Tremendous, colourised footage of Sir #Malcolm_Campbell setting a land speed record of over 276 mph – 445km/h in his Blue Bird at Daytona Beach back in 1935 🏁
🎥Germania pic.twitter.com/kJiwbQilsM
Depuis les années 1920, Malcolm Campbell s’est forgé une réputation en battant à plusieurs reprises le record de vitesse terrestre. Cependant, atteindre les 300 mph demeure un défi colossal. Après des tentatives sur les plages de Daytona, il se tourne vers les salines de Bonneville, offrant une surface plus propice à de telles vitesses extrêmes.
La Campbell-Railton Blue Bird
La Campbell-Railton Blue Bird est une voiture de record de vitesse terrestre conçue spécifiquement pour cet exploit. Équipée d’un moteur Rolls-Royce R V12 suralimenté de 36,7 litres développant 2.300 chevaux, elle arbore une carrosserie profilée pour minimiser la résistance à l’air. Les innovations incluent des roues arrière jumelées pour une meilleure traction et des freins aérodynamiques pour ralentir la bête lorsque !
Les lacs salés de Bonneville
Les lacs salés de Bonneville sont une vaste étendue de sel située dans le nord-ouest de l’Utah, vestige de l’ancien lac Bonneville qui s’est asséché il y a environ 14 000 ans. Cette surface plane et dure, s’étendant sur plus de 260 km², offre des conditions idéales pour les essais de vitesse. Depuis le début du XXe siècle, Bonneville est le théâtre de nombreuses tentatives de records terrestres, attirant des passionnés du monde entier. Aujourd’hui encore, d’ailleurs !
Eelco Bohtlingk
Un exploit retentissant
Le jour venu, Campbell pousse la Blue Bird à ses limites, atteignant une vitesse moyenne de 301,13 mph (environ 484,62 km/h), établissant ainsi un nouveau record mondial. Aujourd’hui, la Blue Bird est exposée au Motorsports Hall of Fame of America. Immanquable ! Quant au lac salé de Bonneville, il attire toujours les pilotes les plus hardis en quête de vitesse.
L’aéroport international de Nuuk, d’un coût total de 300 millions de dollars, a été financé à 20 % par le Danemark. Doté d’une piste de 2.200 mètres, il peut désormais accueillir des vols long-courriers, dont un direct depuis Copenhague, évitant aux voyageurs de passer par Kangerlussuaq, l’ancien point de transit.
Des bénéfices multiples pour l’économie locale
L’ouverture de cet aéroport permettra de réduire les coûts et la durée des voyages, rendant le Groenland plus accessible et compétitif pour les touristes et les professionnels. Le tourisme, qui représente déjà 10 % du PIB groenlandais, devrait s’intensifier avec l’inauguration prévue en 2025 de l’aéroport d’Ilulissat, situé près d’un fjord classé au patrimoine mondial de l’Unesco.
Jonatan Pie
Selon VisitGreenland, cette infrastructure profitera aussi aux industries clés comme la pêche, l’exploitation minière et l’exportation de fruits de mer, renforçant les connexions internationales. À partir de l’été 2025, Nuuk bénéficiera en outre de deux vols hebdomadaires avec New York.
La compagnie Air Belgium, en liquidation judiciaire depuis septembre, voit ses jours comme transporteur de passagers arriver à leur terme. Le tribunal du Brabant wallon a validé, le 5 décembre, une offre unique de reprise concernant uniquement le fret aérien. Un consortium formé par Peso Aviation Management et Air One Holdings International a proposé 800.000 euros pour reprendre les opérations cargo. Cette reprise inclut 197 emplois et deux Boeing 747 en leasing, mais aucune place pour les vols passagers.
200 licenciements et des billets perdus
Sur les 402 employés d’Air Belgium, seuls 197 postes seront sauvegardés. Autre coup dur : aucun remboursement n’est prévu pour les clients ayant acheté des billets avant l’arrêt des vols. Près de 20.000 passagers sont concernés par cette décision.
Les repreneurs envisagent une expansion des opérations cargo avec une nouvelle base à Bruxelles. Toutefois, sans accord de la Direction générale du transport aérien belge (DGTA), qui pourrait prendre plusieurs mois, le calendrier reste flou. Un nouveau chapitre commence pour Air Belgium, mais pour le transport de passagers, l’histoire s’arrête ici.
