Harry Armstrong, responsable du développement durable à la CAA, a déclaré : “Nous voulons tous contribuer à réduire notre impact environnemental, mais il est difficile de faire des choix éclairés lorsque les données ne sont pas disponibles“. Actuellement, le secteur aérien est responsable de 2,5 à 3 % des émissions mondiales deCO2.
Consultation publique et propositions
La CAA lance une consultation, qui durera jusqu’en octobre, sur des propositions visant à garantir que les consommateurs disposent de données environnementales au moment de la réservation. Les informations devront être “exactes, compréhensibles et accessibles” et utiliser des unités standard, telles que les kilos de CO2 par trajet et par passager.
En janvier, l’agence européenne de sécurité aérienne (EASA) avait annoncé que les passagers pourraient consulter à partir de 2025 des informations standardisées sur “l’empreinte carbone” et “l’efficacité carbone” des vols dans l’Union européenne. Cependant, la participation à ce système “d’étiquetage environnemental” se ferait sur la base du volontariat pour les compagnies aériennes.
La visite estivale classique du palais ont déjà bien démarré et depuis le 15 juillet, de nouvelles pièces seront accessibles, a indiqué le Royal Collection Trust, chargé de l’ouverture au public des demeures royales de Charles III. Cependant, il est déjà trop tard pour réserver cette visite inédite : les tickets, vendus à 75 livres sterling (88 euros), sont tous partis en quelques heures en avril !
Un accès exclusif à l’histoire royale
Environ 6.000 personnes ont réussi à obtenir un billet pour visiter l’aile est du palais, construite entre 1847 et 1849 pour loger la famille nombreuse de la reine Victoria. Les visiteurs auront accès au couloir principal, orné notamment de peintures de Thomas Gainsborough, et à la salle adjacente au balcon, qui donne sur le célèbre “Mall” où le public se rassemble lors des grandes occasions.
Un balcon iconique mais inaccessible
Ces visiteurs ne pourront toutefois pas se prêter au jeu d’aller saluer la foule depuis ce balcon, qui ne leur sera pas accessible. Depuis 1851, le monarque et les membres de la famille royale s’y rassemblent pour des apparitions publiques. Le 15 juin encore, la famille royale y est apparue pour la parade d’anniversaire de Charles III.
Une rénovation majeure
L’aile est sera accessible jusqu’à fin août après plus de cinq ans de travaux de rénovation pour un montant de 369 millions de livres (436 millions d’euros). La visite estivale classique de Buckingham est possible jusqu’à fin septembre.
Cette journée a non seulement transformé le paysage des transports à Londres, mais a également posé les bases pour les réseaux de métro globaux, influençant profondément la planification urbaine dans le monde entier !
Contexte et développement
À l’époque victorienne, Londres était une métropole en pleine expansion, mais elle souffrait de congestion sévère (l’automobile n’existait pas encore) et de pollution atmosphérique due à la combustion du charbon. La nécessité de trouver une solution efficace pour le transport de masse était impérative. L’idée d’un chemin de fer souterrain a été envisagée comme une solution novatrice pour décongestionner les rues bondées.
Orva Studio
Un chantier complexe
La construction du Metropolitan Railway, comme on l’appelait alors, a commencé en 1860. Ce fut un projet audacieux et techniquement difficile, impliquant le creusement de tranchées, puis la construction de voûtes en briques au-dessus pour créer les tunnels. Le projet a dû surmonter de nombreux défis, y compris des problèmes logistiques et des oppositions publiques dues aux perturbations et au bruit.
L’inauguration
Le jour de l’inauguration, le métro de Londres a ouvert ses portes au public avec un parcours entre Paddington (alors appelé Bishop’s Road) et Farringdon Street. Les premiers passagers ont été émerveillés par cette innovation. Les trains, tirés par des locomotives à vapeur (avec des systèmes de cheminée pour extraire la fumée), traversaient les tunnels illuminés uniquement par une faible lumière au gaz, créant une atmosphère à la fois mystérieuse et excitante.
