A six heures d’avion depuis Bruxelles, Boa Vista fait partie de l’archipel du Cap Vert qui compte dix îles disposées comme la lettre V dont la pointe est tournée vers l’Afrique. Tout au bout de celle-ci, comme une flèche vers le continent noir, voilà Boa Vista. L’île de Sal, au nord, se trouve à quelques coups d’aile de goéland. Toutes deux sont situées à moins de 500 km de la presqu’île du Cap vert au Sénégal, d’où le nom de l’archipel.
Avec ses 620 km², Boa Vista ressemble à un désert en mer avec des dunes à perte de vue, une végétation rare et parsemée, des routes pavées qui se perdent dans des paysages hérissés de grands palmiers pliés par les alizés. Le long de la côte, des plages immenses voient déferler des rouleaux d’écume venus du bleu intense de l’océan. Avec ses 378 mètres, le point culminant de l’île fut un volcan il y a belle lurette.
Les villages de Rabil, João Galego, Povoação Velha, Estância de Baixo alignent leurs maisonnettes de toutes les couleurs. Certains hameaux ont une école, parfois une taverne et quelques boutiques de souvenirs. Au bout des ruelles pavées, d’autres maisonnettes et puis souvent la petite église toute simple.
L’île fut découverte en 1456 par Diogo Gomes, explorateur portugais. Son nom traduit en « Belle Vue » s’explique peut-être du fait qu’elle fut la première à apparaître à l’horizon en venant d’Afrique. Un peu à l’écart des grandes routes commerciales, l’archipel devint aussitôt une colonie portugaise puis une escale pour le trafic des esclaves entre Afrique et Amérique.
Aujourd’hui, l’accueil des habitants est tout en gentillesse et convivialité. D’ailleurs, le slogan de l’archipel est « no stress ». On y parle portugais, un peu français et un créole unique. « Ici le crioulo n’est pas le même d’une île à l’autre… mais on se comprend toujours!», plaisantent les Capverdiens… L’île qui développe tranquillement son tourisme a vu la construction de quelques grands hôtels de luxe en all-in, incroyables Babylones entre dunes et plages.
Mis à part le farniente, la plage, les spas et autres bains de soleil près des immenses piscines, parmi les activités à faire viennent les excursions en quad, en pick up ou en 4X4 pour des tours de l’île. De quoi découvrir quelques plages perdues (Santa Monica et ses onze kilomètres de sable blanc, Santa Maria et sa célèbre épave rouillée…) ainsi que quelques petis saharas comme celui de Viana et ses vagues de dunes. Des sorties en mer permettent de profiter du soleil et des alizés, tandis que le kitesurf est plutôt réservé aux pros.
La capitale, Sal Rei est un ensemble hétéroclite d’habitations dont le centre et la petite plage ont gardé leur charme avec quelques ruelles pavées, des habitations colorées et des barques tirées sur le sable. Quelques bars ouverts sur la rue lâchent des airs de musique traditionnelle. Il s’agit du morna et du funaná. Le morna dont l’île est le berceau est une musique un peu nostalgique rendue célèbre chez nous par une certaine Césaria Evora. Plus rythmé et déhanché, le funaná a des petits airs cubains et se danse parfois, voire souvent, cela dépend de l’ambiance, des cocktails et des bières ainsi que du rhum qui coulent parfois à flots… Car de nombreux petits concerts improvisés ou programmés égaient les tavernes et les restaurants.
Boa Vista est également célèbre pour deux fantastiques rencontres mais qui ne se déroulent pas toute l’année. La plus impressionnante est l’arrivée des baleines à bosse (de mars à mai) avec des sorties en bateau pour les admirer des près. Quant aux tortues marines, ce sera plutôt de juillet à octobre, sur la côte sud-est de l’île qui est la troisième plus grande réserve mondiale de tortues caouannes après Oman et la Floride. Des visites guidées pour observer la nidification des tortues ont lieu tous les soirs de juin à mi-octobre… Bref, qui a dit qu’il n’y avait rien à faire à Boa Vista ?
L’archipel du Cap Vert est le royaume de l’été quasiment 360 jours par avec de rares journées d’harmattan et de « bruma seca » chargée de sable venu d’Afrique. Quant à la pluie, elle semble avoir oublié l’archipel. Et beaucoup de vent chaud… surtout en hiver.
Lorsque vous visitez Monemvasia, vous trouverez deux parties distinctes : la partie supérieure, appelée “Ano Polis”, qui est située sur le rocher et qui est principalement constituée de bâtiments médiévaux en pierre bien préservés.
La partie historique sur l’île
Les ruelles étroites et les bâtiments en pierre créent une atmosphère médiévale unique où on aime se perdre… enfin pas vraiment car le cité n’est pas grande et vous retrouvez vite votre chemin. Rues pavées, maisons traditionnelles, églises anciennes et vues panoramiques sur la mer Égée.
Monemvasia coupée en deux parties Irina Rogova
La partie inférieure de la ville, appelée “Kato Polis”, se trouve sur le continent et est plus moderne. C’est là que se trouvent les installations touristiques, les hôtels, les restaurants animés et les boutiques. Vous pouvez vous promener le long du front de mer, prendre un bain de soleil sur la plage et déguster des spécialités locales dans les restos traditionnels.
Vous trouverez vraiment à Monemvasia de magnifiques plages de sable et de galets où vous pourrez vous baigner après vos visites. Des activités nautiques sont disponibles telles que la plongée sous-marine et le kayak.
En résumé, Monemvasia est une ville fascinante qui allie histoire, culture et beauté naturelle. Que vous soyez intéressé par l’histoire médiévale, les plages pittoresques ou simplement la découverte d’une destination unique c’est à Monemvasia que nous vois donnons rendez-vous pour démarrer ou terminer une escapade dans le Péloponnèse.
Les lacs roses sont une curiosité naturelle fascinante qui attirent l’attention des scientifiques et voyageurs du monde entier. Situés dans des régions variées, allant des déserts aux montagnes enneigées, ils tirent leur couleur rose vif ou rose pâle de la présence de micro-organismes, d’algues ou de minéraux dans l’eau.
Ces lacs sont devenus des destinations de plus en plus populaires pour les touristes en quête de paysages spectaculaires et d’expériences inoubliables.
Les visiteurs peuvent admirer la couleur rose vif des lacs, profiter des activités de plein air et découvrir la faune et la flore locales. Voici quelques-uns des lacs roses les plus remarquables du monde.
1. Lac Hillier, Australie
Le lac Hillier est un lac rose étonnant situé sur l’île Middle, au large de la côte sud-ouest de l’Australie-Occidentale. C’est l’un des lacs les plus célèbres au monde en raison de sa couleur rose vif, qui contraste vivement avec le liseré de sel blanc et la forêt d’eucalyptus verdoyants qui l’entourent et les eaux bleues environnantes.
Relativement petit (600 mètres de long) et très salé, il se distingue des autres lacs roses de cette région par sa couleur particulièrement soutenue.
