À l’arrivée, quel calme, comme si l’hôtel se fondait sans bruit dans la nature. À la réception, j’apprécie directement le sourire sincère, et les quelques mots de bienvenue. Déjà je sentais le stress retomber. Les enfants couraient d’un coin à l’autre, fascinés par la hauteur des vitres et les reflets de la forêt.
De la réception à notre chambre vue forêt Eloise Chavenon
Notre chambre était un vrai cocon. Spacieuse, lumineuse, baies vitrées ouverte sur la forêt. Les petites ont tout de suite repéré leur lit, installé juste à côté du nôtre — un détail simple, mais qui rendait le lieu encore plus accueillant. J’ai pris une grande inspiration : l’odeur de la forêt se sentait dans la chambre, la douceur du silence, la sensation d’être ailleurs.
A vélo en forêt
Mais le vrai bonheur, c’était cette balade à vélo dans la forêt. Les vélos sont fournis et muni d’un itinéraire nous voici parti pour pédaler 3H sur des chemins couverts de feuilles, sous une lumière dorée qui passait entre les branches. J’avais oublié à quel point il était simple d’être heureux.
Vélos fournis pour la balade en forêt Eloise Chavenon
Après l’effort, le Spa
En fin d’après-midi, nous avons profité du Spa. Les enfants riaient de voir la vapeur s’échapper du hammam, pendant que nous profitions d’un massage en duo au Spa Cinq Mondes que je recommande chaudement ! L’eau, la chaleur, les senteurs d’eucalyptus, tout invite ici au lâcher-prise dans des infrastructures de premier choix.
Le Spa 5 Mondes à découvrir en couple ou en famille Eloise Chavenon
Buffet ou à la carte
Le soir, place à un dîner délicieux. Autour de la table, on se racontait notre journée avec des yeux qui pétillaient encore. Un excellent dîner en formule à la carte ou buffet, et même les petites gourmandes ont tout goûté. Il est temps de rejoindre notre chambre, un livre, un câlin, un dernier regard sur la forêt endormie avant une nuit douillette.
Au restaurant de l’hôtel Eloise Chavenon
Avant de partir
Le lendemain, le petit déjeuner a eu un goût de fête. Le buffet débordait de couleurs et de parfums : croissants chauds, jus de fruits frais, pancakes dorés. Les enfants choisissaient tout, un peu trop, mais c’était si bon de les voir heureuse. Avant de repartir, nous avons profité encore du parc. Un ballon, un panier de basket, le terrain de pétanque, quelques échanges de badminton, et des rires à n’en plus finir. Et quand il a fallu dire au revoir, j’ai su que nous reviendrions.
Petit déjeuner et dernières activités Eloise Chavenon
Profitez de cette offre exclusive
Family Break pour 2 adultes et 1 ou 2 enfants -1 nuit en chambre quadruple vue forêt avec petits déjeuners -1 dîner buffet au restaurant l’Argan pour 2 adultes et 2 enfants hors boisson -Accès au Spa pour toute la famille -Location de vélos sur place et guide promenade
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Chaque année, des centaines de milliers de touristes viennent à Memphis pour visiter Graceland, véritable sanctuaire du King du rock’n’roll. Mais en 2024, le rêve a failli tourner au cauchemar : une mise en vente frauduleuse a brièvement plané sur la maison où Elvis a vécu et où son histoire s’est brutalement arrêtée en 1977.
À l’origine de cette tentative, Lisa Findley, 54 ans, qui espérait s’emparer du manoir en l’attribuant à une dette imaginaire contractée par Lisa Marie Presley. Son plan ? Organiser une vente aux enchères au profit d’une société obscure, Naussany Investments. Heureusement, la justice est intervenue. Le tribunal de Memphis a condamné Findley à 57 mois de prison.
Graceland, cœur de Memphis
Impossible de parler de Memphis sans évoquer Graceland. Avec sa façade aux colonnes blanches, ses salons figés dans les années 70 et ses pièces emblématiques comme la Jungle Room, c’est une véritable capsule temporelle. Ouverte au public depuis 1982, la maison attire plus de 700.000 visiteurs par an, venus voir la tombe d’Elvis dans le jardin, son avion privé et ses costumes de scène.
À environ 160 km de San Francisco, 22 incendies distincts ont éclaté presque en même temps, embrasant 5.000 hectares. Ce sinistre baptisé “TCU September Lightning Complex” est manifestement dû à des éclairs qui ont frappé une végétation desséchée par des mois de chaleur.
Selon CalFire, des centaines de pompiers affrontent les flammes dans des zones rurales et escarpées. Le vent orageux complique l’affaire, et plusieurs communautés — y compris des terres ancestrales amérindiennes — restent menacées. Des ordres d’évacuation ont été donnés dans la région.
Une ville pas si fantôme que ça
Malgré son surnom de “ville fantôme”, Chinese Camp n’est pas totalement vide : une poignée de dizaines de personnes y habitent encore. La localité possédait des trésors historiques : un bureau de poste vieux de 170 ans, et l’une des plus anciennes églises catholiques de la Californie intérieure.
