Le Blue Lagoon, perle turquoise de l’île de Comino, vivait ces dernières années sous la pression d’un surtourisme XXL : jusqu’à 12.000 visiteurs en même temps aux heures de pointe.
Depuis cet été, l’outil « Book. Protect. Enjoy. » régule les entrées via une réservation gratuite en ligne. Le quota : 4.000 visiteurs par créneau (matin, après-midi, soirée). Résultat ? Une fréquentation mieux répartie et un plongeon de 68 % des pics d’affluence.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes :
Record de l’été : 3.830 visiteurs (contre 12 000 en 2024).
Moyenne : 1.979 visiteurs par créneau.
Seuls 34 créneaux sur 189 ont franchi les 3.000 personnes.
La Malta Tourism Authority (MTA) ne s’est pas arrêtée là : zones de baignade élargies, nettoyage renforcé, sauveteurs et patrouilles supplémentaires, signalétique claire… Bref, le lagon se refait une santé, et les visiteurs profitent d’une expérience plus sereine.
Carlo Micallef, CEO de la MTA, l’affirme : « En limitant le nombre de visiteurs aux heures de pointe et en répartissant les flux, le système de réservation nous permet de protéger le Blue Lagoon tout en offrant une meilleure expérience aux visiteurs. »
Le ministère du Tourisme et des Antiquités égyptien a confirmé la disparition d’un trésor : un bracelet en or orné de perles sphériques en lapis-lazuli. L’objet, daté du règne d’Aménémopé (1070-945 av. J.-C.), aurait purement et simplement disparu du laboratoire de restauration du Musée égyptien du Caire.
Alerte rouge dans les aéroports
Une enquête interne a immédiatement été déclenchée. Pour éviter que le bijou ne prenne un vol direction l’Europe, les autorités ont diffusé une alerte à toutes les unités archéologiques postées dans les aéroports, ports et points d’entrée du pays. Les chercheurs épluchent aussi les registres, car la disparition n’aurait été remarquée qu’il y a trois jours, lors d’un inventaire préalable à l’exposition Trésors des pharaons, attendue à Rome en octobre.
Plus qu’un bijou, un symbole
Pour l’égyptologue Jean Guillaume Olette-Pelletier, interrogé par l’AFP, ce bracelet est « scientifiquement l’un des plus intéressants ». En Égypte antique, l’or incarnait la chair des dieux, et le lapis-lazuli symbolisait les cheveux divins. Autrement dit, porter ce bijou revenait à afficher une carte VIP pour l’éternité !
Un musée sous tension
Avec plus de 170 000 pièces dans ses collections, le Musée égyptien du Caire a déjà l’habitude de garder les secrets des pharaons. Mais entre l’affaire du bracelet et la préparation du transfert des trésors de Toutânkhamon vers le flambant neuf Grand Musée Égyptien, l’automne s’annonce aussi chargé que stressant.
Car sur ce territoire ultramoderne, plus de 40% du sol est classé en parcs naturels et réserves. Vingt-cinq parcs et réserves, pour être précis, qui s’étendent entre mer, forêts et montagnes escarpées. Mieux encore : on y accède facilement et rapidement depuis les quartiers les plus trépidants grâce au métro, au bus, au ferry ou au taxi. À Hong Kong, il est donc tout à fait possible de flâner entre les boutiques de Central le matin, et de s’offrir une randonnée ou une pause balnéaire l’après-midi.
Hong Kong Tourism Board
Une île, mille balades
La plus célèbre des randonnées hongkongaises, c’est sans doute celle du Dragon’s Back. Ce sentier facile à modéré, accessible à tous, serpente le long d’une crête verdoyante qui surplombe de belles plages comme celle de Shek O. Comptez environ 2 heures pour cette boucle en pleine nature, avec une arrivée au bord de l’eau si vous poussez jusqu’à la plage de Big Wave Bay. Le tout à moins de 45 minutes du centre-ville, transports inclus !
Autre panorama spectaculaire : La Peak Circle Walk, une balade sur sentier ombragé qui entoure le sommet du Victoria Peak. Depuis le Lugard Road Lookout, la vue se déploie sur la baie Victoria, de Sheung Wan à Tsim Sha Tsui, avec le ballet des ferries, les reflets du soleil sur les tours et les collines qui bordent la ville. Le sentier offre également des vues sur le littoral au sud. Une randonnée courte d’environ 1 heure, mais inoubliable !