Contrairement à ce que pensaient les premiers scientifiques, ce n’est pas le fond du lac qui lui donne cette couleur particulière, car l’eau reste rose même une fois versée dans un verre ! Si la couleur surprend, ce lac ne semble pas avoir d’effets nocifs sur l’être humain, hormis ceux liés à sa très forte concentration de sel. Le lac Hillier reste donc un profond mystère…
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2. Lac Retba, Sénégal
Mais il n’y a pas qu’en Australie que les lacs prennent une drôle de couleur : nous sommes au Sénégal, aux abords du célèbre « Lac Rose », également connu comme le lac « Retba ». D’une superficie de 3 km², ce lac est surtout connu pour sa couleur rose vif, qui peut parfois sembler rouge en fonction de l’heure de la journée et de la lumière du soleil. Ce que l’on sait moins, c’est qu’il est aussi, extraordinairement salé : la concentration de sel atteint 380 grammes par litre d’eau ! Et c’est ce sel qui est, indirectement, responsable de la couleur de ce lac.
En effet, dans le lac, on retrouve un micro-organisme qui se protège du sel en produisant un pigment rouge. Et c’est donc ce dernier qui donne cette teinte si particulière au lac. Cette concentration de sel est également source de revenu pour les locaux qui y plongent allègrement pour en récolter le sel en utilisant des méthodes rationnelles depuis des générations. Pour s’en protéger, les hommes et femmes se recouvrent la peau de beurre de karité.
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3. Lac Tuz Gölü, Turquie
Le lac Tuz Gölü est le deuxième plus grand lac salé en Turquie, situé dans la région centrale d’Anatolie. Le lac est célèbre pour sa grande quantité de sel, qui est récoltée pour être utilisée dans diverses industries telles que la production de papier, de cuir et de tissus. Le lac Tuz Gölü est un lieu de rassemblement pour les oiseaux migrateurs, qui y passent l’hiver. Les visiteurs peuvent observer une grande variété d’oiseaux, tels que des pélicans, des flamants roses, des aigles et des canards.
En plus de sa beauté naturelle, le lac Tuz Gölü est également connu pour son importance historique. Les ruines de l’ancienne ville de Tavium se trouvent près du lac, où des fouilles archéologiques ont mis au jour de nombreux vestiges antiques.
4. Lac Laguna Colorada, Bolivie
Le lac Laguna Colorada est un lac salé situé dans le sud-ouest de la Bolivie, dans la région d’Altiplano, à une altitude de plus de 4 000 mètres. Le lac doit son nom à sa couleur rougeâtre, qui est causée par des pigments de phytoplancton, des minéraux et des sédiments qui se trouvent dans l’eau. Cette couleur unique rend le lac Laguna Colorada l’un des paysages les plus emblématiques de la Bolivie.
Le lac Laguna Colorada est également un lieu important pour la faune locale, en particulier pour les flamants roses. Le lac abrite une grande population de flamants roses, qui se nourrissent d’algues et de crustacés dans les eaux peu profondes du lac.
En plus de son paysage spectaculaire et de sa faune abondante, le lac Laguna Colorada est également entouré de montagnes majestueuses et de volcans actifs, offrant un arrière-plan saisissant pour les photos de voyageurs. Le lac est également un site important pour la recherche géologique et scientifique, en raison de sa concentration élevée de minéraux rares tels que le bore, le lithium et le magnésium. Ces minéraux ont des applications importantes dans les industries électroniques, aérospatiales et pharmaceutiques.
5. Les lacs Coloradas, Mexique
Les Coloradas est un ensemble de lacs situés sur la péninsule du Yucatan au Mexique. Tout comme pour le lac Laguna Colorada en Bolivie, la couleur rose vif des eaux des Coloradas est causée par la présence d’algues, de plancton et de bactéries photosynthétiques qui produisent des pigments rouges. Les lacs sont bordés de marais salants et de dunes de sable blanc, créant un contraste saisissant avec les eaux roses. Les visiteurs peuvent également observer de nombreux oiseaux migrateurs qui se nourrissent dans les lacs.
Les marais salants des Coloradas sont formés en un réseau de rectangles pour faciliter la collecte du sel. Cette méthode traditionnelle de récolte du sel a été utilisée pendant des siècles et est encore largement pratiquée aujourd’hui. Les marais salants sont remplis d’eau salée qui est pompée à travers un système de canaux dans les bassins rectangulaires. Une fois que l’eau s’évapore, le sel reste et est raclé à la surface par des travailleurs locaux. La collecte du sel est un travail difficile et éreintant, mais c’est une pratique vitale pour l’économie locale et la production de sel de haute qualité.
Vous voulez en découvrir davantage ? Voici une liste de 15 autres lacs roses dans le monde :
1. Lac Rose, Canada
2. Lac Mono, États-Unis
3. Lac Nakuru, Kenya
4. Lac Kaindy, Kazakhstan
5. Lac Hill, Mongolie
6. Lac Bled, Slovénie
7. Lac Rose, Espagne
8. Lac Masazirgol, Azerbaïdjan
9. Lac Prespa, Grèce
10. Lac Ezzahra, Tunisie
11. Lac Quilotoa, Équateur
12. Lake Tyukhtykur, Russie
13. Dusty Rose Lake, Canada
14. Hutt Lagoon, Australie
15. Lac Natron, Tanzanie
Pour la 35ème fois, le ‘Readers Choice Awards’ consacre les 10 plus belles villes au monde. Cette liste a été établie sur base des réponses de pas moins de 250 000 lecteurs prêt à élire leur ville préférée en 2022.
Chaque ville de cette liste a son propre charme et sa beauté unique. Que vous aimiez la nature, la culture, la gastronomie ou l’histoire, il y a une ville pour vous. Voyager à travers le monde à nos côtés et découvrez ces destinations incroyables.
10. Mumbai, Inde
Située sur la côte ouest de l’Inde, Mumbai (anciennement Bombay) est la ville la plus peuplée du pays. Célèbre pour sa culture cinématographique et ses rues pleines de vie, de couleurs et de saveurs exotiques, cette ville dynamique et animée ne dort jamais. Les monuments historiques de la ville, tels que la Porte de l’Inde et l’hôtel Taj Mahal Palace, témoignent de l’héritage colonial britannique de la ville. Mumbai est également une ville commerciale importante, offrant des opportunités pour les entreprises et les entrepreneurs. Mais ce qui rend Mumbai vraiment unique, c’est la chaleur et la gentillesse de ses habitants. Les habitants sont connus pour leur hospitalité et leur convivialité, ce qui rend la ville encore plus attrayante pour les voyageurs du monde entier.
Mumbai Peter Cordes
9. Le Cap, Afrique du Sud
Le Cap, également connue sous le nom de Cape Town, est l’une des villes les plus emblématiques d’Afrique du Sud. Cette ville animée offre une expérience unique, avec une combinaison de cultures, de traditions et de paysages incroyables.
Avec sa vue imprenable sur la montagne de la Table et l’océan Atlantique, la ville offre une beauté naturelle à couper le souffle. Les plages de sable blanc, les musées et les marchés artisanaux font de Cape Town une destination touristique populaire. Le Cap est également une ville gastronomique de renommée mondiale, avec une cuisine variée qui reflète la diversité culturelle de la ville et les vignobles de la région sont également célèbres pour leurs vins de qualité supérieure.
