En effet, les Américains souhaiteraient revoir les seuils à la hausse : pour un vol de moins de 3 500 kilomètres, l’indemnisation de 300 euros ne s’appliquerait qu’au-delà de quatre heures de retard. Et pour les long-courriers, il faudrait patienter plus de six heures avant d’espérer toucher 500 euros.
Les eurodéputés disent non au “retard sur le retard”
Pour les élus européens, il n’est pas question de reculer. Ils veulent maintenir la règle actuelle : trois heures de retard, quelle que soit la distance, ouvrent droit à compensation. La distance interviendrait seulement pour ajuster le montant — entre 300 et 600 euros selon les cas.
Des exceptions sont néanmoins prévues, notamment en cas de catastrophes naturelles, de guerres, de mauvaises conditions météo ou de grèves imprévues.
Bagages et sièges : quelques bonus à bord
Petit plus pour les voyageurs : les eurodéputés souhaitent garantir le droit d’emporter un deuxième bagage à main sans frais supplémentaires. Et pour les familles, bonne nouvelle : les enfants de moins de 14 ans devraient pouvoir s’asseoir gratuitement à côté de leur accompagnateur.
La fréquence est fixée à trois vols par semaine. Avec Chongqing, Hainan Airlines élargit son catalogue de destinations chinoises au départ de Bruxelles : après Pékin, Shanghai et Shenzhen, voici la quatrième perle de l’empire du Milieu à rejoindre la carte.
17 vols par semaine entre Belgique et Chine
Cette nouvelle liaison porte le total à 17 vols hebdomadaires opérés par Hainan Airlines entre la Belgique et la Chine. Une fréquence qui témoigne de l’importance croissante des échanges entre les deux pays…
Chongqing, géante des montagnes et du hotpot
Pour les voyageurs, Chongqing n’est pas seulement un hub industriel et commercial. C’est aussi une mégapole de plus de 30 millions d’habitants, surnommée la « ville-montagne » pour ses reliefs spectaculaires.
Au programme : croisières mythiques sur le Yangtsé, escapades vers les Trois Gorges, balades dans les quartiers traditionnels comme Ciqikou, et surtout… l’incontournable hotpot épicé, spécialité locale qui fait bien transpirer !
Le parc national du Nord-Est du Groenland s’étend sur 972 000 km², soit près de 1,5 fois la surface de la France (ou presque deux fois la métropole). Il s’agit, en tout simplicité, du plus grand parc au monde. Un autre chiffre fou ? Il couvre 44,85 % du Groenland ! Créé en 1974, puis agrandi en 1988, il est aussi classé réserve de biosphère UNESCO depuis 1977. Bref, ici, le gigantisme est la norme.
Presque vide, mais pas tout à fait
Difficile de parler de “population” : on compte une centaine de résidents permanents, répartis entre stations scientifiques, militaires et météo. Les stars locales ? Entre 5 000 et 15 000 bœufs musqués, soit près de 40 % de la population mondiale, et bien sûr l’incontournable ours polaire. On croise aussi des renards arctiques, des hermines, des lièvres arctiques et, dans les eaux glaciales, des morses et des narvals (oui, les licornes de la mer). Côté oiseaux, c’est un festival : du majestueux faucon gerfaut au très digne harfang des neiges.
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Un bout du monde sous haute surveillance
Avec son point le plus septentrional dépassant légèrement celui du parc canadien de Quttinirpaaq, ce territoire est officiellement le parc national le plus au nord du monde. Côté météo, les températures moyennes varient de -20 °C en hiver à un timide 5 à 10 °C en été. Le soleil, lui, joue à cache-cache extrême : nuits polaires pendant plusieurs mois, suivies d’un soleil de minuit qui ne se couche jamais. Le vent et les tempêtes de neige ponctuelles complètent le tableau polaire…
Medellín. Rien que le nom glaçait encore le sang au milieu des années 90. C’était la ville d’Escobar, des cartels, des fusillades en pleine rue et des corps laissés comme des messages sur le trottoir. En 1991, Medellín affichait le taux d’homicide le plus élevé au monde, avec 381 meurtres pour 100.000 habitants
Les quartiers perchés dans les collines – la Comuna 13, entre autres – vivent au rythme des rafales, coupés du centre, de la justice, de la lumière. Et au cœur de ce chaos, Escobar cultivait une relation trouble avec les plus pauvres : bourreau pour certains, bienfaiteur pour d’autres, il distribuait logements et argent tout en arrosant la ville de sang.
