Le 14 octobre 2024, l’équipe d’expédition du navire Seabourn Pursuit a fait une découverte exceptionnelle près de l’île Alejandro Selkirk, au large du Chili : l’épave du Titania, un navire allemand de la Première Guerre mondiale disparue depuis 110 ans. Le Titania avait coulé en 1914, et son emplacement exact était depuis un mystère, alimentant les rumeurs parmi les pêcheurs locaux….
Seabourn
Une exploration de près
Avec l’aide d’un sous-marin et grâce à la collaboration des pêcheurs locaux, comme Gino Perez qui avait entendu parler de l’épave par sa famille, l’équipe de Seabourn a localisé le Titania à 4,25 milles marins de la côte nord-ouest de Selkirk.
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Une expédition unique
Selon Robin West, vice-président de Seabourn Expeditions, cette découverte témoigne de « l’esprit d’aventure des expéditions Seabourn », offrant aux passagers des moments uniques à bord de leurs navires, comme le Pursuit, équipé de sous-marins capables d’atteindre 300 mètres de profondeur.
Au lieu des 215 millions de passagers initialement envisagés, la compagnie irlandaise table désormais sur 210 millions pour l’exercice 2026. La livraison de neuf avions, initialement prévue pour ce trimestre, a été repoussée, ce qui oblige la compagnie à revoir ses attentes à la baisse. Et les mauvaises nouvelles ne s’arrêtent pas là…
Résultats en baisse : des billets moins chers
Les retards de livraison de Boeing ont déjà pesé sur les résultats de Ryanair l’an dernier. Le bénéfice net en baisse de 6% par rapport à l’année précédente, s’explique par des prix des billets qui ont chuté de 15% au premier trimestre, puis de 7% au deuxième, malgré une augmentation de 9% du trafic passager.
“Le résultat final de l’exercice en cours dépendra de l’absence de développements défavorables“, a déclaré Michael O’Leary, CEO de Ryanair. Il évoque les risques liés aux conflits en Ukraine et au Moyen-Orient ainsi que la possibilité de nouveaux retards chez Boeing.
À première vue, il ressemble à n’importe quel trou d’eau, mais à 30 mètres de profondeur, un phénomène étrange se révèle : une rivière souterraine distincte apparaît sous l’eau.
Une rivière sous l’eau ?!
Ce phénomène, appelé halocline, résulte de la rencontre entre de l’eau douce et de l’eau salée. La couche d’eau salée, plus dense, reste au fond, tandis que l’eau douce flotte au-dessus. Ce contraste crée une impression de rivière qui coule sous l’eau, bordée par ce qui ressemble à de la brume. Lorsque vous plongez dans le Cenote Angelita, vous traversez d’abord de l’eau douce avant de pénétrer dans cette zone où tout semble irréel, comme une frontière entre deux mondes.
Une plongée unique et captivante
Le Cenote Angelita attire les plongeurs du monde entier, intrigués par cette expérience unique.. Les plongeurs rapportent des sensations presque mystiques en traversant cette “rivière” de sulfure d’hydrogène, qui ajoute une touche dramatique à l’expérience. Le silence, les nuances de bleu et l’étrangeté du lieu créent une atmosphère hors du commun.
Un joyau fragile
Même si le Cenote Angelita fascine, il reste fragile. Les cenotes sont des écosystèmes sensibles, dépendants de la qualité de l’eau et des pratiques respectueuses des plongeurs…
En 1162, le Doge de Venise triompha du Patriarche d’Aquilée, consolidant ainsi la puissance de la République de Venise. Pour célébrer cette victoire, le peuple de Venise se rassembla sur la Place Saint-Marc pour festoyer, danser et exprimer sa joie à travers des masques et des déguisements. C’est ainsi que le carnaval naquit, comme une expression collective de liberté, où la ville entière se transformait en une vaste scène de théâtre à ciel ouvert !
Micky White
Les masques : symbole de liberté
L’un des éléments les plus emblématiques du carnaval de Venise est sans doute l’utilisation des masques. À l’époque, ces masques permettaient aux citoyens de se soustraire, pour un temps, aux conventions sociales et aux distinctions de classe. Sous un masque, tout le monde était égal : nobles, artisans, marchands pouvaient se côtoyer et participer à la même fête, sans souci de statut social. Cet anonymat temporaire devint un symbole de liberté et d’égalité, valeurs chères à l’esprit vénitien.