Le Cap Vacancesweb.be
8. Québec, Canada
Québec est une ville historique située dans la province du Québec, au Canada. Elle est célèbre pour son architecture européenne, ses rues pavées et ses bâtiments historiques. La ville a conservé son patrimoine français, offrant une expérience et un charme unique en Amérique du Nord. Les fortifications de la ville, le château Frontenac et le Parlement du Québec sont des sites incontournables à visiter. Mais la vieille ville de Québec n’est pas seulement célèbre pour son histoire et son architecture, elle est également connue pour ses plats traditionnels tels que la poutine et la tourtière.
Victoria Mario Mendez
7. Mérida, Mexique
Mérida est une ville mexicaine située dans la péninsule du Yucatan. Bâtie sur les ruines de l’ancienne cité maya de T’ho, la ville coloniale de Mérida est célèbre pour ses places publiques et son ambiance chaleureuse et accueillante. Les musées, les parcs, les marchés locaux et la sécurité dans la ville font de Mérida une destination touristique populaire. La ville est également connue pour ses festivals colorés et les nombreuses activités culturelles gratuites et accessibles à tous, permettant de préserver l’identité mexicaine de la ville.
Mérida Mateus Campos Felipe
6. Tokyo, Japon
Tokyo est une ville animée et moderne, célèbre pour sa technologie avancée, sa culture populaire et sa nourriture délicieuse. Située sur l’île principale de Honshu, la capitale du Japon offre une expérience inoubliable qui marie traditions séculaires et modernité urbaine. En effet, les monuments historiques, tels que le temple Senso-ji et le palais impérial, coexistent avec les gratte-ciel modernes de la ville.
Célèbre pour ses rues animées, ses néons éblouissants et ses bars à thème, la vie nocturne de Tokyo une expérience unique en son genre.
Tokyo est également un centre culturel important, offrant de nombreux festivals tout au long de l’année. N’hésitez pas à visiter la ville lors du festival de hanami, célébrant la floraison des cerisiers au printemps !
Tokyo Dimitry Anikin
5. San Sebastián, Espagne
Nichée dans une baie magnifique, la ville côtière de San Sebastián est entourée de montagnes verdoyantes et d’eaux turquoise, offrant un cadre idyllique pour les visiteurs. Cette ville du nord de l’Espagne est célèbre pour ses plages, sa culture basque, sa gastronomie et son architecture colorée. Les bâtiments historiques de la ville, tels que la cathédrale du Bon Pasteur et le Palais de Miramar, témoignent de l’héritage culturel de la ville. San Sebastián est également connue pour son festival international du film et son festival de jazz annuel.
La ville est également un point de départ idéal pour explorer la région. Les montagnes environnantes offrent des possibilités de randonnée et d’escalade, tandis que les villages pittoresques de la région sont parfaits pour une excursion d’une journée. Les visiteurs peuvent également découvrir les célèbres vignobles de la région, qui produisent certains des meilleurs vins d’Espagne.
San Sebastián Vacancesweb.be
4. Bangkok, Thaïlande
Bangkok, la capitale de la Thaïlande, est une ville fascinante et animée. La ville regorge de marchés flottants, de palais royaux et de temples bouddhistes somptueux, tels que le Wat Phra Kaew, le temple du Bouddha d’Émeraude, qui abrite la statue la plus vénérée de Thaïlande. Outre son patrimoine culturel, Bangkok est aussi une ville moderne et dynamique, avec une architecture impressionnante et des offres touristiques variées. Célèbre pour sa cuisine délicieuse et variée, allant des plats de rue abordables aux restaurants gastronomiques, Bangkok est une destination incontournable pour tous les voyageurs en quête de découvertes et d’aventures.
Bangkok Julien Lanoy
3. Victoria, Canada
Capitale de la Colombie-Britannique, Victoria a la réputation d’être la ville la plus britannique du Canada. Ce sont ses bâtiments historiques et son architecture victorienne qui lui confère une ambiance européenne. Outre la splendeur des bâtiments, vous apprécierez également l’environnement rural et les forêts multi-centenaires. Située sur l’île de Vancouver, Victoria est une ville côtière avec un littoral spectaculaire qui offre de nombreuses activités telles que la promenade du port, la visite du phare de Fisgard, le kayak ou encore l’observation des baleines. Les visiteurs peuvent également découvrir l’histoire locale et la culture autochtone en visitant des musées tels que le Royal BC Museum et le musée d’histoire autochtone de la Colombie-Britannique.
Victoria Mario Mendez
2. Singapour
Singapour est une ville-État située au sud de la Malaisie. Dynamique et cosmopolite, elle est considérée comme l’une de plus belles villes du monde grâce à son architecture moderne, ses espaces verts bien entretenus et sa culture riche. Singapour est célèbre pour son architecture futuriste, notamment la Marina Bay Sands, un complexe hôtelier et de divertissement emblématique qui comprend trois tours reliées par une passerelle en forme de bateau, offrant une vue spectaculaire sur la ville. Singapour est également reconnue comme une destination culinaire exceptionnelle, avec la plus grande concentration de restaurants étoilés Michelin au monde. La ville offre aussi de nombreuses attractions culturelles, telles que le musée national de Singapour, qui raconte l’histoire de la ville, ainsi que le quartier historique de Chinatown et le quartier indien, qui regorgent de temples, de marchés locaux et de restaurants.
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1. San Miguel de Allende, Mexique
San Miguel de Allende est une ville pittoresque située dans le centre du Mexique. Son centre historique est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, avec des bâtiments coloniaux datant du XVIIe et du XVIIIe siècle, tels que l’église paroissiale néo-gothique de San Miguel Arcangel et le Palais Municipal. Les rues pavées de la ville sont bordées de maisons colorées, de restaurants et de boutiques d’artisanat local. La ville regorge aussi de jardins et de parcs, tels que le Jardin Botanique El Charco del Ingenio, un jardin de cactus spectaculaire avec des sentiers de randonnée et des vues sur les montagnes environnantes. Également connue pour sa scène artistique florissante, sa gastronomie et son ambiance festive et accueillante, San Miguel de Allende est une destination populaire pour tous les voyageurs en quête de beauté urbaine et de culture mexicaine authentique.
Actuellement, si vous tombez malade pendant vos vacances, vous ne pouvez pas les considérer comme des jours de maladie. Vous “perdez” donc les jours de congé pendant lesquels vous êtes malade. La situation est légèrement différente si vous êtes tombé malade avant vos congés et que votre maladie se poursuit pendant vos vacances. Dans ce cas, vous pouvez encore prendre les jours de congé durant lesquels vous êtes malade.
Nouvelles règles
À partir de 2024, ces règles ne seront plus d’application. En effet, à partir de l’année prochaine, les jours de congé pendant lesquels vous êtes malade pourront être considérés comme des jours de maladie. Vous pourrez alors encore prendre ces jours par la suite. Notez que vous devez convenir de ces jours avec votre employeur et qu’il n’est pas toujours facile de les prendre juste après la fin initiale de vos vacances.
