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  • L’Écosse en 5 chiffres délirants

    L’Écosse en 5 chiffres délirants

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    5 millions d’habitants… et plus de 7 millions de moutons

    Faites le calcul : environ 1,4 mouton par personne. C’est simple, dans certaines zones rurales, les moutons dominent le paysage – et les routes. Si vous vous demandez pourquoi la laine est si populaire ici, vous avez votre réponse.

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    Plus de 130 distilleries de whisky

    Pas juste une fierté nationale, c’est une véritable industrie du patrimoine. Chaque région – Highlands, Islay, Speyside – propose des saveurs distinctes. Certains fans parcourent des centaines de kilomètres pour déguster un single malt au goût de fumée, de mer ou même de tourbe terreuse. Le whisky ici, c’est sacré. Presque une religion. Avec modération…

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    Le mot “loch” dans plus de 30 000 toponymes

    On pourrait croire que tous les plans d’eau s’appellent pareil. C’est presque vrai. Loch Ness, bien sûr, mais aussi Loch Lomond, Loch Tay, Loch Awe… et ça continue. Si vous rêvez de devenir facteur en Écosse, prévoyez un bon GPS et une passion pour l’hydrologie.

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    Une seule licorne, mais quelle licorne !

    L’animal national de l’Écosse est une licorne. Oui, officiellement. Pourquoi ? Parce qu’elle symbolise la pureté, la puissance… et peut-être aussi un bon sens de l’ironie. Les Écossais ont toujours eu un faible pour les mythes et les créatures fantastiques. Et franchement, qui voudrait d’un hérisson quand on peut avoir une licorne ?

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    283 montagnes de plus de 914 mètres : les “Munros”

    Chaque Écossais connaît quelqu’un qui fait du “Munro bagging” – un sport national qui consiste à gravir toutes les Munros. Certains le font pour la gloire, d’autres pour la vue, d’autres pour le selfie. Et après l’ascension ? Direction le pub. C’est aussi ça, la tradition.

  • Glasgow, la reconquête sur un passé difficile

    Glasgow, la reconquête sur un passé difficile

    Des Tobacco Lords à Macintosh, signes intérieurs de richesse

    A Glasgow, l’histoire se lit dans la pierre. Fondée au VIe s., la cité s’établit sur une colline au nord-est du centre-ville actuel. Là se trouvent toujours la cathédrale catholique St Mungo’s (XIIe-XIIIe s., remaniée), devenue presbytérienne, et la plus ancienne maison de Glasgow, Provand’s Lordship (1471), souvenir de son passé moyenâgeux. Elles sont bordées par Necropolis, cimetière-jardin victorien (XIXe s.) dominant la ville de ses 3 500 pierres tombales.

    Pollok House, manoir au sud de la rivière Clyde Bourget Philippe

    Glasgow entre réellement dans la lumière en 1707, quand l’Ecosse se lie à la couronne d’Angleterre. Depuis le port, les navires peuvent accéder plus facilement que depuis Londres aux terres anglaises d’Amérique. Des marchands locaux, les Tobacco Lords, vont ainsi faire fortune dans le tabac et bâtir de riches demeures. C’est dans Merchant City – partie du centre-ville – que l’on peut les voir, comme celle à colonnes du 78, Hutcheson Street, ou la Gallery of Modern Art, ex maison du négociant William Cunningham. Ou encore Merchant Square, un ancien marché couvert qui deviendra au 19e s. un haut-lieu de commerce.

    Immeuble de style Ecossais Baronial sur Argyle Street Bourget Philippe

    Dans ce quartier s’affichent aussi les marques bourgeoises d’une autre ère : la révolution industrielle. A la fin du XVIIIe s., l’écossais James Watt décuple le potentiel de la machine à vapeur. Jackpot pour la ville, qui fait tourner ses mines de fer, de charbon et ses industries à plein régime. Avec la construction navale, Glasgow devient aux XIXe s. et XXe s. une cité ouvrière prospère. Les big boss y bâtissent de nouveaux édifices : face au Tron Theater, l’ancienne banque de style « écossais baronial » (décors médiévaux et Renaissance) ; sur St Vincent Street, Anchor Line (ex compagnie maritime, 1906) et Citizen Office.