La ville décide de se lever
Tout ne s’est pas fait en une nuit. Il y eu bien entendu la disparition du célèbre narcotrafiquant. Et puis, en 2004, un nom surgit : Sergio Fajardo. Pas un caïd. Un professeur de maths, devenu maire. Il ne veut pas que l’on oublie Medellín.
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Et alors, la ville commence à se transformer à coups de béton, de verre et d’escalators. Oui, des escalators — dans les collines où l’on peinait à grimper, voilà que les habitants montent sans effort, avec leurs courses, leurs enfants, leurs rêves. Un téléphérique, le Metrocable, relie les hauteurs au métro. Les invisibles deviennent visibles. Un parc-bibliothèque voit également le jour : le béton devient refuge, pas rempart.
Une renaissance qui n’oublie pas ses cicatrices
L’image est belle. Trop belle ? Certains le disent. La violence a baissé, mais elle ne s’est pas évaporée. Les gangs n’ont pas tous disparu ; ils ont changé de visage. Les inégalités n’ont pas fondu sous le soleil colombien. Les habitants des quartiers transformés voient les loyers grimper. Certains partent.
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L’audace de réinventer
Aujourd’hui, la ville se veut capitale de l’innovation. Dans les locaux épurés de Ruta N, un centre d’affaires, on parle d’intelligence artificielle, de biotech, d’économie circulaire. Les start-ups poussent à un rythme soutenu. Le vert est partout : dans les projets de mobilité durable, les espaces publics repensés, les efforts pour lutter contre la pollution.
Sur l’île futuriste de Yumeshima, l’Expo universelle 2025 aura attiré plus de 27 millions de visiteurs, un chiffre honorable (sans atteindre les 64 millions de Shanghai en 2010).
L’événement, placé sous le signe de la régénération humaine, a offert six mois d’expériences architecturales, culturelles et culinaires. Le tout sous le regard du colossal “Grand Anneau”, une structure en bois de deux kilomètres de circonférence et vingt mètres de haut. Une partie de 200 mètres sera d’ailleurs préservée !
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La Belgique fait bonne figure
Avec 900.000 visiteurs, le pavillon belge n’a pas démérité. Entre les semaines thématiques (architecture, design, Wallonie, Flandre, Bruxelles, etc.) et les concerts (pas moins de 66 !), notre petit Royaume a attiré un large public !
Le restaurant Revive a régalé 150.000 gourmets, tandis que le food-truck belge a servi 400.000 curieux. “Une réussite tant sur le fond que sur la forme”, se félicite BelExpo, le Commissariat général aux expositions internationales.
Entre succès populaire et casse-tête financier
Malgré un désintérêt initial et des coûts de construction faramineux, Osaka 2025 a su conquérir le public. Une revanche inespérée pour une Expo que beaucoup voyaient déjà comme un semi-échec annoncé. Le flambeau passe désormais à Ryad, qui accueillera l’Expo 2030.
Avant d’être un bain de pigments, Holi est d’abord un rituel ancestral. Elle puise ses origines dans le Vasantotsava, la fête du printemps dans l’Inde ancienne, célébrant à la fois le renouveau de la nature et la fertilité. On y vénérait tour à tour Kâma, dieu de l’amour, et Krishna, figure espiègle et divine.
Deux mythes s’entrelacent : celui de Holika, démone brûlée par la foi inébranlable d’un jeune dévot, et celui des espiègleries de Krishna qui barbouillait de couleurs les bergères du village.
Un carnaval de pigments
La fête du Holi, qui se tiendra le 4 mars en 2026, est une douce folie : on sort vêtu de blanc, qu’on transforme en arc-en-ciel ambulant. On s’asperge de poudres colorées, chaque teinte ayant sa symbolique : vert pour l’harmonie, orange pour l’optimisme, bleu pour la vitalité, rouge pour l’amour.
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“Bura na mano, Holi hai !”
On se poursuit dans la rue en criant “Bura na mano, Holi hai” – littéralement « Ne sois pas fâché, c’est Holi ! ». Tout est permis… ou presque. Holi est aussi un moment où les hiérarchies sociales s’inversent.
Une hiérarchie inversée, le temps d’un jour
Pendant une journée, les castes se mêlent, les rôles s’effacent. Le bhang, boisson à base de cannabis, coule à flots.
