Het programma is er! 501 organisatoren, 3.509 activiteiten, de Gentse Feesten maken opnieuw hun naam waar als een van de grootste volksfeesten van Europa. Alle info op https://t.co/6DlUIWHwhM. #GF24pic.twitter.com/FUVYbBxMI7
Le coup d’envoi des Fêtes de Gand sera marqué par un événement surprise sur le “Reep”, bien que les détails soient encore gardés secrets. “Il s’agit d’une surprise”, a déclaré l’échevin en charge des Fêtes, Bram Van Braeckevelt (Groen).
Diversité des Activités
Au-delà des traditionnelles places et rues gantoises, les Fêtes de Gand offriront des activités variées dans les cafés, les théâtres, et incluront des spectacles d’humour. Cette diversité promet de satisfaire tous les goûts et de faire vibrer la ville durant ces dix jours de festivités.
Initiatives écoresponsables
Une innovation notable cette année est l’introduction de gobelets réutilisables uniformes, échangeables sur chaque place. Un code QR sur ces gobelets permettra aux participants d’accéder à l’application de l’événement, facilitant ainsi l’organisation et la participation aux différentes activités.
Après Namur en avril, Liège en mai et le Brabant Wallon début juin, je vous emmène visiter les vignes et châteaux du Hainaut. « Du vin hennuyer ? », interroge mon amoureux, aussi ébahi que dubitatif. Eh oui loulou, c’est même là que l’on trouve le plus grand vignoble de Belgique. C’est aussi dans le Hainaut que l’on produit les meilleures bulles belges. Ses doutes se muent alors en mission : « Allons goûter ça ! ».
Une nuit dans la tour
Nous bouclons nos valises le vendredi dès la sortie du boulot. Direction Thieusies, près de Mons, pour une nuitée insolite dans la tour d’un château. Bâtie en 1845, cette colonne de brique a été rénovée en 2019 et aménagée en gîte, avec chambre, salle de bain et cuisine. Là, j’ai marqué des points : mon amoureux retombe en enfance. Il s’imagine en chevalier, faisant le gué l’œil collé à la meurtrière, avant de se réchauffer devant la cheminée en pierre. Clou du spectacle : au sommet de l’escalier en colimaçon, la terrasse panoramique offre une vue sur le château et son parc. C’est là qu’on a pris l’apéro et le petit-déjeuner en grands seigneurs.
La Tour du Chateau-Benoit Jauniaux
Samedi matin : les bulles magiques de Ruffus
Après le café-croissant sur les hauteurs, on redescend l’escalier direction le vignoble des Agaises, entre Mons et Binche. C’est ici qu’est produit le fameux Ruffus, vin effervescent maintes fois primé. Les vignes ont été plantées en 2002 sur un coteau riche en calcaire, sur lequel régnait le Seigneur Ruffus au 12e siècle. Deux parcours gratuits (30 minutes ou 1h30) avec panneaux didactiques nous guident le long des vignes et détaillent la naissance de ce mousseux belge. Nous avons aussi réservé une dégustation. « Ces bulles belges font des étincelles », me dit mon amoureux dans un élan poétique. Et il n’est pas le seul à le penser : le succès est tel qu’il faut s’inscrire sur liste d’attente pour acheter du Ruffus directement au Domaine…
Ruffus
Samedi après-midi : de Seneffe aux étoiles d’Eugénie
A 30 kilomètres de chez Ruffus nous attend le château de Seneffe. Une bâtisse du 18e siècle, de style néoclassique. Ses salles somptueusement décorées abritent la plus belle collection d’orfèvrerie de Belgique. On file ensuite dans son parc à l’anglaise avec jardins à la française. Un cadre exceptionnel avec un théâtre, un grand bassin et un petit étang dont l’île centrale est reliée à la rive par un pont. Super romantique. On a d’ailleurs croisé deux couples de jeunes mariés en pleine séance photos de leur grand jour. Ça a mis des étoiles dans mes yeux et ceux de mon amoureux.