Hong Kong Tourism Board
L’appel du large
Hong Kong, ce sont aussi 261 îles. Parmi elles, Lantau et Lamma offrent des escapades parfaites pour s’aérer, loin des gratte-ciels. Sur Lamma, on déambule entre plages paisibles, restaurants de fruits de mer et sentier de randonnée entre collines boisées et villages de pêcheurs. À Lantau, on découvre un décor plus spectaculaire : forêts épaisses, sommets imposants, monastèreperché et bouddha géant. L’un des itinéraires les plus impressionnants vous amène au sommet du Sunset Peak, troisième plus haut sommet du territoire. Le nom parle de lui-même : les couchers de soleil y sont à couper le souffle. On ne manque Tai O, un village de pêcheurs réputé pour ses canaux, ses fruits de mer et son atmosphère authentique.
Hong Kong Tourism Board
Quant aux Nouveaux Territoires, ils sont le royaume des randonneurs aguerris, avec notamment le MacLehose Trail, une traversée de 100 km découpée en dix sections. Celle autour du High Island Reservoir, entre falaises volcaniques et criques turquoise, est une merveille géologique classée par l’UNESCO.
Hong Kong Tourism Board
La mer en ligne de mire
À Hong Kong, la nature se vit aussi les pieds dans l’eau. De nombreuses plages, certaines très accessibles comme Repulse Bay ou Clear Water Bay Second Beach, d’autres plus secrètes, permettent de se détendre ou de s’essayer à une foule d’activités : canoë, stand-up paddle, surf, ou encore snorkeling et vélo côtier dans certaines zones. Et toujours avec en toile de fond une mer d’un bleu profond, et les collines verdoyantes qui plongent dans l’océan.
Une semaine au grand air
Ce que l’on retient de ce dépaysement si proche du centre urbain, c’est sa facilité d’accès. À Hong Kong, la nature n’est jamais loin, les transports publics sont efficaces, et l’offre est si variée que l’on peut moduler son programme selon la météo, l’envie ou l’énergie du jour. Pas besoin de changer d’hôtel, on peut profiter des activités en plein air le matin, l’après-midi ou toute la journée avant de revenir en ville. Une semaine n’est pas de trop pour goûter à cette richesse d’expériences !
Hong Kong Tourism Board
Et bonne nouvelle : aucun visa n’est requis pour les voyageurs belges séjournant moins de 90 jours. Un passeport en poche, et à vous les sentiers suspendus au-dessus de la mer, les petits ports paisibles, les criques sauvages et les couchers de soleil d’exception.
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D’après Statbel, 3,7 millions de voyages ont mené les Belges hors frontières lors des trois premiers mois de cette année 2025. La France reste la grande gagnante avec plus d’un million de visites, suivie par les Pays-Bas (437.000), l’Espagne (386.000), l’Italie (231.000) et l’Allemagne (219.000). En dehors de l’UE, 300.000 escapades ont eu lieu dans d’autres pays européens et environ 400.000 audacieux ont tenté l’aventure hors du continent.
La motivation avant tout personnelle
Pas de surprise : plus de 91% des déplacements étaient liés à des raisons personnelles, comme le tourisme, les retrouvailles familiales ou les visites d’amis. Le voyage d’affaires, lui, reste visiblement une espèce en voie de disparition.
Le charme du local
Et quand ils ne franchissent pas les frontières, les Belges ne boudent pas leurs classiques. La Côte belge arrive en tête avec près de 400.000 séjours au premier trimestre. L’Ardenne suit de près (344.000), puis les villes d’art (304.000). Dans le reste du pays, 527.000 voyages ont été comptabilisés, preuve qu’un week-end à deux pas de chez soi peut encore séduire.
Et croyez-moi, il y a peu d’endroits où automne et gastronomie s’accordent avec autant d’élégance que dans cette petite ville des Cantons de l’Est, nichée entre forêts profondes et vallées tranquilles. Moi, c’est simple : j’ai chaussé mes bottines le matin, savouré un filet de chevreuil aux airelles à midi, puis recommencé le lendemain. Et je vous raconte tout…
Balades aux couleurs d’automne
Avant de parler d’assiette, parlons un peu de paysage. Car ici, en Ardenne-Eifel, la nature est reine, surtout en automne où chaque sentier semble dérouler un tapis de feuilles ocre et or sous vos pas ! Entre la réserve naturelle des Hautes Fagnes, les rives paisibles de l’Our ou encore les collines boisées autour de Saint-Vith, on peut marcher des heures sans croiser âme qui vive – si ce n’est un écureuil pressé ou un chevreuil curieux.
