Si vous n’êtes pas satisfait, il est conseillé de signaler immédiatement le problème sur place, par exemple auprès du représentant du tour-opérateur. Si cela n’est pas possible, prenez alors contact avec le tour-opérateur en Belgique. Veillez à conserver une preuve de votre plainte, par exemple en envoyant un e-mail avec accusé de réception et de lecture.
Médiation
Si vous n’êtes pas parvenu à trouver une solution satisfaisante sur place, il est possible de tenter une médiation. Vous pouvez introduire une demande via le site belmed.economie.fgov.be/belmed-web.
Commission de litiges voyages
Il est parfois aussi possible de soumettre votre problème à la Commission de Litiges Voyages. Cela est toutefois uniquement possible si les conditions générales du tour-opérateur prévoient cette possibilité. Cette commission peut organiser une procédure de conciliation, ou, dans certains cas, un véritable arbitrage, par lequel elle tranche effectivement le litige entre vous et le tour-opérateur.
En cas de litige avec, par exemple, une compagnie aérienne, vous pouvez contacter le SPF Mobilité.
Vous pouvez aussi déposer une plainte via le site Droits des passagers | Mobilité.
Tribunal
Enfin, vous pouvez toujours décider de porter l’affaire devant le tribunal. Sachez toutefois que pour une telle procédure, vous devrez probablement consulter un avocat. Il existe donc un risque que les frais de justice dépassent le montant que vous pourriez obtenir.
Impossible de manquer la majestueuse cathédrale Notre-Dame en plein centre-ville. Ses cinq clochers, dressés comme les doigts d’une main ouverte, semblent nous accueillir avec bienveillance. Inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, elle côtoie le plus ancien beffroi de Belgique, un autre bijou médiéval qui vous invite à grimper ses marches pour une vue imprenable sur la ville. Ça vaut bien quelques mollets qui chauffent !
J. D’Hondt – visitwapi.be
Mais Tournai ne se contente pas de ressasser son glorieux passé. Elle cultive aussi l’art avec audace ! Au Musée des Beaux-Arts, dessiné par nul autre que Victor Horta (oui, lui-même !), j’ai eu le plaisir d’admirer des œuvres allant de la période médiévale jusqu’à l’art moderne. Une collection à la fois pointue et accessible, à l’image de la ville !
La région adore faire la fête, et ça se sent ! Géants, carnavals, traditions locales… tout ce folklore est rassemblé dans le Musée de Folklore et des Imaginaires. C’est un peu comme feuilleter un album de famille géant, sauf qu’ici, les personnages prennent parfois vie dans les rues.
Et entre deux visites ? Rien de tel que de s’installer sur la Grand-Place, toujours animée, pour boire un verre et profiter de l’ambiance. C’est LE spot pour observer la vie tournaisienne défiler sous vos yeux.
Tournai, c’est aussi une porte ouverte sur les paysages doux de la Wallonie picarde. Si vos mollets ne vous ont pas lâché après la petite grimpette sur le beffroi, il ne vous reste plus qu’à pédaler sur la route UNESCO qui relie Tournai à Mons. Une balade de 68 km entre nature, villages et patrimoine classé. Plus bucolique encore : la route de l’Escaut vers Antoing, où le calme de la rivière se mêle à la force brute de l’héritage industriel.
Bruno D'Alimonte
En vrai, la Wallonie picarde, c’est 1.600 km de circuits balisés. De quoi pédaler jusqu’à plus soif ! Et pour les gourmands, il existe même un parcours qui relie des brasseries traditionnelles. Autant dire que l’effort est vite récompensé.
Et puis il y a l’Archéosite d’Aubechies, un site incroyable où l’on traverse 5.000 ans d’histoire en quelques pas. On y croise des huttes néolithiques, des villas romaines, et même une nécropole gallo-romaine. Cerise sur le gâteau : Aubechies fait partie des Plus Beaux Villages de Wallonie. Promenez-vous dans ses ruelles fleuries, et terminez votre visite par une bière locale à la taverne du coin. Le bonheur, je vous dis !
