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Tag: Français

  • La Louvière : une échappée entre acier, argile et aristocratie

    La Louvière : une échappée entre acier, argile et aristocratie

    Ascenseur a bateaux de Strepy Thieu
    WBT – Henning Angerer

    Le Canal du Centre historique : quand l’eau défie la gravité

    Notre journée va commencer à Strépy-Thieu, face à un géant de métal qui semble défier les lois de la physique : le célèbre ascenseur à bateaux. Une véritable cathédrale d’ingénierie qui propulse des péniches de plus de 1.000 tonnes… 73 mètres plus haut ! Pour ma part, en bonne curieuse lors de ma visite, je ne me suis pas contentée de l’admirer de l’extérieur : direction le 8e étage pour une expo captivante sur la navigation fluviale. Anecdotes, maquettes, photos anciennes… Il y a de quoi être transporté !

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    Mais rien ne vaut l’expérience sur l’eau… ce qui est parfaitement possible de faire à bord d’un bateau voguant sur le Canal du Centre historique. La cerise sur le gâteau ? Le passage sur un ancien ascenseur à bateaux, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO ! Et pour la touche ludique, il est même possible de prendre les commandes d’un petit bateau électrique, sans permis !

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    Voies d'Eau du Hainaut - Canal du Centre historique - bateaux electriques
    utopix – vhello

    À vélo, entre patrimoine et terrils fleuris

    L’après-midi peut parfaitement prendre des airs bucoliques : enfourchez un vélo au départ de Binche pour longer le canal et explorer les alentours ! Entre les anciennes infrastructures industrielles, les ponts mobiles et les petits ports charmants, il y a de quoi prendre une vraie claque de patrimoine vivant ! Et pas d’inquiétude : le dénivelé reste raisonnable…

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    Bois-du-Luc : mémoire ouvrière au cœur de la ville

    À seulement 5 kilomètres de là, une autre étape incontournable : Bois-du-Luc, véritable cité minière figée dans le temps. Là, c’est l’émotion qui prend le dessus. On découvre les anciens ateliers, le puits Saint-Emmanuel, les maisons ouvrières, le corps médical… Un microcosme industriel d’autrefois, inscrit lui aussi à l’UNESCO. Arpentez les ruelles avec le sentiment de marcher dans les pas des mineurs, de leurs familles, de leur quotidien. Même les terrils alentours se sont transformés en havres de verdure, reflets de la résilience de cette terre…

    Ceramique
    Keramis

    Keramis : la céramique comme vous ne l’avez jamais vue

    Quelques coups de pédales plus loin, vous voilà devant Keramis, un musée d’un genre à part. Installé sur le site de l’ancienne faïencerie Boch, ce bâtiment à l’architecture contemporaine abrite trois majestueux fours-bouteilles, derniers témoins de leur espèce en Belgique. Entre pièces patrimoniales du XIXe siècle et créations artistiques contemporaines, vous découvrirez une céramique poétique, audacieuse, parfois même provocante. De quoi bousculer les idées reçues !

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    Binche : masques et murailles

    Impossible de ne pas faire un détour par Binche, à quelques encablures, que l’on connaît bien entendu pour son carnaval ! Cette ville médiévale a gardé tout son caractère : beffroi, remparts, palais de Marie de Hongrie… Et puis, il y a ce musée du Carnaval et du Masque qui, même hors saison, fait vivre l’âme des Gilles. Un patrimoine immatériel de l’humanité comme on en voit peu, profondément ancré dans le cœur des habitants.

    Binche - remparts
    WBT – Bruno D'Alimonte

    Seneffe : noblesse et nature en majesté

    Changement d’ambiance : cap sur le Domaine de Seneffe. Son château néoclassique, cerné de 22 magnifiques hectares de jardins paysagers, est une ode à la vie aristocratique du XVIIIe siècle. Dans les salons, on admire les collections d’orfèvrerie, tandis que les allées invitent à la flânerie. Le tout ponctué par une application mobile originale, “De jour en jour, le XVIIIe siècle”, qui m’a presque donné envie de ressortir ma robe à panier (presque…).

