Ce samedi après-midi, Ostende a accueilli son célèbre plongeon du Nouvel An, réunissant environ 4.200 courageux, soit 200 de plus que l’année précédente. Avec une température de l’eau à 7°C et un air à peine plus chaud (2°C), l’événement a réuni une foule déterminée et bien équipée. “La plupart des participants portaient bonnet et chaussures, ce qui est important aussi“, ont précisé les organisateurs.
Loin de se limiter à un simple plongeon, l’événement a pris des allures de carnaval. De nombreux participants ont ajouté une touche festive en arborant déguisements et accessoires colorés. Une séance d’échauffement collective a permis de mettre tout le monde en mouvement avant le grand saut.
Après la baignade, les héros du jour ont été récompensés par du chocolat chaud et du genièvre. Les organisateurs ont également souligné le bon déroulement de l’événement : aucun incident n’a été signalé.
Les premiers arrivants devraient franchir l’arrivée entre le 14 et le 15 janvier. A l’heure d’écrire ces lignes, deux vainqueurs potentiels se détachent : Charlie Dalin, premier à sortir du redouté pot-au-noir, conserve en effet une avance serrée sur Yoann Richomme. Les conditions instables ont ralenti les deux skippers, mais Dalin reprend de la vitesse : « La pression est constante, mais ça fait partie du jeu. » Selon le consultant météo Christian Dumard, « la vitesse et les choix stratégiques seront décisifs ».
5 skippers ont malheureusement abandonné, un nombre étonnement restreint si l’on considère les conditions parfois dantesques que les skippers ont dû traverser. Quant à notre compatriote Denis Van Weynbergh, s’il clôture le classement à la 35ème position, il tire néanmoins son épingle du jeu en ayant déjoué les pièges et ayant largement dépassé la moitié de la course.
La Commission européenne a annoncé la création d’un label CO2 pour le transport aérien, disponible dès juillet 2025. L’objectif ? Permettre aux passagers d’identifier les vols les moins polluants en comparant leurs émissions de gaz à effet de serre. “Actuellement, les compagnies aériennes et les vendeurs de billets utilisent des méthodes disparates, ce qui rend la comparaison difficile“, précise la Commission.
Une mesure contre le greenwashing
Face à l’engagement du secteur à atteindre le “zéro émission nette” d’ici 2050, le label vise à lutter contre le greenwashing et rendre les informations plus transparentes. Toutefois, les défis sont de taille : les difficultés de Boeing et Airbus à produire des avions de dernière génération, ainsi que le coût élevé des carburants d’aviation durables (SAF), menacent cet objectif.
Une démarche non obligatoire
Le label, inclus dans le règlement ReFuelEU Aviation, ne sera pas obligatoire et sera délivré uniquement par l’Agence européenne pour la sécurité aérienne (AESA). Les passagers pourront ainsi mieux évaluer l’empreinte carbone de leurs trajets avant d’acheter un billet.
C’est une initiative hors du commun ! Grâce au physicien algérien Nourredine Melikechi, membre de la mission martienne de la NASA, trois sites martiens ont été baptisés des noms de parcs nationaux algériens. Cette démarche vise à rappeler combien notre planète est fragile !
Un hommage au Tassili, Ghoufi et Djurdjura
Les noms choisis sont ceux du Tassili n’Ajjer, du canyon de Ghoufi, et des montagnes du Djurdjura. Ces lieux emblématiques sont reconnus pour leurs paysages saisissants et leurs richesses naturelles. “Quand je vois des photos de Mars, cela me rappelle le Tassili“, explique M. Melikechi à l’AFP.
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Le Tassili n’Ajjer, célèbre pour ses formations rocheuses et ses peintures préhistoriques, évoque fortement le paysage martien. Quant au canyon de Ghoufi, il symbolise la résilience humaine avec ses habitations troglodytes. Enfin, le Djurdjura représente la diversité des habitats terrestres.