Imaginez un château du XIVe siècle, toujours habité par la même famille princière depuis plus de 700 ans… Bienvenue au Château de Beloeil, résidence des princes de Ligne. En ce qui me concerne, ses salons, ses tapisseries, et surtout sa bibliothèque de 20.000 ouvrages m’ont laissée sans voix (ce qui est rare, croyez-moi) ! Et que dire de son jardin à la française, vaste de 25 hectares, parfait pour se perdre – volontairement – entre les allées.
J.P. Remy
Hôpital Notre-Dame à Lessines : médecine et mystères
Direction Lessines pour une immersion unique dans l’histoire de la santé. L’Hôpital Notre-Dame à la Rose, fondé en 1242 par une certaine Alix de Rosoit, raconte huit siècles de soins et de compassion. Le lieu est mystique, presque hors du temps. Chaque salle nous plonge dans un autre pan de la médecine, entre herbiers, instruments anciens et pharmacie d’époque.
Et puis bien sûr, il y a Pairi Daiza. Ce parc animalier de 75 hectares, élu plusieurs fois meilleur zoo d’Europe, vous emmène faire le tour du monde sans quitter la Wallonie picarde. Pandas géants, gorilles, éléphants, ours polaires… Plus de 7.500 animaux dans des décors qui vous transportent sur les cinq continents.
Pairi Daiza Resort
Le must ? Dormir dans l’un des hébergements du parc, avec vue directe sur les animaux. Observer un ours blanc depuis son lit, avouez que ça ne se vit pas tous les jours !
Où poser ses valises ?
L’Hôtel ONIRO Un vrai cocon au cœur de Tournai, où l’architecture Art déco rencontre le bien-être moderne. Entre chambres spacieuses et suites avec spa privatif, c’est l’adresse rêvée pour se ressourcer loin du quotidien.
Le Roc Paisible
Ici, c’est comme si on se retrouvait dans une bulle de douceur à la campagne, à seulement quelques minutes de Tournai. On adore le petit déjeuner en véranda, la terrasse ensoleillée et l’accueil aux petits soins… même pour vos compagnons à quatre pattes !
Hôtel Alcantara
Si vous aimez allier city-trip et confort cosy, l’Alcantara est une valeur sûre ! À deux pas de la Grand’Place, ce charmant hôtel du XVIIIe siècle vous plonge dans l’ambiance de Tournai, tout en offrant des chambres douillettes pour une pause détente après vos balades.
Depuis le 1er octobre 2025, les États-Unis sont à nouveau en shutdown fédéral. En clair ? Faute d’accord budgétaire, une partie du gouvernement est à l’arrêt. Les services dits « essentiels » (comme les douanes, les contrôles aériens, ou la sécurité) fonctionnent — mais au ralenti, avec du personnel non payé. Ambiance tendue dans les aéroports, donc.
Au bout de deux semaines, certains commencent à manquer à l’appel. En 2019, lors du précédent shutdown, des retards monstres avaient paralysé JFK et LaGuardia. Les contrôleurs aériens sont eux aussi sous pression, avec 11.000 employés mis en pause par la FAA. Résultat ? Des retards et de nombreuses annulations. Petit conseil : évitez les connexions trop serrées, et arrivez plus tôt que d’habitude, surtout dans les grands aéroports (JFK, LAX, ATL…).
Les musées ? Les parcs ?
Bon également à savoir, de nombreux sites gérés par l’État fédéral (musées nationaux, parcs, monuments) sont souvent fermés pendant un shutdown. Quant à ceux qui restent ouverts, c’est parfois avec un effectif réduit, avec toutes les conséquences que cela suppose…
Visas, ESTA : ça passe, mais doucement
Heureusement, l’ESTA (autorisation d’entrée pour les touristes européens) continue de fonctionner. Il est financé par les frais des voyageurs, pas par le budget fédéral. Idem pour les visas touristiques : en principe, ils sont toujours délivrés. Mais si le shutdown s’éternise, attendez-vous à des délais ou des fermetures ponctuelles de consulats.
