Bonne nouvelle pour les amateurs d’exotisme à la nippone : ANA ajoute des vols entre Bruxelles et Tokyo Narita pendant les fêtes. En plus des deux rotations hebdomadaires actuelles, des vols spéciaux décolleront le 15 et le 22 décembre 2025, avec une rallonge le 5 janvier 2026.
3 fois par semaine dès mars
En outre, à partir du 2 mars 2026, la fréquence passera à trois vols par semaine (lundi, mercredi et samedi). Toujours opérés en Boeing 787 Dreamliner, histoire de rendre les 11 heures de vol un peu plus douces – que l’on soit en Business, Premium Economy ou Economy.
Rappelons que la compagnie est habituée aux distinctions : 5 étoiles SKYTRAX chaque année depuis 2013, et pas moins de quatre fois élue Airline of the Year par ATW. Les réservations sont déjà possibles sur le site officiel (ana.co.jp) ou auprès des agences de voyages.
Dès cet hiver, Ryanair élargira son offre au départ de Charleroi (BSCA) avec trois nouvelles destinations : Katowice en Pologne, Salerne en Italie et Volos en Grèce.
Zaventem perd des plumes
Pour financer ces nouvelles liaisons, la compagnie coupe la voilure à Zaventem avec une baisse de trafic de 6 %. Michael O’Leary, patron de Ryanair, a tiré à boulets rouges sur les « coûts aéroportuaires trop élevés » de Brussels Airport et sur la nouvelle taxe d’embarquement, désormais fixée à 5 euros pour les vols de plus de 500 km. Résultat, selon lui : « le tourisme en Belgique est encore moins compétitif que dans les autres États de l’Union européenne ».
Charleroi en plein essor
Cette année, 11 millions de passagers voyageront avec Ryanair au départ et à destination de la Belgique. Charleroi rafle la mise avec 9,8 millions de voyageurs attendus sur 119 lignes, contre seulement 1,2 million pour Zaventem.
Un ras-le-bol des grèves françaises ?
Ryanair profite aussi de l’occasion pour réclamer à la Commission européenne un allègement du système d’échange de quotas d’émission (EU ETS) au profit d’un alignement sur le dispositif international Corsia, jugé moins contraignant. L’entreprise demande également une réforme du contrôle aérien, après avoir annulé plus de 600 vols en juillet, affectant plus de 100.000 passagers, principalement à cause des grèves en France.
Première étape, La Boverie, mon musée coup de cœur, niché dans un écrin de verdure entre les bras de la Meuse. Le bâtiment, majestueux, accueille aussi bien des collections permanentes que des expositions temporaires de haut vol : des 250 ans de l’Académie des Beaux-Arts de Liège aux 15 ans de la disparition de Corneille en passant par les photographies de Robert Doisneau, il y a de quoi s’en mettre plein les mirettes !
40 minutes de balade le long de la Meuse, ça vous dit ? Si oui, partant de La Boverie, on vous donne un autre rendez-vous culturel, à savoir le Grand Curtius qui vous attend avec ses mille trésors ! Installé dans un ensemble de bâtiments classés, il déploie ses collections sur plus de 5.000 m², retraçant l’histoire liégeoise sur 7.000 ans, rien que ça ! Armes, verreries, objets religieux, peintures… On y croise des chapitres entiers de notre passé. C’est un musée qui se visite avec le cœur autant qu’avec la tête.
WBT – Olivier Bourgi
Et pour les curieux aux âmes marines, sur le chemin, faites une halte à l’Aquarium-Muséum, où s’entrelacent créatures aquatiques fascinantes et spécimens naturalisés. Une pause ludique et instructive, parfaite si vous êtes en famille.
Vous avez abusé du boulets-frites ? J’ai la solution pour vous faire perdre illico presto toutes les calories ! Cap sur la Montagne de Bueren et ses 374 marches ! Une fois au sommet, la vue panoramique sur Liège est tout simplement splendide. Et puis, c’est là que commence l’ascension vers les Coteaux de la Citadelle, un havre de paix verdoyant qui donne à la ville des airs de campagne. Les sentiers y serpentent entre remparts et vergers, l’excuse parfaite pour souffler…
WBT – Maxime Collin
Blegny-Mine : sous la terre, l’Histoire
Changement d’ambiance avec la visite de la Blegny-Mine, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO. Enfilez casque et veste pour descendre dans les galeries souterraines. Accompagnée d’un ancien mineur, on y écoute les récits poignants de ce dur labeur, tout en découvrant des machines à faire frissonner Jules Verne lui-même. Une expérience immersive qui donne du relief — et du respect — à notre passé industriel.