Domaine de Seneffe asbl – Francis Vauban
Des étoiles, le restaurant « D’Eugénie à Emilie » en compte deux au Guide Michelin. J’avais craqué pour cet étoilé en voyant la photo des plats sur le site internet. Et les images n’ont pas menti : on a goûté des plats savoureux, concoctés à partir de recettes à l’ancienne. La carte et les menus proposent un large choix de viandes et poissons.
Dimanche matin : la grandeur du Chant d’Eole
Dimanche matin, on file au sud de Mons découvrir un autre vin effervescent belge, au Domaine du Chant d’Éole. C’est le plus grand vignoble de Belgique : il s’étend sur 52 hectares. Pendant une bonne heure, la visite guidée nous explique la production de ce vin effervescent, de la plantation des raisins à la mise en bouteille, en passant par le choix des cépages et la vinification. Puis, place à la dégustation ! Brut Blanc de Blancs, Brut Rosé, Cuvée Prestige et Élixir Saint-Georges ; tous sont aussi excellents les uns que les autres.
WBT – Denis Erroyaux
Dimanche après-midi : détour par le petit Versailles
On termine en grandes pompes avec une visite du Château de Belœil, entouré d’eau et surnommé « le petit Versailles belge ». Son mobilier d’époque déborde de luxe, façonné par les plus grands ébénistes français des 17e et 18e siècles. Dans le parc, dix générations de jardiniers et paysagistes se sont succédé pour maintenir en état le style d’origine, datant de 1664. Un décor grandiose pour conclure un week-end de rêve.
WBT – J.P. Remy
Notre coup de coeur :
L’étonnante saveur des bulles belges et le sublime restaurant « D’Eugénie à Emilie ».
La surtaxe variera de 1 à 72 euros par vol, selon l’itinéraire et la classe de voyage. Brussels Airlines, filiale belge du groupe, appliquera une surcharge allant de 1 à 36 euros. Ce supplément sera applicable à tous les billets émis à partir du mercredi 26 juin pour des départs à partir du 1er janvier prochain.
Ce supplément vise à couvrir une partie des coûts supplémentaires en constante augmentation liés aux exigences réglementaires en matière d’environnement.
Investissements et objectifs environnementaux
Lufthansa indique investir chaque année des milliards d’euros dans les nouvelles technologies pour répondre à ces exigences. Toutefois, le groupe affirme ne pas pouvoir supporter seul les coûts supplémentaires croissants dus à ces régulations.
Le groupe vise un bilan CO2 neutre d’ici 2050 et souhaite réduire de moitié ses émissions nettes d’ici 2030 par rapport à 2019. Pour atteindre ces objectifs, Lufthansa se concentre sur la modernisation accélérée de sa flotte et l’utilisation de carburants d’aviation durables.
Depuis la crise sanitaire, la Côte d’Opale rencontre un succès qui ne fait que croître auprès des citadins lillois, arrageois ou encore amiénois. Les touristes belges ne sont pas en reste dans la région, attirés par des prix plus démocratiques que ceux pratiqués sur le littoral flandrien, mais aussi par la beauté d’une côte préservée, jalonnée de sites naturels remarquables comme ceux des deux caps ou des nombreuses falaises de craie, qui font office de “balcons sur la mer”. Dans ce contexte d’essor, nous avons rencontré Romain Druesne, Directeur régional Hauts-de-France pour le groupe immobilier Marignan.
Vacancesweb : Quels sont les principaux atouts de Marignan Immobilier ?
Romain Druesne : le groupe Marignan est un promoteur immobilier français d’envergure nationale, présent sur le territoire depuis plus de 50 ans. Il compte aujourd’hui 250 collaborateurs répartis dans 13 régions, dont celle des Hauts-de-France. Nous nous démarquons de la concurrence avec une véritable expertise sur la Côte d’Opale, grâce à de nombreux projets qui ont été menés à bien mais qui sont aussi en cours de développement dans la région. Nous répondons ainsi à une demande qui connaît une croissance continue depuis la crise du covid.
Equihen
Vacancesweb : Qu’est-ce qui fait l’attractivité de la Côte d’Opale ?