Il y a des conditions
Si vous tombez malade pendant vos congés et que vous souhaitez que ces jours soient considérés comme des jours de maladie, vous devez respecter les mêmes obligations que si vous étiez malade en dehors de votre période de vacances (par exemple, en ce qui concerne la notification à votre employeur). Si vous êtes absent de votre domicile, vous devez également indiquer l’adresse où vous séjournez et ce, afin de permettre à votre employeur d’envoyer un médecin de contrôle si nécessaire. Si vous préférez ne pas vous engager dans toute cette procédure, c’est votre droit. Sachez simplement que vous ne pourrez pas considérer les congés pendant lesquels vous êtes malade comme des jours de maladie et que vous ne pourrez donc pas récupérer vos jours de congé.
Quelle ne fut pas ma surprise en débarquant sur l’île de Rhodes. Je pensais qu’il y aurait des similitudes avec la Crète, ce ne fut pas le cas au niveau historique en tous cas. J’ai été émerveillée par la beauté de cette île et la richesse de son patrimoine historique et culturel. Les plages sont diverses et magnifiques, l’eau cristalline et les vues à couper le souffle complète le tableau. La vieille ville médiévale de Rhodes est une pure merveille pour son architecture et ses fortifications impressionnantes. Nulle doute vous serez charmé(e) par l’ambiance détendue de l’île et la convivialité de ses habitants. Voici quelques immanquables pour ne rien rater lors de votre séjour et une petite excursion sur l’île voisine de Symi, un petit bijou bien caché.
Pour apprécier Rhodes, il faut se replonger dans son histoire
Au Ve siècle av. J.-C., Rhodes était devenue une puissante cité-État et un important centre culturel et commercial de la Grèce antique. C’est au IIIe siècle av. J.-C., que Rhodes s’émancipe de la Grèce et s’est alliée à l’Égypte. C’est à cette époque que la cité élève la fameuse statue : le Colosse de Rhodes, une des sept merveilles du monde antique. La statue représentait le dieu Hélios et mesurait plus de 30 mètres de haut. Elle fut détruite par un tremblement de terre en 226 av. J.-C.
Acropole de Lindos
Au Moyen Âge, comme Malte, Rhodes est devenue un important centre commercial et culturel sous la domination des chevaliers de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, également appelés chevaliers de Rhodes. Les chevaliers ont construit la ville fortifiée de Rhodes, qui est aujourd’hui classée au patrimoine mondial de l’UNESCO et qui est une des villes médiévales les mieux préservée d’Europe, un petit bijou ! Au XVIe siècle, Rhodes est tombée sous la domination de l’Empire ottoman et est devenue un important port de commerce entre l’Europe et l’Asie.
Dans les rue de Rhodes médiéval
Que faut-il visiter dans la vieille ville de Rhodes?
Cette ville médiévale est en fait une forteresse qui abrite une ville médiévale accessible par plusieurs portes anciennes. C’est l’un des sites les plus intéressants à visiter sur l’île de Rhodes. Cette impressionnante forteresse a été construite par les chevaliers de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem au XIVe siècle pour protéger la ville contre les attaques ennemies. Elle se compose de plusieurs parties, chacune offrant une vue magnifique sur la ville et la mer. Il faut s’y perdre d’abord sans se repérer à quoi que ce soit. Laissez-vous guider par les clocher, les odeurs et les couleurs…
Ensuite vous pourrez visiter le palais des Grands Maîtres, la tour de l’Horloge, la rue des Chevaliers et le musée archéologique de Rhodes.
L’entrée du port Mandraki
Ensuite, direction du port de Mandraki qui est aussi un endroit pittoresque situé dans la partie nord de la ville de Rhodes. Il est entouré de fortifications et de tours médiévales, et c’est un endroit idéal pour se promener et profiter de la vue sur la mer.
Retour vers la rue Socratous, est une rue piétonne animée avec de nombreux magasins, cafés et restaurants. C’est l’endroit idéal pour se fondre dans la vie quotidienne des habitants de Rhodes, faire du shopping et manger un morceau ou boire un verre sur une terrasse.
Ruelles de Rhodes
Après ce petit break, je vais visiter la mosquée de Soliman, une mosquée historique située également dans la vieille ville de Rhodes et construite à l’emplacement d’une ancienne église byzantine en mémoire à Soliman le Magnifique, sultan ottoman qui a conquis Rhodes en 1522 . Elle est l’une des plus grandes et des plus impressionnantes de Rhodes, avec un dôme central élevé et deux minarets élancés. Les murs intérieurs sont décorés de céramiques en relief, qui ajoutent une touche de couleur et d’originalité. La visite est possible en dehors des heures de culte. La mosquée possède également un grand jardin qui invite à la méditation.
Porte et palais Amboise, demeure du Grand Maître
Direction maintenant du Palais d’Amboise, un palais Renaissance construit au XVe siècle pour abriter les chevaliers de l’ordre de Saint-Jean. Il est aujourd’hui utilisé pour des événements culturels et des expositions d’art. Ce palais situé près de la porte d’Amboise est un exemple remarquable de l’architecture médiévale. Construit en pierre, il dispose d’un grand patio intérieur entouré de colonnades. Les murs intérieurs sont décorés de fresques murales et de sculptures, qui témoignent du raffinement de l’art des chevaliers à l’époque médiévale.
Et au niveau des plages ?
Il est difficile de faire une sélection parmi toutes les magnifiques plages de l’île de Rhodes, mais voici une sélection de trois plages différentes particulièrement appréciées des locaux et touristes.
Plage Lindos avec l’acropole en arrière plan
Lindos Beach : cette plage de sable blanc est située sur la côte est de l’île, près du village pittoresque de Lindos. Elle offre une vue imprenable sur la baie, avec des eaux cristallines et un cadre pittoresque entouré de collines verdoyantes. C’est un endroit idéal pour se baigner, bronzer et faire du snorkeling.
Anthony Quinn Bay : cette petite baie isolée est située sur la côte est de Rhodes, près de Faliraki. Elle est célèbre pour ses eaux cristallines, ses falaises escarpées et son cadre pittoresque. Vous pourrez facilement vous baigner, faire du snorkeling ou tout simplement se détendre sur les galets.
Prasonisi Beach : située sur la pointe sud de l’île de Rhodes, où la mer Egée rencontre la mer Méditerranée, cette plage est particulièrement populaire auprès des amateurs de sports nautiques, en raison de ses conditions de vent et de vagues idéales pour la planche à voile et le kitesurf.
Prasonisi Beach
Il y a bin entendu de nombreuses autres plages à découvrir sur l’île de Rhodes, chacune ayant avec son propre charme et sa propre beauté. Alors avec votre voiture de location ou en bus, n’hésitez pas à vous arrêter dès qu’un endroit vous tente !
Idéal hors saison pour les randonneurs
Si vous aimez vous perdre quelques heures dans la nature pour apprécier calme, tranquillité et paysages vierges, l’île de Rhodes propose effectivement de nombreuses possibilités pour les randonneurs, avec des sentiers balisés qui traversent des paysages variés, des montagnes aux forêts en passant par les côtes rocheuses. Voici quelques-unes des randonnées les plus populaires sur l’île que mon guide m’a conseillé. Je vous l’avoue, je n’ai pas eu le temps de les faire.
La vallée des papillons : cette randonnée mène à la vallée des papillons, un endroit magnifique où des milliers de papillons se rassemblent pendant l’été. Le sentier serpente à travers une forêt dense, avec de très belles vues sur la faune et la flore locales.