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    _VAU3399_(c)Domaine de Seneffe asbl-Francis Vauban
    Domaine de Seneffe asbl – Francis Vauban

    Mariemont : quand l’art tutoie les civilisations

    Enfin, pour clôturer cette escapade, direction le Musée royal de Mariemont, au cœur d’un parc de 45 hectares. Une vraie bulle hors du temps, entre arbres remarquables, sculptures monumentales et ruines d’un palais du XVIIIe. À l’intérieur, on voyage d’un continent à l’autre : de l’Égypte ancienne à la Chine impériale, en passant par Rome et la Belgique industrielle. Un condensé d’histoire universelle, dans un écrin d’une beauté rare ! Notez que le musée est temporairement fermé et rouvrira le 22 novembre, avec de jolis châssis tout neufs et surtout, une exposition baptisée « Marie de Hongrie, Art & Pouvoir à la Renaissance ».

    Exterieur du Domaine et Musee royal de Mariemont
    MRM

    Un territoire, mille visages

    Entre ingéniosité humaine, richesses culturelles et splendeurs naturelles, cette région autour de La Louvière prouve qu’elle a mille visages à offrir ! Une destination idéale pour les curieux de tout âge, ceux qui aiment s’émerveiller, comprendre, respirer, pédaler… ou tout simplement prendre le temps !

    Mes bonnes adresses où poser ses valises

    La Ferme de l’Abbaye de Saint Feuillien à Le Roeulx
    Un cocon raffiné au cœur du Roeulx, entre charme authentique et douce escapade à la campagne. 3 chambres d’hôtes 4 épis.

    Ecau Lodge à Ecaussinnes
    16 lodges éco-chic nichés dans un écrin de verdure, pour un séjour nature et ressourçant.

    Orange Hôtel 
    Un hôtel insolite de 8 chambres aux couleurs du Carnaval, pour une escapade festive et chaleureuse au cœur de La Louvière.

    Le Castillon
    3 chambres d’hôtes aux accents italiens, pour une parenthèse conviviale et ensoleillée chez Christiane et Pasquale.

     

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  • Quelle garantie avez-vous sur les articles achetés à l’étranger ?

    Quelle garantie avez-vous sur les articles achetés à l’étranger ?

    shop barcelona
    welovebarcelona

    Règlementation européenne

    Les règles légales en matière de garantie sur les biens de consommation, sont basées sur une directive européenne. Cela signifie que si vous achetez un bien dans un autre pays de l’Union européenne, les règles de garantie seront dans une large mesure similaires, et vous aurez en principe également droit à deux ans de garantie.

    Si vous achetez quelque chose dans un pays hors Union européenne, vous devez alors consulter la législation locale pour savoir à quelle garantie vous pouvez prétendre. Il est également possible que le vendeur vous accorde une garantie commerciale complémentaire !

    Demander la garantie en Belgique ?

    En principe, vous rendre dans un magasin belge pour demander une réparation sous garantie d’un produit acheté à l’étranger, ne fonctionnera probablement pas ! Le commerçant belge n’a en effet aucune relation contractuelle avec vous.

    Il existe toutefois une exception : si vous avez acheté un produit de marque, et que vous vous adressez ici à un magasin qui vend cette même marque. Le contrat entre ce magasin belge et son fournisseur pourrait contenir une clause l’obligeant à aider les clients ayant acheté ce produit ailleurs (par exemple, en envoyant le produit au fournisseur). Il peut être utile de vous renseigner auprès du magasin ou de l’importateur de la marque pour savoir si une prise en charge est possible en Belgique.

    Pas de solution, que faire ?

    Si vous ne pouvez pas vous faire aider en Belgique et que vous n’arrivez pas non plus à trouver une solution avec le vendeur étranger (par exemple, s’il refuse de vous rembourser), vous pouvez introduire une plainte auprès du Centre Européen des Consommateurs (ECC Belgique). Ce service peut intervenir si le vendeur est établi dans un autre pays de l’UE, en Norvège ou en Islande.