La recherche des « jours heureux d’autrefois » gagne en popularité. Des expériences immersives, comme une réplique de maison Polly Pocket ou des caravanes vintage, captivent les voyageurs en quête de souvenirs d’enfance. Le camping et les resorts traditionnels reviennent également à la mode.
2. Technologie et divertissement à bord
Certes, de nombreux voyageurs dans les airs consomment du contenu via leurs propres appareils, mais à en croire Amadeus et Globetrotter, ils pourraient bien être séduits par ce que leur proposent les compagnies aériennes ! Grâce à l’intelligence artificielle et au Wi-Fi à haut débit, les vols devraient en effet proposer des expériences immersives. Les passagers profitent de contenus hyper-personnalisés et de la réalité virtuelle. Beond distribue déjà des casques Apple Vision Pro sur ses vols haut de gamme !
3. Hôtels : des destinations à part entière
Les hôtels ne sont plus de simples hébergements. Un hôtel, souvent parce qu’il offre une expérience hors du commun, devient une destination à part entière. Le but c’est l’hôtel et non ce qu’il y a autour ! Des lieux comme Maryhill Estate en Suède ou l’Edition Lake Como en Italie offrent des expériences immersives et deviennent le centre du voyage. Le marché des hôtels boutique devrait atteindre 180 milliards de dollars d’ici 2032.
4. L’Asie en plein essor
Avec des événements comme l’Exposition universelle d’Osaka, l’Asie attire les voyageurs du monde entier ! D’autant que certaines séries télévisées qui y sont tournées attirent les cinéphiles, comme la saison 3 de White Lotus qui se déroule en Thaïlande. Soutenue par des politiques favorables et une classe moyenne croissante, le continent devrait attirer toujours plus de visiteurs.
5. Se reconnecter au réel
Face à la fatigue numérique, les voyageurs optent pour des expériences favorisant les rencontres humaines. Les voyages en solo et les circuits en petits groupes augmentent, répondant à un besoin croissant de connexion sociale !
Située près de Namur, l’Abbaye de Floreffe, fondée au XIIe siècle, est une plongée dans l’histoire religieuse de la région. Vous y trouverez une église abbatiale majestueuse et un musée retraçant l’histoire de cette abbaye cistercienne. Pour ravir vos papilles, le moulin-brasserie propose des bières artisanales, du pain et du fromage issus du savoir-faire local. Avis aux amateurs de patrimoine et de gastronomie !
WBT – Henning Angerer
🕳️ Exploration souterraine fascinante
Les Grottes de Floreffe vous invitent à un voyage souterrain de 800 mètres. Ces cavités naturelles regorgent de mystères et de formations géologiques surprenantes. Une expérience inoubliable pour les aventuriers curieux et les familles en quête de découvertes insolites.
🚶♂️ Promenade le long de la Sambre
Envie d’une balade en plein air ? Le long de la rivière Sambre, une promenade de 8 km vous transporte à travers le passé industriel de Floreffe. Un parcours tranquille et accessible à tous, parfait pour se détendre tout en explorant le patrimoine local.
💑 Une pause romantique
Pour un week-end détente, le gîte Le Treize Zen offre une parenthèse intime et confortable. Situé au cœur de Floreffe, c’est le point de départ idéal pour explorer la région en amoureux.
Le Star Clipper à l’ancre. Grand pour un voilier mais compact pour un bateau de croisière. Arnaud Henckaerts
Et l’expérience à bord du Star Clipper, ma première croisière avec le vent dans les voiles, de Malte et Gozo en passant par la Sardaigne jusqu’à Minorque et Majorque, a été inoubliable !
Plus de 3 300 m² de voiles réparties sur 4 mâts, le Star Clipper est unique en son genre Arnaud Henckaerts
J’ai toujours associé les bateaux de croisière à d’immenses villages flottants, avec de grands spectacles en soirée, des piscines et beaucoup de bling-bling. Une sorte de Las Vegas sur l’eau ! Pour certains, cela peut ressembler à un rêve, mais cela ne m’a jamais vraiment parlé. Pourtant, une autre approche existe, comme le prouve Star Clippers, une compagnie de croisières qui mise sur une expérience plus authentique avec des tall ships, des navires qui naviguent principalement à la force du vent grâce à leurs grandes voiles. La compagnie en possède pas moins de trois dans sa flotte : le majestueux Royal Clipper et les navires jumeaux Star Flyer et Star Clipper, basés à Malte. C’est à bord de ce dernier que nous avons embarqué dans le port de La Valette. Une sacrée symbolique !