L’impact immédiat et le succès
L’accueil du public fut extrêmement positif. Le métro transporta 38 000 passagers le premier jour, et ce nombre a rapidement augmenté. Le succès du Metropolitan Railway a encouragé l’expansion rapide du réseau, qui s’est étendu pour inclure plusieurs autres lignes et a servi de modèle pour les futures constructions de métro dans le monde entier.
Pau Casals
Le TUBE !
L’inauguration du métro de Londres a non seulement facilité les déplacements dans la capitale britannique mais a également révolutionné les concepts de transport urbain. Il a démontré la viabilité du transport souterrain et a inspiré d’autres villes à développer leurs propres systèmes de métro, y compris Paris et New York. Aujourd’hui, le réseau du métro de Londres, communément appelé le “Tube”, est l’un des plus étendus et les plus fréquentés au monde.
La compagnie ferroviaire Eurostar a dévoilé les aménagements en cours au départ de Londres, d’un coût de 10 millions d’euros, pour se préparer à l’entrée en vigueur du système automatisé d’entrée et sortie de l’UE (EES) prévue pour le 6 octobre. Eurostar et HS1 affirment que le temps pour les procédures en gare ne sera que marginalement rallongé. Cependant, la compagnie continuera à recommander aux voyageurs d’arriver à Londres St Pancras entre 60 et 90 minutes avant le départ.
Procédures pour les voyageurs non-européens
Les Britanniques ou non-Européens sans visa de séjour européen devront s’enregistrer préalablement en ligne ou via une application, puis sur une borne à leur arrivée à St Pancras. Les voyageurs devront scanner leur passeport, leurs empreintes digitales et une photo biométrique sera prise. Ils répondront également à quatre questions de sécurité. Ensuite, ils passeront par le contrôle des bagages, suivis de deux postes frontière : un pour la sortie du Royaume-Uni et un pour l’entrée dans l’UE. Les empreintes digitales seront de nouveau prises si c’est leur premier passage après un enregistrement en ligne, chaque formulaire rempli étant valable pour trois ans.
Enregistrement simplifié pour les Britanniques
Pour entrer au Royaume-Uni, les citoyens britanniques devront également s’enregistrer dans des bornes avant le passage aux postes-frontières. Pour les citoyens de l’UE, il n’y aura pas de changement immédiat, mais le Royaume-Uni prévoit de mettre en place son propre système, l’ETA, à une date encore non confirmée.
Inquiétudes sur les retards potentiels
Début 2024, un comité parlementaire britannique avait alerté sur les retards importants, pouvant aller jusqu’à 14 heures, que l’EES pourrait entraîner aux frontières. Malgré ces préoccupations, Eurostar et HS1 restent confiants dans leur capacité à minimiser les impacts pour les voyageurs.
Nous sommes au début de l’année 1930 et si le crash boursier de 1929 a provoqué un séisme outre-Atlantique, l’Europe reste encore frivole pour quelques mois… L’époque est à la légèreté d’esprit mais à la puissance mécanique. Que ce soit sur la route ou sur les rails, la vitesse compte ! Et lorsqu’un improbable sujet britannique se met en tête d’humilier le train le plus prestigieux de l’époque, cela donne une histoire folle… et pourtant bien réelle !
Woolf Barnato est l’un de ces personnages hauts en couleurs qui a marqué tous ceux qui l’ont croisé. Il faut dire que le gaillard a tout pour lui : riche héritier, il excelle dans tous les sports, a prouvé ses talents de businessman et, cerise sur le gâteau, est gâté par un physique avenant. Ce colosse au regard envoûtant a d’ailleurs sauvé le constructeur Bentley de la faillite, tout en s’octroyant trois victoires aux 24 heures du Mans au volant de l’un de ces bolides ! Quiconque connaît la réputation de l’épreuve et la rudesse des véhicules d’avant-guerre, et en particulier de ces lourdes Bentley, saluera la performance…
Le train bleu
Le train bleu, ou, dans la langue de Shakespeare, le « Blue Train » était une merveille de technologie et de raffinement pour l’époque : ce train était en effet capable de relier Calais à Cannes (et vice-versa, bien entendu) en un temps record. De quoi ravir les riches Britanniques, aussi friands du climat méditerranéen que des services proposés à bord, que l’on disait au niveau des meilleurs hôtels ! Les performances de ce train servirent également de point de comparaison, notamment à la firme Rover qui parvint à battre ce monument ferroviaire sur la liaison Cannes-Calais.