Romain Druesne : le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il y a eu un avant et un après covid pour la région. La crise sanitaire a été marquée par un engouement important pour la Côte d’Opale. Avec les confinements successifs, nombreux sont ceux qui ont voulu se rapprocher de la mer et avoir un pied-à-terre à proximité, pouvant être rallié facilement et rapidement depuis les grandes villes. On rejoint Bray-Dunes en 1h de voiture depuis Lille et le Touquet, Stella-Plage ou encore Saint-Valéry en 2h. Une proximité qui contribue au succès de la Côte d’Opale. S’ajoutent à cela les touristes qui, il y a encore deux ou trois ans, privilégiaient les endroits plus ensoleillés et chauds comme la Côte d’Azur. Mais avec les changements climatiques et les canicules qui se multiplient, la Côte d’Opale, ou les températures sont plus agréables, a gagné en crédit.
Vacancesweb : Quels sont les grands projets actuellement menés par Marignan sur la Côte d’Opale ?
Romain Druesne : notre groupe est très actif dans la région. Nous nous apprêtons à commercialiser un projet de maisons individuelles à Bray-Dunes, 8 maisons et 8 appartements bénéficiant d’une vue exceptionnelle sur la mer à Équihen-Plage, un projet emblématique face à la place du Marché, à 600 m du front de mer à Stella-Plage et nous travaillons sur encore bien d’autres projets.
Equihen
Vacancesweb : En quoi les projets menés par Marignan peuvent-ils intéresser le public belge ?
Romain Druesne : le premier atout de nos projets est la proximité avec la Belgique, à l’image de ceux menés à Bray-Dunes ou à Équihen-Plage. Le deuxième est lié aux prix que nous pratiquons par rapport aux stations balnéaires belges, plus chères. Sans surprise, on remarque donc une présence importante de nos voisins belges sur la Côte d’Opale. S’ajoute à cela le fait que la région connaît une belle attractivité qui ne devrait que se confirmer dans les années à venir. On constate que les prix sont en augmentation constante et ils vont continuer à suivre cette tendance car les projets menés sur le littoral sont limités alors que la demande reste soutenue. Investir sur la Côte d’Opale représente donc un excellent placement. Enfin, investir dans un logement neuf est synonyme de tranquillité d’esprit. Non seulement il s’agit de logements quasiment passifs, donc très économes en énergie, mais aussi de maisons ou d’appartements qui ne nécessiteront aucuns travaux durant les vingt prochaines années.
Vous souhaitez en savoir plus sur les projets immobiliers menés par le groupe Marignan sur la Côte d’Opale ? Alors prenez contact avec son agence lilloise en cliquant ici.
Ici, chaque tour, chaque pierre, chaque pièce raconte l’histoire du bâtiment. Et à la belle saison, le bonheur se vit aussi au jardin, dans l’enceinte de l’hôtel. C’est là que vous trouverez le « Jardin des Senteurs » dont la ville de Namur est l’heureux propriétaire. Se promener dans un tel cadre est une invitation à la rêverie : odeurs et couleurs sont partout. Jardin méditerranéen, jardin gourmand, roseraie… : les thèmes sont variés mais les plaisirs constants. Des visites guidées ont organisées, si cela vous tente. Moi je préfère simplement m’imprégner des ambiances. Cerise sur le gâteau, notre chambre surplombait la roseraie et offrait une vue sur la Meuse : un des avantages de l’Executive Room. Se coucher sur un lit immense, en laissant la fenêtre ouverte sur le parterre de fleurs, c’est grisant.
