fraîcheur relative de certains espaces rend la balade confortable. Le parcours extérieur complète l’expérience en offrant un autre regard sur la Réserve.
ferme aux crocodiles
À ne pas manquer : animations et expériences inédites
Petits nourrissages commentés en accès libre toute l’année
Visites guidées, “Soigneur d’un jour”, expériences VIP comme l’Apéro Croco ou le Réveil de la Réserve, pendant les vacances scolaires (avril, ponts de mai, été, Toussaint)
La Réserve Tropicale fait partie des 21 sites labellisés “Site Touristique Emblématique Auvergne-Rhône-Alpes” et a récemment renouvelé son Label Qualité Tourisme, une belle reconnaissance pour toute l’équipe !
Le 1er mai dernier, Knokke-Heist a été prise d’assaut par pas moins de 40.000 voitures. Résultat : des files de véhicules, des klaxons impatients et des visages moins bronzés que crispés. « Nous avons été pris de court », reconnaît la bourgmestre Cathy Coudyser, qui préfère anticiper la suite plutôt que de revivre cette symphonie urbaine désaccordée.
Objectif : désengorger sans décourager
Pour les jours de grande affluence, la commune sort l’artillerie douce : parkings en périphérie, centre-ville fermé au trafic entrant, police aux aguets et signalisation renforcée. Les visiteurs seront redirigés dès le rond-point d’entrée (Balkonrotonde) vers les parkings, notamment près de l’hôpital AZ Zeno ou de la gare, où des places temporaires pourraient apparaître.
Et non, ce n’est pas une blague : Knokke va ressembler un peu à Tomorrowland, dixit la bourgmestre. Mais ici, “les artistes, ce sont le soleil, la plage et la mer. Ici aussi, i faut marcher un peu pour y accéder”.
Entre 12h30 et 17h00, les accès au centre seront partiellement bouclés. Seuls les résidents, commerçants ou cas jugés légitimes auront droit au précieux sésame. Pour les autres ? Ce sera demi-tour ou… marche à pied. Un filtrage sera assuré par les forces de l’ordre à trois points d’accès.
Cette annonce, on la lit avec beaucoup d’amertume. Certes, la liaison n’était pas vraiment donnée, mais il s’agissait d’une solution plus écologique que l’avion et plus rapide (et plus confortable !) que la voiture pour rejoindre le sud. Pour rappel, l’Eurostar Sun était un train direct qui, chaque samedi, reliait Amsterdam et Bruxelles aux villes du sud de la France comme Valence, Avignon, Aix-en-Provence et Marseille. Mais en 2025, ce service saisonnier ne sera plus proposé !
Pourquoi cette suppression ?
La compagnie justifie cette décision en expliquant qu’elle veut se concentrer sur ses grands axes et sur les liaisons entre centres-villes. “Eurostar continue à se concentrer sur ses gares les plus importantes et sur les liaisons entre les centres-villes tels que Bruxelles, Amsterdam, Paris, Cologne et Londres“, explique la porte-parole Cordula Descheemaeker. En clair : priorité aux lignes à forte demande, et tant pis pour les amateurs de lavande et de mer Méditerranée.
Des alternatives ?
Tout n’est pas perdu pour les voyageurs belges et néerlandais rêvant de Provence : ils pourront toujours compter sur les TGV Inoui français pour rejoindre le sud au départ de Bruxelles. Mais cela impliquera des changements et sans doute un peu plus de temps de trajet.
Bonne nouvelle tout de même pour les amateurs de glisse : l’Eurostar Snow, qui dessert les stations des Alpes françaises en hiver, roulera comme prévu.
D’après une étude du site spécialisé Vliegveldinfo.nl, garer sa voiture une semaine dans un parking officiel d’aéroport coûte désormais 88 euros en moyenne contre 82 euros l’an passé. Mais pendant que les prix montent ailleurs, Brussels Airport sort du lot avec un tarif moyen qui chute de 18,5 euros, passant de 96,5 € à 78 €.