Célébrée surtout dans le nord de l’Inde, la fête du Holi s’est exportée bien au-delà, comme au Rajasthan, par exemple. Certes, la récupération marketing par quelques pays occidentaux notamment, fait grincer quelques dents. Mais est-ce si grave si une tradition millénaire invite à se lancer des couleurs au lieu des regards noirs ?
Entre Caraïbes et océan Atlantique, les Îles au Vent sont une partie de l’arc antillais qui fait rêver. Situées dans le sud des Petites Antilles, elles comprennent notamment la Martinique, Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, la Grenade et la Barbade.
Alors pourquoi “au vent” ? Tout simplement parce qu’elles sont exposées aux alizés, ces vents tropicaux qui font tourner les moulins à sucre et gonfler les voiles des catamarans. Et oui, ces îles sont ancrées dans l’histoire coloniale.
Des noms qui claquent comme des cocktails
Chaque île a un nom qui donne envie d’un rhume vieux ou d’un punch au coucher du soleil. Grenade, par exemple, n’a rien à voir avec une explosion, mais tout à voir avec la muscade et le macis. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien si elle est surnommée l’île aux épices… Barbade ? Un clin d’œil aux racines aériennes de certains ficus observés par les Portugais. Et Sainte-Lucie, avec son côté biblique, a été la seule île des Caraïbes à porter un nom féminin…
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Entre carte postale et histoire compliquée
Derrière ces noms de rêve se cachent aussi des réalités plus complexes : esclavage, colonisation, luttes d’indépendance… Mais elles n’en restent pas moins riches d’une culture créole, d’un métissage vivant et d’une fierté farouche d’être elles-mêmes.
Et côté status politique ?
C’est un joyeux mélange : la Martinique est un département français d’outre-mer, tandis que Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, la Grenade et la Barbade sont aujourd’hui des États indépendants, tous membres du Commonwealth. Ces îles restent, dans l’âme, farouchement et fièrement caribéennes, quelles que soient les capitales.
Quand y aller ?
Si les tempêtes ne sont pas trop votre truc, visez la période entre décembre et mai : saison sèche, températures douces (même s’il y fait toujours chaud) et mer calme. C’est aussi la haute saison. Entre juin et novembre, c’est plus humide, moins cher, mais un peu plus risqué côté météo.
La chaîne montagneuse des Cévennes se dresse dans le sud-est de la France, à cheval sur plusieurs départements. Pour nous y rendre, nous sommes passés par le Gard. Il y a des vols Charleroi-Nîmes tous les jours, dont un le vendredi (11h25-13h05) et le dimanche (13h50-15h25). En 1h40, nous passons de la grisaille automnale du nord au soleil du sud : le thermomètre dépasse encore les 20°C en ce mois d’octobre. Le parc national des Cévennes est à environ une heure de route de Nîmes. Si l’arbre qui règne en maître dans la région est le châtaignier, nous avons poussé les portes d’un jardin particulier où poussent une végétation plus exotique…
La bambouseraie en Cévennes est classée parmi les plus beaux jardins de France. Tout a commencé en 1856, lorsque Eugène Mazel, passionné d’horticulture, a planté ici ses premiers bambous. On en compte aujourd’hui plus de 200 variétés. Cette forêt de tiges géantes (le bambou est une herbe pouvant atteindre jusqu’à 25 mètres de haut) nous téléporte au cœur de l’Asie. Au détour des allées, on tombe sur une maison typique laotienne sur pilotis, puis sur un pavillon japonais et ses cerisiers. Il y a aussi l’allée des palmiers de Chine. Et les serres abritent de mystérieuses plantes d’Afrique du Sud. Pointant leur tête à 40 mètres de haut, les séquoias californiens veillent sur ce petit monde végétal. Bref, un concentré des cinq continents en un seul lieu, d’ambiance très zen.
Bambouseraie
Perché sur un filet entre les arbres
Avant de sortir, on emprunte le récent parcours aérien : une longue toile de filets tendue entre les arbres, culminant à 8 mètres au-dessus du sol. La tête au milieu des bambous, on voit défiler les bananiers sous nos pieds. Nos jambes rebondissent sur ce filet, donnant une sensation d’apesanteur qui plaira tant aux petits qu’aux grands enfants… De retour sur la terre ferme, on fait un détour par la boutique qui propose divers objets de déco originaux mais aussi de véritables plantes et arbustes à replanter chez soi.
