Direction Avenature, à Vielsam, à la Baraque Fraiture : ici, c’est l’adrénaline assurée ! Le parcours d’accrobranche comprend 24 obstacles, 4 tyroliennes et un tas de défis physiques. A vous de choisir si vous osez tenter le niveau de difficulté bleu (qui plafonne à 7 mètres du sol) ou si vous préférez vous en tenir au vert (qui s’élève à 3 mètres de hauteur).
Rassurez-vous : il ne faut pas être un sportif aguerri pour vivre l’accrobranche sur le point culminant de la Belgique (652 mètres quand même) : il vous suffit d’avoir « l’envie de » et « la motivation à ». Après, on vous promet du rire, du fun, du dépassement de soi et de la coopération !
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De toute façon, que vous choisissiez le parcours « Explorer » ou « Discover », vous profiterez de la beauté des lieux et de la silhouette élancée des pins.
Mais ce n’est pas tout : quand vous serez descendus de vos arbres, vous pourrez vous essayer encore à plein d’autres choses : car l’Avenature, c’est une infinité d’expériences ludiques et sportives : tir à l’arc, escape game, jeux gps… et on en passe !
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Ici, selon que vous veniez en famille, entre amis, entre collègues, ou même avec votre classe, on vous propose des activités sur mesure qui, toutes, vous emmènent dans des univers passionnants. En outdoor et en indoor.
Quoi qu’il en soit, ne trainez plus : venez enfilez votre baudrier et votre casque. La saison est idéale pour profiter au grand air et s’essayer à l’accrobranche au cœur des Ardennes !
En effet, les Américains souhaiteraient revoir les seuils à la hausse : pour un vol de moins de 3 500 kilomètres, l’indemnisation de 300 euros ne s’appliquerait qu’au-delà de quatre heures de retard. Et pour les long-courriers, il faudrait patienter plus de six heures avant d’espérer toucher 500 euros.
Les eurodéputés disent non au “retard sur le retard”
Pour les élus européens, il n’est pas question de reculer. Ils veulent maintenir la règle actuelle : trois heures de retard, quelle que soit la distance, ouvrent droit à compensation. La distance interviendrait seulement pour ajuster le montant — entre 300 et 600 euros selon les cas.
Des exceptions sont néanmoins prévues, notamment en cas de catastrophes naturelles, de guerres, de mauvaises conditions météo ou de grèves imprévues.
Bagages et sièges : quelques bonus à bord
Petit plus pour les voyageurs : les eurodéputés souhaitent garantir le droit d’emporter un deuxième bagage à main sans frais supplémentaires. Et pour les familles, bonne nouvelle : les enfants de moins de 14 ans devraient pouvoir s’asseoir gratuitement à côté de leur accompagnateur.
La fréquence est fixée à trois vols par semaine. Avec Chongqing, Hainan Airlines élargit son catalogue de destinations chinoises au départ de Bruxelles : après Pékin, Shanghai et Shenzhen, voici la quatrième perle de l’empire du Milieu à rejoindre la carte.
17 vols par semaine entre Belgique et Chine
Cette nouvelle liaison porte le total à 17 vols hebdomadaires opérés par Hainan Airlines entre la Belgique et la Chine. Une fréquence qui témoigne de l’importance croissante des échanges entre les deux pays…
Chongqing, géante des montagnes et du hotpot
Pour les voyageurs, Chongqing n’est pas seulement un hub industriel et commercial. C’est aussi une mégapole de plus de 30 millions d’habitants, surnommée la « ville-montagne » pour ses reliefs spectaculaires.
Au programme : croisières mythiques sur le Yangtsé, escapades vers les Trois Gorges, balades dans les quartiers traditionnels comme Ciqikou, et surtout… l’incontournable hotpot épicé, spécialité locale qui fait bien transpirer !
Le parc national du Nord-Est du Groenland s’étend sur 972 000 km², soit près de 1,5 fois la surface de la France (ou presque deux fois la métropole). Il s’agit, en tout simplicité, du plus grand parc au monde. Un autre chiffre fou ? Il couvre 44,85 % du Groenland ! Créé en 1974, puis agrandi en 1988, il est aussi classé réserve de biosphère UNESCO depuis 1977. Bref, ici, le gigantisme est la norme.
Presque vide, mais pas tout à fait
Difficile de parler de “population” : on compte une centaine de résidents permanents, répartis entre stations scientifiques, militaires et météo. Les stars locales ? Entre 5 000 et 15 000 bœufs musqués, soit près de 40 % de la population mondiale, et bien sûr l’incontournable ours polaire. On croise aussi des renards arctiques, des hermines, des lièvres arctiques et, dans les eaux glaciales, des morses et des narvals (oui, les licornes de la mer). Côté oiseaux, c’est un festival : du majestueux faucon gerfaut au très digne harfang des neiges.