La Vallée des Papillons
Le mont Profitis Ilias : ici vous partez vers le point culminant de l’île de Rhodes, le mont Profitis Ilias. Ce sentier offre des vues panoramiques sur l’île et la mer Égée, ainsi qu’un aperçu de la riche histoire de Rhodes, avec des monastères et des églises tout le long du chemin.
La vallée de Seven Springs : cette randonnée vous mène vers une oasis verdoyante située à l’intérieur de l’île. Le sentier passe par des tunnels naturels de bambous et de platanes, avant d’arriver à une source d’eau naturelle et une petite cascade. Ravissant et romantique !
Seven Springs
La plage de Kalithea : au programme, une vue spectaculaire sur la côte rocheuse de Rhodes. Le sentier longe les falaises et les criques de la côte, ponctuée des vues panoramiques sur la mer Égée, avant d’arriver à la plage de Kalithea et ses eaux cristallines. Vous en profiterez pour faire un plongeon !
Une journée sur la petite île de Symi
Tout d’abord, il faut se lever tôt pour profiter pleinement de cette journée. Après la traversée en bateau au départ du port de Rhodes (il y a plusieurs compagnies qui propose en 1H de faire le trajet) vous arrivez dans la ville de Symi, elle est très belle, perdez-vous pendant une heure dans ses ruelles pavées aux maisons colorées accrochées à la colline.
Port de Symi Andrei Nekrassov – stock.adobe.c
Ensuite, je vous conseille de prendre soit un bateau jusqu’à la plage de Panormitis, ou de louer un vélo pour vous y rendre. Cette plage se situe sur la partie sud de l’île et est connue pour son monastère qui vaut vraiment le coup d’œil. Une baignade est également possible dans les eaux cristallines de la baie.
Monastère de l’Archange Michel à Panormitis
Pour le déjeuner, c’est le moment de tester quelques spécialités locales dans un des nombreux petits restaurants de l’île. Les plats à base de poisson sont excellents, car Symi est un port de pêche important. L’après-midi, je vous propose de grimper les marches jusqu’à l’Acropole, en passant par les ruines de la forteresse de Symi, qui offre une vue imprenable sur la ville et le port.
Une des nombreuses plages de Symi
Si il n’est pas trop tard pour votre bateau du retour, passez voir la plage de Nos, qui est moins fréquentée et qui offre également de belles eaux limpides, avant de terminer la journée en beauté par un magnifique coucher de soleil accompagné d’un cocktail dans l’un des bars situés sur le port.
Avec le retour des températures douces et des journées plus longues, le printemps est la saison idéale pour les aventures en plein air ! Que vous cherchiez une activité à faire en famille ou entre amis, la Belgique regorge de choix pour les amateurs d’aventures et de découvertes.
Nous réalisons ici un petit tour d’horizon de l’offre de divertissements proposée en Belgique et en France. Suivez le guide!
1. Walibi
Le parc d’attraction Walibi est un incontournable pour les enfants, familles et amateurs de sensations fortes. Pour l’anecdote, le nom «Walibi» vient des deux premières lettres des localités proches du parc, à savoir Wavre, Limal et Bierges. C’est le parc d’attractions par excellence avec son mélange de manèges dédiés aux chérubins et d’attractions à sensations fortes destinées aux adolescents. Que l’on ait une âme d’enfant ou d’adolescent, l’adulte en question y trouvera son compte.
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2. Bobbejaanland
Dans la même veine que Walibi, Bobbejaanland, situé à Lichtaart en province d’Anvers, offre un mix d’adrénaline et de plaisirs enfantins. Entre les montagnes russes, les attractions aquatiques et les grottes à explorer, ce parc fait le bonheur des familles par temps sec. Le parc mise aussi sur quelques spectacles pour émerveiller les jeunes pupilles.
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3. Bellewaerde
Bellewaerde, sis à Ypres en Flandre-Occidentale, joue sur deux tableaux. C’est à la fois un parc d’attractions avec des manèges davantage destinés aux petits lardons qu’aux adolescents et un parc animalier avec plus de 300 espèces exotiques. Plus besoin de choisir, on peut admirer des léopards, zèbres, éléphants et nombreux autres animaux, avant de faire le pleins de frissons dans des montagnes russes, le tout au même endroit.
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4. Plopsaland
Sis sur l’ancien site du Meli Park qui prenait pour thème le monde des abeilles, Plopsaland pour sa part tourne autour du lutin Plop, une série pour enfants. Plutôt méconnue dans la partie francophone du pays, cette mascotte est une véritable star en Flandre. Cela dit, de nombreuses familles venues de Bruxelles et de Wallonie font le déplacement jusqu’à La Panne pour découvrir les nombreux manèges à destination des kids. Quelques montagnes russes parsèment ce parc à thèmes davantage destiné aux jeunes pousses et ados jusqu’à 15 ans.
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5. Plopsa Coo
Anciennement TéléCoo, du nom de la célèbre cascade de Coo dans la région de Stavelot, en province de Liège, les lutins de Plop ont racheté le parc en 2005 et en ont fait une deuxième demeure de villégiature après celle sise à La Panne. Ce parc est un mélange de nature, d’aventure et surtout de plaisir, le tout au cœur des Ardennes belges. Les curieux qui s’y rendent ne manquent jamais l’occasion de s’amuser avec la luge d’été et de prendre le télésiège pour admirer le panorama sur la vallée de l’Amblève.
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6. Pairi Daiza
Depuis 2014, Pairi Daiza rime surtout avec pandas. Si vous n’avez pas encore vu Hao Hao, Xinghui et Tian Bao, soit les trois ursidés, il n’est jamais trop tard! En plus des pandas, le parc animalier le plus populaire de Belgique, accueille 700 espèces d’animaux. Avec ses différents mondes dédiés à la nature et à l’exotisme, ce parc animalier, sis à Brugelette, près d’Ath, est un véritable havre de paix.
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7. Le Monde Sauvage d’Aywaille
Au menu de ce parc safari et récréatif de 86 hectares, situé dans la province de Liège: une tonne de spectacles avec comme comédiens: des otaries, perroquets, rapaces… Parmi les autres locataires à découvrir: rhinocéros, girafes, éléphants, hippopotames, lions, tigres, jaguars, chimpanzés, kangourous, ours polaires, singes, loups blancs etc. Cette diversité d’espèces vous permet de voyager aux quatre coins du monde tout en restant en Belgique !
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8. Zoos d’Anvers et de Planckendael
Les Zoos d’Anvers et de Planckendael à Malines, accueillent chaque année 1,6 million de visiteurs. Le premier, véritable institution belge, existe depuis 1843. Le deuxième, quant à lui, a ouvert ses portes au public en 1960. Ces deux jardins zoologiques se complètent bien : l’un est davantage un zoo urbain tandis que l’autre s’offre aux visiteurs comme une belle zone de promenade en pleine nature. Le zoo de Planckendael était au départ une extension du zoo d’Anvers et accueillait les animaux en revalidation. Le parc a depuis lors pris son indépendance et se démarque de son prédécesseur, c’est d’ailleurs le seul parc animalier belge détenant des bonobos, une espèce en voie de disparition.