Pour prolonger cette piqure zen, nous posons nos valises à l’hôtel-restaurant-spa « La Porte des Cévennes ». Cet établissement familial propose un beau salon de détente et d’agréables chambres avec balcon privatif, offrant une vue panoramique sur les paysages cévenols. Prochain épisode: notre rencontre avec le baron des Cévennes, un porc charnu et goûtu.
Mulhouse, c’est un peu la ville surprenante qu’on découvre par hasard… et qu’on a ensuite vraiment du mal à quitter. Là où le passé industriel se mêle à une culture locale bien ancrée mais aussi à des expériences modernes. Bref, il y a toujours quelque chose à faire ou à découvrir du côté de Mulhouse. Voici notre top 10+1 (on n’a pas pu se décider pour limiter notre choix au chiffre rond !) activités à ne surtout pas manquer si vous préparez un city-trip dans la région.
1. Musée National de l’Automobile
On commence notre périple par notre petit point faible : l’Automobile. Mais qui ne rêve pas, après tout, de se glisser derrière le volant d’un bolide ? Au Musée National de l’Automobile à Mulhouse, c’est possible ! Car ce musée regroupe non seulement l’une des plus riches collections de véhicules du monde avec plus de 450 voitures d’exception (dont 2 Bugatti Royale, pour fixer le niveau !) mais il n’est pas uniquement question de se contenter de regarder les prestigieuses carrosseries. L’expérience est aussi interactive, avec de nombreuses animations proposées pour toute la famille. Amusement garanti !
Mehdi_Boswingel
2. Cité du Train
On change de moyen de transport et l’on embarque pour un voyage dans le temps à bord de trains mythiques. À la Cité du Train, le plus grand musée ferroviaire d’Europe, on peut en effet découvrir des locomotives légendaires depuis les premières machines à vapeur jusqu’aux TGV modernes. Pas de doute, les amateurs de chemin de fer en prennent ici plein les yeux. D’autant plus que de nombreuses animations ludiques sont ici aussi prévues pour tous.
3. Ecomusée d’Alsace
Envie de sauter dans le temps et de découvrir la vie du début du 20ème siècle ? Alors l’Ecomusée d’Alsace ; situé à Ungersheim à une vingtaine de kilomètres de Mulhouse, est un autre passage obligé : il nous plonge dans un village alsacien reconstitué, avec ses maisons traditionnelles et ses métiers d’antan. Une immersion totale dans l’histoire locale, idéale pour les familles, dans ce qui peut se targuer d’être le plus grand musée à ciel ouvert de France !
Ecomusee
4. Gastronomie alsacienne
Mulhouse, c’est l’Alsace. Et dès lors, côté cuisine, les spécialités alsaciennes sont clairement à l’honneur. Comme on adore personnellement manger local, les Flammakucha, Bredalas, Baeckaoffa, Fleischschnacka sans oublier les vins d’Alsace nous ont ravi durant notre escapade ! Mais en tant que ville cosmopolite, Mulhouse regorge aussi d’influences venues d’ailleurs si on préfère manger plus exotique. En tous les cas, n’hésitez pas à laisser vos papilles voyager tout en profitant de la convivialité des restaurants du centre-ville. Découvrez les bonnes adresses gastronomiques à Mulhouse ici.
La Gargote Emilien Drey
5. Musée Electropolis
Vous croyez que l’électricité, ça sert juste pour allumer la lumière ? Grâce à Electropolis, préparez-vous à voir les choses sous un autre angle. Des expositions interactives, des démonstrations électrisantes, et même des expériences qui vous feront littéralement dresser les cheveux sur la tête ! Un vrai coup de boost pour vos neurones tout en perçant les secrets de la fée électricité dans la bonne humeur !
6. Noël à Mulhouse
Si vous venez en hiver, impossible bien sûr de passer à côté de l’incontournable marché de Noël de Mulhouse. La magie y opère toujours… La ville se transforme en un véritable conte de fées avec ses illuminations, ses chalets en bois, et surtout l’Étoffe de Noël, une création exclusive qui met non seulement en avant les savoir-faire locaux mais fait surtout briller les yeux des petits et grands.
