L’Hôtel Van der Valk Nivelles-Sud, c’est 155 chambres et suites, spacieuses et confortables, réparties en 3 catégories. C’est aussi un restaurant dont la réputation n’est plus à faire : cuisine d’inspiration française, vaste carte, plats raffinés et buffet à volonté (tous les midis en semaine ainsi que le vendredi soir, le samedi soir et le dimanche midi). C’est encore un magnifique espace Wellness & Fitness, avec hammam, sauna, jacuzzi, piscines et centre de soins.
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L’établissement jouit de plus d’une situation incroyable : c’est le lieu idéal pour découvrir Nivelles, capitale du Roman Païs de Brabant, et pour partir en excursion. Depuis l’hôtel, vous rejoindrez aisément les routes qui mènent aux chemins de campagne : à vous les randonnées et les coins pittoresques à explorer.
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Cet été, le Van der Valk propose plusieurs packages exceptionnels et, parmi ceux-ci, le package « Namasté », dont le nom est à lui seul une invitation à la détente.
Imaginez déjà : une chambre ou une suite catégorie « executive » avec unn cocktail de bienvenue, à siroter tranquillement sur la terrasse ensoleillée, avant de se restaurer d’un menu 3 services. Un accès aux piscines intérieure et extérieure et au Spa, pour fondre de plaisir. Sans oublier le massage « duo » de 50 minutes au centre de soins de l’hôtel. Et le lendemain matin, un savoureux buffet petit déjeuner.
La promesse donc de passer du temps de qualité avec votre moitié, à moindre coût. C’est si tentant ! Ressourcement. Relaxation. Détente. Farniente. Autrement dit, un moment suspendu, comme on les aime tant. L’offre promotionnelle rend tout cela possible à partir de 425 euros.
Et pour être décontracté et posé dès l’arrivée, sachez que l’hôtel dispose d’un parking gratuit : il n’y a qu’à réserver… et profiter !
La Chaussée des Géants, joyau naturel de l’Irlande du Nord, souffre. Non pas à cause de l’érosion naturelle (elle gère ça depuis 60 millions d’années), mais à cause d’une habitude touristique aussi tenace qu’incongrue : glisser des pièces de monnaie dans ses failles.
Un geste censé porter chance ou attirer l’amour, selon une superstition qui, visiblement, n’a pas été testée scientifiquement. Résultat : des milliers de pièces coincées dans les colonnes de basalte, qui rouillent, gonflent, éclatent la roche, et défigurent ce site classé à l’UNESCO.
Quand la magie abîme la pierre
Cliff Henry, du National Trust, ne cache pas son inquiétude : « Ces pièces causent de sérieux dégâts au site et nous devons agir », rappelle-t-il, appuyé par un rapport de la British Geological Survey datant de 2021. Les effets sont bien visibles : des marques brunes peu gracieuses, et des fissures agrandies par la dilatation des métaux.
Le retrait des pièces a été testé par des tailleurs de pierre — avec succès — mais cela a un prix : environ 30.000 livres (plus de 34.000 €). En attendant, des panneaux et des guides touristiques bienveillants mais fermes sensibilisent les visiteurs à ne plus transformer ce site volcanique en tirelire sentimentale.
Le secret de cette croissance ? Un cocktail bien dosé de nouveautés et d’expériences inédites :
Une troisième boutique dédiée aux minéraux (avis aux collectionneurs de cailloux brillants),
Un taux d’occupation de 90% pour les hébergements, qui comptent désormais 121 chambres,
Et surtout, l’inauguration d’un 9e monde, Les Îles du Soleil Levant, ambiance Japon zen garanti (mais sans les sushis, dommage).
Sans oublier “Préhi-Daiza”, l’exposition immersive pour marcher dans les pas des dinos.
Des pandas… et des emplois
Le parc ne pense pas qu’à ses animaux : avec 126,6 millions d’euros d’investissements, Pairi Daiza voit grand. Et pas seulement pour ses enclos : une étude indépendante affirme que l’activité a généré 145,2 millions d’euros de retombées économiques et 3.167 emplois, directs et indirects.
Cinq ans après la crise du coronavirus, le tourisme mondial a repris ses droits. Selon ONU Tourisme, l’année 2024 a vu 1,47 milliard de voyageurs internationaux. En tête du classement ? La France : avec 102 millions de visiteurs internationaux, l’Hexagone signe une progression de 2 % par rapport à 2023. Le combo gagnant ? Sa gastronomie, ses musées… et les Jeux Olympiques.