Oceane Rouviere
Interdictions et renouveau
Le carnaval connut des hauts et des bas au fil des siècles. En 1797, sous l’occupation de Napoléon Bonaparte, le carnaval fut interdit et sombra peu à peu dans l’oubli. Il fallut attendre 1979 pour que cette tradition soit officiellement relancée, grâce à l’initiative des habitants et des autorités locales désireux de redonner à Venise son éclat festif d’antan. Aujourd’hui, le carnaval est un rendez-vous annuel incontournable, célébré avec faste pendant une dizaine de jours.
En 2024, les croisières ont vu leur popularité exploser parmi les touristes belges, avec un nombre de passagers qui a déjà doublé par rapport à 2023, qui était déjà une année record, selon les chiffres de l’Association of Belgian Tour Operators (ABTO). Cette tendance révèle un engouement croissant des Belges pour les vacances au fil de l’eau, qu’il s’agisse de croisières maritimes ou fluviales.
Une offre diversifiée et adaptée
Les compagnies maritimes multiplient les initiatives pour attirer les touristes belges, qu’il s’agisse de départs depuis la Belgique ou d’une formule all-inclusive combinant confort et gastronomie. De nombreuses options s’offrent aux voyageurs, allant des itinéraires en Méditerranée aux voyages vers les fjords norvégiens ou encore des croisières fluviales sur le Douro et le Mékong, sans compter les inévitables croisières dans les Caraïbes.
Une accessibilité renforcée
Plusieurs compagnies proposent des départs depuis des ports facilement accessibles depuis la Belgique, offrant ainsi plus de commodité aux passagers. En outre, les croisières fluviales et côtières sont rendues plus attrayantes par la présence de guides touristiques bilingues. Enfin, last but not least, l’accent est également mis sur la réduction des gaz polluantset à effet de serre. Vous le constaterez notamment dans notre sélection de croisières, au sein de Vacancesweb, nous privilégions les petits bateaux, voire les voiliers ou encore les motorisations hybrides.
« Avec cette nouvelle réglementation, la FAA est prête pour le trajet aérien du futur », a déclaré la FAA. Cette catégorie, baptisée Powered lift, englobe à la fois les taxis volants, la livraison de marchandises par les airs, et même les services d’ambulance aériens. Les possibilités sont, selon la FAA, “vastes“, et promettent une mobilité aérienne avancée.
La réglementation : une pièce clé du puzzle !
La FAA a détaillé la “réglementation finale” concernant la formation et les qualifications des pilotes de ces appareils à décollage et atterrissage vertical (également appelés eVTOL). Ces exigences incluent des altitudes de sécurité, un niveau de visibilité minimum et la formation nécessaire pour garantir des opérations en toute sécurité.
Les deux icônes du tourisme belge, l’Ardenne et la Côte, ont décidé de joindre leurs forces pour se promouvoir mutuellement. Une initiative ambitieuse de collaboration dévoilée jeudi par les fédérations touristiques de la province de Luxembourg (FTPLux) et de Westtoer (Flandre occidentale). L’idée? Attirer un public plus large, en valorisant non seulement les trésors naturels de leurs régions respectives, mais aussi l’esprit d’hospitalité qui unit flamands et francophones.
Une campagne commune pour 2025
Pour donner corps à ce projet, une campagne de communication commune sera lancée en début d’année prochaine. “La Côte et l’Ardenne font partie des icônes belges. Nos deux destinations phares ne sont plus des concurrentes depuis longtemps, elles peuvent se renforcer mutuellement“, soulignent Marie-Eve Hannard (Luxembourg) et Sabien Lahaye-Battheu (Flandre occidentale).
Les deux offices du tourisme lancent un appel aux vacanciers : “Partagez votre amour pour la Côte et/ou l’Ardenne“. Les témoignages serviront de base à la campagne, autour du thème “Soyez le bienvenu” ou “Hartelijk welkom“.
Des projets au-delà de l’hospitalité
Les deux régions vont plus loin et prévoient d’autres collaborations sur des thématiques comme le tourisme nature, la gastronomie ou le patrimoine. Un message clair : renforcer ensemble l’attractivité touristique de la Belgique.
— 🇹🇷 🇬🇧 Turkey Türkiye (@Anatolia_Today) March 5, 2023
L’Arabie Saoudite ne manque pas d’ambition avec son projet futuriste : le Mukaab, le plus grand bâtiment du monde, à savoir un cube gigantesque de 400 mètres de haut, qui promet de transformer le visage de Riyad. Ce bâtiment prévoit d’accueillir des espaces pour la restauration, le shopping, des activités culturelles immersives et un hôtel de 500 chambres.
Une expérience immersive unique
Avec une coupole à l’intérieur pouvant projeter des images, le Mukaab mise sur des expériences à la pointe de la technologie. Ce nouveau quartier de Riyad comptera également des écoles, des hôpitaux, ainsi qu’un stade de 45.000 places. Le but est de faire de Riyad une destination incontournable pour les touristes en quête de nouveauté et d’expériences hors du commun.