Le train ? Une bonne idée !
Envie de voyager plus sereinement ? Le train Amtrak continue ses opérations normalement. Sur certaines routes (comme Boston–Washington), il devient même une meilleure option que l’avion.
Un touriste espagnol de 44 ans a eu une mésaventure plutôt… sauvage dimanche 5 octobre 2025 à Shirakawa-go, village japonais classé au patrimoine mondial de l’Unesco, rapporte Belga. Alors qu’il rejoignait tranquillement un arrêt de bus, il a été attaqué par un ours noir d’environ un mètre.
« Il a eu une éraflure au bras droit, puis il s’est rendu à l’Office de tourisme », a indiqué Kazunari Takashima, un responsable local cité par l’AFP. Bonne nouvelle : le blessé est sorti de l’hôpital le jour même, probablement avec une histoire spectaculaire à raconter au dîner.
Des sentiers fermés et des ours trop curieux
Suite à l’incident, les sentiers du coin ont été fermés, la police patrouille et la municipalité a rappelé aux visiteurs de ne pas considérer les zones interdites comme un décor pour une séance photo.
Des attaques en hausse au Japon
Ce n’est pas un cas isolé : deux personnes sont mortes récemment dans les départements de Miyagi et Nagano. En cause, selon les experts : le dérèglement climatique et la baisse de la population, qui poussent les ours à s’aventurer toujours plus près des humains. Entre avril et août 2025, 64 blessés et cinq morts ont été recensés, selon NHK. Un chiffre en hausse, qui a poussé le gouvernement à assouplir les règles sur les armes à feu pour les chasseurs en zones urbaines.
Pour certains hôtes de logements touristiques, l’expérience peut vite virer au cauchemarjuridique. Des voyageurs réservent quelques nuits, puis… décident de ne plus partir. Serrures changées, compteur d’électricité à leur nom, et un discours bien rôdé.
Pourquoi c’est si compliqué ?
La subtilité : ces «faux vacanciers» ne sont pas considérés comme des squatteurs classiques puisqu’ils sont entrés légalement. Résultat : dans la plupart des cas, aucune expulsion rapide n’est possible. Les propriétaires doivent passer par une longue procédure judiciaire.
Airbnb assure que ces situations restent « exceptionnellement rares ». Mais elles existent, et les médias raffolent de ces anecdotes dignes de séries noires ! Et pour les propriétaires ? La vigilance devient un mot-clé.
Conseils côté voyageurs
Pour éviter de voir les propriétaires devenir méfiants, soignez votre profil, vos avis et expliquez les raisons de votre séjour. Une relation de confiance reste la meilleure garantie pour que la location courte durée garde son esprit d’accueil…
Ici, vous êtes dans la vallée de la Haute Meuse, dans un ancien château de la Lesse. Le lieu est parfait pour décompresser et profiter d’un moment hors du temps.
Les nombreuses chambres (dont certaines familiales) vous garantissent un confort et un calme absolus. La vue n’est pas en reste : vos fenêtres donneront toutes sur le parc du grand domaine. De quoi vous donner envie, à peine arrivés, de chausser vos baskets pour partir explorer les environs.
hotel castel pont à lesse
Et il y a de quoi faire ! La situation de l’établissement est parfaite pour les amateurs de randonnées, de sorties VTT ou de découvertes nature. Que vous préfériez les parcours faciles en bord de Meuse ou que vous soyez attirés par les itinéraires plus sportifs, il y en a pour tous les goûts. L’hôtel vous proposera d’ailleurs des guides de balades et des cartes détaillées de la région : il n’y aura plus qu’à faire votre choix. Un espace vélo est même prévu pour ensuite ranger votre deux-roues.