Le Star Clipper navigue sous pavillon maltais Arnaud Henckaerts
Une expérience sociale
Pendant que nos bagages sont transportés en cabine, un verre de bienvenue nous est offert. L’occasion parfaite pour faire connaissance avec les autres passagers et l’équipage. Ce qui frappe immédiatement ? L’ambiance chaleureuse et familiale qui règne à bord. Ce sentiment ne fera que se confirmer au cours du voyage. Car si le Star Clipper est grand pour un voilier, il reste à taille humaine pour un bateau de croisière : avec une longueur de 115 mètres, il accueille 166 passagers et un équipage de 74 personnes.
Chaque départ et chaque arrivée dans un port sont uniques ! Arnaud Henckaerts
Cela favorise les rencontres régulières avec les mêmes personnes, ce qui invite aux échanges autour d’un verre, lors du petit-déjeuner ou simplement sur le pont. On discute de leurs croisières précédentes (les adeptes de ce concept ne s’en lassent pas et y consacrent généralement une ou plusieurs vacances par an), mais aussi de leur quotidien ou de l’actualité géopolitique. A ce sujet, il est amusant d’entendre les différentes opinions des Américains sur leur futur président ! Mais avant tout, à bord, il s’agit de profiter pleinement du moment présent !
La finition du navire est à la fois classique et luxueuse Star Clippers
Authentique
Et ce plaisir commence avec l’aménagement et la finition du Star Clipper, qui se tient à l’écart des tendances modernes et opte résolument pour une atmosphère authentique. Cela se confirme également lorsque nous entrons pour la première fois dans notre cabine. Celle-ci est étonnamment spacieuse pour un navire de cette taille, avec suffisamment d’espaces de rangement et, autour du grand lit avec des draps impeccablement propres, assez d’espace pour se déplacer. Un hublot offre une vue sur le port de La Valette, un spectacle en constante évolution au rythme des vagues, des variations de la météo et des différentes escales.
Se réveiller chaque matin avec une vue surprenante Arnaud Henckaerts
Connexion belge
Le look et l’ambiance du navire doivent beaucoup à la Belgique, car le Star Clipper a été construit à la demande du propriétaire suédois dans un chantier naval de notre pays, au début des années 90. La finition typiquement en bois, les détails en cuivre nécessitant un polissage régulier et les cordages sur le pont pour hisser les différentes voiles… on a l’impression de voyager dans le temps, mais avec tout le confort moderne. L’aventure est aussi au rendez-vous, avec des souvenirs du Licorne tiré des bandes dessinées de Tintin. Ou encore l’époque des grands explorateurs, comme Christophe Colomb traversant l’Atlantique en 1492 (une aventure que le Star Clipper entreprend également après notre voyage – une expérience sans doute tout aussi inoubliable pour les passagers !).
Les mâts de 60 mètres de haut et les voiles évoquent appellent à l’aventure. Arnaud Henckaerts
On pense également à Christophe Colomb lorsque le capitaine – un très sympathique Belge qui est à la barre de ce navire depuis 25 ans – nous guide hors du port de La Valette en direction de Gozo, une autre île maltaise. Au moment de quitter le port, le morceau 1492 de Vangelis, bande originale du film du même nom, résonne sur le pont. Cela peut sembler un peu cliché, mais sous les voiles battant au vent, cela suscite une certaine émotion chez plus d’un passager !
Le capitaine Dominique, un compatriote qui a quitté un porte-conteneurs pour le Star Clipper il y a 25 ans. Arnaud Henckaerts
Pension complète
Après le départ, nous passons rapidement à table. La croisière est, bien sûr, en pension complète, et malgré l’étroitesse de la cuisine, le menu est varié et copieux, avec toujours des options végétariennes. Nous faisons la connaissance de notre serveur attitré pour le reste du voyage, serviable et capable de servir les repas avec élégance, même lorsque le navire tangue légèrement. Ce n’est pas de la haute gastronomie, mais c’est particulièrement soigné et diversifié. Et copieux, car en plus des trois repas, des snacks et des fruits sont disponibles toute la journée !