Jonas Verhulst
9. Boudewijn Seapark
Le Boudewijn Seapark qui doit son nom à l’hommage rendu jadis à feu le roi Baudouin est connu pour son delphinarium. En sus des dauphins, ce parc animalier situé aux alentours de Bruges invite les visiteurs à découvrir des otaries et des phoques. Ainsi, les plus petits ne les confondront plus. Après la mer, les airs avec le spectacle des rapaces. Vautours, aigles et faucons s’illustrent dans des pirouettes spectaculaires.
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10. Le Pass
Dans un tout autre genre, on vous invite à faire un tour vers les contrées montoises et plus particulièrement à Frameries pour découvrir Le Pass. Ce parc d’aventures scientifiques est un lieu original qui invite à comprendre les sciences et les technologies en s’amusant. Au menu : des expositions interactives sur différentes thématiques (chimie, numérique, énergie, corps humain, sport, nature…), une plaine de jeux, des animations ainsi que le fameux Palais des images. Bref, une kyrielle d’activités originales et ludiques pour comprendre la place des sciences dans notre quotidien.
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Nausicaá, Futuroscope et Vulcania
Enfin, terminons par un zoom sur quelques parcs de loisirs dans l’Hexagone. Premier de notre tour d’horizon, Nausicaá, le centre national de la mer à Boulogne (Pas-de-Calais). Depuis l’année dernière, l’aquarium possède le plus grand bassin de poissons d’Europe et le quatrième du monde. Un événement qui vaut le déplacement ! Autre incontournable des excursions en France, le Futuroscope. Ce parc de loisirs sur les thèmes de la technologie et de la science possède plusieurs attractions qui en mettent plein les mirettes en mélangeant les approches sensorielles et projections d’images. Enfin, pour ceux qui projettent de passer par l’Auvergne, on ne saurait que trop vous conseiller de vous arrêter à Vulcania. Lieu de loisirs autant que d’apprentissage, Vulcania est un parc ludique qui permet à chacun de mieux comprendre le fonctionnement des volcans et de notre planète.
Les fêtes de la Sainte Augustine dans les rues de La Valette
Dans les rues de La Valette
Plage paradisiaque sur l’île de Gozo
Malte, le vaisseau de pierre et d’histoire ancré en Méditerranée
Saturée d’une multitude de maisons basses en pierre ocre, Malte surprend par la densité de son tissu urbain. C’est si vrai que l’on s’y perd rapidement car encastrés les uns dans les autres, bourgs et faubourgs s’enchaînent, s’additionnent, se soudent jusqu’à former une immense cité de pierre hérissée de clochers et de dômes majestueux qui égaient la monotonie d’un habitat trop compact.
Vu du ciel, Ggantija sur l’île de Gozo
Avec trois sites classés à l’UNESCO et plus de monuments au km2 que tout autre pays, l’archipel offre une concentration de trésors patrimoniaux qui enracinent Malte dans son histoire. On y trouve ainsi les temples mégalithiques de Ggantija qui remontent bien avant les pyramides.
Le ville de Mdina et ses ruelles typiques
Mdina, un concentré d’histoire méditerranéenne
Verrou stratégique en Méditerranée, l’archipel est tombé sous la férule successive des Phéniciens, des Grecs, des Carthaginois, des Romains, des Byzantins jusqu’à ce que les Arabes y installèrent leur capitale sur un éperon rocheux à Mdina. Aujourd’hui, on l’appelle la ville du silence. Ses demeures se barricadent derrières de hauts murs et les fenêtres protégées par des grilles ventrues ajoutent au mystère. Les colonnes de la cathédrale Saint Paul rendent un éternel hommage à une cohorte de pierres tombales frappées des armoiries des grandes familles de Malte qui semblent hanter les venelles de la cité endormie.
Fort St Elmo à La Vallette
L’Ordre hospitalier de Saint-Jean-de-Jérusalem
C’est en 1530 que Charles Quint offrit l’archipel à l’Ordre chassé de Rhodes où il s’était replié après avoir fui la Terre Sainte. Durant deux siècles, les chevaliers vont imprimer leur empreinte sur l’île qui perdurera même lorsqu’elle passera sous domination britannique. Il y a, dit-on, autant d’églises sur l’archipel que de jours dans une année. C’est l’Ordre qui va assurer la cohésion du pays et aujourd’hui, l’Eglise conserve encore toute son influence auprès de la population.
Malte, une île mystique où souffle l’Esprit
La cathédrale Saint-Jean avec sa profusion de peintures, de tapisseries et de sculptures raconte mieux que les autres monuments la foi qui habitait les chevaliers de la vieille aristocratie.
Ce joyau baroque est encore un lieu de rendez-vous des Maltais. Il suffit d’y pénétrer durant la Semaine Sainte pour plonger dans une ambiance presque monacale. Le pavement des pierres tombales sous lesquelles gisent les chevaliers mène à une chapelle tendue de drap de velours rouge symbolisant le sang versé par le Christ. Autour du tabernacle en or massif, on se recueille en silence.
Cathédrale Saint Jean au cœur de La Valette
Le jeudi Saint est le jour des sept visites dans sept églises différentes au pied des autels de repos qui invitent à la prière. Les familles déambulent dans les rues d’un porche à l’autre sans oublier de visiter les singuliers chemins de croix miniatures que certains reconstituent dans le hall d’entrée de leur maison. Dans la soirée, ils sont des centaines à s’ébranler dans une procession plus bavarde sur un chemin de Croix éclairé de lanternes qui mène vers un immense calvaire illuminé.
Procession du Vendredi Saint Charles Mahaux
Le Vendredi Saint à Malte
Le vendredi Saint est un jour de deuil consacré aux reconstitutions historiques qui retracent la passion du Christ. La plus importante, avec près d’un millier de figurants, est à Zebbug : des tableaux vivants recréent les scènes de la Bible dans une procession rythmée par les ensembles musicaux qui scandent avec gravité la longue marche des pénitents qui portent les lourdes stations du calvaire.
Quel contraste avec le dimanche de Pâques qui réunit les familles endimanchées sur les places ! Les enfants jouent volontiers à cache-cache au milieu de cette foule compacte d’habitués, à croire que tout le village se donne rendez-vous sur la place proche de l’église. Ce sont des fêtes de réjouissances qui célèbrent la Résurrection dans un immense apéritif et qui se prolongent par un repas familial.
Coucher de soleil sur La Valette
La mer qui cerne Malte et sa couleur bleue si particulière
A La Valette, quand vient l’heure de dîner, la vie semble se poser, se mettre en congé jusque plus tard dans l’après-midi. Les commerces ferment leurs portes, les étals de marchés se replient, les rues se vident. Il y fait si calme qu’on peut entendre le clapotis des vagues monter du port.
Depuis les jardins d’Upper Baracca qui surplombent la ville, le regard embrasse les bastions de Cospicua, Vittoriosa et Senglea qui hérissent l’autre côté de la baie. La rade est animée des silhouettes de voiliers élégants, de yachts luxueux, de paquebots de croisière mais aussi de chaloupes maltaises bigarrées.
efesenko – stock.adobe.com
Les fameux luzzus de Marsaxlokk
La grande bleue s’avère d’un accès difficile : les hautes falaises crayeuses sont battues par les vagues et les petites criques semblent bien discrètes. Il faut aller vers le nord, à Marsaxlokk, un petit port niché au creux d’une baie, pour participer à la vie de pêcheurs qui ravaudent leurs filets sur les quais tout en bavardant dans une langue dont les sonorités évoquent l’arabe mais avec un rythme chantant à l’italienne. Des centaines de chaloupes multicolores dansent sur la mer, les fameux luzzus, toujours décorés sur la coque d’un œil, celui d’Osiris qui protègerait les embarcations du mauvais sort.