WBT – Julien Libert – Sentiers du Phoenix
Mon conseil ? Laissez-vous guider par l’application Nodemapp. Elle permet de concocter son propre itinéraire à travers 1.300 km de sentiers balisés : petits chemins bucoliques, crêtes aux vues imprenables, et même des circuits en boucle pour les amateurs de pique-niques rustiques (et les distraits qui oublient où ils ont garé la voiture).
La saison du gibier bat son plein
Mais le clou du spectacle, c’est quand on rentre de balade, les joues rosies et les jambes heureuses, pour se poser à table. Et à Saint-Vith, on ne plaisante pas avec le bien-manger. La ville, pourtant modeste par sa taille, est une vraie capitale gourmande !
Birgit Sterckx
Mon coup de cœur reste sans conteste le restaurant du Relax Hotel Pip Margraff. Installé dans un hôtel quatre étoiles au charme feutré, cet écrin culinaire conjugue tradition et raffinement, avec une cuisine qui sublime les produits de saison. Et en automne, c’est la fête du gibier, avec des menus à faire fondre même les plus réticents aux plats forestiers !
Une table, mille attentions
Le menu 4 services du restaurant varie selon les arrivages et les inspirations du chef. Pour les plus gourmets (et les plus gourmands), l’Arrangement Gourmet proposé par l’hôtel permet de vivre une vraie parenthèse enchantée : deux nuitées, un menu 4 services, un menu 7 services, petits-déjeuners copieux, et accès libre au spa. Vous l’aurez compris, c’est l’option rêvée pour celles et ceux qui veulent randonner le matin et festoyer le soir, sans compromis.
Sarah Linden Fotografie
Et si l’on préfère un déjeuner plus simple, le lunch du midi coche lui aussi toutes les cases : fraîcheur, saisonnalité, rapidité. Ajoutez à cela une carte des vins digne d’un caviste amoureux, avec une belle sélection de crus français, belges, luxembourgeois, allemands et italiens, et vous obtenez une expérience complète, du verre à l’assiette.
Spa, sieste et douceurs d’automne
Entre deux repas (il faut bien digérer !), le spa du Pip Margraff est l’endroit idéal pour s’accorder une pause. Imaginez : jacuzzi bouillonnant, saunas parfumés, hammam enveloppant, piscine à rocaille et salle de repos baignée de lumière douce. C’est tout ce qu’il faut pour reposer corps et esprit avant une nouvelle balade en forêt… ou un autre menu gastronomique, selon l’ordre des priorités.
Sarah Linden Fotografie
Un automne à vivre pleinement
En quittant Saint-Vith, j’avais cette impression étrange de partir trop tôt. Comme si chaque virage de sentier, chaque bouchée fondante, chaque verre levé au soleil couchant faisait partie d’un ensemble plus grand, une parenthèse d’automne à savourer jusqu’à la dernière feuille tombée.
Alors, si vous cherchez une escapade qui allie nature et gourmandise, effort et réconfort, bois dorés et gibier mijoté, ne cherchez plus : Saint-Vith est votre destination. Venez goûter l’automne comme vous ne l’avez jamais goûté !
Niché dans les Ardennes luxembourgeoises, au Grand-Duché, cet hôtel offre une expérience unique ! Détente et relaxation, luxe et raffinement sont au programme de l’escapade. Le style, art déco, résolument chic habille l’hôtel avec élégance.
Une suite de rêve pour un séjour idyllique
Nous avons séjourné dans une des 22 suites de l’hôtel. J’aurais voulu ne jamais repartir. J’ai adoré la moquette épaisse, le lit immense et confortable, l’éclairage tamisé. Dans notre salle d’eau, il y avait une baignoire surplombée d’un ciel étoilé : les spots, encastrés dans le plafond, avaient été rassemblés pour créer cet effet magique. Trop joli !
Clervaux Boutique Hôtel
Détente absolue au Spa Cinq Mondes
Le Spa Cinq Mondes nous a permis de vivre un moment hors du temps. Eaux cristallines, chaleur du sauna et du hammam, massage relaxant, bain bulles, cabine infrarouge, cascade douce… Ma découverte ? La grotte saline. Je n’avais encore jamais été dans un tel endroit. L’espace thermal est grand (800 m²), ce qui permet d’assurer la tranquillité de tous. Nous avons partagé un moment ressourçant dans cette oasis de bien-être.