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Un bout du monde sous haute surveillance
Avec son point le plus septentrional dépassant légèrement celui du parc canadien de Quttinirpaaq, ce territoire est officiellement le parc national le plus au nord du monde. Côté météo, les températures moyennes varient de -20 °C en hiver à un timide 5 à 10 °C en été. Le soleil, lui, joue à cache-cache extrême : nuits polaires pendant plusieurs mois, suivies d’un soleil de minuit qui ne se couche jamais. Le vent et les tempêtes de neige ponctuelles complètent le tableau polaire…
Medellín. Rien que le nom glaçait encore le sang au milieu des années 90. C’était la ville d’Escobar, des cartels, des fusillades en pleine rue et des corps laissés comme des messages sur le trottoir. En 1991, Medellín affichait le taux d’homicide le plus élevé au monde, avec 381 meurtres pour 100.000 habitants
Les quartiers perchés dans les collines – la Comuna 13, entre autres – vivent au rythme des rafales, coupés du centre, de la justice, de la lumière. Et au cœur de ce chaos, Escobar cultivait une relation trouble avec les plus pauvres : bourreau pour certains, bienfaiteur pour d’autres, il distribuait logements et argent tout en arrosant la ville de sang.
La ville décide de se lever
Tout ne s’est pas fait en une nuit. Il y eu bien entendu la disparition du célèbre narcotrafiquant. Et puis, en 2004, un nom surgit : Sergio Fajardo. Pas un caïd. Un professeur de maths, devenu maire. Il ne veut pas que l’on oublie Medellín.
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Et alors, la ville commence à se transformer à coups de béton, de verre et d’escalators. Oui, des escalators — dans les collines où l’on peinait à grimper, voilà que les habitants montent sans effort, avec leurs courses, leurs enfants, leurs rêves. Un téléphérique, le Metrocable, relie les hauteurs au métro. Les invisibles deviennent visibles. Un parc-bibliothèque voit également le jour : le béton devient refuge, pas rempart.
Une renaissance qui n’oublie pas ses cicatrices
L’image est belle. Trop belle ? Certains le disent. La violence a baissé, mais elle ne s’est pas évaporée. Les gangs n’ont pas tous disparu ; ils ont changé de visage. Les inégalités n’ont pas fondu sous le soleil colombien. Les habitants des quartiers transformés voient les loyers grimper. Certains partent.
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L’audace de réinventer
Aujourd’hui, la ville se veut capitale de l’innovation. Dans les locaux épurés de Ruta N, un centre d’affaires, on parle d’intelligence artificielle, de biotech, d’économie circulaire. Les start-ups poussent à un rythme soutenu. Le vert est partout : dans les projets de mobilité durable, les espaces publics repensés, les efforts pour lutter contre la pollution.
À l’arrivée, quel calme, comme si l’hôtel se fondait sans bruit dans la nature. À la réception, j’apprécie directement le sourire sincère, et les quelques mots de bienvenue. Déjà je sentais le stress retomber. Les enfants couraient d’un coin à l’autre, fascinés par la hauteur des vitres et les reflets de la forêt.
De la réception à notre chambre vue forêt Eloise Chavenon
Notre chambre était un vrai cocon. Spacieuse, lumineuse, baies vitrées ouverte sur la forêt. Les petites ont tout de suite repéré leur lit, installé juste à côté du nôtre — un détail simple, mais qui rendait le lieu encore plus accueillant. J’ai pris une grande inspiration : l’odeur de la forêt se sentait dans la chambre, la douceur du silence, la sensation d’être ailleurs.
A vélo en forêt
Mais le vrai bonheur, c’était cette balade à vélo dans la forêt. Les vélos sont fournis et muni d’un itinéraire nous voici parti pour pédaler 3H sur des chemins couverts de feuilles, sous une lumière dorée qui passait entre les branches. J’avais oublié à quel point il était simple d’être heureux.
Vélos fournis pour la balade en forêt Eloise Chavenon
Après l’effort, le Spa
En fin d’après-midi, nous avons profité du Spa. Les enfants riaient de voir la vapeur s’échapper du hammam, pendant que nous profitions d’un massage en duo au Spa Cinq Mondes que je recommande chaudement ! L’eau, la chaleur, les senteurs d’eucalyptus, tout invite ici au lâcher-prise dans des infrastructures de premier choix.