12 mars 1930, hôtel Carlton, à Cannes.
Les habitués de l’hôtel Carlton à Cannes, n’ont certainement pas manqué une miette du pari insensé lancé par ce sujet britannique, aussi séduisant que costaud et… fort en gueule ! Woolf Barnato s’est en effet fait fort de rappeler à un certain Dale Bourne, grand amateur de golf et de… vitesse, que le record de Rover était de la roupie de Sansonnet. Il lui paria ainsi 100 livres, une somme conséquente à l’époque, qu’il pouvait rejoindre Londres… avant que le train bleu n’arrive en gare de Calais !
13 mars 1930, gare de Cannes.
Il est 17h45 et le train bleu s’apprête à quitter la gare de Cannes. De son côté, devant son hôtel, Woolf Barnato engloutit un verre de Champagne et d’une voix de basse ordonne à Dale Bourne d’embarquer dans la Bentley Speed Six, dernier modèle de la firme. Considérée comme le « camion le plus rapide du monde » par un certain Ettore Bugatti, les Bentley de cette époque étaient d’une rapidité foudroyante… pour qui avait les biceps suffisamment épais pour les manœuvrer !
Dans un grondement rauque, la Bentley s’évanouit dans la nuit et part pour cette course insensée… Mais bien préparée : Woolf Barnato a anticipé son affaire, en embarquant quantité de bidons d’essence à bord et en prévoyant un ravitaillement en précieux carburant à Auxerre avec un camion-citerne commandé pour l’occasion. Hélas, les smartphones n’existent pas encore et les deux se cherchent désespérément durant la nuit pour se trouver.
Le plein fait, Barnato décide de rattraper le temps perdu en lançant sa machine dans une samba des plus convaincantes, Bourne s’accrochant comme il peut à son siège. Le brouillard, la pluie et la nuit : les conditions sont dantesques et une crevaison tentera de rappeler à l’équipage la futilité du pari, mais Barnato s’obstine. La Bentley dérape, glisse, mais son pilote reste arc-bouté sur l’accélérateur. Le combat semble porter ses fruits et le titan anglais décide même de céder le volant à son adversaire du jour, le temps de reposer des muscles endoloris. Paris est avalé, Calais est en vue.
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14 mars 1930, Calais.
Il est 10h30. Les 3 « B » (Barnato, Bourne et la Bentley) arrivent à Calais avec… une heure d’avance sur le départ du Ferry qui doit les amener en Angleterre. De quoi refroidir la mécanique et réveiller les hommes, qui décident de prendre le petit-déjeuner sur place. La traversée et le reste du trajet ne seront que des formalités : à 15h20, Woolf Barnato et Dale Bourne se garent devant le Conservative Club à Londres. Les gentlemen, au courant de la course, applaudissent l’exploit et sortent le champagne. Barnato a gagné son pari avec 4 minutes d’avance… Autre temps, autres mœurs, où la satisfaction d’un égo valait bien une gigantesque prise de risques ? Certes, mais Bentley écopera tout de même d’une copieuse amende de 160 livres pour s’être livré à une course sur la voie publique !
Epilogue
Cet exploit sonne le glas d’une époque et le sort commença à s’acharner sur le grand séducteur : son palais anglais fut la proie des flammes, son épouse ne put supporter davantage son comportement volage, tandis que Bentley, sa marque chérie et dont il était actionnaire, ne profita pas de son invraisemblable coup de pub et fut vendue à Rolls-Royce quelques mois plus tard… Le 27 juillet 1948, âgé de 53 ans mais torturé par un cancer, Woolf Barnato rendit son dernier souffle.