Clervaux Boutique Hôtel
Saveurs raffinées au restaurant Le Chloé
Nous avions réservé une table au cœur de Clervaux, au restaurant Le Chloé, accessible depuis la réception de l’hôtel Koener. Quel joli décor : du bois verni, de vastes fenêtres et un lustre majestueux créent l’ambiance. La cuisine française qui y est servie est raffinée : le menu 3 services nous a parfaitement convenu. La pêche du jour nous a particulièrement plu ! Quant à la Pavlova, que vous en dire ? Un délice ! Vous avez aussi la possibilité de vous restaurer à la Brasserie Koener, autre établissement emblématique de Clervaux.
Le Clervaux
Promenades bucoliques dans les Ardennes
Évidemment, si on se rend dans les Ardennes, c’est aussi pour profiter de la nature. Le village de Clervaux est un bel endroit de flânerie. Le cadre est pittoresque, avec la vallée, traversée par la rivière de la Clerve. Nous sommes partis explorer les forêts alentours. Moi, je suis encore très amoureuse du papier : j’avais choisi, à la réception de l’hôtel, des cartes de promenade détaillée. Mon compagnon est plus moderne : il a téléchargé l’application LetzTrail qui propose des parcours dans la région.
Sachez que l’office du Tourisme est juste en face de l’hôtel : vous y trouverez des tas d’informations sur ce qu’il y a à faire ici. Itinéraires vélo, expositions, visites de lieux culturels sont à vivre ici !
La côte belge s’apprête à accueillir une véritable marée culinaire avec l’action “Zee van Smaak”, organisée par Westtoer. Plus de 100 chefs – de La Panne à Knokke – joueront avec les produits de saison de la mer du Nord, entre traditions revisitées et créations contemporaines.
Des assiettes iodées
Au menu : barbue, sole, calamar, sans oublier les reines locales, les crevettes grises. Jurgen Vanlerberghe, directeur de Westtoer, se réjouit : « L’an dernier, 88 chefs étaient de la partie. Ils sont cette fois plus de 100 ».
Un guide en poche
Pour ne pas se perdre dans ce dédale gourmand, un guide de poche gratuit sera disponible dans les offices de tourisme et les restaurants. On y retrouve des pépites comme les calamars au jus de crevettes du Marquize (Middelkerke), la barbue au bouillon de seiche et cèpes chez le chef étoilé Dimitri Proost (Ostende), ou encore les assiettes nostalgiques de Nel Decrits au Petit Comité (La Panne).
Que vous soyez amateur de golf, adepte du bien-être ou fin gourmet, cet hôtel 4 étoiles réunit tous les ingrédients pour un séjour parfait où se mêlent nature, relaxation et plaisirs de la table.
Un cadre enchanteur pour une déconnexion totale 🍃🏡
Dès l’arrivée, le dépaysement est total. Oubliez le tohu-bohu urbain, seuls le chant des oiseaux et la douce lumière dorée de fin d’été qui se reflète sur les greens et les forêts environnantes viennent vous titiller.
Bois d'Arlon
L’architecture moderne et épurée de l’hôtel, ses grandes baies vitrées ouvertes sur la nature, et sa décoration sobre et chaleureuse donnent le ton : ici, on respire, on ralentit et on savoure chaque instant…
Dans la chambre, l’impression de luxe et de confort est immédiate ! Les grandes fenêtres dévoilent une vue imprenable sur les prairies et les parcours de golf, offrant un réveil tout en douceur, bercé par la lumière matinale. Un tableau parfait !
Bien-être et spa : une bulle de détente au cœur de l’hôtel 🧖♀️🌿
Quoi de mieux pour prolonger l’été qu’une session bien-être au Spa Cinq Mondes, véritable joyau de l’hôtel ? Perché au 1er étage, avec ses grandes baies vitrées ouvertes sur la nature, ce spa rooftop offre un cadre exceptionnel pour une parenthèse de pure détente.
Bois d'Arlon
Le programme idéal ?
Se délasser dans le bassin d’eau chaude, bercé par une atmosphère apaisante.
Profiter du sauna et du hammam, parfaits pour libérer les tensions.
S’offrir un soin ou un massage, seul ou en duo, pour une déconnexion totale.
S’installer dans le jacuzzi extérieur sur la terrasse, face à un panorama à couper le souffle sur la nature environnante.