Les poursuivants font mieux qu’avant
Juste derrière, l’Espagne a explosé les compteurs avec 93,8 millions de touristes, soit 10 millions de plus qu’avant la pandémie. Les États-Unis, eux, enregistrent un léger recul avec 72,4 millions de visiteurs, en baisse de 7 millions comparé à 2019.
Et les autres dans tout ça ?
Dans le reste du top 10 :
Turquie : 60,6 millions
Italie : 57,7 millions
Mexique : 45 millions
Chine, Royaume-Uni, Allemagne (37,5 M) et Japon (36,9 M)
Bon à savoir : les chiffres de la Chine et du Royaume-Uni restent des estimations, les données officielles se faisant désirer.
Vous vous souvenez encore du temps où l’on vous servait à bord une purée sans saveur, des légumes mous sans assaisonnement et un morceau de viande caoutchouteux difficile à identifier ? Ce genre de repas appartient peu à peu au passé. Si, sur les vols low-cost, il faut encore sortir sa carte de crédit pour calmer sa faim, sur les vols paneuropéens opérés par des compagnies « classiques » – et a fortiori sur les vols intercontinentaux – un repas est souvent inclus. Et les compagnies aériennes sont de plus en plus attentives à la qualité et à la diversité de leur offre.
Allergies et préférences alimentaires
Une tendance générale se dessine : une plus grande attention portée aux allergies alimentaires. Aujourd’hui, un passager sur sept présente une forme d’intolérance ou d’allergie : lactose, gluten, arachides, amandes, poisson, crustacés… Autant de produits qui peuvent entraîner de simples désagréments, ou dans le cas d’allergies sévères, des conséquences beaucoup plus graves. Surtout lorsqu’on est en plein vol, à haute altitude, sans accès immédiat à une assistance médicale…
À côté des allergies, les préférences alimentaires sont également en hausse : régime halal, végétarien, végétalien… Pensez donc à signaler clairement vos besoins spécifiques au moment de la réservation, et en cas d’allergie, n’hésitez pas à le rappeler une nouvelle fois à l’équipage en embarquant pour vous assurer qu’ils en tiennent bien compte.
Une partie intégrante de l’expérience de voyage
Mais manger à bord ne se limite plus à une simple nécessité : c’est désormais un élément de l’expérience globale de voyage. Pour beaucoup, les vacances commencent déjà dans l’avion.
Lors de la présentation de Chocolatitude, une sélection de pralines conçue par la maison belge The Chocolate Line en collaboration avec Singapore Airlines, nous en avons discuté avec Christian Stenkewitz, General Manager de la compagnie asiatique pour le Benelux : « En tant que compagnie aérienne premium, nous accordons une attention toute particulière à la qualité des repas servis à bord. Nous appliquons des critères de sélection rigoureux et organisons des tests de dégustation pour choisir les produits que nous proposons », explique Stenkewitz.
L’évolution du goût en vol
Julius Persoone, à l’origine de la collection Chocolatitude chez The Chocolate Line, confirme cette volonté : « Pour l’instant, cette collection est uniquement disponible dans les boutiques The Chocolate Line, donc pas encore servie à bord des vols de Singapore Airlines. Mais cela pourrait arriver, car nous avons pris en compte de nombreux paramètres. Les 9 pralines offrent une grande diversité de saveurs pour séduire un large public, dont une version plus expérimentale au Vegemite et cacao fumé. La praline signature est vegan, mais a été développée pour que son goût ne le laisse pas deviner. Et chaque praline doit être une explosion de saveurs, même en altitude. »
Ce n’est en effet un secret pour personne : le goût change en avion. Plusieurs facteurs l’expliquent : la baisse de la pression rend les papilles moins sensibles, l’air sec diminue la perception des arômes, et le bruit ambiant peut également altérer la dégustation. C’est pourquoi les compagnies adaptent l’assaisonnement de leurs plats en conséquence.
À la carte
L’année dernière, Singapore Airlines a lancé une toute nouvelle offre de repas pour les passagers en Premium Economy, avec une sélection de 200 plats. En plus des repas spécifiques commandés à l’avance pour certains régimes, deux plats principaux sont toujours proposés au choix.