Londres a décidé de mettre un terme aux espoirs européens concernant la mobilité des jeunes entre le Royaume-Uni et l’Union européenne. La Commission européenne avait présenté un projet décrit comme “ambitieux mais réaliste“, permettant aux jeunes de 18 à 30 ans de rester jusqu’à quatre ans dans le pays d’accueil. Cependant, Downing Street a fermement écarté l’idée, affirmant qu’il n’y aura pas de programme de mobilité à l’échelle de l’UE et que la libre circulation des personnes, terminée avec le Brexit, ne serait pas réintroduite. Douche froide…
Quelles alternatives ?
Le porte-parole de Downing Street a précisé que le Royaume-Uni a déjà établi des accords bilatéraux avec 13 pays, y compris l’Australie et la Nouvelle-Zélande et reste ouvert à l’idée de négocier avec d’autres partenaires internationaux, y compris les États membres de l’UE, “lorsque c’est dans l’intérêt du Royaume-Uni et que cela favorise les compétences et les perspectives de nos jeunes“.
Impact sur les étudiants
L’impact du Brexit sur les étudiants est significatif. Les jeunes de l’UE désireux d’étudier au Royaume-Uni sont désormais confrontés à des frais de scolarité nettement plus élevés, en moyenne 22.000 livres par an pour un diplôme de premier cycle, contre environ 9.000 livres pour les résidents du Royaume-Uni.
La BT Tower, l’un des édifices les plus emblématiques de la skyline londonienne, va devenir un hôtel ouvert au grand public. Celle qui n’est aujourd’hui plus utilisée par le groupe de télécommunications BT en tant qu’immeuble de bureaux, a été cédée au groupe hôtelier américain MCR pour la coquette somme de 275 millions £, soit plus de 321 millions €. Le bâtiment a été construit en 1964 et inauguré un an plus tard. Il affiche une hauteur de 189 m ce qui lui a permis d’être le plus haut bâtiment de la métropole anglaise jusqu’en 1980. Celui-ci va donc être converti en un hôtel haut de gamme mais il faudra plusieurs années avant que le projet ne soit concrétisé.
S’il faudra donc patienter avant de pouvoir y réserver une chambre, le projet est néanmoins bel et bien acté : “MCR a l’intention d’assurer l’avenir de cette tour emblématique, inaugurée en 1965 dans le quartier londonnien de Fitzrovia et classée Grade II par la Commission des bâtiments et monuments historiques d’Angleterre, en la transformant en hôtel et en l’ouvrant au public”, a confirmé un communiqué publié par l’acquéreur.
La transformation de la tour ne sera néanmoins pas une mince affaire. En effet, il faudra d’abord plusieurs mois à BT pour vider les locaux qui contiennent encore une série d’équipements techniques lourds. Ensuite, il faudra également beaucoup de temps pour développer le nouvel aménagement ainsi que le design des locaux. Le tout sera orchestré par le bureau d’architecture londonien Heatherwick Studio.
Pour MCR, ce chantier d’ampleur est tout sauf une première. En effet, le groupe hôtelier s’est déjà illustré par d’autres projets hors norme. MCR avait notamment signé le TWA Hotel, seul hôtel à être directement sur le site de l’aéroport JFK à New York, dans l’ancien terminal TWA construit par Howard Hughes et dessiné par Eero Saarinen. Fondé en 2006, le groupe MCR est le troisième plus grand propriétaire-exploitant d’hôtels outre-Atlantique. L’entreprise possède un portefeuille de 5 milliards $, composé d’un peu plus de 150 adresses. MCR exploite des hôtels sous 29 marques, dont neuf Marriott et huit Hilton.
Le règne de Jean sans Terre est marqué par de coûteux échecs militaires, une fiscalité oppressante et des abus de pouvoir. Ces tensions deviennent telles que les barons se révoltent et exigent du roi des garanties écrites pour leurs droits et libertés.