L’Allemagne en tête… des hausses
La flambée des prix est surtout due aux aéroports allemands, dont certains semblent vouloir concurrencer les parkings parisiens. Düsseldorf, par exemple, affiche un bond de 39 euros pour atteindre 139 euros la semaine, devenant le plus cher des 16 aéroports analysés.
Belgique : du plus cher au plus futé
En Belgique, l’aéroport d’Anvers-Deurne garde son statut de parking le plus cher (132 €), loin devant Charleroi, champion du bon plan avec seulement 59 euros la semaine. Attention toutefois : si vous ajoutez la navette, c’est +8 € par personne – le low-cost a ses limites.
Et pour un petit week-end ?
Pour trois jours, le coût moyen du stationnement grimpe à 56 €. Bonne nouvelle, la Belgique s’en sort bien ici aussi : Ostende est imbattable avec 31,5 €, quand Schiphol (Amsterdam) affiche un insolent 98,5 €.
D’après les chiffres des organisations Bovag et KCI, 627.093 caravanes et camping-cars sont actuellement immatriculés dans le pays. Soit 15.000 de plus qu’en 2024. Détail marquant : 423.888 caravanes (+1.700 sur un an), et surtout une poussée spectaculaire côté camping-cars avec 203.205 unités. Il faut dire que les Néerlandais entretiennent une relation presque culturelle avec le camping, ancrée depuis les années 60.
Carl Decaluwé, gouverneur de Flandre occidentale, ressuscite une idée née en pleine pandémie : utiliser un système de surveillance en temps réel pour gérer l’affluence sur la côte belge. L’objectif : éviter que les routes du littoral ne se deviennent systématiquement bloquées à chaque rayon de soleil.
Jeudi noir sur le littoral
Pourquoi cette idée refait-elle surface ? Tout simplement parce que jeudi dernier, c’était le chaos :
Ostende a dû fermer ses accès, faute de pouvoir accueillir plus d’automobilistes.
À Blankenberge et Knokke-Heist, les conducteurs faisaient des rondes désespérées à la recherche de places de stationnement… sans succès.
Un retour au futur technologique
Le fameux baromètre d’affluence, mis en place durant la crise sanitaire, fonctionne toujours. À l’époque, il permettait de mieux répartir les visiteurs le long de la côte. Et selon Decaluwé, il serait grand temps de le remettre à l’œuvre pour gérer non seulement la foule, mais aussi le trafic routier et ferroviaire.
“Un conducteur venant de Bruxelles devrait savoir dès Bruges si Ostende est saturée, lui permettant de choisir une destination moins fréquentée comme Coxyde.”
— Carl Decaluwé, cité par la VRT
Les vacances, oui, mais sans stress
Le gouverneur souhaite impliquer activement le Centre flamand du trafic pour rediriger les automobilistes avant qu’il ne soit trop tard. L’idée ? Informer en amont, plutôt que de laisser les vacanciers découvrir qu’Ostende est fermée !
La Thaïlande passe à la vitesse supérieure. Depuis le 1er mai 2025, tous les voyageurs étrangers devront remplir une carte d’arrivée numérique (Thai Digital Arrival Card, ou TDAC) avant leur arrivée sur le territoire. Fini le stylo gribouillé dans l’avion, place au formulaire en ligne, accessible via tdac.immigration.go.th.
Un formulaire pour tous, sauf exceptions
Que vous soyez touriste, expat, homme d’affaires ou pirate informatique en vacances (légalement bien sûr), vous êtes concerné. Le TDAC demande des infos classiques : coordonnées, passeport, itinéraire, hébergement et une petite déclaration sanitaire.