Dans l’Ouest américain, les incendies font partie du décor. Mais les scientifiques rappellent que le changement climatique les rend plus fréquents, plus intenses… et de plus en plus destructeurs pour ces lieux chargés d’histoire.
Après avoir bravé les tempêtes et le Pot au Noir en solitaire, Denis Van Weynbergh, notre skipper national, change de cap et nous invite à bord du Royal Clipper, le mythique cinq-mâts pour voguer dans les îles au Vent. L’annonce, publiée dans le magazine Le Soir Voyage de juin, sonne comme une promesse de soleil, d’horizons bleus… et d’histoires salées.
Une croisière… au goût d’exploit
Du 23 janvier au 1er février 2026, cap sur la Barbade, Sainte-Lucie, la Dominique, Antigua, les Saintes, Saint-Kitts et la Martinique. Et cerise sur le gâteau : Denis embarque avec nous, non pour barrer, mais pour raconter. Ses tempêtes, ses doutes, ses étoiles filantes en pleine mer, et cette traversée de l’Atlantique en solitaire, “un mélange de larmes, de fierté et d’épuisement“, selon ses mots.
Une parenthèse entre grand large et grand luxe
Le Royal Clipper, c’est 42 voiles, 134 mètres de noblesse flottante, et seulement 114 cabines. Autant dire, l’élégance d’un voilier avec le confort d’un palace flottant. Entre deux escales exotiques, Denis animera des conférences privées, loin du vacarme médiatique, sur la force mentale et la solitude en mer…
Mais aussi…
Il n’y a pas que le grand large que nous vous proposons de découvrir avec ce supplément : on vous emmène aussi en Bourgogne, à l’assaut des routes gourmandes, en Auvergne, en Champagne, sur le Douro, en Croatie, en croisière sur le Nil, sur l’Amazone… Les amateurs de nature brutale seront également servis par nos expéditions à Tahiti, en Namibie, en Tanzanie, en Afrique du Sud, au Cambodge, en Nouvelle-Zélande, en Mongolie voire à Cuba… Ne manquez pas ces destinations, et bien d’autres, dont certaines dans une Wallonie plus diversifiée qu’on ne le pense, dans notre dernier supplément.
Tout au bout de l’Europe et déjà aux confins de l’Asie, l’Arménie se situe au cœur du Caucase. Le « pays de Noé » n’a pas de côte mais un grand lac situé en altitude. L’Histoire raconte l’épopée des conquérants qui se sont succédé avec les Perses, les Romains, les Byzantins, les Turcs seldjoukides et Ottomans… Et plus récemment, la Russie soviétique. Sans oublier la tragédie du génocide et de sa diaspora qui dénombre aujourd’hui dix millions d’Arménien dans le monde tandis que l’Arménie elle-même n’en compte que trois. L’histoire mouvementée de ce petit pays a comme dernière aventure celle d’avoir été l’une des quinze républiques de la Russie soviétique. Période dont elle est fière d’avoir… tourné la page. Tandis qu’aujourd’hui, de nombreux opposants fuyant la politique de Poutine s’y trouvent désormais installés.
La ville qui compte un million d’habitants se visite facilement à pied : les édifices ne sont jamais loin. Il y a les places arborées et leurs fontaines à parcourir ainsi que l’opéra avec ses soirées dédiées notamment au grand Khatchatourian, compositeur national et sa célébrissime « Dance du Sabre ». Après cela, la balade le long des terrasses offrira tout ce que cette ville moderne et déjà européenne peut proposer : bars, restaurants, tavernes et spectacles…
La Cascade et son escalier géant à Erevan
Toute visite passera par la place de la République et ses édifices pastel couleur pêche dont certains datent de l’époque soviétique. Voici le Musée d’Histoire et la Galerie Nationale, le bâtiment de Gouvernement et la tour de l’Horloge où en été, les jets d’eau font leur show. Autres sites à visiter dans la capitale, la bibliothèque Matenadaran et ses millions de manuscrits. Incontournable, le mausolée « Tsitsernakaberd » évoque le génocide arménien de 1915 et son million de morts.
Avec sa pointe de granite de 44 mètres, ses douze stèles, ses arches et son incroyable musée sans oublier sa flamme éternelle, le site est régulièrement fleuri (notamment chaque 24 avril). Quelques marchés dont le plus couru, le « Vernissage », déclinent tout l’artisanat du pays depuis la symbolique du grenadier aux multiples icones en passant par les assiettes et plateaux, peintures et foulards, instruments de musique et bois ciselés…
Eric Valenne
A l’horizon, l’Ararat
Les Arméniens ont créé leur propre identité nationale avec une langue et un alphabet uniques qui les ont affranchis de toute autre influence. Au cœur de la capitale Erevan et depuis la rue Tamanyan, les escaliers mènent vers les hauteurs de la colonne du cinquantième anniversaire de l’Arménie soviétique. Les escalators intérieurs évitent les 572 marches et permettent de profiter du Cafesjian Center For The Arts ou « Cascade », un important centre d’art contemporain aux 1200 œuvres à découvrir. De là-haut s’admire la meilleure vue panoramique sur la ville avec les lumières qui s’allument en contrebas comme autant d’étoiles d’une galaxie trépidante aux boulevards bruyants. A l’horizon, le magnifique mont Ararat, comme veillant sur la capitale et la nation. Mais celui-ci ne se dévoile pas souvent. Situé à soixante kilomètres et aux confins de la Turquie et de l’Iran, il est un des symboles forts de l’Arménie.