Trois repas y sont servis quotidiennement. Star Clippers
Lorsque nous arrivons dans notre cabine pour la nuit, notre steward a tout préparé pour une nuit réparatrice, avec une petite attention sur l’oreiller, comme dans les meilleurs hôtels. Installés dans le confortable lit, nous nous endormons rapidement bercés par le mouvement des vagues, une sensation particulièrement agréable ! Lors des nuits où la mer est plus agitée – en fin d’automne, la Méditerranée n’est pas toujours calme – nous sommes un peu plus secoués, mais c’est une expérience en soi !
Le voyage et les destinations
Le matin, nous nous réveillons en mer, avec en vue notre prochaine escale. C’est là l’un des plus grands avantages de ce type de croisière : le plaisir est aussi bien dans le voyage que dans la découverte des destinations tout au long du parcours. Après un petit-déjeuner copieux, nous débarquons grâce aux tenders, ces embarcations qui assurent la liaison entre le navire et le port lorsque l’eau est trop peu profonde pour la quille de notre voilier.
Les tenders nous emmènent à terre lorsque le port est trop peu profond. Arnaud Henckaerts
Les jours suivants, nous accosterons directement dans d’autres ports. Vous pouvez choisir de rester sur le navire pour vous détendre, mais bien sûr, nous profitons de chaque occasion pour explorer les escales, toutes plus belles les unes que les autres, alternant entre le charme idyllique et le raffinement mondain. Vous pouvez vous inscrire à une excursion organisée ou explorer librement la ville ou la région !
Amarré dans le port, vous apercevez déjà le Star Clipper de loin, même de nuit. Arnaud Henckaerts
Déconnexion
Les jours et les nuits à bord sont exceptionnels. Depuis peu, le wifi est disponible en mer grâce au réseau satellite Starlink, mais l’ambiance à bord invite à la déconnexion. Enfin du temps pour lire un livre ! Que ce soit dans la cabine, au bar ou sur le pont, où des chaises longues vous invitent à profiter du moment, avec même deux petites piscines à disposition. Mais cela offre surtout l’opportunité de contempler l’eau et l’horizon, qui présentent un spectacle changeant de couleurs et de vagues. Observer d’autres bateaux et s’émerveiller devant les oiseaux terrestres qui, loin de la côte, choisissent le navire comme halte de repos. Un pur délice !
La mer change constamment de couleur pendant le voyage, tout comme la météo automnale en Méditerranée. Arnaud Henckaerts
Ou bien observer le ballet des voiles, car celles-ci ne sont évidemment pas uniquement là pour le décor. Certes, le Star Clipper est équipé d’un moteur pour les moments sans vent et pour fournir de l’énergie au navire, mais l’équipage exploite au maximum le vent pour naviguer de destination en destination. La gestion des voiles constitue un spectacle fascinant auquel vous pouvez d’ailleurs participer ! L’équipage est toujours prêt à fournir des explications supplémentaires.
L’équipage s’active jour et nuit pour maintenir les voiles et le navire en parfait état. Arnaud Henckaerts
Au revoir
Vous l’avez deviné, ma première croisière a été forte en émotions ! Un voyage de ce type n’est pas donné, mais c’est une expérience unique que je recommande à tous ! Peut-être pas la formule idéale pour les familles avec de jeunes enfants, car même si des activités en soirée sont proposées pour ceux qui le souhaitent, il n’y a pas d’équipe d’animation spécifique pour les enfants, ni de salle de cinéma ou de garde d’enfants. Mais quelle aventure ! Après une semaine en mer, les adieux sont donc difficiles, avec le retour sur la terre ferme et la perspective d’un vol vers la froide Belgique… Mes souvenirs, en revanche, sont inoubliables !
Après une grosse interruption due au Covid-19, Brussels Airport annonce le retour de la seule connexion directe entre la Belgique et la Thaïlande. Cette dernière est en outre un excellent tremplin pour visiter le reste de l’Asie !
Thaïlande : nos conseils, au-delà des incontournables
Loin du tumulte des sites célèbres comme le Grand Palais ou Phuket, la Thaïlande regorge de perles méconnues à explorer. Voici quelques suggestions pour enrichir votre voyage :
Sam Phan Bok, dans la province d’Ubon Ratchathani, est surnommé le “Grand Canyon de Thaïlande”. Ces formations rocheuses spectaculaires sont un régal pour les amateurs de paysages lunaires et de photographie.
