21,5 millions de touristes… et ce n’est que le début
Le Japon vient de franchir un cap historique avec 21,5 millions de touristes étrangers entre janvier et juin 2025, soit une hausse de 21 % par rapport à l’an dernier. Un record battu à mi-parcours, salué comme un « rythme jamais vu » par l’Office national du tourisme japonais.
Le mois de juin, souvent discret sur le plan touristique, a explosé avec 3,4 millions de visiteurs, dopés par les vacances scolaires et une appétence internationale retrouvée pour le pays du saké et des sushis.
Qui visite ? Qui hésite ?
Ce boom est en grande partie tiré par la Chine, la Corée du Sud, Singapour, l’Inde, les États-Unis et même l’Allemagne. Bref, une carte postale mondiale… sauf pour Hong Kong.
Là, c’est la douche froide : une chute de 33 % des arrivées en juin. La faute à des rumeurs en ligne annonçant un séisme majeur en juillet 2025. L’origine ? Un manga republié en 2021, dans lequel un rêve de l’auteur prédisait une catastrophe. De quoi semer le doute. Les autorités ont eu beau démentir, l’effet a été réel.
Tourisme de masse : Kyoto étouffe
Si l’objectif gouvernemental est ambitieux — 60 millions de touristes par an d’ici 2030 —, il s’accompagne d’une volonté de décentraliser le flux touristique. Kyoto, comme Venise, voit ses habitants froncer les sourcils devant le surtourisme.
Les World Marathon Majors (WMM) ne sont pas de simples marathons. C’est une ligue à part, une sorte de Grand Chelem de la course à pied, qui regroupe aujourd’hui sept épreuves mythiques à travers le monde : Tokyo, Boston, Londres, Berlin, Chicago, New York… et désormais Sydney, intégrée officiellement en 2025.
Le principe ? Une compétition annuelle réservée aux élites (valide et fauteuil), avec un système de points qui récompense les meilleurs classements. Chaque athlète peut marquer des points dans plusieurs courses, mais seuls ses deux meilleurs résultats sont retenus. Le cumul final détermine le classement général, avec une prime de 500.000 dollars à la clé pour le gagnant et la gagnante des 10 derniers WMM.
Mais l’objectif n’est pas que financier. Pour de nombreux coureurs amateurs, la vraie récompense, c’est la fameuse médaille Six Star (désormais Seven Star, puis potentiellement Nine Star si deux marathons supplémentaires sont validés). Chaque étoile représente un marathon terminé. Pas de chrono, pas de podium, mais une aventure à raconter toute sa vie !
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Le circuit : 7 villes, 7 ambiances
Tokyo, c’est la discipline et la douceur japonaise, des rues impeccables, une foule polie mais passionnée.
Boston, c’est le doyen, l’épreuve mythique avec sa célèbre côte de Heartbreak Hill et sa météo imprévisible.
Londres, c’est la convivialité britannique, entre éclats de rire et déguisements improbables. On court sous les encouragements constants, souvent trempé….
Berlin, c’est la vitesse. Le parcours est plat, les records du monde y tombent régulièrement. Moins d’émotion, mais beaucoup de performance.
Chicago, c’est le mix parfait entre parcours rapide et ambiance électrique. Chaque quartier a son identité, chaque rue vibre.
New York, c’est l’apothéose. Cinq boroughs, une foule gigantesque, des orchestres, des larmes à l’arrivée. C’est bruyant, épuisant… et inoubliable.
Et Sydney ? C’est la nouvelle pépite du circuit. Le seul Major de l’hémisphère sud. Départ sur l’Harbour Bridge, arrivée devant l’Opéra, 317 m de dénivelé au menu. L’ambiance y est déjà unique, entre chaleur humaine, paysages sublimes et ce parfum d’Océanie qui sent bon le voyage.
Il n’existe pas de règle générale concernant les animaux que vous pouvez emmener à bord d’un avion. Vous devez donc consulter les conditions spécifiques de la compagnie aérienne avec laquelle vous partez. Ces conditions sont souvent disponibles en ligne sur le site web de la compagnie concernée.
Cabine
Il est souvent permis d’emmener de petits chiens ou chats en cabine et de les garder « auprès de vous ». Généralement, il est exigé que l’animal et son sac de transport ne pèsent pas plus de 8 kilos au total. De plus, un seul animal est autorisé par passager. L’animal ne peut pas non plus déranger les autres passagers.
Soute
Dans certains cas, il est aussi possible d’emmener votre chien ou votre chat en soute. Là encore, les conditions peuvent varier d’une compagnie à l’autre. Il peut par exemple être requis que l’animal ait au moins 12 semaines, qu’il soit transporté dans une caisse de transport bien fermée, agréée pour le transport aérien, dans laquelle il peut se tenir debout et se retourner. Sachez aussi que certaines races de chiens et de chats peuvent être exclues.