On avait prévu de balader en haut de la Citadelle : quand je viens ici, j’aime m’asseoir sur un des hauts murs de la forteresse et sortir mon carnet de croquis. Je noircis les pages de mon carnet : c’est la cathédrale Saint-Aubain dont je préfère reproduire la silhouette. Nous aurions pu visiter les souterrains et le Centre Terra Nova, mais j’avais envie de profiter de ce beau soleil. Le Musée de la Fraise et la Meuse Romantique offraient ce que je cherchais. Ils se sont associés et proposent un moment d’évasion unique : à bord d’un yacht, on part à la rencontre des Villas de la Belle Epoque et de la Vallée Mosane avant de découvrir le Musée de la Fraise et ses jardins. On s’est faits plaisir jusqu’au bout : on s’est offerts une bouteille de Blackbird’s, le gin réalisé avec de vraies fraises de Wépion.
château de Namur
Quand nous sommes rentrés au Château, nous avons surpris de jeunes mariés dans une séance photos aux abords de l’hôtel. Se marier ici, ça doit être merveilleux : les espaces sont sublimes et la restauration est de qualité. A retenir ! On ne sait jamais. En attendant, on a profité de notre soirée au restaurant de l’hôtel : soleil oblige, on a mangé sur la terrasse, au sommet de la citadelle. Un cadre exclusif et un repas extraordinaire : on était proches du paradis !
Dominant l’horizon, le Lion de Waterloo s’élève à une hauteur de 41 mètres, incluant son piédestal. La statue du lion elle-même mesure 4,45 mètres de haut ! Visible à des kilomètres à la ronde, cette butte domine les champs de bataille.
2. 226 marches
Pour atteindre le sommet et profiter de la vue imprenable sur les champs de bataille, les visiteurs doivent gravir 226 marches. Autant dire que prendre de la hauteur, ça se mérite, mais une fois au sommet, la vue est particulièrement imprenable !
3. 300.000 m³
La création de cette colline artificielle a nécessité le déplacement de 290 000 mètres cubes de terre. Extraite directement du champ de bataille, cette terre aurait été transportée par des botteresses (soit une femme qui porte des hottes, des marchandises)… Une légende qui est aujourd’hui, remise en cause.
Route du Lion 1815 – 1420 BRAINE-L’ALLEUD Marie-Christine Paquot
4. 28 tonnes
Accusant 28 tonnes sur la bascule, le lion a été coulé dans les forges de Cockerill, à Seraing. Et contrairement à ce que rapporte la légende, il n’est pas le fruit de la fonte des boulets de canon retrouvés sur les champs de bataille !
5. 1826
Le Lion de Waterloo a été inauguré le 4 octobre 1826, soit onze ans après la bataille. Aujourd’hui, des milliers de visiteurs foulent ses marches. L’accès est conditionné par l’accès au musée qui est lui-même, un incontournable, de même que le panorama.
L’été, le temps ralentit et les soirées s’allongent, entre amis ou en famille. Pas besoin de courir loin pour passer un moment inoubliable : la Wallonie regorge d’activités mémorables. On vous donne quelques idées…
L’aventure en famille
L’été, c’est évidemment toujours le bon moment pour passer du temps avec vos enfants. Balades, jeux d’exploration, parcs animaliers ou d’attraction ; la Wallonie vous accueille les bras ouverts et offre un grand nombre d’activités pour les familles. Pour faciliter le choix, VISITwallonia.be propose un outil de recherche permettant de filtrer l’activité en fonction du lieu, du thème de prédilection mais aussi de l’âge de vos enfants.
Xavier Ethuin
Une activité rafraîchissante ?
Quand le soleil est de la partie, l’été incite aux moments rafraîchissants. Parcs aquatiques, canoë-kayak, croisière, rafting, paddle ; la Wallonie propose de nombreuses activités aquatiques.
En Belgique, nous ne sommes pas à l’abri de la pluie, même en été. Autant le savoir et prévoir.
BattleKart.com
Si le temps vire à l’orage, la Wallonie propose une foule d’activités en intérieur. Bien sûr, il y a un grand nombre de musées et châteaux, mais aussi des activités plus insolites, comme les escape games, dans lesquels vous devez résoudre une énigme pour sortir d’une situation critique ou vous échapper d’un lieu clos. De quoi faire monter la tension des petits et grands tout en rigolant.
WBT – Olivier Bourgi
Des logements grandes tailles
À côté des hôtels, la Wallonie compte plusieurs villages de vacances, des gîtes, mais également des hébergements plus exotiques, comme une roulotte en pleine campagne, un cabanon sur l’eau ou même un ancien moulin. Et il y a plusieurs endroits où vous pourrez même amener votre chien dans les bagages. On compte également de nombreux hébergements capables d’accueillir les grandes familles et groupes.