Le Pays de Herve : gourmandises et paysages bucoliques
La transition parfaite après une visite aussi poignante, ce sont les collines douces du Pays de Herve, véritable tableau vivant où le vert domine et les saveurs explosent. Pour ma part, je les ai découvertes depuis un vélo (électrique, je vous rassure) en suivant la ligne 38, ancienne voie ferrée devenue voie verte, traversant vergers et fermes authentiques.
David Defourny MT Pays de Herve – David Defourny
Un arrêt s’est imposé à la Fromagerie du Vieux Moulin pour une dégustation de l’iconique Herve — ce fromage au caractère affirmé, comme les Liégeois ! Si vous êtes motivé, faites un passage par la Siroperie d’Aubel, où le sirop artisanal est un pur délice. Et enfin, clôturez par un moment de grâce à l’Abbaye du Val-Dieu, avec une bière locale pour conclure l’étape. Divine, dans tous les sens du terme.
Cristallerie Val Saint-Lambert : quand le cristal fascine
À Seraing, à quelques encablures de Liège, la Cristallerie Val Saint-Lambert dévoile tout le prestige de l’art du verre taillé. En parcourant le musée et les ateliers, on reste émerveillé par la précision du travail artisanal. Chaque pièce brille d’un éclat singulier, reflet d’un savoir-faire centenaire. Un détour élégant et inspirant, parfait pour les amateurs d’art et de raffinement.
The Owl Distillery : whisky belge, fierté locale
Pour finir en beauté, direction The Owl Distillery, perdue dans les champs dorés du plateau hesbignon. Ici, on distille un whisky 100 % belge, produit avec de l’orge fairtrade cultivée à deux pas. J’ai eu le privilège de goûter à ce nectar doré lors d’une visite guidée passionnante, ponctuée de notes boisées, d’anecdotes savoureuses et de quelques fous rires ! Merci à notre guide, un vrai personnage !
Où poser ses valises ?
L’hôtel Neuvice
Au cœur de Liège, l’Hôtel Neuvice marie charme historique et confort moderne dans un cadre unique autour d’une jolie cour intérieure. Entre caves du XVe siècle, bibliothèque cosy et petit-déjeuner servi dans l’ancien atelier d’imprimeur, l’hôtel a du caractère à revendre !
N5 BednBreakfast
Les chambres d’hôtes N°5 vous accueillent dans le cœur historique de Liège dans une maison classée au Patrimoine wallon ! Chambres élégantes, cour intérieure pleine de quiétude, petits-déjeuners maison, sauna relaxant et salon cosy seront au programme de votre séjour !
L’hôtel Van der Valk Sélys
L’hôtel Van der Valk Sélys, ancien palais des Comtes de Méan, conjugue luxe moderne et charme historique au cœur de Liège, entre suites prestigieuses et vue imprenable sur les toits de la ville. Avec son restaurant bistronomique, son centre wellness et ses espaces insolites comme la cave voûtée ou le rooftop, chaque instant devient une expérience en soi.
Les Houblonnières
Séverine et Gaëtan vous accueillent avec chaleur aux Houblonnières, leur chambre d’hôtes lumineuse et reposante nichée dans le quartier vert de Vennes/Fétinne à Liège. Située au rez-de-chaussée de leur maison des années 30, elle offre tout le confort nécessaire – terrasse privative, jardin, kitchenette et salle de bains – pour un séjour paisible. Chaque matin, un petit-déjeuner gourmand aux saveurs locales et maison vous attend pour bien commencer la journée.
Le Service public de Wallonie (SPW) a inauguré une nouvelle piste cyclable à Boussu-lez-Walcourt (Froidchapelle). Objectif : raccorder les tronçons existants du Ravel 111/1, 109/2 et des Lacs de l’Eau d’Heure. Ce nouveau tronçon de 1,8 km n’est pas qu’un ruban de bitume flambant neuf : il rend directement accessibles le Lac de Feronval, les sites touristiques voisins, les infrastructures sportives et même le centre du village.