Formalités
Si vous souhaitez voyager avec votre animal, assurez-vous qu’il dispose d’un passeport européen, qu’il soit pucé et qu’il ait reçu les vaccins nécessaires. Veillez également à ce que votre compagnon réponde aux exigences en vigueur dans le pays de destination.
Si votre vol a un retard significatif, vous pouvez pour le moment réclamer une indemnisation :
un retard d’au moins 2 heures pour un vol de maximum 1500 km,
un retard d’au moins 3 heures pour un vol de plus de 1500 km à l’intérieur de l’Union européenne ou pour un vol entre 1500 et 3500 km à destination ou en provenance d’un pays non-européen,
un retard d’au moins 4 heures pour un vol de plus de 3500 km en dehors de l’UE.
Attention, cette règle ne s’applique pas aux vols quipartent d’un pays non membre de l’UE et qui sont opérés par une compagnie aérienne non-européenne.
Quel est le montant de l’indemnisation ?
L’indemnité s’élève à :
250 euros pour les vols jusqu’à 1500 km inclus,
400 euros pour les vols de plus de 1500 km à l’intérieur de l’UE ou entre 1500 et 3500 km en dehors de l’UE,
600 euros pour tous les autres vols.
Cette dernière indemnisation peut être réduite de moitié si le retard à l’arrivée est compris entre 3 et 4 heures. En cas de force majeure, aucune indemnité n’est due. Si le dommage subi est supérieur au montant forfaitaire prévu, il est parfois possible de réclamer une indemnité plus élevée.
Quels changements à l’avenir ?
Les ministres européens des Transports sont tombés d’accord pour n’accorder une compensation financière qu’en cas de retards plus importants. En outre, les montants des indemnisations forfaitaires seraient réduits de manière significative.
La durée de retard minimale passerait ainsi :
à 4 heures pour les vols courts,
et même à 6 heures pour les vols intercontinentaux.
En parallèle, les montants seraient revus à la baisse. Par exemple, l’indemnisation de 600 euros pourrait être réduite à 500 euros.
Cependant, cette nouvelle réglementation potentielle doit encore être votée au Parlement européen.
Premiers frissons urbains avant la fuite buissonnière
À peine arrivée, je sens que la ville veut me parler. Pas en slogans touristiques, mais à travers ses détails : le linge qui sèche aux fenêtres, les bouquinistes fatigués près du Chiado, les embruns du Tage qui chatouillent les terrasses en fin d’après-midi. Je m’offre une première errance dans l’Alfama au crépuscule — ce moment magique où la lumière semble se replier doucement dans les pavés. Demain, je fuis. Mais ce soir, je savoure.
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Sintra, là où la nature prend des airs de conte gothique
Je pars tôt, emmitouflée dans un petit cardigan, direction Sintra, ce drôle de village perché dans la brume. Moins d’une heure de train et me voilà dans un autre monde. Pas question de faire la file pour les grands palais : je file directement vers les sentiers. Ceux qui serpentent à l’ombre des chênes-lièges, grimpent en silence jusqu’à la Peninha, une chapelle oubliée qui surplombe l’océan. Le vent hurle, le paysage se déchire sous les nuages, et je me sens minuscule, vivante. Ici, les ruines et la mousse vous murmurent des secrets. À vous de tendre l’oreille.
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Arrábida, la Méditerranée qui aurait oublié qu’elle était portugaise
L’après-midi, changement de décor : je loue une voiture pour filer vers le parc naturel de la Serra da Arrábida. À moins d’une heure de route, un autre monde s’ouvre, plus sensuel, plus lumineux. Des falaises couvertes de pins tombent dans une mer immobile. Je découvre la plage de Galapinhos presque vide : sable blanc, eau transparente, silence total, si ce n’est les rires d’un couple de dauphins (véridique). On dirait la Corse, sans les embouteillages. Le temps s’étire, les heures n’ont plus d’importance. Je me laisse flotter.
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Le dimanche, je deviens exploratrice
Le lendemain, pas question de retourner au bitume trop vite. Je prends la route de Mafra, mais pas pour son palais. Non, je vise la Tapada de Mafra, une réserve naturelle méconnue qui m’évoque un vieux film de Miyazaki : clairières magiques, biches furtives, arbres centenaires. On peut la parcourir à pied, à vélo ou même en petit train (j’ai choisi mes jambes, et elles me le reprochent encore un peu). J’y ai croisé plus d’animaux que d’humains, ce qui, un dimanche matin, me semble être une victoire.