Lancé en 2009, le Rainbow Index reste un outil pertinent pour mesurer la protection et les droits des personnes LGBTIQ+ en Europe. Malte continue d’exceller grâce à ses politiques inclusives et son engagement en faveur de l’égalité.
À Malte, tout le monde est le bienvenu partout. L’île ne compte pas de quartiers spécifiques pour la communauté LGBTIQ+, illustrant un grand sentiment de cohésion. En vertu de la constitution maltaise, tous les citoyens sont égaux, indépendamment du sexe, de la religion ou de l’origine.
Les résidents maltais bénéficient également de droits avancés, tels que la possibilité de se marier ou de cohabiter librement, et une procédure simplifiée pour le changement de sexe. Les autorités maltaises luttent activement contre la haine et protègent la liberté d’expression ainsi que l’égalité des droits pour les demandeurs d’asile.
Enfin, avis aux touristes, Malte, après avoir brillamment organisé l’EuroPride l’an dernier, se prépare à célébrer la Malta Pride Week du 6 au 15 septembre.
On a choisi de tester l’Auberge de Jeunesse, à la décoration post-industrielle : c’est le logement tendance du moment. Depuis la gare, on y est vite : il suffit de traverser un des ponts qui enjambe la Sambre. On peut déposer les sacs à la bagagerie et partir aussitôt en exploration urbaine : le centre-ville est à côté ! Notre chambre, pour deux, était moderne. Et la salle de bain offrait tout le confort attendu. L’ambiance y est décontractée : bar et billard invitent à la détente. Au soir, nous avions réservé une table chez Vilain : l’ancienne bâtisse Art déco abrite un bistro tendance dont la renommée n’est plus à faire. 13/20 au Gault&Millau et une carte limitée qui promet une sélection de qualité. Une petite demi-heure de marche entre le resto et l’auberge : le temps d’une balade digestive ! Après une nuit reposante et un petit-déjeuner avec vue sur les quais de la Sambre, nous étions prêts pour la suite.
Mireille Simon
Parcours Street Art et Quai N°10
Nous avons commencé notre journée par une balade surprenante au cœur du patrimoine urbain et artistique. Le logo GR, blanc et rouge, vous emmène sur 4 km, au départ de la gare : c’est tout facile. Le parcours Street Art, qui s’étend le long du chemin de halage, m’a vraiment séduite ! L’association des graffitis ultra colorés et des murs industriels donne lieu à quelque chose de décalé et inspirant. Charleroi se dévoile, de fresque en fresque. Il y a là quelque chose d’émouvant. Et si, comme moi, vous aimez la photo, vous ne saurez où donner de la tête : les graffitis des artistes et les installations industrielles offrent un décor bluffant. Nous avons ensuite poussé la porte de la Brasserie du Quai 10. Je vous conseille de goûter leurs boulettes incroyables. L’endroit est idéal pour manger sur le pouce.
WBT – Denis Erroyaux
Boutiques, BPS22 et gourmandises
En début d’après-midi, on a flâné dans les boutiques. On trouve de tout. Déco, mode, bijoux, produits pour adeptes du second degré ou articles vintage. J’ai adoré la librairie Molière : installée dans l’ancien Hôtel des Postes, le lieu est magique. Si vous êtes, vous aussi, amoureux des livres, vous aurez du mal à quitter l’endroit. Le Musée BPS22 était ensuite au programme : les expositions mettent à l’honneur des artistes avant-gardistes. Pour le moment, le Musée d’Art met l’accent sur le Genappien Alain Bornain, dans une expo intitulée Amourable. Cela nous a permis d’échanger autour de sujets cruciaux : la vie, la mort, la transmission, la mémoire… Le soir, après avoir siroté un cocktail au Carolopolitan, nous avons rejoint l’Atelier de la Manufacture Urbaine. La brasserie, située à quelques pas de l’Auberge, élabore les plats en fonction de la bière locale qui les accompagnera. Génial !