Sam Phan Bok
Ban Rak Thai, un charmant village près de la frontière birmane. Niché dans les montagnes, il offre un cadre pittoresque avec des plantations de thé et des paysages sereins.
nopparuj lamaikul
Ko Phayam, une petite île encore épargnée par le tourisme de masse, idéale pour un séjour déconnecté entre plages désertes et ambiance bohème.
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Lampang, une ville authentique où l’on peut admirer des temples en bois, se promener en calèche et découvrir une Thaïlande d’un autre temps.
nopparuj lamaikul
Thung Salaeng Luang National Park, souvent éclipsé par les parcs célèbres, propose des prairies ondulantes, des cascades et des safaris au cœur d’une nature préservée.
Le 15 avril 2019, un incendie dévastateur ravage la charpente et la flèche de Notre-Dame de Paris. Alors que les pompiers maîtrisent les flammes, la priorité devient rapidement la sécurisation et l’évaluation des dégâts. Des technologies de pointe sont déployées sans attendre pour aider à cette mission délicate.
Les drones, déployés en urgence, survolent la structure encore fumante pour cartographier les zones sinistrées. Grâce à eux, les secours ont une vue précise des points d’effondrement et des parties fragilisées, ce qui permet d’éviter des pertes humaines et des dommages supplémentaires.
2019-2020 : Un diagnostic numérique précis
Dès les premiers jours, la société Art Graphique et Patrimoine (AGP) est mandatée pour réaliser un jumeau numérique de Notre-Dame. En utilisant des relevés LiDAR et la photogrammétrie, l’équipe scanne chaque recoin de la cathédrale. Des drones et des capteurs laser sont employés pour capturer des millions de points de données, créant une réplique virtuelle à l’échelle 1:1.
Ces données sont ensuite intégrées au processus BIM (Building Information Modeling), une méthode collaborative qui permet aux architectes, ingénieurs et archéologues de travailler ensemble. Cette modélisation 3D offre une vision détaillée de la structure, jusqu’à la composition des pierres, facilitant le diagnostic et la planification des travaux.
Une fois le diagnostic établi, la phase de reconstruction débute. Les technologies continuent de jouer un rôle clé. Des algorithmes avancés analysent les données pour recréer les parties les plus complexes. Pour certaines pièces détruites ou inaccessibles, l’impression 3D est utilisée afin de reproduire fidèlement les détails architecturaux.
En parallèle, les ouvriers et artisans s’appuient sur le jumeau numérique pour anticiper les interactions entre les différents corps de métier et s’assurer que chaque étape est précise. Après seulement 5 années de travaux intensifs, Notre-Dame a enfin rouvert ses portes. Et elle est plus belle que jamais, nous disent certains « insiders ». Chapeau les artistes !
Cet été, la Belgique a comptabilisé 12.082.482 nuitées dans des hébergements touristiques, selon l’office belge de statistique Statbel. Un chiffre stable comparé à l’été précédent, mais qui cache des variations à la hausse et à la baisse. En juillet 2024, les réservations ont atteint 6.097.599 nuitées, soit une baissede 2% par rapport à juillet 2023. En revanche, le mois d’août a connu une haussede 3%, avec 5.984.883 nuitées contre 5.818.224 l’année précédente.
Les hébergements favorisés par les touristes
Les hôtels restent l’hébergement préféré des visiteurs, représentant 35% du total des nuitées. Les gîtes de vacances, appartements et meublés de vacances suivent avec 19%, tandis que les auberges pour jeunes ferment le podium avec 15% des réservations.
Des résultats contrastés selon les régions
En Région wallonne, les nuitées ont légèrement diminué de 1%, atteignant 2.789.018 en juillet et août 2024. La Flandre est restée stable avec 7.940.517 nuitées. Enfin, la Région bruxelloise a connu une progression remarquable de 6%, atteignant 1.352.947 nuitées.
Sur le site de la Confluence, l’installation “iBalancoires” invite petits et grands à se balancer en lumière et en musique. De son côté, la place Maurice Servais accueille “Bon Rebond”, un cube géant lumineux et sonore que l’on active en sautant sur des plateformes. Les autres œuvres sont disséminées dans les rues emblématiques de Namur : rue des Brasseurs, quai des Joghiers, rue Joseph Saintraint et bien d’autres.
Informations pratiques
Le parcours est ouvert tous les jours de 17h à minuit, jusqu’au 5 janvier. Pour compléter l’expérience, ne manquez pas le marché de Noël avec sa grande roue et sa patinoire. Toutes les infos sur www.namurenlumiere.be.