Enveloppé dans un peignoir moelleux, une tisane à la main, on se surprend à vouloir arrêter le temps pour prolonger ce moment de bien-être… C’est cliché, mais on en raffole !
Bois d'Arlon
Un parcours de golf d’exception pour prolonger l’été ⛳🏌️♂️
Pour les amateurs de golf, le Bois d’Arlon Golf & Resort est un terrain de jeu rêvé. Avec ses deux parcours complémentaires – le Heathland (18 trous) et le Parkland (9 trous) – il offre un cadre unique pour perfectionner son swing en pleine nature.
L’un des gros atouts ? Le sol sablonneux, qui permet de jouer toute l’année, même lorsque l’automne s’installe. Pour les novices, l’Académie du golf propose des initiations encadrées par des pros, histoire de découvrir ce sport dans les meilleures conditions…
Une table gourmande face aux greens 🍽️🍷
Après une journée de détente et d’activité en plein air, place aux plaisirs de la table ! La Brasserie G, le restaurant de l’hôtel, invite à une pause gourmande dans un cadre chaleureux et lumineux.
Bois d'Arlon
Avec ses grandes baies vitrées en forme de “G” et sa terrasse panoramique, le lieu est parfait pour savourer un repas en admirant les couleurs dorées du coucher de soleil sur le green.
Au menu ? Une cuisine généreuse et réconfortante, mettant à l’honneur les produits frais et locaux, avec un accent sur les saveurs authentiques. Un bon verre de vin pour accompagner le tout, et la soirée devient un moment suspendu hors du temps !
Bois d'Arlon
Pourquoi choisir le Bois d’Arlon pour une escapade de fin d’été ?
✔️ Un hôtel 4 étoiles niché en pleine nature, idéal pour une coupure loin du stress quotidien.
✔️ Un spa rooftop avec une vue incroyable sur la nature, parfait pour prolonger les bienfaits de l’été.
✔️ Un golf exceptionnel, jouable toute l’année, idéal pour les passionnés comme pour les novices.
✔️ Une brasserie conviviale et gourmande, où la cuisine de terroir est mise à l’honneur.
✔️ Une situation idéale, accessible en quelques heures depuis Bruxelles, Luxembourg ou la France.
Que vous soyez en quête d’une escapade en amoureux, d’un week-end bien-être ou d’un séjour golfique, le Bois d’Arlon Golf & Resort est LA destination idéale pour une fin d’été tout en douceur.
1. Les dunes de Tottori : mini-Sahara au pays du sushi
Si on vous dit “désert au Japon”, vous pensez à une blague ? Et pourtant, les dunes de Tottori sont bien réelles. Ce paysage surréaliste, digne du Maghreb, s’étire sur 14 km le long de la mer du Japon, avec des vagues de sable allant jusqu’à 90 mètres de hauteur. Vous pouvez y faire de la randonnée, du parapente ou du “sandboard” comme sur les pistes de ski… mais en version granuleuse.
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Peu fréquenté, ce coin est aussi l’occasion de découvrir le Musée du Sable, un lieu étonnant qui accueille chaque année des sculptures monumentales. Tottori, c’est l’art, la nature et une bonne dose de vent.
2. Le château de Takeda : ruines mystiques dans la brume
Surnommé le “Machu Picchu japonais”, Takeda semble flotter dans les nuages quand la brume s’installe. Cet ancien fort du XVe siècle est perché à 353 mètres d’altitude. Le panorama y est juste hallucinant, surtout au lever du soleil.
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Moins touristique que Himeji, le site se mérite : il faut grimper pendant 40 minutes à pied pour l’atteindre ! Un bus peut vous en approcher, mais il vous restera 20 minutes de marche… Mais l’ambiance vaut chaque goutte de sueur : on se croirait dans un film de Miyazaki, entre brume, mousse et vieilles pierres. Un must pour les amateurs d’histoire ou de photos mystérieuses.
3. Aogashima : l’île qui n’existe (presque) pas
Perdue dans l’océan Pacifique, Aogashima est un miracle de la nature : une île volcanique dans une caldeira… au cœur d’un autre volcan. Et pourtant, une poignée d’habitants (environ 160) y vit en toute tranquillité. Accessible uniquement par hélicoptère ou bateau (quand la météo le permet), l’endroit est aussi isolé que fascinant.