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Derniers battements d’ailes à l’estuaire du Tage
Pour finir, je file vers un endroit presque irréel : la réserve naturelle de l’estuaire du Tage. C’est un monde horizontal, fait de vase, d’eau, de lumière changeante et de silhouettes ailées. Plus de 120 000 oiseaux y font halte chaque année — et moi aussi, pour quelques heures. Jumelles autour du cou, je m’essaie à reconnaître les espèces (j’échoue royalement), mais je me prends au jeu. Ici, tout semble suspendu, hors du temps. Un héron me regarde, stoïque. Je le salue, très poliment.
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Et si on ne rentrait pas tout de suite ?
Je devais faire une journée de farniente. Mais sur un coup de tête — et un fond de « café » trop fort — je décide de prolonger les expéditions. Je découvre le Parc de Monsanto, immense forêt urbaine aux confins de Lisbonne, puis les vignobles secrets de Bucelas, où l’on déguste un vin blanc minéral sous des tonnelles fleuries. Enfin, je pousse jusqu’à la Lezíria do Tejo, où les rizières, les marais et les chevaux blancs tracent une symphonie lente, presque onirique.
Un week-end à Lisbonne, hors piste
Non, Lisbonne ne se résume pas à ses collines pavées et ses miradors. C’est une ville-porte, qui s’ouvre sur mille ailleurs. En deux jours, j’ai marché sur des crêtes, nagé dans des criques désertes, parlé aux renards (bon, de loin), et découvert un Portugal sauvage, tendre et surprenant. Mon conseil ? Laissez tomber le programme. Perdez-vous un peu. Et surtout, laissez la nature lisboète vous voler votre week-end.
Si vous tombez malade pendant vos vacances (que vous soyez chez vous ou en voyage), vous ne perdez plus automatiquement ces jours de congé. Vous pourrez les reprendre plus tard, avec maintien du salaire. Votre employeur devra également vous payer un salaire garanti pour les jours durant lesquels vous étiez malade.
Attention toutefois : cette règle ne s’applique qu’aux jours de congé légaux. Si vous êtes en congé extralégal et tombez malade, il se peut que vous ne puissiez pas récupérer ces jours ultérieurement.
Quand les reprendre ?
Vous pouvez reprogrammer vos jours de congé à un moment convenu avec votre employeur. Cela signifie que vos vacances ne sont pas automatiquement prolongées du nombre de jours où vous avez été malade ! Si vous souhaitez reprendre vos jours de vacances immédiatement après la période de congé initiale, vous devez en informer à temps votre employeur. Cela n’est d’ailleurs possible qu’avec son accord.
Si vous êtes toujours malade en fin d’année, vous pouvez reporter les jours non pris pendant une période de 24 mois.
Vos obligations
Pour pouvoir reprendre vos jours de congé par la suite, vous devez respecter certaines obligations. Vous devez d’abord avertir immédiatement votre employeur de votre incapacité de travail.
Si vous n’êtes pas à votre domicile (par exemple, dans un hôtel à l’étranger), vous devez également communiquer votre adresse de séjour. Votre employeur a en effet le droit d’envoyer un médecin de contrôle, même sur votre lieu de vacances. Enfin, vous devez remettre un certificat médical à votre employeur.
On commence par Ubud, ce petit joyau au centre de l’île. Loin des plages bondées, Ubud cède de plus en plus à la pression touristique mais malgré tout, il est encore facile d’y trouver des parfums d’authenticité. J’ai pris un cours de cuisine chez Paon Bali : en pilant le galanga et le curcuma dans un mortier en pierre volcanique, j’avais l’impression de faire bien plus que de la cuisine ! Et le soir, au Palais Royal, les danseuses barong aux gestes millimétrés semblaient raconter des épopées vieilles comme le monde.
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2. Sidemen, la vallée oubliée
Nichée dans une vallée verdoyante, Sidemen est l’antithèse du tumulte balnéaire. J’y ai dormi dans une hutte en bambou, bercée par le chant discret des grenouilles et le bruit de la pluie sur les feuilles de bananier. En me perdant sur les sentiers, j’ai croisé des paysans, me saluant dans un “selamat pagi” complice. Le mont Agung, majestueux en toile de fond, m’a rappelé que la nature ici commande, toujours. Ici, le retour aux sources est impérieux.
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3. Les temples de l’âme : Tirta Empul et Lempuyang
L’émotion pure, je l’ai ressentie à Tirta Empul, aux bassins sacrés pour une purification hindoue. Un rite ancestral, où l’eau semble laver autant le corps que les doutes. Dans un autre style, Lempuyang, le “temple des portes du ciel”, m’a offert un instant suspendu : entre ciel et terre, l’encadrement parfait du volcan dans le portail sculpté était si émouvant que j’en ai oublié la file pour la photo. Presque.
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4. Nusa Lembongan, l’échappée marine
Envie de mer turquoise et de sable qui crisse ? Direction Nusa Lembongan, à 30 minutes de bateau. Ici, pas de voitures, juste des scooters et des rires salés. Si vous êtes adeptes du snorkling, il n’est pas très compliqué d’y rencontrer des raies manta, ces créatures gracieuses qui dansent comme en apesanteur. Au coucher du soleil, une noix de coco fraîche à la main, j’avais l’impression de réaliser un rêve d’enfant, tant l’ambiance était paradisiaque.