    Argyle Street Bourget Philippe

    La période révèle aussi le talent de l’architecte Charles Rennie Mackintosh. Inspirateur de l’Art Nouveau à Glasgow, son travail se lit en différents lieux, comme la Lighthouse (un « phare » en ville), la Glasgow School of Arts et The House of an Art Lover, dans le parc Bellahouston. L’âme ouvrière, elle, transparait à Hidden Lane, dans le quartier aujourd’hui bobo de Finnieston. D’anciens ateliers en briques sont devenus des studios d’artistes. Quant aux puces de Barras, dans East Side, elles drainent le week-end une clientèle populaire fan de vintage.

    Porte des City Chambers, l’hôtel de ville Philippe Bourget | cms

    Depuis les années 1990, une renaissance et une vie culturelle intenses

    La prospérité de Glasgow s’effondre dans les années 1970-1980. Avec la fin de l’aventure minière britannique et les crises industrielles, la cité tombe dans la pauvreté. Quartier populaire, la rive sud de la Clyde, fleuve côtier qui traverse la ville, est exsangue. La traversée du tunnel va durer plus de 20 ans. Jusque aux années 1990 quand, sous l’impulsion de la sphère artistique de la ville, un début de renaissance s’engage.

    Passerelle piétonnière sur la rivière Clyde Philippe Bourget | cms

    Mot d’ordre : rénovation urbaine à tout-va et culture musicale. C’est à ce moment là que les groupes locaux Simple Minds, Frantz Ferdinand et Texas se révèlent, dans l’ancienne salle de bal Barrowland, devenue lieu de concert. Le street art envahit les murs. Glasgow offre de nos jours un mélange étonnant de dynamisme culturel. Une ardeur friendly qui tient autant à la solidarité héritée de l’histoire ouvrière qu’à ce présent arty et musical. « On rit plus à Glasgow lors d’un enterrement que durant un mariage à Edimbourg ! », se moquent les locaux.

    Le marché aux puces des Barras, East Side Philippe Bourget | cms

    Même si des friches urbaines sont toujours visibles et qu’une certaine pauvreté se lit dans des rues et sur des visages, l’éveil glasvégien se renforce depuis trente ans. Proche de la chic Ingram Street et de George Square, où se dressent les City Chambers (l’hôtel de ville), la piétonne et large Buchanan Street aligne de nombreux commerces. Merchant Square est devenu un lieu prisé de fooding, dans un secteur urbain qui vibre aux couleurs LGBT. Au-delà du quartier boboïsé de Finnieston (restaurants, bars…), West End est aussi un exemple de mutation. Autour de la vaste université où enseigna Adam Smith, père de l’économie libérale, ce quartier est devenu un repaire de magasins et de cafés branchés. On s’en aperçoit en flânant sur la très animée Byres Road ou dans la ruelle villageoise Ashton Lane, riche en pubs.

    Pub dans une ancienne courette industrieuse Philippe Bourget | cms

    Restent les quais de la Clyde. D’industriels, ils sont devenus « arty ». Depuis la toute récente passerelle piétonne et cycliste jetée sur le fleuve au confluent avec la Kelvin, les rives sont scandées par l’ultra design Riverside Museum (histoire des transports), le Glasgow Science Center, le siège de la BBC Scotland, le SEC Armadillo (auditorium) et Ovo Hydro (salle de concerts). Au milieu des runners qui s’époumonent, tout cela est très tendance mais par trop clinique. Des mouettes piaillent, un pâle soleil transparait… et Glasgow poursuit sa mue trendy.