Marsaxlokk, petit port de pêche
La mer se laisse approcher sur l’île de Gozo
Selon la légende, c’est ici que Ulysse fut retenu dans une grotte par la nymphe Calypso, au pied d’une plage de sable rose aux reflets dorés. Les champs en terrasses cernés de murets de pierre sèche dévalent vers le littoral bordé de falaises et de criques rocheuses. Un jour radieux à Gozo trouve son épilogue dans un coucher de soleil toujours féerique qui vire à l’orange avant de basculer écarlate derrière l’horizon. Tout le paysage minéral de la baie se pare de violet puis d’un bleu profond qui se noie dans le miroir strié de la Méditerranée.
Mer démontée et bleu azur sur l’île voisine de Gozo
Soyons un peu chauvins et fiers de nos carnavals wallons. Certes, ils n’ont pas l’élégance des tenues vestimentaires de Venise ou la folie des sambas brésiliennes… Quoi que ! La beauté et l’originalité des costumes de gilles ainsi que la ferveur et l’enthousiasme de tous les carêmes-prenants valent leur pesant d’oranges. Gilles, Blancs-Moussîs, Chinels, Haguètes, Paysans et Paysannes, Marins, Macrâles, Sôtés, Véheûs, Porais, Ours, Hârlikins, Sâvadjes, Joupsènes, Gugusses, etc., sont impatients de fêter le printemps, accompagnés des musiciens, des géants…
Jusqu’à Pâques, au fil des semaines à venir, les festivités vont se dérouler par étapes avec comme date charnière le célèbre Mardi gras (ce 21 février 2023). C’est la veille du mercredi des cendres qui marque le début du carême, cette ancienne période de la religion chrétienne qui bannissait de manger copieusement durant quarante jours… Il faut donc faire la fête une bonne fois avant le carême… Mais avant le mardi-gras, il faut se préparer. Il y aura donc plein de festivités comme les fameuses soumonces qui sont les répétitions sans costumes avec les tambours seuls et puis la fanfare complète. Les jours gras qui précèdent le mardi gras voient la fièvre monter petit à petit. Ceci dit, il faut savoir que tous les carnavals ne se produisent pas le mardi gras, certains sont décalés avec un pic à la mi-carême ou « Lætare » le dimanche 19 mars… D’autres se produisent encore à d’autres moments, voire tout près de Pâques.
Mardi Gras – Carnaval de Binche
Pour s’y retrouver, voici un petit guide
Binche et ses Gilles ! 21 février
A tout seigneur, tout honneur. Voici Binche, inscrit Patrimoine oral et immatériel de l’UNESCO. Bien sûr, les Gilles n’avaient pas attendu ce couronnement pour marquer leur attachement séculaire à cette festivité mondialement connue, même s’ils ne quittent jamais Binche et ne peuvent revêtir le costume qu’au carnaval. Rythmé par les fanfares, le lancinant martèlement des sabots et le son des apertintailles (ceintures ornées de grelots), ce carnaval existe depuis des siècles. Avec son costume unique au monde aux 150 motifs (étoiles, lions et couronnes) en feutrine noire, jaune et rouge, le Gille est muni d’un ramon (petit coiffera son chapeau en plumes d’autruche l’après-midi… Mais avant ce jour, annoncé par les ‘soumonces’ des semaines qui précèdent (quand les instruments (tambours seuls au départ) s’ajoutent chaque semaine pour compléter la fanfare des jours gras), ce carnaval verra son apothéose le Mardi Gras 21 février. La soirée des Trouilles de Nouilles (lundi 13 février) voit tout le monde se masquer et se costumer pour arpenter les cafés de la cité.
Les plumes d’autruche de sortie Eric Valenne
Avec coiffes de plumes d’autruches
Puis vient le grand jour où dès potron-minet va se dérouler l’habillage du gille toujours aidé par madame qui se dévoue totalement à sa tâche et en famille (avec huîtres et champagne). La porte est grande ouverte pour inviter la famille, les amis, voire les passants à trinquer. Vient ensuite le « ramassage » du gille qui doit rejoindre sa société ou confrérie (avec l’obligatoire tambour qui doit absolument accompagner chaque gille) puis le rondeau… Avant de se rendre à l’hôtel de ville, la mise du masque à lunettes vertes, moustache, barbiche et favoris, est un moment poignant en fin de matinée. Il symbolise l’anonymat et l’égalité entre les gilles. Enfin, le cortège de l’après-midi verra les merveilleuses coiffes de plumes d’autruches (si pas de pluie), les lancers d’oranges, les fanfares se déchaîner. Et la grande foule. La soirée sera longue et se terminera par un feu d’artifice.
Nos mille gilles de Binche ont de respectables cousins qui appliquent quasi les mêmes règles (mais peuvent se représenter costumés en dehors de leur ville et hors période). Comme à Nivelles qui fête son 119ième carnaval le dimanche 26 février avec le grand cortège l’après-midi. Mais les soumonces générales se déroulent le 11 février et le carnaval aclot, plus intime se passe en soirée le lundi 27 février avant le raclot ou dernier rassemblement le 28 février). Mais les passionnés continuent encore à déambuler quelques jours…
La ville de La Louvière est fière de son Laetere également (19/3) qui dépasse ses 150 ans d’existence avec également un millier de Gilles. La fête se prolonge le lundi et le mardi.
Charleroi avec ses gilles et son procès du corbeau en soirée (21/2) n’est pas en reste, (Morlanwelz les 26, 27 et 28 mars), Haine-St-Pierre et Anderlues (26 au 28/2) …
Le carnaval de Jemappes (Gilles) est une exception tant il se produit tard : le weekend de Pâques (9 avril)…
D’autres carnavals de Gilles se produisent hors saison (de l’été à l’automne comme Arquennes, Ligny…)
Malmedy Eric Valenne
Malmédy et son Cwarmê. 19 février
Classé au patrimoine immatériel de la Fédération Wallonie-Bruxelles, le Cwarmê dure quatre jours. Il commence le vendredi à… minuit et se termine le mardi gras à minuit avec son apothéose le dimanche après-midi (19 février 2023) et son grand cortège aux joyeux personnages hauts en couleurs dont certains attrapent avec leur ‘happe-chair’ les passants invités à implorer le pardon… Déjà attesté en 1459 (il en est à sa 563ème représentation cette année!), il se prépare des mois à l’avance et voit l’effervescence monter les jeudis précédents (lors des p’tites haguètes) où l’on se moque gentiment des clients des cafés et tavernes. Les couturières confectionnent de nouveaux costumes et les deux chorales d’hommes préparent leurs comédies satiriques (les Rôles), narrant les mésaventures des Malmédiens qui seront présentées sur des scènes ambulantes le lundi après-midi. Puis le samedi du carnaval, la « Grosse Police » voit le bourgmestre remettre ses pouvoirs au Trouv’lê.