Seuls sont exemptés :
Les voyageurs en transit qui ne passent pas l’immigration,
Ceux munis d’un laissez-passer frontalier
Une plateforme assez facile
Le portail est bien évidemment d’ores et déjà actif et vous pouvez y remplir votre TDAC en solo ou pour tout un groupe. Et bonne nouvelle : vous pouvez corriger vos infos jusqu’à la dernière minute (ou presque). Conseil d’ami aux résidents longue durée : cochez “Thaïlande” comme pays de résidence dès que possible.
Une assistance en cas de pépin
Les autorités préviennent : remplissez le TDAC avant de partir (cela peut se faire dans les 3 jours précédant l’arrivée), sous peine de passer plus de temps à l’immigration qu’à siroter votre premier cocktail. En cas d’oubli exceptionnel, une aide sera proposée à la frontière… mais mieux vaut éviter de tester leur patience.
L’annonce a été faite en grande pompe par le Premier ministre britannique Keir Starmer : “Aujourd’hui nous avons conclu un accord sur un investissement de plusieurs milliards de livres“, a-t-il déclaré.
Avec une ouverture prévue pour 2031, ce sera le premier parc Universal en Europe. Et pas un petit : l’objectif est clair, créer l’un des plus grands parcs de divertissement du continent. Au menu : des milliers d’emplois (28.000, pour être précis), une connexion ferroviaire stratégique (Eurostar friendly), et une bonne dose de licences cultes.
Le projet doit encore passer par la case permis de construire, mais vu l’enthousiasme ambiant et les millions de touristes potentiels en ligne de mire, difficile d’imaginer que les autorités locales y verront un frein.
Imaginez… Une table généreuse dressée au cœur de la capitale belge. Des verres qui tintent, des arômes de Comté affiné, de vins précieux et de produits du terroir qui flottent dans l’air. Le 5 juin, Vacancesweb transforme les bureaux de Rossel en une vitrine gourmande de la Bourgogne et des Montagnes du Jura. À cette occasion, treize partenaires venus tout droit de ces terroirs d’exception viendront à la rencontre du public pour faire découvrir leurs routes gourmandes, leurs paysages et leurs produits… et cette passion contagieuse qu’ils ont pour leurs territoires.
Dégustations, découvertes et escapades au programme
Au programme : des échanges, des dégustations, des échantillons à savourer sur place ou à emporter… et surtout, une plongée dans l’univers chaleureux et authentique de ces destinations françaises où la nature, la gastronomie et le patrimoine se donnent rendez-vous.
Du Comté aux accents montagnards aux célèbres crus de Gevrey-Chambertin ou d’Arbois en passant par les poteries de Puisaye-Forterre, les cités des vins et des Climats de Beaune, Chablis et Maçon, les balades vertigineuses du Haut-Jura ou les trésors cachés du Haut-Bugey, chaque stand sera une promesse d’évasion. Vous découvrirez ainsi les Routes gourmandes qui relient ces pépites entre elles : de Dijon à Beaune pour les épicuriens, de Lons-le-Saunier à Salins-les-Bains pour les curieux du goût, ou encore de Morteau à Montbéliard pour les amateurs de traditions charcutières.
Zoom sur les destinations présentes
Bourgogne-Franche-Comté tourisme, a l’origine des routes gourmandes présentera ces nouveaux itinéraires inspirants ainsi que l’offre régionale.
La Cité des Climats & des Vins de Bourgogne, avec ses trois sites emblématiques à Chablis, Beaune et Mâcon, proposera une immersion sensorielle et culturelle dans l’univers du vin. L’office de tourisme Gevrey-Chambertin/Nuits-Saint-Georges vous embarquera au cœur de la Route des Grands Crus, entre villages vignerons et paysages bucoliques. La Puisaye-Forterre, terre d’histoire et de créativité, vous transportera entre châteaux médiévaux, forêts profondes et ateliers de céramistes, dans un écrin de nature préservée aux portes de la Bourgogne.