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Vietnam : un joli cadeau pour les touristes belges !

    Vietnam : un joli cadeau pour les touristes belges !

    vietnam
    jonathan-ouimet

    Les formalités viennent de se simplifier pour les Belges désireux de visiter le Vietnam. Depuis le 15 août, plus besoin de visa touristique pour un séjour de moins de 45 jours au Vietnam !

    L’annonce a été faite par Maxime Prévot, ministre belge des Affaires étrangères. Et ce n’est pas un hasard : “C’était l’une des principales revendications que le roi Philippe et moi-même avions formulées lors de la visite d’État au Vietnam en avril dernier,” explique-t-il. “Le Premier ministre vietnamien s’y était engagé… C’est chose faite.”

    Une ouverture vers l’Europe… mais pas pour tout le monde

    Le Vietnam ne fait pas les choses à moitié : 12 pays européens sont concernés par cette exemption de visa. Outre la Belgique, on retrouve entre autres les Pays-Bas, le Luxembourg, la Pologne ou encore la Suisse. Cette mesure s’inscrit dans une stratégie touristique plus large du gouvernement vietnamien, qui souhaite accueillir plus de voyageurs internationaux, tout en évitant de leur faire perdre du temps dans les méandres administratifs

  • Tourisme en France : les Belges sont les plus gros contributeurs !

    Tourisme en France : les Belges sont les plus gros contributeurs !

    paris
    anthony-delanoix-

    Avec 37,3 milliards d’euros de recettes internationales enregistrées au premier semestre (+13,7%), la France vise désormais les 100 milliards d’ici 2030. Une somme rondelette à laquelle, manifestement, nous contribuons copieusement ! Pour mémoire, la barre était à 58 milliards en 2019, 63,5 en 2023 et 71 en 2024.

    Les autres grands dépensiers

    Derrière la Belgique, les États-Unis prennent la deuxième place du podium, suivis par le Royaume-Uni et l’Allemagne. Les arrivées aériennes internationales en France ont grimpé de 2,5% cet été. L’Europe du Nord s’est distinguée : Suédois (+16,6%), Danois (+16,2%), Allemands (+6,3%). Et au-delà du continent, ce sont les Australiens (+30%), Coréens du Sud (+12,3%), Canadiens (+9,35%), Chinois (+2,85%) et Américains (+2%) qui ont renforcé les rangs.

    Et les Français eux-mêmes ?

    Les Français ont maintenu leurs séjours à 290 millions de nuitées entre fin juin et mi-août. Mais attention : un quart ont raccourci leurs vacances et un tiers ont changé de destination, principalement pour des raisons budgétaires.

  • Les Vallées sèches de McMurdo : la zone la plus sèche de la planète ?

    Les Vallées sèches de McMurdo : la zone la plus sèche de la planète ?

    dry valley
    adobe

    Nichées dans la Terre Victoria, les Dry Valleys de McMurdo défient les clichés sur l’Antarctique. Ici, pas de banquise infinie, mais des vallées presque sans neige, un sol rocailleux et une sécheresse comparable à l’Atacama. L’humidité ? Balayée. Les précipitations ? Moins de 100 mm par an, souvent sous forme de flocons perdus. Certaines sources annoncent que des zones bien précises n’auraient pas vu la pluie depuis des millions d’années !

    Les responsables : des vents furieux et des montagnes qui bloquent tout !

    Deux phénomènes expliquent cette sécheresse extrême. D’abord, les vents kctabatiques : des rafales glacées, jusqu’à 320 km/h, qui dévalent les pentes en évaporant la neige avant même qu’elle ne touche le sol. Ensuite, un effet d’ombre pluviométrique causé par la chaîne de montagnes Transantarctique, qui bloque l’air humide venu de l’océan. Résultat : une zone quasi stérile de 4 800 km², sans pluie depuis des millions d’années.

    Friis Hills : l’endroit le plus stérile du monde ?