Sensibiliser à la préservation
Melikechi espère que cette reconnaissance mondiale encouragera le tourisme en Algérie et sensibilisera le public à la préservation de nos écosystèmes. Pour lui, ces sites sont des “trésors” à protéger pour les générations futures. 🌱
Saviez-vous que Kyoto a été la capitale du Japon pendant plus de 1.000 ans ? De 794 à 1868, elle a été le cœur culturel et politique du pays. Aujourd’hui encore, ses temples et sanctuaires témoignent de cette époque impériale.
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🍵 2. La cérémonie du thé à son apogée
Le célèbre rituel de la cérémonie du thé japonais est profondément ancré à Kyoto. C’est ici que les maîtres de thé perfectionnent cet art de la sérénité et de la discipline depuis des siècles. L’expérience est incontournable !
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🌸 3. Le paradis des cerisiers en fleurs
Chaque printemps, Kyoto se transforme en une mer de fleurs de cerisiers (sakura). Des sites comme le Parc Maruyama et le Temple Kiyomizu-dera offrent des vues à couper le souffle, rendant la saison magique.
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🏮 4. Le quartier mystérieux de Gion
Kyoto est le berceau des geishas et le quartier de Gion reste l’endroit le plus authentique pour apercevoir ces artistes traditionnelles en kimono. Une promenade nocturne vous plongera dans une atmosphère envoûtante.
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🦊 5. Les 10 000 torii de Fushimi Inari
Le sanctuaire Fushimi Inari-taisha est célèbre pour ses milliers de portails rouges (torii). En les traversant, on entre dans un monde mystique dédié aux divinités de la fertilité et de la prospérité.
Du 4 avril au 9 novembre 2025, le site de Tour & Taxis à Bruxelles deviendra le théâtre de l’exposition “Amazônia”, signée par le célèbre photographe Sebastião Salgado ! Présentée pour la première fois en Belgique, cette exposition dévoilera 200 photographies grand format célébrant la forêt amazonienne et ses peuples.
Pour accompagner ces images, une création sonore inédite de Jean-Michel Jarre plongera les visiteurs au cœur des sons de la jungle. Fruit d’un travail de sept ans en Amazonie brésilienne, Salgado a immortalisé la symbiose entre la nature et les communautés locales.
Un message fort pour l’avenir de l’Amazonie
« Cette exposition a pour vocation de nourrir le débat sur l’avenir de la forêt amazonienne », déclare Salgado dans un communiqué. « Nous devons le mener tous ensemble, dans une optique internationale, et avec le concours des organisations indigènes ».
Déjà présentée dans plusieurs métropoles mondiales, l’exposition propose un regard poignant sur l’une des dernières grandes forêts primaires de la planète, aujourd’hui plus menacée que jamais.
Les mafias italiennes profitent des vulnérabilités des entreprises du secteur touristique, engrangeant 3,3 milliards d’euros par an. Selon l’institut Demoskopika, ces profits pourraient grimper avec le jubilé de 2025 et les Jeux olympiques de Milan-Cortina 2026.
Des groupes puissants et organisés
La ’Ndrangheta, basée en Calabre, domine avec 50 % des gains. Elle est suivie par la Camorra de Campanie, la Cosa Nostra sicilienne et des groupes des Pouilles. Malgré leurs origines méridionales, ces organisations ont réussi à s’enrichir de 1,5 milliard d’euros dans le nord prospère du pays.
7.000 entreprises en danger
Raffaele Rio, président de Demoskopika, alerte sur les 7.000 entreprises touristiques menacées par le crime organisé : endettées et en manque de liquidités, elles deviennent des cibles faciles pour les prêts usuriers de la mafia. Cette emprise permet aux mafias de blanchir l’argent sale tout en étranglant l’économie légale. Selon Rio, « Les mafias construisent un système d’aide sociale criminelle qui écrase les entrepreneurs en difficulté. »
Chaque ski est équipé d’un moteur électrique de 20 Nm de couple et d’une batterie lithium de 220 Wh. Un système de bande de roulement en caoutchouc, semblable à une chaîne de motoneige, propulse les skis en partie arrière. En outre, ces E-Skimo sont dotés de capteurs de pointe pour enclencher l’assistance électrique au meilleur moment. Un capteur de sécurité, placé sur le bâton du skieur, coupe le moteur en cas de chute.