Le Spa 5 Mondes à découvrir en couple ou en famille Eloise Chavenon
Buffet ou à la carte
Le soir, place à un dîner délicieux. Autour de la table, on se racontait notre journée avec des yeux qui pétillaient encore. Un excellent dîner en formule à la carte ou buffet, et même les petites gourmandes ont tout goûté. Il est temps de rejoindre notre chambre, un livre, un câlin, un dernier regard sur la forêt endormie avant une nuit douillette.
Au restaurant de l’hôtel Eloise Chavenon
Avant de partir
Le lendemain, le petit déjeuner a eu un goût de fête. Le buffet débordait de couleurs et de parfums : croissants chauds, jus de fruits frais, pancakes dorés. Les enfants choisissaient tout, un peu trop, mais c’était si bon de les voir heureuse. Avant de repartir, nous avons profité encore du parc. Un ballon, un panier de basket, le terrain de pétanque, quelques échanges de badminton, et des rires à n’en plus finir. Et quand il a fallu dire au revoir, j’ai su que nous reviendrions.
Petit déjeuner et dernières activités Eloise Chavenon
Profitez de cette offre exclusive
Family Break pour 2 adultes et 1 ou 2 enfants -1 nuit en chambre quadruple vue forêt avec petits déjeuners -1 dîner buffet au restaurant l’Argan pour 2 adultes et 2 enfants hors boisson -Accès au Spa pour toute la famille -Location de vélos sur place et guide promenade
>>> Prix à partir de 390€. Bénéficiez de cette offre exceptionnelle et réservez directement sur le site du Dolce La Hulpe aux dates de votre choix
Sur l’île futuriste de Yumeshima, l’Expo universelle 2025 aura attiré plus de 27 millions de visiteurs, un chiffre honorable (sans atteindre les 64 millions de Shanghai en 2010).
L’événement, placé sous le signe de la régénération humaine, a offert six mois d’expériences architecturales, culturelles et culinaires. Le tout sous le regard du colossal “Grand Anneau”, une structure en bois de deux kilomètres de circonférence et vingt mètres de haut. Une partie de 200 mètres sera d’ailleurs préservée !
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La Belgique fait bonne figure
Avec 900.000 visiteurs, le pavillon belge n’a pas démérité. Entre les semaines thématiques (architecture, design, Wallonie, Flandre, Bruxelles, etc.) et les concerts (pas moins de 66 !), notre petit Royaume a attiré un large public !
Le restaurant Revive a régalé 150.000 gourmets, tandis que le food-truck belge a servi 400.000 curieux. “Une réussite tant sur le fond que sur la forme”, se félicite BelExpo, le Commissariat général aux expositions internationales.
Entre succès populaire et casse-tête financier
Malgré un désintérêt initial et des coûts de construction faramineux, Osaka 2025 a su conquérir le public. Une revanche inespérée pour une Expo que beaucoup voyaient déjà comme un semi-échec annoncé. Le flambeau passe désormais à Ryad, qui accueillera l’Expo 2030.
Avant d’être un bain de pigments, Holi est d’abord un rituel ancestral. Elle puise ses origines dans le Vasantotsava, la fête du printemps dans l’Inde ancienne, célébrant à la fois le renouveau de la nature et la fertilité. On y vénérait tour à tour Kâma, dieu de l’amour, et Krishna, figure espiègle et divine.
Deux mythes s’entrelacent : celui de Holika, démone brûlée par la foi inébranlable d’un jeune dévot, et celui des espiègleries de Krishna qui barbouillait de couleurs les bergères du village.
Un carnaval de pigments
La fête du Holi, qui se tiendra le 4 mars en 2026, est une douce folie : on sort vêtu de blanc, qu’on transforme en arc-en-ciel ambulant. On s’asperge de poudres colorées, chaque teinte ayant sa symbolique : vert pour l’harmonie, orange pour l’optimisme, bleu pour la vitalité, rouge pour l’amour.
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“Bura na mano, Holi hai !”
On se poursuit dans la rue en criant “Bura na mano, Holi hai” – littéralement « Ne sois pas fâché, c’est Holi ! ». Tout est permis… ou presque. Holi est aussi un moment où les hiérarchies sociales s’inversent.
Une hiérarchie inversée, le temps d’un jour
Pendant une journée, les castes se mêlent, les rôles s’effacent. Le bhang, boisson à base de cannabis, coule à flots.
Célébrée surtout dans le nord de l’Inde, la fête du Holi s’est exportée bien au-delà, comme au Rajasthan, par exemple. Certes, la récupération marketing par quelques pays occidentaux notamment, fait grincer quelques dents. Mais est-ce si grave si une tradition millénaire invite à se lancer des couleurs au lieu des regards noirs ?