Mais la compagnie va encore plus loin. « Nous offrons aussi une option à la carte via le service Book the Cook », explique Christian Stenkewitz. « Le menu propose jusqu’à 20 plats différents, qui varient selon les saisons. Les passagers peuvent faire leur choix jusqu’à 24 heures avant le départ. Ces plats ont été élaborés en collaboration avec des chefs et incluent également des menus bien-être, plus sains, pour aider l’organisme à rester en forme pendant les longs vols. Nous proposons aussi des plats d’exception, comme un homard thermidor ou encore du Louis Roederer Cristal 2015 pour les passagers en First Class. »
Quand manger devient une question de sécurité
Ce que mangent les pilotes vous préoccupe sans doute peu… Et pourtant, il y a une règle essentielle : le pilote et le copilote ne mangent jamais le même plat. En 1975, 144 passagers sont tombés malades à bord d’un vol de Japan Airlines entre Anchorage (États-Unis) et Copenhague (Danemark), après avoir consommé des aliments contaminés par des staphylocoques. Le pilote et le copilote, eux, avaient mangé un repas différent… et n’ont pas été touchés.
Les conséquences auraient pu être dramatiques s’ils avaient été malades eux aussi. Depuis cet incident, Japan Airlines a imposé que chaque membre de l’équipage reçoive un plat différent. Une mesure reprise depuis par la majorité des compagnies aériennes.
Cinq partis suisses se sont mis d’accord pour proposer ce système au Parlement. Leur idée ? Un péage dynamique, avec des prix plus élevés pendant les vacances ou en période de forte affluence. Les plaques seraient scannées à la frontière et une facture envoyée si votre passage s’apparente à du transit pur et dur. En gros : pas de nuit sur place ? Pas de pitié, annonce Gocar.
Objectif affiché : inciter les touristes à séjourner dans le pays plutôt que d’y faire un simple passage éclair. Mais pour l’instant, aucune précision n’a été donnée sur la durée de séjour minimale pour éviter le péage.
Ce n’est pas la première fois qu’un péage est évoqué en Suisse. Mais jusqu’ici, seul l’usage des tunnels avait été visé. Ces projets avaient été abandonnés pour ne pas pénaliser les habitants du Tessin, qui dépendent fortement de ces axes. Cette fois-ci, l’enjeu est juridique, car des accords avec l’Union européenne sur la libre circulation routière pourraient venir compliquer l’affaire.
Le circuit reliera quatre musées d’Histoire vivante emblématiques du Brabant wallon, chacun apportant un éclairage singulier sur les heures sombres de 1940-1945.
Musée de la Cavalerie Française MTBW
Votre journée commencera au Musée du Corps de Cavalerie français à Jandrain, un lieu de mémoire fascinant consacré aux affrontements des 12, 13 et 14 mai 1940 dans la région d’Orp-Jauche. Vous y découvrirez une impressionnante collection d’uniformes, d’armes, de munitions, ainsi que des photos et des cartes permettant de mieux comprendre le déroulé du conflit. Le musée rend hommage au Corps de Cavalerie du Général Prioux, chargé d’empêcher l’avancée allemande vers la ligne de défense. Cet épisode marqua la première bataille de chars de la Seconde Guerre mondiale. Fait touchant : toutes les pièces exposées ont été offertes par les familles des soldats ou les habitants de la région, soulignant la portée humaine de ce lieu unique.
Musée de la Première Armée Française MTBW
Cap ensuite sur le Musée de la 1ère Armée Française à Cortil-Noirmont, installé dans les anciennes classes d’une école où, en mai 1940, un régiment marocain établit son quartier général. Les enseignants sont alors priés d’évacuer. Lieu chargé d’histoire, le musée retrace les opérations de 1940 menées par l’Armée française en Belgique, illustrées par de nombreux objets militaires : armes, munitions, uniformes, cartes et documents d’époque. On y découvre aussi les actions conjointes des armées belge, française et britannique dans le cadre de la manœuvre de la Dyle, où l’Armée française a résisté héroïquement. La visite peut être enrichie par un détour à la nécropole et au champ de bataille à proximité.
Musée du Souvenir 40-45 à Malèves MTBW
Troisième étape : le Musée du Souvenir 40-45 à Malèves, aménagé dans une ferme familiale. Père et fils y ont patiemment rassemblé des milliers d’objets et une septantaine de mannequins pour donner à voir le matériel utilisé durant la guerre. Le musée offre une visite guidée par le propriétaire lui-même, dans un esprit pédagogique et intimiste. Les petites anecdotes partagées valent leur pesant d’or et permettent de mieux comprendre les réalités de l’invasion, de l’occupation et de la libération.
Musée First Wing MTBW
Le rallye se terminera au Musée du 1Wing à Beauvechain, installé dans l’ancienne ferme De Waersegger, transformée dès 1940 par les Allemands, puis utilisée par les Alliés et enfin par la Force Aérienne Belge. Ce musée est un incontournable pour les passionnés d’aviation : avions, moteurs (dont certains didactiques), véhicules, uniformes et objets historiques retracent l’histoire de la base aérienne de Beauvechain depuis les années 30. Le lieu a fêté ses 25 ans en 2023, une belle preuve de pérennité pour cette mémoire vivante. Et pour clôturer la journée : brocante et petite restauration au programme !