WBT – Denis Erroyaux
Musée de la Photographie
Le dimanche, nous sommes partis à la découverte du Musée de la Photographie : le bâtiment, entouré d’un très joli parc, abrite une collection permanente et des expositions temporaires. Il faut savoir que c’est le plus grand musée consacré à la photo en Europe. 2.800 m2 et 100.000 photos exposées. Moi qui suis amoureuse des instantanés, j’ai adoré le parcours découverte, la chambre noire argentique, le laboratoire numérique, la salle d’expo… Il faut bien compter 3h de visite si on veut tout voir et tout comprendre ! Un endroit fascinant. Je n’ai pas pu m’empêcher d’acheter des gadgets à la boutique.
WBT – Christophe Vandercam
Charleroi Adventure City Safari
Pour clore notre week-end, nous avons effectué le safari urbain « Charleroi Adventure City safari ». Le concept ? Partir du titre de ville la plus laide du monde et prouver le contraire, avec dérision et humour. Ce parcours, atypique très tendance, a été mis en place par un amoureux des lieux qui a eu là une idée brillante. Sincèrement, cela m’a beaucoup plu. On passe par le centre-ville, avant de découvrir le haut de la ville puis de s’éloigner un peu sur le RAVeL qui relie Charleroi à Marchienne. J’ai vibré pour la station de métro fantôme, pour la rue la plus déprimante de Belgique et j’ai adoré visiter une usine désaffectée. Complètement décalé ! Ici, Charleroi rit de tout et d’elle-même surtout : c’est intelligent, captivant et surprenant. Une sortie que je vous conseille vivement (n’oubliez pas de réserver) et qui rappelle que la ville a beaucoup à offrir et à partager !
Francis POURCEL
Notre coup de cœur : le parcours street-art, joyeusement décalé et qui donne une autre image sur la ville.
Toutes les conditions y sont réunies pour vivre le confort absolu : les 10 suites sont toutes plus belles les unes que les autres. Et surtout, elles offrent toutes des thématiques originales qui permettent de s’immerger dans des mondes incroyables.
River Lodge
Pour fêter l’été, j’ai opté pour la « Titanic Suite ». Envie de bleu, de rêves et de trésors : cette chambre en duplex était ce qu’il nous fallait. Le lieu m’a plu d’emblée : l’association du bois, du cuir et des fresques marines rendaient le lieu féérique. Nous avions réservé un apéro du terroir pour notre arrivée : attablés sous les mers, on a dégusté de délicieux produits locaux. Le fromage de l’Abbaye de Maredsous est un tel délice !
River Lodge
Le River Lodge est aussi idéalement situé pour vivre l’aventure : de nombreuses activités touristiques et de détente sont à proximité. On avait prévu de grimper sur les draisines de la Molignée et de pédaler au soleil. On a passé presque deux heures à papoter et rire en longeant la pittoresque Vallée de la Molignée. Plusieurs parcours en draisines sont possibles : nous avons opté pour celui de 8 km qui relie Warnant à Falaën et permet de découvrir au passage les ruines du Château de Montaigle. J’ai aimé le côté boisé de la balade : tant besoin de nature ! On est aussi passés par des tunnels et des ponts.
River Lodge
Nous avons consacré la suite de la journée à faire une grande randonnée dans le joli Condroz. Au départ du joli village de Falaën (un des plus beaux de Wallonie), nous avons sillonné sur 9 km. On a découvert l’étang de Fter et le charmant hameau de Serville, dominé par l’église Saint-Pierre au sommet de la côte. La balade était néanmoins facile : j’ai pu marcher le nez dans les nuages tout doux, comme j’aime le faire ! Il n’empêche : j’étais bien fatiguée et j’ai été contente de retrouver ma couette sous l’océan.
Au matin, un plateau pantagruélique nous attendait : on avait commandé le petit-déjeuner « l’écrevisse riante ». Des bulles, des pâtisseries, des œufs brouillés, et plein d’autres choses folles… Encore un passage au River Lodge qui nous a fait vivre l’évasion totale !