Le Ravel souffle bientôt ses 30 bougies
Petit rappel festif : le Ravel fêtera ses 30 ans en 2025. Aujourd’hui, il aligne fièrement 1.524 km de pistes, mais il reste entre 200 et 250 km encore à aménager. De quoi promettre d’autres belles inaugurations… et quelques mollets encore plus affûtés.
Des montagnes majestueuses aux plages de la mer Noire, en passant par des cités historiques : le pays offre une diversité étonnante sans souffrir du tourisme de masse. Alors, on profite… mais un peu en exclusivité.
anton-atanasov
2. Un rapport qualité‑prix imbattable
Les stations comme Slantchev Briag (la Côte du Soleil) offrent une ambiance Ibiza-balkanique à des tarifs bien plus doux comparés à la Méditerranée ! Et que dire de Bansko, station de ski tendance ? Sans rival côté prix, un charme discret et… peu de files d’attente aux télésièges. Bon OK, les forfaits ont augmenté en 2025 de 11,5 %… mais restent encore raisonnables.
3. Une culture unique et des traditions vivantes
La Bulgarie mêle traditions, patrimoine religieux ancien, villages figés dans le temps, et festivités folkloriques : ses monastères (comme celui de Rila), villes antiques ou fêtes populaires (Rose Festival de Kazanlak) sont autant de portes ouvertes sur une culture enracinée et captivante.
valeri-terziyski
4. Une future star du voyage durable et accessible
Selon l’expert Simon Calder, la Bulgarie est l’un des spots européens « secrets » à découvrir avant que tout le monde ne s’y précipite : mer Noire, ski, villes historiques, mais surtout une affluence maîtrisée. Bonus : l’intégration complète dans l’espace Schengen depuis le 1er janvier 2025 a rendu les déplacements encore plus fluides…
5. Une gastronomie savoureuse…
Moins connue que la cuisine grecque ou turque, la gastronomie bulgare gagne à être goûtée. Salade Shopska, ragoût de kavarma, yaourt au miel, le tout arrosé de rakia ou d’un verre de vin local : on mange bien, local et sans se ruiner. Bonus : de nombreux plats végétariens ou sans viande, pour ceux que ça concerne. Et clairement, les marchés locaux sont un terrain de jeu idéal pour les gourmands en quête d’authenticité.
Dans la ville classée à l’Unesco, les autorités serrent la vis. Les visites guidées type free tour sont désormais limitées à 30 participants. Les guides trop bruyants risquent jusqu’à 700 € d’amende s’ils osent dégainer un porte-voix.
Ségovie : l’aqueduc sous haute protection
Érigé vers l’an 50, l’aqueduc romain de Ségovie attire les foules… et malheureusement quelques vandales. Résultat : la mairie brandit des amendes de 750 à 3.000 € pour quiconque aurait la mauvaise idée d’y laisser sa « marque ».
Málaga & Marbella : la plage, oui… mais avec décence
À Málaga, mieux vaut se rhabiller avant de quitter la plage et respecter le code de la route en trottinette : faute de quoi, jusqu’à 700 € d’amende. À Marbella, les esprits (et les vessies) doivent rester sages : uriner sur le sable peut coûter jusqu’à 1.500 €. De quoi faire passer l’envie.
Baléares & Canaries : les coquillages restent sur la plage !
Ramasser un coquillage « pour le souvenir » ? Mauvaise idée : la facture peut grimper à 3.000 €. Un selfie suffira, merci pour la biodiversité.
Nigrán : le record des amendes
En Galice, lors de la fête de la San Juan, les feux de plage creusent des trous béants. La mairie a trouvé la parade : une astreinte record de 200.000 € pour protéger l’écosystème. Ça fait cher la braise.