Les E-Skimo promettent une réduction de l’effort de montée de 30 % et une augmentation de vitesse dans les côtes allant jusqu’à 80 %. Avec une autonomie de trois heures, ces skis pourraient bien transformer vos sorties en montagne ! Une fois au sommet, les composants motorisés se retirent facilement pour une descente classique. N’espérez toutefois pas voir ces skis dans les magasins, car E-Outdoor a d’autres ambitions commerciales ! La société préfère en effet collaborer avec des marques de ski pour intégrer cette innovation dans leurs gammes.
Les débuts des Jeux Olympiques : Une tradition millénaire
Le jour historique ? C’était en 776 av. J.-C., à Olympie, un petit sanctuaire grec dédié à Zeus. Ce jour-là, les premiers Jeux Olympiques de l’histoire ont eu lieu, marquant le début d’une tradition qui dure encore aujourd’hui. Imaginez l’atmosphère : des athlètes en pleine compétition, des spectateurs enthousiastes et le prestige d’honorer les dieux de la Grèce antique.
Pourquoi les Jeux Olympiques ?
Les Jeux Olympiques avaient une vocation à la fois religieuse et culturelle. Ils étaient créés pour rendre hommage à Zeus et promouvoir des valeurs telles que le courage, la force et le dépassement de soi. La légende raconte que le héros Héraclès serait l’initiateur des Jeux après avoir accompli ses douze travaux.
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Pour qui étaient ces Jeux ?
Les Jeux étaient réservés aux citoyens grecs libres. Seuls les hommes pouvaient participer et assister aux compétitions. Les femmes mariées, quant à elles, étaient strictement interdites dans l’enceinte d’Olympie. Seuls les meilleurs athlètes issus des différentes cités-États se présentaient, prêts à concourir pour la gloire et l’honneur.
Les récompenses et la gloire du vainqueur
Le vainqueur recevait une simple couronne d’olivier, symbole de paix et de victoire. Mais le véritable prix était la gloire éternelle. De retour dans leur cité, les champions étaient célébrés comme des héros, recevant parfois des privilèges tels que des repas gratuits à vie ou des statues érigées en leur honneur.
Quels étaient les jeux au programme ?
Lors des premiers Jeux, une seule épreuve existait : la course à pied de 192 mètres, appelée le stade. Par la suite, des épreuves comme le pentathlon (course, saut en longueur, lancer de disque, lancer de javelot, lutte), la boxe et le pancrace (un mélange de lutte et de boxe) furent ajoutées.
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Olympie : Un lieu mythique chargé d’histoire
Olympie, située dans le Péloponnèse, était un sanctuaire religieux dédié à Zeus. Ce site sacré abritait de majestueux temples et la célèbre statue de Zeus, l’une des Sept Merveilles du Monde Antique. Aujourd’hui, Olympie est un site archéologique incontournable en Grèce, attirant des milliers de visiteurs venus admirer ses ruines antiques et son stade historique.
Marie Owens Thomsen, économiste en chef de l’IATA, a salué cette reprise spectaculaire après des pertes colossales liées à la pandémie : 183 milliards de dollars entre 2020 et 2022. Les compagnies aériennes vont bénéficier d’un repli du prix du kérosène, estimé à 87 dollars le baril en 2025, contre 99 dollars en 2024. Cette baisse réduira la part du carburant à 26,4 % des coûts d’exploitation contre 28,9 % cette année.
Si la reprise est spectaculaire (qu’il faut toutefois tempérer avec des défis liés aux chaînes d’approvisionnement défaillantes, infrastructures saturées et fiscalité en hausse), l’impact environnemental reste préoccupant. Avec une consommation de 405 milliards de litres de kérosène en 2025, les émissions de CO₂ continuent d’augmenter. L’IATA encourage le développement de carburants durables (SAF), mais leur production reste insuffisante.
Pour limiter son empreinte carbone, privilégier des alternatives comme le train pour les courtes distances est essentiel. Les compagnies investissent également dans des technologies plus écologiques, comme des avions moins polluants et des programmes de compensation carbone. Suffisant ? Le débat est lancé mais certainement pas clôturé !