Une quinzaine de personnages différents
Enfin, dimanche, c’est le grand cortège et les deux mille travestis aux masques traditionnels du Cwarmê. Les spectateurs sont gentiment pris à partie et se doivent de demander pardon un pied attrapé par le hâpe-char. Ils sont accompagnés par une quinzaine de personnages différents parfois uniques ou parfois représentés en nombre aux truculents surnoms wallons. Grosse Police, Djoup’sène (égyptienne), Long-né, Longuès-brèsses (longs bras), Longs-ramons, Sâvadge (sauvage), Sâvadge-cayèt (et ses plaquettes de bois), Boldgî (boulanger), Cwapî (cordonnier), viennent également le Vèheû (muni de sa vessie de porc), le Sotê (nuton), les Hârlikins (arlequins)… et quelques autres personnages plus improbables. Le tout sur des musiques originales, parfois fraîchement composées.
Le lundi, jour des « rôles », s’adresse avant tout aux Malmédiens et le « Brûlage de la Haguète » marquera la fin des festivités.
Bien que nous sommes dans les cantons de l’Est, ce carnaval n’est pas germanique mais bien latin et très… très wallon !
Stavelot Eric Valenne
Stavelot et les Blancs-Moûssis. 19 mars
Du 18 au 20 mars, ce sera la 518ième sortie du Laetare de Stavelot ! Tout de blanc vêtus avec leur longs nez rouges, ces « messieurs blancs » sont des centaines à déambuler seuls ou en files dans les rues où ils se déchaînent parfois en assénant gentiment les badauds de vessies de porc. Leur origine est incertaine et une légende voudrait qu’ils imitent des moines à qui il était interdit de s’amuser au Laetare suite à un édit du prince-abbé Guillaume de Manderscheidt en 1499. Les Stavelotains auraient tourné cette interdiction en dérision et se seraient tous habillés en moines blancs en 1502… Vrai u pas, peu importe, les Blancs-Moûssis sont parmi les plus incontournables personnages de nos carnavals wallons. C’est le dimanche de mi-carême (ou Laetare) 19 mars à partir de 13h30 que débutera l’apothéose du grand cortège folklorique avec ses 2500 participants entourés par près de 25 groupes folkloriques locaux ou invités. Le rondeau des Blancs-Moûssis à 17 heures est un incontournable. Entrée 5 euros.
Egalement au patrimoine de Wallonie, la superbe cavalcade inspirée par la Commedia dell’Arte voit les hommes de Fosses porter de jolis costumes de satin coloré avec deux bosses, l’une sur le thorax et l’autre dans le dos. Une légende raconte l’histoire de deux bossus, dont l’un perdit sa bosse, récompensé par les fées ; l’autre, jaloux et méchant, fut puni et hérita d’une bosse supplémentaire. C’est ce dernier qui inspira ce folklore. Et depuis plus d’un siècle, le Chinel est à Fosses ce qu’est le Gille à Binche. Ils sont deux à trois cents à parcourir les rues lors du Laetare et à virevolter munis de leur sabre de bois. Accompagnés des Doudous en blanc avec les boutons rouges (issus de carnavals plus anciens), les Chinels exécutent une chorégraphie où il faut entrechoquer les sabres de bois, se figer sans bruit puis redémarrer de plus belle au son d’une musique joyeuse chantée et spécialement composée pour la circonstance. Le Laetare se termine par un rondeau final au cours duquel tous les groupes viennent faire une démonstration de leurs talents sur la Place du Marché.
Le Laetare se fête également à Andenne (Carnaval des Ours), à Tilff avec les Porais, à Welkenraedt, à Houdeng…
Carnavals rhénans dans les Cantons de l’Est. Lundi 20 février
Le plus célèbre des carnavals d’inspiration allemande est celui d’Eupen. A l’instar des grands carnavals de l’Allemagne toute proche (Cologne, Düsseldorf, etc.), il voit un Prince Carnaval recevoir les clefs de la ville le dimanche pour les garder trois jours. Des chars et des sociétés costumées vont déambuler en grands cortèges dès le lundi gras mars (Rosenmontag) aux cris d’Alaaf, Alaaf ! Ce carnaval a débuté le jeudi précédant le mardi gras avec l’ « Altweiberdonnerstag » ou Jeudi des Femmes, jour de liesse pour les dames où tout leur est permis. Le point culminant de ce carnaval est le fameux « Rosenmontag » ou lundi des roses.
Un cortège constitué de chars très colorés va défiler dans les rues sous la direction du Prince Carnaval. Ce dernier entouré de ses gardes du corps ou « funkenkorps » jettera bonbons, oranges et des tonnes de confettis. De nombreuses fanfares se joignent à la fête qui se clôture par un bal où le Prince Carnaval remettra les clés de la ville aux autorités de la commune, à minuit.
Idem à La Calamine (même date), Büllingen, Bütgenbach, Faymonville, Oudler, Schönberg, Sourbrodt…
Les grands feux sont fascinants… Liés aux fêtes printanières, ils brûlent Bonhomme Hiver et trouvent leur origine dans la nuit des temps. Cela se passe notamment le dimanche des Brandons, à savoir le premier dimanche de Carême, donc cette année le 26 février 2023. Le plus célèbre va crépiter à Bouge, sur les hauteurs de Namur en soirée (début du cortège à 19 h). Cette tradition se perpétue depuis plus de mille ans et toute la région reste fidèle à cet évènement. « Au grand feu, les sizes au feu », dit un vieux proverbe local qui signifie au feu les longues nuits d’hiver… Ce soir-là verra flamber également six autres feux dans les alentours. Les voir tous briller dans la nuit est un porte-bonheur. Mais bon an mal an, des dizaines de feux semblent reprendre vigueur dans nos provinces (parfois à d’autres dates)…
Malmédy dimanche (gras) 19 février Eupen lundi (gras) 20 février Binche mardi gras 21 février Grand feu de Bouges dimanche 26 février Nivelles dimanche 26 février Stavelot dimanche 19 mars (Laetare) Fosses-la-Ville dimanche 19 mars (Laetare) La Louvière dimanche 19 mars (Laetare)
Claus Böbel aime la campagne, et plus particulièrement son petit village de Rittersbach, un patelin de 300 habitants. Mais surtout, Claus Böbel adore la saucisse, au point d’en faire le thème central de son nouvel hôtel ! Les sept chambres et les deux espaces de conférence rassemblent tous les amoureux de la saucisse, qui viennent d’ailleurs des quatre coins du globe pour profiter de cet hôtel hors du commun.
Il faut dire que Claus Böbel a mis le paquet : outre son site internet de vente et son taxi coloré, l’hôtel met le mot « saucisse » en évidence dans plusieurs langues dans le lobby. Dans les chambres, du porte-manteau aux savons en passant par les portes, tout rappelle la saucisse. A table, le soir, inutile de vous dire la spécialité du chef…
Sachez que pour les juifs et musulmans, l’hôtelier-charcutier propose aussi des saucisses au bœuf. Voilà une démarche assez originale, pour ne pas dire à contre-courant, dans un monde où tout évolue à vitesse grand V et où même en Allemagne, la consommation de viande est en baisse.
