L’offre comprend une entrée dans l’icône architecturale qui domine la capitale, ainsi qu’une immersion dans le temple de la bière belge, installé dans l’ancienne Bourse.
Vue + mousse
Au programme : installations numériques futuristes d’un côté, diversité brassicole de l’autre. Et pour faire passer le tout, une dégustation de bières belges offerte et une deuxième vue imprenable sur le centre-ville depuis le rooftop du Belgian Beer World.
Et en prime, un souvenir collector
Chaque visiteur repartira avec un verre à bière collector reprenant les deux lieux emblématiques. Les billets sont dispos sur le site de Visit Brussels.
Trois quarts des automobilistes wallons (76 %) avouent conduire plus de deux heures sans s’arrêter. Et près d’un sur cinq (19 %) joue carrément aux héros du bitume avec plus de cinq heures de route non-stop. Car oui, 40 % préfèrent grignoter en conduisant plutôt que de faire une halte.
Fatigue, vitesse, distractions : le trio perdant
Résultat : un conducteur sur deux (51 %) avoue s’être déjà senti somnolent au volant. Une bonne raison pour l’AWSR de rappeler la règle d’or : 15 minutes de pause toutes les deux heures. Et si la fatigue vous écrase, une petite sieste sur une aire s’impose !
La tentation de rouler trop vite est aussi bien présente : 57 % des sondés dépassent régulièrement les limitations. A ce sujet, il faut pourtant savoir qu’un accident mortel sur trois est lié à une vitesse inadaptée.
Enfants, téléphone et tenues douteuses
En route, de nombreux conducteurs avouent être souvent distraits : 42 % des conducteurs pointent du doigt leurs passagers (petits ou grands) comme source de déconcentration. Ajoutez à cela les 19 % qui utilisent encore leur téléphone au volant…
En outre, près d’un sur quatre admet rouler en tongs, sandales ou pieds nus. Ce n’est pas interdit, mais comme le rappelle l’AWSR, la tenue doit toujours permettre de garder le contrôle du véhicule.
Penser aussi à la technique
Enfin, côté mécanique, les vacances ne pardonnent pas : 8 % des automobilistes ont déjà eu un accident et 22 % une panne sur la route des congés. Alors on n’oublions pas les basiques : pneus, huile, feux… On vérifie tout avant de partir !
Brussels Airlines met les bouchées doubles cet été : 50 appareils seront mobilisés, contre 44 l’année dernière. Objectif ? Transporter près de 2 millions de passagers affamés de soleil.
Pour soutenir cette montée en puissance, la compagnie a sorti l’artillerie lourde : un Airbus A320 pour l’Europe, un A330 pour les longues distances, et quatre A220 en “wet-lease” opérés par Air Baltic.
Côté soleil, le Belge choisit toujours l’une de ces trois destinations : Espagne, Grèce ou Italie. Petite nouveauté : 47 étudiants feront leur baptême de l’air… en tant que membres d’équipage de cabine.
Et à Brussels Airport ?
Préparez-vous à une affluence record à Zaventem. Pour éviter le chaos, Brussels Airlines et l’aéroport ont prévu un plan d’été avec plus d’agents aux contrôles des passeports pendant les pics. On vous conseille néanmoins de venir bien à temps…
La Fédération belge des entrepreneurs autobus et autocar (FBAA) a annoncé que pas moins de 775.000 passagers prendront le bus ou l’autocar en juillet et août, répartis sur 17.850 trajets orchestrés par quelque 200 entreprises membres de la FBAA. Oui, les cars ont encore la cote.
Scouts, guides et sacs à dos
Sans grande surprise, une large part des trajets est dédiée aux mouvements de jeunesse. Camps d’été, jeux de piste grandeur nature, marshmallows cramés : l’aventure commence dès le autobus.
Le bus des mers et des parcs
En deuxième position : les excursions d’un jour. Direction la mer du Nord ou un parc d’attractions, avec une nette préférence pour les escapades à Boulogne-sur-Mer : manifestement, les Wallons et Bruxellois en raffolent. Pour les baroudeurs, des voyages de plusieurs jours (jusqu’à 12) sont prévus vers des destinations comme la France, l’Italie, l’Autriche, et même la Norvège, l’Écosse ou la Corse.
Carnac, Gaza, Sierra Leone, Corée du Sud… C’est le programme de la 47e session élargie du Comité du patrimoine mondial, qui se tient à Paris. Trente sites sont en lice pour intégrer la grande famille des 1.200 trésors culturels et naturels déjà protégés par l’Unesco.
Dans le lot : des grottes préhistoriques, des forêts refuges pour éléphants, des écosystèmes marins fragiles et même d’anciens centres de répression. Il y en a pour tous les goûts… et pour tous les continents.
L’Afrique : priorité UNESCO
Deux pays africains encore absents du classement espèrent faire leur entrée : la Guinée-Bissau avec l’archipel des Bijagos et la Sierra Leone avec les forêts de Gola Tiwai. Une entrée qui, selon la directrice générale Audrey Azoulay, illustre la volonté de l’Unesco de faire du continent une priorité.
Patrimoine en péril : le revers de la médaille
Si certains rêvent d’y entrer, d’autres peinent à y rester. Sur 56 sites actuellement en danger, la moitié souffre des conflits armés, avec le Moyen-Orient en première ligne. Sans surprise, le climat est aussi sur le banc des accusés : 3 sites sur 4 sont menacés par les pénuries d’eau, les inondations ou le surtourisme.
Mme Azoulay a notamment annoncé une reprise des opérations en Syrie, notamment à Alep, et une surveillance satellitaire des sites culturels de Gaza, en attente d’interventions dès que la situation le permettra.