    Au cœur des Dry Valleys, les Friis Hills sont encore plus extrêmes. Selon une étude néo-zélandaise, elles seraient restées inchangées depuis 14 à 20 millions d’années, rapporte wodnesprawy.pl. C’est sec, froid, exposé aux vents – et surtout, vide. Des échantillons de sol n’ont révélé aucune trace de vie microbienne. Un cas quasi unique sur Terre !

    Mais la vie persiste… ailleurs

    Sous les lacs salins gelés, des bactéries anaérobies ont développé des stratégies de survie inattendues, métabolisant fer et soufre, sans lumière ni oxygène. C’est d’ailleurs ce qui fascine les astrobiologistes : les Vallées Sèches sont un laboratoire à ciel ouvert pour comprendre les limites de la vie, ici comme sur Mars.

    Un sanctuaire à ne pas déranger

    Classée zone protégée (ASMA-2), la région est strictement surveillée ! Le sol y est resté intact depuis des millénaires. Comme si le temps lui-même s’y était arrêté.

  • Ryanair et les bagages : ça grince déjà !

    Ryanair et les bagages : ça grince déjà !

    ryanair
    portuguese-gravity

    Pour rappel, chez Ryanair, les bagages cabines trop gros risquent de coûter cher aux passagers, mais de rapporter davantage aux employés. La compagnie irlandaise a annoncé que la prime pour signaler un bagage hors format passera de 1,50 € à 2,50 € par article dès novembre.

    Une ambiance explosive en vol ?

    Pour le syndicat allemand du personnel navigant UFO, cette politique est une recette pour la discorde. Joachim Vazquez Bürger prévient : “Vous gâchez l’ambiance avant même le début du vol en vous en prenant à des passagers déjà stressés.” Il redoute l’émergence de passagers indisciplinés

    La ligne dure de Ryanair

    La compagnie, elle, assume. Elle affirme que ces contrôles fluidifient l’embarquement et évitent les retards, synonymes de coûts élevés. Ryanair sanctionne déjà sévèrement les débordements : 500 € d’amende ! En outre, la compagnie appelle à interdire l’alcool dans les aéroports. Côté concurrence, Lufthansa a confirmé ne pas offrir de primes similaires et préfère régler les litiges sur les bagages “à l’amiable”.

    Taille maximale et critiques

    Ryanair rappelle que le bagage gratuit ne doit pas dépasser 40 x 30 x 20 cm pour 10 kg max. Pour une valise cabine à roulettes, il faut payer un supplément, ce qui agace autant les associations de consommateurs que le Parlement européen.

  • COP30 au Brésil : les logements sont trop chers !

    COP30 au Brésil : les logements sont trop chers !

    belem
    evandro-maia-neves

    Alors que la prochaine conférence sur les changements climatiques, la COP30, approche à grands pas (elle est prévue en novembre à Belem, au Brésil), un sujet brûlant fait monter la température bien avant les débats : le prix des hébergements.

    Lors d’une réunion virtuelle avec le Brésil, le bureau de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) a proposé un tarif journalier raisonnable : 100 dollars pour les pays à faibles ressources, 400 à 500 dollars pour les autres. On est loin du compte : impossible aujourd’hui de trouver un lit à moins de 300 dollars la nuit via la plateforme officielle.

    Qui doit payer la note ?

    La CCNUCC a même envoyé une lettre formelle, réclamant une subvention du Brésil pour couvrir ces frais. Réponse polie mais ferme de Miriam Belchior, représentante du gouvernement brésilien : « Subventionner les hébergements pour les délégations, y compris de pays plus riches que le Brésil, ne serait pas justifiable pour la société brésilienne. »

    Défections diplomatiques

    Sur les 198 pays invités, 47 ont confirmé leur présence… et surtout payé leur hébergement. Mais certains, comme l’Autriche, jettent déjà l’éponge. Vienne a annoncé en août qu’elle ne participera pas, les coûts logistiques étant jugés intenables.

  • Antarctique en péril : les constats sont alarmants !