La Saône-et-Loire, quant à elle, conjuguera histoire et spiritualité à travers ses trois villes phares – Mâcon, Chalon et Autun – et ses prairies du Charolais. A l’extrême sud de La Bourgogne, Macon sur la route gourmande du Charolais est une étape incontournable pour profiter de sa gastronomie, ses vins et son patrimoine. Lovée sur les bords de la Saône, au seuil d’un vignoble somptueux, la cité bourguignonne est une délicieuse mise en bouche avant de partir pour une escapade dans le terroir mâconnais et dans le Charolais. De Charolais il sera question avec la Maison Doucet (Relais & Châteaux 5 étoiles, restaurant 1 étoile au guide Michelin 2025) basée à Charolles cette belle adresse a tout pour séduire une clientèle belge en quête d’authenticité et de goût.
Plus à l’est, la ville de Besançon, riche de 200 monuments classés, est une porte d’entrée majestueuse vers les Montagnes du Jura. Doubs Tourisme présentera les atouts de la destination, les adresses gourmandes d’un département facile à découvrir à vélo grâce à son réseau de Points Nœuds. Le Haut-Jura Saint-Claude vous invitera quant à lui à respirer à pleins poumons entre falaises et cascades, tandis que le Haut-Bugey, nature préservée du sud du massif jurassien, est idéal pour les amateurs d’escapades au vert. Enfin, la star des plateaux, le Comté, vous révélera ses secrets de fabrication et ses saveurs incomparables, nées dans les fruitières artisanales des Montagnes du Jura. Et que dire d’un bel accord Comté – vins du Jura ? Le Domaine de la Pinte accompagnera la dégustation avec des vins aromatiques et emblématiques des Montagnes du Jura.
Balade à la Roche de Solutré Studio Intuive / BFC Tourisme
Un événement unique pour les bourlingueurs… et les gourmets
Que vous soyez amateur de bons produits, voyageur dans l’âme, amoureux de la France rurale ou simplement curieux de nouvelles expériences, cet événement est fait pour vous. Ce sera l’occasion rêvée de discuter avec les producteurs, représentants d’offices de tourisme et passionnés venus spécialement pour vous présenter leurs coins de paradis.
Prenez le temps de flâner entre les stands, de savourer un verre de vin ou de cassis de Bourgogne, de vous projeter sur une route des vins ou au cœur d’un village jurassien. Et qui sait ? Peut-être repartirez-vous avec votre prochaine destination de vacances en tête, un bon plan à noter ou un souvenir gustatif à rapporter à la maison.
Infos pratiques
Lieu : Groupe Rossel, rue Royale 100, 1000 Bruxelles
Date : mercredi 5 juin 2025
Heure : plus d’infos à venir très bientôt sur www.vacancesweb.be
L’entrée est gratuite mais l’inscription obligatoire
Biarritz, spot de rêve pour les vacanciers, est aussi devenu le terrain de jeu de nouvelles règles strictes contre les locations sauvages sur Airbnb. Un propriétaire vient d’en faire les frais : 10.000 € d’amende pour avoir contourné la réglementation en vigueur.
Depuis deux ans, la règle est simple : pour louer un meublé touristique, il faut aussi proposer un logement équivalent à l’année. Une manière pour la ville de protéger ses habitants face à la flambée des loyers et la raréfaction de l’offre.
Vacances oui, mais pas à n’importe quel prix
Ce loueur s’est vu rappeler à l’ordre. La mairie voulait 100.000 € d’amende. Le juge, plus indulgent, a opté pour une note allégée de 10.000 €, arguant que les logements avaient été vendus.
Une destination qui veille au grain
Avec plus de 1000 avertissements envoyés et plusieurs affaires en cours, Biarritz affiche clairement son intention de réguler le tourisme de masse.
Et pour les vacanciers ? Rien ne change, sauf peut-être la certitude que derrière chaque vue mer, il y a (aussi) une petite dose de réglementation.