Le tourisme au cœur de la stratégie saoudienne
Ce projet fait partie de la stratégie de Mohammed ben Salmane visant à transformer l’Arabie Saoudite en un centre majeur du tourisme international. Le Mukaab s’ajoute à d’autres initiatives audacieuses comme “The Line“, la fameuse ville miroir en plein désert.
Les raisons de se rendre à Mons ne manquent pas ! En effet, que vous soyez intéressé par l’histoire, l’art, le patrimoine ou encore la gastronomie, la ville hennuyère a de quoi rencontrer toutes les attentes. Parmi les incontournables à ne pas manquer si vous êtes de passage dans la cité du Doudou, il y a la grand-place et ses nombreux cafés et restaurants, l’ancienne chapelle Saint-Georges, l’hôtel de ville, le beffroi ou encore le BAM, le Musée des Beaux-Arts local, qui propose des expositions thématiques avec de grands artistes anciens comme contemporains. Enfin, la Collégiale Sainte-Waudru, un édifice gothique impressionnant, impressionnera tout amateur d’architecture et d’histoire religieuse. On peut aussi profiter d’une visite à Mons pour découvrir le parc Pairi Daiza, pour faire du shopping ou encore pour sillonner la région à vélo.
À votre service
Le principal atout de l’Hôtel Mons Congrès & Spa, qui est géré par le groupe hôtelier néerlandais Van Der Valk, est de disposer de tout ce dont vous pouvez rêver sous le même toit. En effet, outre 145 chambres spacieuses, lumineuses, parfaitement insonorisées et équipées de matelas de qualité ainsi que d’une vaste douche à l’italienne, cet établissement propose aussi une double offre en termes de restauration. Le restaurant Quai 5 constitue une première alternative avec son menu d’inspiration internationale, rehaussé de plats variés et de suggestions évoluant en fonction des produits de saison, le tout dans un décor épuré où règne la sérénité. La brasserie Quai 5 pour sa part privilégie une cuisine alliant efficacité et qualité. L’endroit idéal pour déguster un sandwich, une salade fraîche du marché, un burger, des boulets à la liégeoise ou encore un délicieux plat de pâtes.
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Mais ce n’est pas tout ! En effet, on peut également profiter de l’espace wellness de l’hôtel, qui compte une piscine et un jacuzzi, mais aussi un sauna finlandais, un hammam, un parcours de douches sensorielles, un banc infrarouge et une salle de détente pourvue d’un mur de sel.
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L’hôtel dispose aussi de neuf salles modulables à même d’accueillir vos événements privés ainsi que des réunions et séminaires d’entreprises, et propose différents forfaits “all-in” axés sur le bien-être, la gastronomie, l’exploration viticole ou encore le golf. L’Hôtel Mons Congrès & Spa se distingue aussi grâce à ses forfaits de fin d’année, tant pour la Noël que le Nouvel An, combinant un menu de fête, une nuitée en chambre simple ou double, le petit-déjeuner et l’accès au parking de l’hôtel. Même les plus petits ont droit à leur forfait dédié grâce à une formule Brunch Kids qui consiste en un repas festif concocté pour les enfants, combinant un moment gourmand ponctué d’un buffet à volonté, d’animations et d’une authentique plaine de jeux à la fois intérieure et extérieure !
Pour toute information complémentaire, n’hésitez pas à prendre contact avec l’équipe de l’Hôtel Mons Congrès & Spa par e-mail ou par téléphone au 065 39 02 07.
Le Groenland, la plus grande île du monde, s’apprête à inaugurer son tout premier aéroport international aux abords de la capitale Nuuk. Cet aéroport, qui sera opérationnel dès le 28 novembre prochain, permettra l’atterrissage et le décollage de plus gros avions, offrant ainsi des connexions directes avec l’Europe et l’Amérique du Nord. Actuellement, rejoindre le Groenland est possible uniquement via le Danemark ou l’Islande.
Des ambitions pour le développement
La construction de cet aéroport a commencé en 2019 pour améliorer l’accessibilité de l’île, qui reste encore difficile à atteindre. Avec seulement 57.000 habitants, le Groenland espère booster son tourisme et renforcer ses liens avec l’étranger. Les premières liaisons relieront Nuuk à Copenhague, puis au Canada et aux États-Unis à l’été 2025. Le Groenland ne s’arrête pas là. Deux autres aéroports internationaux sont prévus à Ilulissat et Qaportoq, qui devraient être opérationnels d’ici fin 2026.