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5. Munduk, entre cascades et caféiers
Mon dernier coup de cœur, Munduk, perché dans le nord montagneux. Le climat y est plus frais, et les sentiers sentent la mousse et les fougères. Ne manquez pas non plus la cascade de Banyumala, où le bruit de l’eau couvre même les pensées. Et puis, cette pause dans une plantation de café, où j’ai découvert que le Kopi Bali n’est pas juste une boisson, mais un rituel, un moment suspendu.
L’Hôtel Van der Valk Nivelles-Sud, c’est 155 chambres et suites, spacieuses et confortables, réparties en 3 catégories. C’est aussi un restaurant dont la réputation n’est plus à faire : cuisine d’inspiration française, vaste carte, plats raffinés et buffet à volonté (tous les midis en semaine ainsi que le vendredi soir, le samedi soir et le dimanche midi). C’est encore un magnifique espace Wellness & Fitness, avec hammam, sauna, jacuzzi, piscines et centre de soins.
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L’établissement jouit de plus d’une situation incroyable : c’est le lieu idéal pour découvrir Nivelles, capitale du Roman Païs de Brabant, et pour partir en excursion. Depuis l’hôtel, vous rejoindrez aisément les routes qui mènent aux chemins de campagne : à vous les randonnées et les coins pittoresques à explorer.
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Cet été, le Van der Valk propose plusieurs packages exceptionnels et, parmi ceux-ci, le package « Namasté », dont le nom est à lui seul une invitation à la détente.
Imaginez déjà : une chambre ou une suite catégorie « executive » avec unn cocktail de bienvenue, à siroter tranquillement sur la terrasse ensoleillée, avant de se restaurer d’un menu 3 services. Un accès aux piscines intérieure et extérieure et au Spa, pour fondre de plaisir. Sans oublier le massage « duo » de 50 minutes au centre de soins de l’hôtel. Et le lendemain matin, un savoureux buffet petit déjeuner.
La promesse donc de passer du temps de qualité avec votre moitié, à moindre coût. C’est si tentant ! Ressourcement. Relaxation. Détente. Farniente. Autrement dit, un moment suspendu, comme on les aime tant. L’offre promotionnelle rend tout cela possible à partir de 425 euros.
Et pour être décontracté et posé dès l’arrivée, sachez que l’hôtel dispose d’un parking gratuit : il n’y a qu’à réserver… et profiter !
La Chaussée des Géants, joyau naturel de l’Irlande du Nord, souffre. Non pas à cause de l’érosion naturelle (elle gère ça depuis 60 millions d’années), mais à cause d’une habitude touristique aussi tenace qu’incongrue : glisser des pièces de monnaie dans ses failles.
Un geste censé porter chance ou attirer l’amour, selon une superstition qui, visiblement, n’a pas été testée scientifiquement. Résultat : des milliers de pièces coincées dans les colonnes de basalte, qui rouillent, gonflent, éclatent la roche, et défigurent ce site classé à l’UNESCO.
Quand la magie abîme la pierre
Cliff Henry, du National Trust, ne cache pas son inquiétude : « Ces pièces causent de sérieux dégâts au site et nous devons agir », rappelle-t-il, appuyé par un rapport de la British Geological Survey datant de 2021. Les effets sont bien visibles : des marques brunes peu gracieuses, et des fissures agrandies par la dilatation des métaux.
Le retrait des pièces a été testé par des tailleurs de pierre — avec succès — mais cela a un prix : environ 30.000 livres (plus de 34.000 €). En attendant, des panneaux et des guides touristiques bienveillants mais fermes sensibilisent les visiteurs à ne plus transformer ce site volcanique en tirelire sentimentale.
Le secret de cette croissance ? Un cocktail bien dosé de nouveautés et d’expériences inédites :
Une troisième boutique dédiée aux minéraux (avis aux collectionneurs de cailloux brillants),
Un taux d’occupation de 90% pour les hébergements, qui comptent désormais 121 chambres,
Et surtout, l’inauguration d’un 9e monde, Les Îles du Soleil Levant, ambiance Japon zen garanti (mais sans les sushis, dommage).
Sans oublier “Préhi-Daiza”, l’exposition immersive pour marcher dans les pas des dinos.
Des pandas… et des emplois
Le parc ne pense pas qu’à ses animaux : avec 126,6 millions d’euros d’investissements, Pairi Daiza voit grand. Et pas seulement pour ses enclos : une étude indépendante affirme que l’activité a généré 145,2 millions d’euros de retombées économiques et 3.167 emplois, directs et indirects.