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Les visiteurs y viennent pour la nature brute, les bains chauds géothermiques et les vues époustouflantes. C’est l’endroit rêvé pour faire une pause du monde. Vous n’aurez peut-être pas de réseau… mais vous aurez la paix.
4. Nagoro : le village où les poupées ont remplacé les humains
Un peu flippant, un peu triste, mais surtout unique : Nagoro est un village dans la vallée d’Iya où les habitants ont été remplacés… par des poupées. L’artiste locale Tsukimi Ayano a commencé à créer des figurines grandeur nature après le départ (ou décès) de ses voisins. Aujourd’hui, elles sont plus de 350.
Assis sur un banc, travaillant dans les champs ou attendant le bus (qui ne passe plus), ces simulacres humains donnent au village une ambiance de théâtre figé. Une œuvre d’art vivante, à la fois mélancolique et poétique.
5. Kunisaki & Yakushima : la spiritualité à pied
Si vous aimez les randonnées avec une touche mystique, cap sur deux coins oubliés :
Kunisaki, sur l’île de Kyūshū, offre des sentiers boisés ponctués de temples, statues bouddhiques et forêts enchantées. Plusieurs itinéraires de randonnée proposent une vraie immersion dans le Japon ancestral.
Yakushima, quant à elle, est une île au sud de Kyūshū recouverte de forêts primaires. Ses cèdres géants (certains sont millénaires !) ont inspiré Princesse Mononoké. Ici, la mousse règne, les lucioles dansent et le silence est roi.
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Une autre facette du Japon, bien réelle
Ce qu’il y a de magique avec ces endroits, c’est qu’ils n’essaient pas de plaire aux foules. Pas de néons criards, pas de mascottes ridicules, pas de “kawaii” exagéré. Juste du silence, du vent, des mystères et une autre manière de sentir le Japon — peut-être plus vrai, plus brut. Et franchement, ça mérite le détour…
Depuis le XVe siècle, la Bohême est un chaudron religieux. Entre les hussites (protestants locaux) et les catholiques soutenus par les Habsbourg, la tension est palpable. Pour calmer le jeu, l’empereur Rodolphe II avait accordé aux protestants une “Lettre de Majesté” en 1609, leur garantissant la liberté de culte. Mais bon, comme souvent, les promesses impériales n’engagent que ceux qui y croient.
À la mort de Rodolphe, son cousin Ferdinand de Styrie monte sur le trône de Bohême. Un homme pieux, mais peu flexible : il veut restaurer le catholicisme à grande échelle et rogner les pouvoirs des nobles. Autant dire que ça ne passe pas chez les protestants, surtout quand on commence à fermer leurs églises et interdire leurs parlements.
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Château de Prague, acte I : colère froide, vol plané
Ce 23 mai 1618, une délégation de nobles protestants, menée entre autres par Matthias von Thurn et Albrecht Smiřický, se rend au château pour confronter les gouverneurs catholiques, Wilhelm Slavata et Jaroslav Martinic, accusés de piétiner la fameuse Lettre de Majesté.
La discussion s’échauffe. Très vite, les nobles décident de régler le litige… à la gravité terrestre. Slavata, Martinic et leur secrétaire Filip Fabricius sont saisis, traînés jusqu’à la fenêtre haute de la chancellerie et lancés dans le vide. Entre 17 et 30 mètres plus bas, miracle : ils survivent.
Les catholiques y voient une intervention divine (avec option anges gardiens), les protestants, plus pragmatiques, évoquent un tas de fumier providentiel. Fabricius, pour sa part, sera anobli sous le nom de von Hohenfall – littéralement “de Haute Chute”. On ne peut pas dire que les Habsbourg manquaient d’humour.
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Et la guerre de Trente Ans, dans tout ça ?
La défenestration, à défaut de tuer, brise définitivement les relations entre les protestants et les Habsbourg. Dès le lendemain, les nobles rebelles forment un directoire, limogent les représentants impériaux et organisent la résistance.
Le conflit prend vite une ampleur continentale. Ce n’est plus seulement une querelle de clocher, mais une guerre de religions, d’alliances, d’ambitions territoriales. France, Espagne, Suède, Danemark, États allemands… tout le monde s’invite à la guerre, qui durera jusqu’en 1648.
La Bohême, elle, sera la première à en faire les frais. Défaite dès 1620 à la bataille de la Montagne-Blanche, elle subit une répression féroce : exécutions, confiscations, germanisation, et le catholicisme imposé comme seule foi officielle.