Le Canal du Centre historique : quand l’eau défie la gravité
Notre journée va commencer à Strépy-Thieu, face à un géant de métal qui semble défier les lois de la physique : le célèbre ascenseur à bateaux. Une véritable cathédrale d’ingénierie qui propulse des péniches de plus de 1.000 tonnes… 73 mètres plus haut ! Pour ma part, en bonne curieuse lors de ma visite, je ne me suis pas contentée de l’admirer de l’extérieur : direction le 8e étage pour une expo captivante sur la navigation fluviale. Anecdotes, maquettes, photos anciennes… Il y a de quoi être transporté !
Mais rien ne vaut l’expérience sur l’eau… ce qui est parfaitement possible de faire à bord d’un bateau voguant sur le Canal du Centre historique. La cerise sur le gâteau ? Le passage sur un ancien ascenseur à bateaux, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO ! Et pour la touche ludique, il est même possible de prendre les commandes d’un petit bateau électrique, sans permis !
Chargement en cours…
utopix – vhello
À vélo, entre patrimoine et terrils fleuris
L’après-midi peut parfaitement prendre des airs bucoliques : enfourchez un vélo au départ de Binche pour longer le canal et explorer les alentours ! Entre les anciennes infrastructures industrielles, les ponts mobiles et les petits ports charmants, il y a de quoi prendre une vraie claque de patrimoine vivant ! Et pas d’inquiétude : le dénivelé reste raisonnable…
Bois-du-Luc : mémoire ouvrière au cœur de la ville
À seulement 5 kilomètres de là, une autre étape incontournable : Bois-du-Luc, véritable cité minière figée dans le temps. Là, c’est l’émotion qui prend le dessus. On découvre les anciens ateliers, le puits Saint-Emmanuel, les maisons ouvrières, le corps médical… Un microcosme industriel d’autrefois, inscrit lui aussi à l’UNESCO. Arpentez les ruelles avec le sentiment de marcher dans les pas des mineurs, de leurs familles, de leur quotidien. Même les terrils alentours se sont transformés en havres de verdure, reflets de la résilience de cette terre…
Keramis
Keramis : la céramique comme vous ne l’avez jamais vue
Quelques coups de pédales plus loin, vous voilà devant Keramis, un musée d’un genre à part. Installé sur le site de l’ancienne faïencerie Boch, ce bâtiment à l’architecture contemporaine abrite trois majestueux fours-bouteilles, derniers témoins de leur espèce en Belgique. Entre pièces patrimoniales du XIXe siècle et créations artistiques contemporaines, vous découvrirez une céramique poétique, audacieuse, parfois même provocante. De quoi bousculer les idées reçues !
Impossible de ne pas faire un détour par Binche, à quelques encablures, que l’on connaît bien entendu pour son carnaval ! Cette ville médiévale a gardé tout son caractère : beffroi, remparts, palais de Marie de Hongrie… Et puis, il y a ce musée du Carnaval et du Masque qui, même hors saison, fait vivre l’âme des Gilles. Un patrimoine immatériel de l’humanité comme on en voit peu, profondément ancré dans le cœur des habitants.
WBT – Bruno D'Alimonte
Seneffe : noblesse et nature en majesté
Changement d’ambiance : cap sur le Domaine de Seneffe. Son château néoclassique, cerné de 22 magnifiques hectares de jardins paysagers, est une ode à la vie aristocratique du XVIIIe siècle. Dans les salons, on admire les collections d’orfèvrerie, tandis que les allées invitent à la flânerie. Le tout ponctué par une application mobile originale, “De jour en jour, le XVIIIe siècle”, qui m’a presque donné envie de ressortir ma robe à panier (presque…).
Enfin, pour clôturer cette escapade, direction le Musée royal de Mariemont, au cœur d’un parc de 45 hectares. Une vraie bulle hors du temps, entre arbres remarquables, sculptures monumentales et ruines d’un palais du XVIIIe. À l’intérieur, on voyage d’un continent à l’autre : de l’Égypte ancienne à la Chine impériale, en passant par Rome et la Belgique industrielle. Un condensé d’histoire universelle, dans un écrin d’une beauté rare ! Notez que le musée est temporairement fermé et rouvrira le 22 novembre, avec de jolis châssis tout neufs et surtout, une exposition baptisée « Marie de Hongrie, Art & Pouvoir à la Renaissance ».