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La Magna Carta
La Magna Carta, ou Grande Charte, est un traité de paix entre Jean et ses barons. Elle comprend 63 clauses qui limitent les pouvoirs du roi, garantissent certains droits fondamentaux et établissent que la volonté du roi est soumise à la loi. Bien que de nombreuses clauses soient spécifiques à l’époque, certaines, comme le droit à un procès équitable, ont une résonance universelle et sont toujours appliquées aujourd’hui.
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Quel héritage aujourd’hui ?
Bien que la Magna Carta ait été annulée peu après sa création, elle a été réémise à plusieurs reprises au cours des siècles suivants. Son principe selon lequel le pouvoir doit être limité et contrôlé est devenu un pilier des démocraties modernes. A Runnymede, vous trouverez d’ailleurs un mémorial, érigé par l’American Bar Association, qui rend hommage à cet héritage.
Se promener dans Old Aberdeen, c’est comme remonter le temps. Les rues pavées, bordées de bâtiments historiques en granit, vous transportent dans l’histoire écossaise. La King’s College Chapel, avec sa couronne perchée au sommet, est un chef-d’œuvre architectural qui semble tout droit sorti d’un conte de fées. Flânez dans les jardins de Cruickshank Botanic ou perdez-vous dans les allées du Seaton Park, où chaque coin révèle un petit trésor !
Situé au cœur de la ville, l’ « Aberdeen Maritime Museum » rend hommage à la longue relation entre la ville et la mer. Ce musée, qui surplombe le port animé, offre des expositions captivantes sur la construction navale, la pêche et l’industrie pétrolière offshore. La vue panoramique depuis le musée embrasse le port, où le ballet incessant des bateaux rappelle l’importance vitale de la mer pour Aberdeen !
3. Duthie Park et le Winter Gardens : un éden vert
Duthie Park, avec ses vastes pelouses et ses sentiers sinueux, est un écrin de verdure en plein cœur de la ville. Le clou du spectacle est le Winter Gardens, l’un des plus grands jardins sous serre d’Europe, abritant une collection stupéfiante de plantes exotiques et rares. Se promener ici, c’est voyager à travers les continents, des cactus du désert aux fougères tropicales humides. Qui l’eut cru, au beau milieu de l’Ecosse ?
4. Aberdeen Beach : entre sable et vagues
La plage d’Aberdeen est un lieu de contrastes, où la brise marine rafraîchissante (et c’est peu de le dire) et le cri des mouettes se mêlent à l’animation du front de mer. La digue est ponctuée de cafés et de restaurants où déguster les fruits de mer locaux.
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5. Le Château de Dunnottar : une forteresse au-dessus des flots
À une courte distance d’Aberdeen, le Château de Dunnottar se dresse, spectaculaire, sur un promontoire rocheux battu par les vagues. Visiter ce château, c’est plonger dans l’histoire tumultueuse de l’Écosse, ses légendes et ses batailles. La vue sur la mer depuis les ruines est à couper le souffle, un panorama sauvage où le ciel et l’océan se rencontrent dans une harmonie parfaite ! Honnêtement, nous, on craque !
Le maire de Londres n’a pas hésité à critiquer l’approche « extrêmement dure » du gouvernement conservateur envers le Brexit. Il a également pointé du doigt l’attitude du parti travailliste, qu’il accuse de maintenir un silence sur la question d’une possible réintégration économique avec l’UE.
La jeunesse londonienne, première victime du Brexit
Selon Khan, les jeunes londoniens ont particulièrement souffert des répercussions du Brexit. Le départ du programme Erasmus et les difficultés accrues pour travailler à l’étranger sont des exemples concrets de ces impacts négatifs.
Vers un nouveau programme de mobilité ?
Dans sa quête d’un troisième mandat, Sadiq Khan envisage la création d’un programme de mobilité pour les jeunes, qui bénéficierait non seulement à Londres mais aussi au Royaume-Uni dans son ensemble, sur les plans économique, culturel et social.
Londres, une ville européenne malgré le Brexit
Le maire insiste sur le fait que, bien que le Royaume-Uni ait quitté l’UE, Londres reste et demeurera une ville profondément européenne. De quoi remettre en question l’obligation de passeport ?