    Ashton Lane, rue villageoise à pubs de West End Philippe Bourget | cms

    Kelvingrove Art Gallery and Museum et Burrell Collection, l’art au sommet

    Ces deux grands musées sont à visiter absolument. Dans le quartier de West End, près de l’université, l’immense et impressionnant Kelvingrove Art Gallery and Museum, aménagé dans un palais en grès rose du début du XXè s. – cette pierre a servi à bâtir de nombreux édifices à Glasgow -, exige un peu plus qu’une demi-journée si l’on veut tout voir en profondeur. Les espaces d’exposition se déploient dans des patios et des étages à galeries, de part et d’autre d’un grand hall central.

    Le Kelvingrove Art Gallery and Museum, dans West End Philippe Bourget | cms

    Entièrement gratuit, le « Kelvingrove » parle autant de zoologie que de sculpture et de peinture. On ira voir en particulier l’espace consacré aux grands peintres modernes écossais (Leslie Hunter, JD Fergusson, SJ Peploe…) dont certains tableaux exaltent la nature locale (superbe « Balmoral Autumn », par Joseph Denovan Adam, 1896) et les salles dédiées à l’impressionnisme français, où sont présentés des tableaux des grands maîtres Courbet, Monet, Cézanne, Matisse, Renoir…

    Objets d’art dans la Burrell Collection Philippe Bourget | cms

    La Burrell Collection est aussi indispensable. Plus importante collection d’art issue d’un legs privé d’Ecosse, elle provient de Sir William Burrell, industriel glasvégien du tournant du XXè s. ayant fait fortune dans la construction navale. Il a passé sa vie, avec son épouse, à réunir des œuvres. Près de 10.000, dit-on. Sa passion éclectique l’a conduit à posséder des peintures d’impressionnistes, des céramiques, des sculptures, des objets antiques… Tous plus remarquables les uns que les autres.

    Une salle d’exposition dans la Burrell Collection Philippe Bourget | cms

    A sa mort, en 1958, il en fit don à sa ville. Depuis les années 1980, celle-ci les présente dans ce vaste musée design récemment rénové, posé au sud de la rivière Clyde, dans le Pollok Country Park, grand jardin de 150 ha avec ferme, vaches highlands et manoir, un poumon vert parmi d’autres de la ville. Détendu par cet environnement de nature, le public est invité à découvrir des statuettes asiatiques, des céramiques chinoises et iraniennes aux couleurs splendides et une superbe série de tableaux impressionnistes de Degas (peintre préféré de Wlliam Burrell), Manet, Courbet (splendide tableau de la « Charité à Ornans »), Pissaro, Renoir, Corot, Daumier… ainsi que des sculptures de Rodin et de Camille Claudel. Un régal.

    Botanic Gardens et Kelvingrove Park, références d’une cité verte

    Comme dans beaucoup d’autres villes britanniques, la nature est très présente. Autant en profiter après avoir trekké dans les rues de la cité ! Parmi les parcs de Glasgow, le jardin botanique, dans West End, est un must. Proche de la station de métro Hillhead, il offre une respiration charmante avec ses parterres jardinés, ses serres et sa vallée sauvage de la Kelvin. Fondé en 1817 par le botaniste Thomas Hobkirk, il propose ses allées bordées de pelouses bien taillées à des déambulations romantiques (de nombreux écureuils gris gambadent en liberté) et 12 serres abritant plus de 12.000 sortes de plantes et fleurs exotiques et du désert.

    Philippe Bourget | cms

    Dès l’entrée, on tombe nez à nez avec un magnifique palais de verre, le Kibble Palace, qui abrite une luxuriante végétation tropicale. On achèvera la balade par une plongée le long de la rivière Kelvin, vallée verte et secrète longée par un sentier pédestre.