Un événement accessible à tous
Peu importe le modèle de votre véhicule, tous sont les bienvenus : anciens, militaires ou récents. Le rallye est ouvert à toutes et tous, et chaque voiture inscrite recevra un roadbook et un petit cadeau souvenir.
Infos pratiques
Date : dimanche 28 septembre 2025
Départs entre 9h et 11h au Musée du Corps de Cavalerie français à Jandrain
Prix : 20€ par personne, incluant le petit-déjeuner, l’accès aux musées et le verre de l’amitié
Difficile d’imaginer l’Amsterdam de 1941 en flânant aujourd’hui le long des canaux. Et pourtant, une visite virtuelle immersive vient bousculer notre manière de faire mémoire, rapporte geo.fr. Grâce à l’intelligence artificielle, une application propose un parcours interactif retraçant la vie d’Anne Frank dans une ville occupée et en proie aux lois antisémites.
Ce projet, signé CityFans, répond à une frustration bien connue : la Maison Anne Frank est trop petite pour accueillir tous les visiteurs. Alors pourquoi ne pas agrandir le musée… dans la rue, et dans nos téléphones ?
Une balade urbaine entre mémoire et technologie
Il suffit d’un smartphone, d’écouteurs et d’un peu de curiosité. Le parcours de 7 kilomètres est divisé en 12 étapes, avec des animations basées sur des archives rigoureuses : celles de l’Institut Anne Frank, de la ville, et du musée de l’Holocauste.
On y apprend par exemple qu’Anne et sa sœur devaient marcher 2,5 km pour aller à l’école, exclues des transports publics. Une réalité rendue plus palpable par l’IA, qui anime même les visages sur les photos.
L’étape chez Miep Gies, la Néerlandaise qui a aidé les Frank à se cacher, est bouleversante. Dans le quartier de De Pijp, l’appli révèle qu’un simple marchand de glaces juif fut à l’origine d’une révolte contre les nazis. Ce genre de récits, souvent oubliés, retrouvent ici leur place.
Bien sûr, on pourrait s’interroger : est-ce que la technologie ne risque pas de trop changer le récit ? A chacun de voir, mais le devoir de mémoire, lui, est incontournable.
Originaires de l’Antarctique, ces stars marines migrent jusqu’aux eaux chaudes du Brésil pour pouponner. Leur spécialité ? Un show aérien à base de sauts, de coups de nageoire et de vrilles spectaculaires. Bonne nouvelle, leur population, autrefois menacée, atteint désormais 30.000 individus selon l’Institut Baleia Jubarte.
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Les hotspots d’observation
Nord de São Paulo : saison démarrée assez tôt cette année, avec 200 baleines repérées dès juin. ProBaV y cartographie les cétacés, et le tourisme devrait peser 120.000 visiteurs.
Bahia : avec Abrolhos et Praia do Forte, c’est le cœur du sanctuaire. Sorties pédagogiques à la clé.
Arraial do Cabo (RJ) : top pour l’observation depuis la terre ferme. Clou du spectacle : une baleine gonflable géante de 16 mètres !
Santa Catarina : royaume des baleines franches australes, plus rares et toujours menacées. Arrivées plus tôt que prévu, elles rappellent l’importance de l’observation responsable.
Quelques règles de base pour l’observation des baleines :
Ce lundi soir, le pavillon belge a accueilli son 500.000e visiteur, a annoncé BelExpo. “Ce cap est une belle reconnaissance du travail et de la passion qui animent notre pavillon“, s’est réjoui Pieter De Crem, Commissaire général, dans un communiqué. “Cela montre que notre message touche le public et que la Belgique a vraiment quelque chose à partager avec le monde.”
Régénération humaine et science made in Belgium
Le pavillon belge ne vend pas que du folklore. Il met en avant le thème de la régénération humaine, avec une mise en valeur des talents belges dans la santé, la science et l’innovation médicale.
Installé sur l’île artificielle de Yumeshima, le site de l’Expo accueille plus de 160 pays du 13 avril au 13 octobre 2025. L’événement espère attirer 28 millions de visiteurs. Le pavillon belge, lui, vise les 900.000 entrées d’ici la clôture.
Le 14 septembre, le pavillon aura droit à sa journée nationale belge, l’occasion pour le Plat Pays de briller encore un peu plus au pays du Soleil-Levant ?