hotel castel pont à lesse
De jolis sites, qui allient nature et culture, sont à voir aussi dans les alentours : le Château de Vêves, les Jardins d’eau d’Annevoie, les jardins du Château de Freÿr, etc…
Après votre escapade dans la nature, vous pourrez vous réchauffer dans l’espace détente de l’hôtel : dans un cadre apaisant, vous vous resourcerez en douceur. Piscine, sauna et jacuzzi sont là pour ça ! Réservez-vous également une table au restaurant de l’hôtel. L’Orangerie vous proposera chaque jour diverses suggestions et plats à la carte. Raffinement et produits de saison au programme.
hotel castel pont à lesse
Vous l’aurez compris : Le Castel de Pont-à-Lesse, c’est l’endroit rêvé pour s’offrir une pause. Que vous veniez en famille, entre amis ou en amoureux, vous trouverez ici charme et authenticité. L’hôtel est aussi équipé pour accueillir réunions professionnelles, conférences, séminaires ou fêtes privées. La grande salle de réunion peut accueillir jusqu’à 350 personnes : c’est exceptionnel !
Fondée en 1533 par Pedro de Heredia, Carthagène des Indes prospère grâce à sa baie abritée et à sa position stratégique. Rapidement, elle devient un maillon essentiel de l’Empire espagnol, entre les Andes, les Caraïbes et l’Europe. Port de transit des richesses minières venues du Pérou et de la Nouvelle-Grenade, mais aussi marché florissant de la traite des esclaves, la cité attire toutes les convoitises.
Au fil des siècles, pirates et corsaires tentent de s’en emparer : le Français Jean-Bernard de Pointis la pille en 1697 au nom de Louis XIV ; l’Anglais Edward Vernon échoue à la prendre en 1741, perdant des milliers d’hommes sous les murs défendus par Blas de Lezo. Fortifiée, imprenable, Carthagène des Indes est l’un des bastions les plus précieux de la couronne espagnole.
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Les vents de révolte
Au début du XIXᵉ siècle, tout change. L’Espagne est affaiblie par l’invasion napoléonienne, et ses colonies d’Amérique s’agitent. À Caracas, à Buenos Aires, les juntes se multiplient, proclamant leur autonomie en attendant le retour d’un roi légitime. Carthagène des Indes suit le mouvement : le 14 juin 1810, une première junte locale est formée. Officiellement fidèle à Ferdinand VII, elle exprime déjà une volonté d’autonomie.
Mais très vite, l’incompréhension grandit entre les élites américaines et la métropole. Les créoles demandent l’égalité politique avec les Espagnols de la péninsule, mais Madrid refuse obstinément. Le sentiment d’injustice se transforme en revendication d’indépendance.
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11 novembre 1811 : l’acte fondateur
C’est dans ce contexte que, le 11 novembre 1811, Carthagène des Indes franchit le pas. Réunis dans la ville fortifiée, les représentants de la province signent la déclaration d’indépendance : pour la première fois en Nouvelle-Grenade, une cité rejette officiellement l’autorité espagnole.
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La nouvelle se répand comme une traînée de poudre : d’autres provinces suivent l’exemple, et le 27 novembre, un congrès réuni à Tunja fonde les Provinces-Unies de Nouvelle-Grenade, un embryon d’État fédéral dont Carthagène des Indes fait partie.
Entre gloire et répression
Mais l’indépendance de Carthagène des Indes n’est pas un long fleuve tranquille. En 1815, l’armée royaliste, conduite par le général Pablo Morillo, assiège la ville pendant plus de trois mois. Affamée, épuisée, la cité finit par capituler le 6 décembre. La répression est terrible : exécutions, emprisonnements, exils. L’« héroïque Cartagena » paie un lourd tribut à sa précocité. Il faudra attendre 1821, après d’âpres batailles pour que Carthagène des Indes retrouve définitivement sa liberté.