    La rivière Kelvin près de l’université, dans Kelvingrove Park Philippe Bourget | cms

    Non loin de là, toujours dans West End, Kelvingrove Park est un autre poumon de verdure. Situé près de l’université, cet espace traversé par la rivière Kelvin, affluent de la Clyde, offre sur plus de 30 ha ses grands arbres, ses pelouses et ses allées ombragées aux promeneurs et aux joggeurs. Les enfants adorent titiller les écureuils gris, peu farouches, qui hantent ce parc.

    Passerelle dans les Botanic Gardens Philippe Bourget | cms

    Très fréquenté, le Kelvingrove Park est aussi le « campus vert » des étudiants de l’université, qui n’ont qu’à descendre de leurs doctes salles de cours pour venir s’alanguir sur l’herbe, aux beaux jours. Depuis deux ans, fin septembre, le parc accueille Big Feed, sur la Kelvin Way. Un évènement musical et culinaire, avec concerts et offre de street food.

     

    Infos

    • Passeport valide obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni.
    • A partir du 2 avril 2025, une ETA (Electronic Travel Authorisation) est aussi obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni depuis la Belgique. Prix : 10 £ (env. 12 €), valable pendant deux ans (sauf si validité du passeport expirée avant). gov.uk/government/organisations/home-office
    • A Glasgow, on pourra utiliser le métro (une ligne circulaire) et les bus pour les sites éloignés. Billet à la journée : métro (env.5€) ou bus (5,50€).
    Hébergements-Restaurants-Cafés

     

    En savoir plus
    Visit Britain : visitbritain.com/fr
    Visit Scotland : visitscotland.com/fr-fr

  • Un jour, un endroit : Le 24 mars 1603, l’union des couronnes d’Angleterre et d’Écosse

    Un jour, un endroit : Le 24 mars 1603, l’union des couronnes d’Angleterre et d’Écosse

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    Jorg Angeli

    Ce jour-là, deux royaumes longtemps séparés, parfois ennemis, commencèrent une nouvelle ère sous une seule couronne, établissant les bases de ce qui allait devenir le Royaume-Uni. Cette union dynastique allait transformer la géopolitique des îles Britanniques et ouvrir la voie à une nouvelle époque de collaboration, mais aussi de… tensions !

    Jacques VI et Ier : Un roi pour deux royaumes

    À la mort de la reine Élisabeth Ire d’Angleterre, qui n’avait pas d’héritier direct, c’est Jacques VI d’Écosse, son cousin, qui monta sur le trône d’Angleterre. Cette union personnelle des deux couronnes signifiait qu’un seul monarque gouvernait désormais deux royaumes distincts, chacun conservant ses propres lois, son Parlement, et ses institutions. Le règne de Jacques VI/I marquait une tentative de rapprochement entre les deux nations, même si la pleine unification politique ne fut réalisée que plus tard, avec l’Acte d’Union de 1707.

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    Une nouvelle ère de collaboration et de tension

    Bien que les couronnes aient été unies, l’union des peuples ne fut pas immédiate. L’idée d’une seule nation unifiée n’était pas partagée par tous, et les résistances, tant en Angleterre qu’en Écosse, étaient nombreuses. Jacques Ier rêvait d’une “Grande-Bretagne” unifiée, mais il se heurta aux réalités des différences culturelles et politiques profondément ancrées. Le roi dut naviguer entre ces deux identités, essayant d’apaiser les tensions tout en posant les bases d’une future unification.

    Héritage et impact

    L’union des couronnes en 1603 ouvrit la voie à des changements profonds dans la vie politique et sociale des îles Britanniques. Cette période vit l’émergence d’une identité commune, bien que partielle, et l’intensification des échanges entre les deux nations. Les efforts de Jacques Ier pour créer une réelle unité étaient parfois freinés par les rivalités historiques et les conflits religieux, mais son règne permit de jeter les fondations de ce qui deviendra, plus tard, une union politique formelle.

  • Balmoral : le célèbre palais royal s’ouvre au public !

    Balmoral : le célèbre palais royal s’ouvre au public !