    Antarctique en péril : les constats sont alarmants !

    antarctica
    cassie-matias

    Tourisme polaire : un coût climatique salé

    Longtemps perçu comme un sanctuaire de glace inviolé, l’Antarctique craque désormais sous la pression… des activités humaines. Une étude publiée dans Nature Sustainability dresse un constat glaçant : dans les zones visitées, la concentration de particules fines toxiques a été multipliée par dix en 40 ans.

    L’effet boule de neige ne vient pas que du réchauffement climatique. Le nombre de touristes a explosé ces vingt dernières années, passant de 20.000 à 120.000 par an, selon l’Association internationale des opérateurs touristiques de l’Antarctique. Et chacun de ces visiteurs laisse une trace bien visible.

    Les croisières et les… scientifiques en cause ?

    Les navires de croisière, alimentés aux combustibles fossiles, relâchent des particules fines qui noircissent la neige. Résultat ? Une absorption accrue de chaleur et une fonte accélérée. Selon Raul Cordero, co-auteur de l’étude et scientifique à l’université de Groningen, « un seul touriste peut contribuer à accélérer la fonte d’environ 100 tonnes de neige ». Les scientifiques, eux aussi, sont pointés du doigt : leurs séjours prolongés peuvent avoir un impact dix fois supérieur à celui d’un touriste, précise l’étude.

    Des efforts, mais encore trop timides

    Certes, l’interdiction du fioul lourd et l’hybridation des navires sont des progrès notables. Mais selon les chercheurs, seule une transition énergétique rapide permettra de limiter les dégâts dans les zones les plus vulnérables du continent. Pendant ce temps, selon la NASA, l’Antarctique continue de perdre 135 milliards de tonnes de neige et de glace chaque année.

     

  • États-Unis : une caution de 15.000 dollars pour certains visas !

    États-Unis : une caution de 15.000 dollars pour certains visas !

    usa
    caleb-fisher

    Le département d’État américain a annoncé un programme inédit : certains étrangers devront payer une caution salée, jusqu’à 15.000 dollars, pour obtenir un visa de tourisme ou d’affaires. Objectif affiché : limiter les séjours prolongés au-delà de la durée autorisée.

    Qui est concerné ?

    Pas de liste officielle pour l’instant. L’annonce précise seulement que les ressortissants de pays jugés à risque – c’est-à-dire ceux avec un fort taux de dépassement de séjour ou des données de contrôle jugées insuffisantes – pourront être ciblés. En 2023, près de 500.000 personnes auraient dépassé leur durée de séjour aux États-Unis, selon le document.

    Trump et sa ligne dure

    Cette initiative s’inscrit dans la politique anti-immigration prônée par Donald Trump depuis son retour à la Maison-Blanche en janvier. Ces derniers mois, Washington a déjà resserré les conditions de délivrance de visas, notamment pour certains pays africains. Exemple récent : la suspension des visas pour les ressortissants du Burundi, citant des « violations répétées ».

  • Pole dance en Cappadoce : quand une touriste est renvoyée devant la justice en Turquie

    Pole dance en Cappadoce : quand une touriste est renvoyée devant la justice en Turquie

    turkey
    michael-jerrard

    La scène se déroule à Uçhisar, au cœur de la féerique Cappadoce, où la jeune femme s’est brièvement illustrée dans une vidéo de 12 secondes devenue virale.

    Un geste perçu comme une “insulte”

    Dans un communiqué publié sur X, le gouvernorat de Nevsehir a condamné un “odieux incident”, affirmant que les “valeurs nationales et morales de notre nation bien-aimée” avaient été piétinées.

    Une plainte pénale a été déposée et une enquête judiciaire ouverte pour “insulte au drapeau turc”. La touriste encourt jusqu’à trois ans de prison.

    La Turquie, pays aux mille paysages et à l’hospitalité reconnue, reste aussi profondément attachée à ses symboles nationaux. Ce qui peut sembler être un geste léger ou artistique ailleurs peut ici être perçu très différemment…