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Héritage d’une cité héroïque
Aujourd’hui encore, Carthagène des Indes se souvient. Ses murailles inscrites au patrimoine mondial, ses places, ses rues coloniales racontent autant son âge d’or marchand que son rôle pionnier dans l’indépendance colombienne.
Le 11 novembre est célébré comme jour de l’indépendance de la ville, fête colorée où résonne toujours la devise implicite des patriotes de 1811 : une cité libre ouvre la voie à une nation libre.
Ce décret relève d’une certaine importance si vous proposez un hébergement à des touristes. Cela concerne, par exemple, le cas où vous mettez votre appartement en location saisonnière, que ce soit pour un week-end, ou pour une ou plusieurs semaines.
Ce décret ne s’applique pas si vous optez pour une location annuelle, ou si vous louez votre bien via un contrat de bail résidentiel classique, dans lequel le locataire établit sa résidence principale dans le logement.
Le décret ne s’applique pas non plus si vous louez occasionnellement à des membres de votre famille ou à des amis, sans faire de publicité à ce sujet.
Conditions de base
Le décret exige avant tout que votre appartement remplisse certaines conditions minimales. Vous devez par exemple disposer d’un certificat de sécurité incendie, et votre logement doit être propre et bien entretenu.
Il est également obligatoire de souscrire une assurance incendie ainsi qu’une assurance responsabilité civile. Les informations que vous fournissez à propos de l’appartement doivent être exactes et honnêtes.
En tant qu’exploitant, vous devez être soit propriétaire, soit locataire du bien, avec l’autorisation du bailleur pour l’exploiter comme logement touristique. Vous devez également pouvoir présenter un extrait de casier judiciaire vierge.
Le bien mis en location doit aussi être conforme aux règles d’urbanisme et disposer des autorisations nécessaires.
Déclaration obligatoire
En tant que bailleur, vous êtes en outre tenu de signaler à Toerisme Vlaanderen que vous souhaitez proposer votre appartement à la location. Cela peut se faire via le site web Je logies aanmelden | Toerisme Vlaanderen.
Après cette déclaration, votre hébergement reçoit un numéro d’enregistrement unique. Vous pouvez également aller plus loin et demander une reconnaissance officielle. Ce n’est toutefois pas obligatoire. Si vous faites cette demande, votre hébergement peut alors recevoir un classement par étoiles attestant de sa qualité.
Mais Arche ne s’arrête pas là. Le programme « Arche générations » prévoit aussi une prime de 10.000 zlotys (environ 2.345 €) pour les couples qui auront acheté un appartement du groupe et accueilleront un enfant après leur installation. Le règlement précise que l’offre est réservée aux couples hétérosexuels, citoyens polonais et résidant en Pologne. Les employés de l’entreprise sont eux aussi encouragés à contribuer à l’élan nataliste, avec des primes promises pour chaque naissance.
Derrière cette campagne aux accents insolites se cache une réalité préoccupante : en 2024, la Pologne a compté 157.000 décès de plus que de naissances. La population est passée à 37,4 millions d’habitants, soit un million de moins qu’en 2015, selon le GUS.
Une bonne nouvelle pour les amateurs de grand air… et de gros gabarits
Les camping-caristes en rêvaient, l’Europe l’a (presque) fait : fini le permis C pour conduire les modèles de plus de 3.500 kg. Très bientôt, un permis B suffira pour prendre le volant d’un véhicule allant jusqu’à 4.250 kg. Ce changement résulte d’un accord politique européen, soutenu par le Conseil, la Commission et le Parlement européen. C’est le ministre belge de la Mobilité, Jean-Luc Crucke (Les Engagés), qui a confirmé la nouvelle dans Het Nieuwsblad et Het Belang van Limburg. Une nouvelle directive européenne est d’ailleurs en préparation, qui devra ensuite être transposée dans le droit belge.
Un petit examen pour éviter les gros dégâts
Pas question non plus de se lancer à l’aveugle sur les routes avec un monstre de 4 tonnes : une formation courte ou un examen léger restera obligatoire, question de sécurité routière.