MRM
Un territoire, mille visages
Entre ingéniosité humaine, richesses culturelles et splendeurs naturelles, cette région autour de La Louvière prouve qu’elle a mille visages à offrir ! Une destination idéale pour les curieux de tout âge, ceux qui aiment s’émerveiller, comprendre, respirer, pédaler… ou tout simplement prendre le temps !
Les règles légales en matière de garantie sur les biens de consommation, sont basées sur une directive européenne. Cela signifie que si vous achetez un bien dans un autre pays de l’Union européenne, les règles de garantie seront dans une large mesure similaires, et vous aurez en principe également droit à deux ans de garantie.
Si vous achetez quelque chose dans un pays hors Union européenne, vous devez alors consulter la législation locale pour savoir à quelle garantie vous pouvez prétendre. Il est également possible que le vendeur vous accorde une garantie commerciale complémentaire !
Demander la garantie en Belgique ?
En principe, vous rendre dans un magasin belge pour demander une réparation sous garantie d’un produit acheté à l’étranger, ne fonctionnera probablement pas ! Le commerçant belge n’a en effet aucune relation contractuelle avec vous.
Il existe toutefois une exception : si vous avez acheté un produit de marque, et que vous vous adressez ici à un magasin qui vend cette même marque. Le contrat entre ce magasin belge et son fournisseur pourrait contenir une clause l’obligeant à aider les clients ayant acheté ce produit ailleurs (par exemple, en envoyant le produit au fournisseur). Il peut être utile de vous renseigner auprès du magasin ou de l’importateur de la marque pour savoir si une prise en charge est possible en Belgique.
Pas de solution, que faire ?
Si vous ne pouvez pas vous faire aider en Belgique et que vous n’arrivez pas non plus à trouver une solution avec le vendeur étranger (par exemple, s’il refuse de vous rembourser), vous pouvez introduire une plainte auprès du Centre Européen des Consommateurs (ECC Belgique). Ce service peut intervenir si le vendeur est établi dans un autre pays de l’UE, en Norvège ou en Islande.
Les formalités viennent de se simplifier pour les Belges désireux de visiter le Vietnam. Depuis le 15 août, plus besoin de visa touristique pour un séjour de moins de 45 jours au Vietnam !
L’annonce a été faite par Maxime Prévot, ministre belge des Affaires étrangères. Et ce n’est pas un hasard : “C’était l’une des principales revendications que le roi Philippe et moi-même avions formulées lors de la visite d’État au Vietnam en avril dernier,” explique-t-il. “Le Premier ministre vietnamien s’y était engagé… C’est chose faite.”
Une ouverture vers l’Europe… mais pas pour tout le monde
Le Vietnam ne fait pas les choses à moitié : 12 pays européens sont concernés par cette exemption de visa. Outre la Belgique, on retrouve entre autres les Pays-Bas, le Luxembourg, la Pologne ou encore la Suisse. Cette mesure s’inscrit dans une stratégie touristique plus large du gouvernement vietnamien, qui souhaite accueillir plus de voyageurs internationaux, tout en évitant de leur faire perdre du temps dans les méandres administratifs
Avec 37,3 milliards d’euros de recettes internationales enregistrées au premier semestre (+13,7%), la France vise désormais les 100 milliards d’ici 2030. Une somme rondelette à laquelle, manifestement, nous contribuons copieusement ! Pour mémoire, la barre était à 58 milliards en 2019, 63,5 en 2023 et 71 en 2024.
Les autres grands dépensiers
Derrière la Belgique, les États-Unis prennent la deuxième place du podium, suivis par le Royaume-Uni et l’Allemagne. Les arrivées aériennes internationales en France ont grimpé de 2,5% cet été. L’Europe du Nord s’est distinguée : Suédois (+16,6%), Danois (+16,2%), Allemands (+6,3%). Et au-delà du continent, ce sont les Australiens (+30%), Coréens du Sud (+12,3%), Canadiens (+9,35%), Chinois (+2,85%) et Américains (+2%) qui ont renforcé les rangs.
Et les Français eux-mêmes ?
Les Français ont maintenu leurs séjours à 290 millions de nuitées entre fin juin et mi-août. Mais attention : un quart ont raccourci leurs vacances et un tiers ont changé de destination, principalement pour des raisons budgétaires.