Emilien_DREY
7. Parc du Petit Prince
Qui n’a jamais rêvé de voler avec le Petit Prince ? À Mulhouse, vous pouvez ! Le Parc du Petit Prince vous invite en effet à une aventure poétique inspirée du célèbre personnage d’Antoine de Saint-Exupéry. Entre attractions, dépaysement et moments suspendus, c’est un voyage de planète en planète que l’on n’oublie pas. Notre coup cœur ? Le vol en ballon captif qui s’élève jusqu’à 150 m !
8. Parc zoologique et botanique
Saviez-vous que Mulhouse abrite aussi un zoo unique, où l’on peut observer des espèces menacées dans des environnements naturels recréés ? Pour 2025, c’est un tout nouvel espace dédié à l’Afrique que l’on peut découvrir. Il nous plonge au cœur du continent, avec une attention particulière portée à la préservation de la faune. Girafes, hippopotames pygmées, serpents venimeux ou encore amphibiens se présentent au public. Dépaysement assuré !
Eric_Toussaint
9. Centre historique
Pour une courte escapade, pas besoin de courir tout azimut pour apprécier son city-trip. Le centre historique de Mulhouse constitue déjà en lui-même une véritable pépite à découvrir. Flâner dans ses rues piétonnes, c’est découvrir une architecture unique entre Renaissance rhénane et villas du 19ème siècle. Il suffit de lever les yeux pour admirer de magnifiques façades colorées, souvent ornées de fresques et de détails qui racontent l’histoire de la ville.
Et pour pousser la découverte de la ville, sachez que Mulhouse est également un terrain de jeu pour les amateurs de street-art. Si vous êtes un peu curieux, vous trouverez des œuvres insolites disséminées un peu partout dans toute la ville. Depuis les fresques gigantesques jusqu’aux petits graffitis cachés, il y a toujours une œuvre à découvrir au détour d’une rue. Ou aussi sur les 27.000 m² de murs du parking du cinéma Kinepolis qui se transforment en « Graffitipolis » en suivant cette rafraîchissante dynamique.
11. Patrimoine industriel
N’oublions pas, enfin, que Mulhouse possède aussi un passé industriel impressionnant. Il est donc impossible de visiter la ville sans croiser des anciens sites réhabilités. Loin d’être lugubres, les friches industrielles sont ici désormais des lieux de vie modernes, des espaces créatifs où l’art et le design prennent une place centrale. C’est une véritable rencontre entre l’héritage et la modernité que l’on peut découvrir. Un exemple concret parmi tant d’autres ? La Kunsthalle. Installée dans la Fonderie, un ancien bâtiment industriel reconverti, la Kunsthalle est un établissement culturel de la Ville de Mulhouse labellisé Centre d’Art contemporain d’intérêt national.
Chaque commune (ou ville) détermine elle-même si, et à quelles conditions, les chiens sont autorisés sur la plage. Certaines stations balnéaires se montrent plus tolérantes que d’autres. Dans de nombreuses communes, les chiens ne sont pas admis, ou seulement de manière limitée (par exemple selon des plages horaires ou uniquement dans certaines zones), pendant les mois d’été. En hiver, les règles sont généralement assouplies.
Vous trouverez un aperçu des règles spécifiques par station sur ce site. Pour plus de sécurité, il est toujours préférable de consulter les règlements communaux locaux, notamment via le site web de la commune concernée.
Laisse obligatoire ?
Il n’existe pas non plus de règle uniforme concernant l’obligation ou non de tenir votre chien en laisse. Dans la plupart des cas, la laisse est bel et bien obligatoire, mais certaines zones peuvent prévoir des exceptions. En tant que maître, vous êtes également tenu de ramasser les déjections de votre chien sur la plage. Dans la majorité des stations balnéaires, vous devez également disposer de sacs ad hoc pour ce faire.
Et si vous ne respectez pas les règles ?
Si vous ne respectez pas ces règles et que vous êtes pris en flagrant délit, vous risquez une amende GAS (Gemeentelijke Administratieve Sanctie). Celle-ci peut s’élever jusqu’à 350 euros pour les adultes et 175 euros pour les mineurs.
Encore une dernière chose : à la mer, votre chien est également autorisé à bord du tram côtier, sans devoir payer de ticket supplémentaire. Il doit toutefois être tenu en laisse ou sur vos genoux pendant le trajet. Si nécessaire, vous devrez également lui mettre une muselière.