Entre Caraïbes et océan Atlantique, les Îles au Vent sont une partie de l’arc antillais qui fait rêver. Situées dans le sud des Petites Antilles, elles comprennent notamment la Martinique, Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, la Grenade et la Barbade.
Alors pourquoi “au vent” ? Tout simplement parce qu’elles sont exposées aux alizés, ces vents tropicaux qui font tourner les moulins à sucre et gonfler les voiles des catamarans. Et oui, ces îles sont ancrées dans l’histoire coloniale.
Des noms qui claquent comme des cocktails
Chaque île a un nom qui donne envie d’un rhume vieux ou d’un punch au coucher du soleil. Grenade, par exemple, n’a rien à voir avec une explosion, mais tout à voir avec la muscade et le macis. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien si elle est surnommée l’île aux épices… Barbade ? Un clin d’œil aux racines aériennes de certains ficus observés par les Portugais. Et Sainte-Lucie, avec son côté biblique, a été la seule île des Caraïbes à porter un nom féminin…
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Entre carte postale et histoire compliquée
Derrière ces noms de rêve se cachent aussi des réalités plus complexes : esclavage, colonisation, luttes d’indépendance… Mais elles n’en restent pas moins riches d’une culture créole, d’un métissage vivant et d’une fierté farouche d’être elles-mêmes.
Et côté status politique ?
C’est un joyeux mélange : la Martinique est un département français d’outre-mer, tandis que Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, la Grenade et la Barbade sont aujourd’hui des États indépendants, tous membres du Commonwealth. Ces îles restent, dans l’âme, farouchement et fièrement caribéennes, quelles que soient les capitales.
Quand y aller ?
Si les tempêtes ne sont pas trop votre truc, visez la période entre décembre et mai : saison sèche, températures douces (même s’il y fait toujours chaud) et mer calme. C’est aussi la haute saison. Entre juin et novembre, c’est plus humide, moins cher, mais un peu plus risqué côté météo.
La chaîne montagneuse des Cévennes se dresse dans le sud-est de la France, à cheval sur plusieurs départements. Pour nous y rendre, nous sommes passés par le Gard. Il y a des vols Charleroi-Nîmes tous les jours, dont un le vendredi (11h25-13h05) et le dimanche (13h50-15h25). En 1h40, nous passons de la grisaille automnale du nord au soleil du sud : le thermomètre dépasse encore les 20°C en ce mois d’octobre. Le parc national des Cévennes est à environ une heure de route de Nîmes. Si l’arbre qui règne en maître dans la région est le châtaignier, nous avons poussé les portes d’un jardin particulier où poussent une végétation plus exotique…
La bambouseraie en Cévennes est classée parmi les plus beaux jardins de France. Tout a commencé en 1856, lorsque Eugène Mazel, passionné d’horticulture, a planté ici ses premiers bambous. On en compte aujourd’hui plus de 200 variétés. Cette forêt de tiges géantes (le bambou est une herbe pouvant atteindre jusqu’à 25 mètres de haut) nous téléporte au cœur de l’Asie. Au détour des allées, on tombe sur une maison typique laotienne sur pilotis, puis sur un pavillon japonais et ses cerisiers. Il y a aussi l’allée des palmiers de Chine. Et les serres abritent de mystérieuses plantes d’Afrique du Sud. Pointant leur tête à 40 mètres de haut, les séquoias californiens veillent sur ce petit monde végétal. Bref, un concentré des cinq continents en un seul lieu, d’ambiance très zen.
Bambouseraie
Perché sur un filet entre les arbres
Avant de sortir, on emprunte le récent parcours aérien : une longue toile de filets tendue entre les arbres, culminant à 8 mètres au-dessus du sol. La tête au milieu des bambous, on voit défiler les bananiers sous nos pieds. Nos jambes rebondissent sur ce filet, donnant une sensation d’apesanteur qui plaira tant aux petits qu’aux grands enfants… De retour sur la terre ferme, on fait un détour par la boutique qui propose divers objets de déco originaux mais aussi de véritables plantes et arbustes à replanter chez soi.
Pour prolonger cette piqure zen, nous posons nos valises à l’hôtel-restaurant-spa « La Porte des Cévennes ». Cet établissement familial propose un beau salon de détente et d’agréables chambres avec balcon privatif, offrant une vue panoramique sur les paysages cévenols. Prochain épisode: notre rencontre avec le baron des Cévennes, un porc charnu et goûtu.