Le décret présidentiel a été signé, mais les modalités concrètes restent floues. À l’heure actuelle, les tarifs varient : certains parcs, comme le Great Smoky Mountains en Caroline du Nord (le plus visité en 2024), sont gratuits, tandis que des icônes comme Yosemite ou le Grand Canyon demandent 35 dollars par véhicule ou 70 pour un pass annuel.
Une manœuvre qui fait grincer
Cette mesure arrive dans un contexte tendu : plusieurs organisations environnementales pointent du doigt les licenciements massifs parmi le personnel des parcs depuis l’arrivée de Trump à la Maison-Blanche. De quoi inquiéter alors que la saison estivale bat son plein ! Et les Etats-Unis connaissent un certain désamour depuis la prise de pouvoir de Trump…
Le secteur du tourisme américain va-t-il faire une pause en 2025 ? C’est en tout cas ce que prédit une étude du World Travel and Tourism Council (WTTC), qui annonce une perte sèche de 12,5 milliards de dollars en dépenses des visiteurs internationaux par rapport à 2024. De 181 milliards, on tomberait à 169 milliards de dollars. Une baisse unique au monde : parmi les 184 économies analysées, seuls les États-Unis affichent un recul des recettes touristiques.
Les chiffres sont formels : le Royaume-Uni, l’Allemagne, la Corée du Sud, mais aussi l’Espagne, la Colombie ou encore la République dominicaine viennent nettement moins aux USA. La chute des arrivées internationales oscille entre 15% et 33% selon les pays. Même le marché canadien se fait désirer, avec une baisse de plus de 20% des réservations pour le début de l’été.
Pour Julia Simpson, PDG du WTTC, pas de doute : « C’est un signal d’alarme pour le gouvernement américain. (…) Alors que d’autres pays déroulent le tapis rouge, le gouvernement américain affiche un panneau ‘fermé’. » Elle pointe du doigt un combo perdant : procédures de visa dissuasives, climat politique tendu et mesures migratoires strictes.
Et pourtant, en 2024, le tourisme US pesait 2.600 milliards de dollars, soutenait 20 millions d’emplois et rapportait 585 milliards de recettes fiscales. Un poids lourd. Mais un géant qui, pour 2025, pourrait bien marcher à reculons.
En Espagne, Booking.com a été sommé de supprimer 4.093 annonces de locations de courte durée sans numéro d’enregistrement valide, selon le ministère de la Consommation. Ce contrôle vise à freiner la flambée des loyers et à soulager la pression sur le logement dans les zones touristiques, comme les îles Canaries ou l’Andalousie.
Ce que ça change pour votre séjour
Les réservations existantes restent généralement valides : pas de panique, sauf exceptions locales.
En revanche, les nouvelles options disponibles ont diminué, surtout dans les zones touristiques surbookées.
Choisir une agence de voyages peut vous éviter ces désagréments : elles proposent des offres maraudées, conformes et sécurisées.
Pourquoi c’est important
Un porte-parole du ministère rappelle que « la conformité n’est plus facultative » pour les plateformes : elles doivent dorénavant vérifier le numéro d’enregistrement régional avant publication.
Les Estivales reprennent à Pairi Daiza du 11 juillet au 16 août, chaque vendredi et samedi soir (+ 20, 21 juillet et 14 août), avec une ouverture prolongée jusqu’à 23h. Plus de 200 artistes (70 % de nouveautés sur site) se produiront sur 18 scènes dispersées dans les jardins.
Un programme riche et coloré
Weekend d’ouverture (11–12 juillet) : Il Cello (trio vainqueur de The Voice France 2025), la compagnie Pyronix (feu), Theatre Mariska (marionnettes sur échasses), folk irlandais, reggae, chants flamands.
Mercredi 12 juillet à 14h30 : cérémonie Tumpek Kandang, fête hindouiste des animaux au temple balinais, animée par la communauté balinaise de Belgique.
Les autres soirées : musique du monde, cirque, marionnettes, acrobaties, danses traditionnelles… plus de 50 compagnies sont attendues !
Les scènes s’animeront dans des lieux variés : esplanade de la Terre du Froid, Amphithéâtre, Temple bouddhiste, village africain, Cambron‑Plage, Oasis, etc.
Une escapade estivale idéale
Enrichies par l’exposition Prêhi Daiza (dinosaures géants) et l’accès à neuf mondes zoologiques du parc, les soirées estivales promettent une immersion unique. Pairi Daiza est reconnu comme le meilleur zoo d’Europe, avec 3 étoiles au Guide Michelin.
Au départ de la Cantine des Italiens, à Houdeng-Goegnies, vous deviendrez pilote d’un jour. Des bateaux de 5, 7 ou 9 places sont proposés à la location : de quoi profiter en famille, entre amis ou collègues ! Le bateau 9 places permet d’accueillir une personne à mobilité réduite : une bonne nouvelle !
Découverte historique
Vous prendrez les commandes et partirez naviguer sur la plus ancienne portion du Canal du Centre historique. Sur votre route, vous irez à la rencontre du plus vieil ascenseur à bateaux de Belgique : l’ascenseur hydraulique n° 1, qui date de 1888. Émotions en perspective.
Maison du Centre
Paysages enchanteurs
Les berges du Canal sont aussi à admirer : vert et bleu s’y marient à la perfection. C’est le moment de se laisser porter par la magie de l’instant.
canal du centre
Une pause gourmande pour finir
Après avoir suivi le ruban scintillant du Canal, et après avoir navigué une heure durant, pourquoi ne pas vous attabler à la Cantine des Italiens ? Une jolie manière de finir votre expédition !