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    Depuis le 1er avril jusqu’au 3 mai, le domaine de Balmoral ouvrira ses portes gratuitement, offrant une occasion unique de découvrir ses vastes terrains et d’expérimenter des activités traditionnelles telles que la pêche au saumon. Dès le 4 mai, l’accès aux jardins et aux expositions dans la salle de bal, incluant des aquarelles de roi Charles III et des tenues royales, sera possible moyennant un tarif de 17,50 livres sterling, soit environ 20 euros.

    Une visite guidée ?

    Les visiteurs en quête d’une expérience plus intime pourront opter pour des visites guidées entre le 1er juillet et le 4 août. Limitées à dix personnes par groupe, ces visites offriront une immersion dans l’histoire du château à travers ses plus belles salles pour 100 livres sterling par personne. Pour ceux désirant ajouter une touche de gourmandise à leur visite, un après-midi thé complet est proposé pour 150 livres sterling, avec un nombre de billets restreint à 40 par jour.

    Un lieu chargé d’histoire

    Acquis en 1852 par la reine Victoria et le prince Albert, le château de Balmoral fut reconstruit pour mieux accueillir la famille royale. Aimé tout particulièrement par la reine Elisabeth II, qui y a trouvé le calme des Highlands écossaises jusqu’à son décès le 8 septembre 2022, Balmoral est un symbole de continuité et de tradition au sein de la monarchie britannique.

  • Aberdeen, la perle méconnue d’Écosse : 5 points touristiques immanquables

    Aberdeen, la perle méconnue d’Écosse : 5 points touristiques immanquables

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    1. Old Aberdeen : un voyage dans le temps

    Se promener dans Old Aberdeen, c’est comme remonter le temps. Les rues pavées, bordées de bâtiments historiques en granit, vous transportent dans l’histoire écossaise. La King’s College Chapel, avec sa couronne perchée au sommet, est un chef-d’œuvre architectural qui semble tout droit sorti d’un conte de fées. Flânez dans les jardins de Cruickshank Botanic ou perdez-vous dans les allées du Seaton Park, où chaque coin révèle un petit trésor !

     

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    2. Le Maritime Museum : un hommage à la mer

    Situé au cœur de la ville, l’ « Aberdeen Maritime Museum » rend hommage à la longue relation entre la ville et la mer. Ce musée, qui surplombe le port animé, offre des expositions captivantes sur la construction navale, la pêche et l’industrie pétrolière offshore. La vue panoramique depuis le musée embrasse le port, où le ballet incessant des bateaux rappelle l’importance vitale de la mer pour Aberdeen !

     

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    3. Duthie Park et le Winter Gardens : un éden vert

    Duthie Park, avec ses vastes pelouses et ses sentiers sinueux, est un écrin de verdure en plein cœur de la ville. Le clou du spectacle est le Winter Gardens, l’un des plus grands jardins sous serre d’Europe, abritant une collection stupéfiante de plantes exotiques et rares. Se promener ici, c’est voyager à travers les continents, des cactus du désert aux fougères tropicales humides. Qui l’eut cru, au beau milieu de l’Ecosse ?

    4. Aberdeen Beach : entre sable et vagues

    La plage d’Aberdeen est un lieu de contrastes, où la brise marine rafraîchissante (et c’est peu de le dire) et le cri des mouettes se mêlent à l’animation du front de mer. La digue est ponctuée de cafés et de restaurants où déguster les fruits de mer locaux.

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    5. Le Château de Dunnottar : une forteresse au-dessus des flots

    À une courte distance d’Aberdeen, le Château de Dunnottar se dresse, spectaculaire, sur un promontoire rocheux battu par les vagues. Visiter ce château, c’est plonger dans l’histoire tumultueuse de l’Écosse, ses légendes et ses batailles. La vue sur la mer depuis les ruines est à couper le souffle, un panorama sauvage où le ciel et l’océan se rencontrent dans une harmonie parfaite ! Honnêtement, nous, on craque !