Le mont Ararat et le monastère Khor Virap
La Genèse a voulu que s’y échoue l’Arche de Noé qui a fait rêver des générations d’historiens et d’aventuriers. Emblématique et envoûtant mont Ararat… Avec ses neiges éternelles qui blanchissent son sommet de 5137 mètres, il se refuse souvent à la vue et se nimbe de nuages. Paradoxalement, cette montagne que l’on dit berceau de l’Arménie est inaccessible aux Arméniens eux-mêmes car située en Turquie. Empêchés par toutes les tracasseries frontalières imposées par Ankara, les Arméniens d’aujourd’hui se contentent de l’admirer de loin. De quoi rappeler que les deux pays se tournent encore le dos sur fond de génocide. Une tragédie jamais cicatrisée ni reconnue par la Turquie.
Vue sur les campagnes arméniennes et les gorges Vorotan
Une envie de grands espaces
Un goût d’aventure s’épice dès que l’on quitte Erevan avec notamment comme cap, les monastères qui font partie de la mémoire nationale et universelle (UNESCO). Si ceux-ci ne devraient pas limiter le pays au seul tourisme religieux et culturel, ils font partie de la mémoire de cette contrée du Proche-Orient. Non loin de la capitale se profile déjà le magnifique autant qu’emblématique monastère de Khor Virap.
Monastère de Khor Virap
Avec comme écrin lointain les neiges du mont Ararat à l’horizon, ce lieu témoigne de l’adoption du christianisme par ce pays, l’un des premiers à le faire. C’était en l’an 301 grâce à Grégoire l’Illuminateur, jeté ici dans un puits profond par le roi. Mais le saint y survécut miraculeusement treize ans. Au point de sauver son bourreau de la mort pour le convertir lui et tout le pays… Un monastère fut édifié autour du puits au 7ème siècle.
La cathédrale Sainte-Etchmiadzine
L’aventure continue. A 20 km d’Erevan, la cathédrale Sainte-Etchmiadzine abrite le Saint-Siège qui dirige l’Église apostolique arménienne avec son patriarche, le Catholicos de tous les Arméniens. Il s’agit d’un site religieux qui doit se visiter mais… surtout s’écouter lors des concerts chantés par les choristes les dimanche et jours de fête! Ensuite, la route permet de gagner les hauteurs encore couvertes des neiges hivernales tandis que les vallées voient les arbres fleurir. Ici et là, les vignobles s’accrochent aux reliefs et racontent leur origine ancestrale.
Le monastère de Geghard
Quelques autres sites monastiques incontournables vous attendent encore comme celui de Geghard situé dans les collines rocheuses de l’arrière-pays. Fondé au XIIIème siècle, il cache une partie troglodyte. Les lieux sont fascinants et ressemblent comme un écho à celui de Tatev, ce nid d’aigle isolé dans les neiges printanières qui se découvre après une descente en téléphérique (le plus long au monde).
Le monastère de Geghard Eric Valenne
De quoi rappeler que ce pays est très montagneux, découpé de canyons et haché de rivières sauvages. Il témoigne également à l’instar de la quarantaine de monastères et d’églises du grand intérêt de ce patrimoine. Partout, l’ornementation des sanctuaires et des murs fascine avec les entrelacs et autres khatchkars (croix sculptées) qui ornent les édifices. Fondé au XIIIème siècle, il présente une partie troglodyte. Les lieux sont fascinants. Posté sur un nid d’aigle, voici Tatev. Souvent isolé dans les neiges persistantes, l’endroit ne se découvre qu’après une… descente en téléphérique le plus long au monde « Les Ailes de Tatev » (5752m)…
Monastère de TatevEntre prières et chants Eric Valenne | cms
Une boisson millénaire…
Détruit en 1679 par un séisme, le temple grec de Garni domine une vallée aux étranges murailles volcaniques en tuyaux d’orgue. Ce temple de style ionique a fière allure. Il semble venir droit de l’antiquité, ce qui n’est pas tout à fait vrai dans la mesure où fut reconstruit pour être à nouveau sur pied en 1976. Sur la route vers Erevan, d’autres témoignages s’admirent au cœur d’antiques vignobles aux vins originaux. Question de rappeler l’histoire plurimillénaire de cette boisson dont cette région du Caucase en est le berceau. C’est que par ici, l’accueil et la table sont très importants…
Les petits verres de vodka ou de brandy local précèderont, accompagneront ou termineront les plats locaux, mélanges d’Asie et d’Occident. Lesquels sont souvent servis avec les vins du cru. Voici les khorovats (grillades et salades), les dolmas (légumes farcis par toutes sortes de viandes), le Lahmajoun (pizza arménienne)… Sans oublier le lavash, ce pain traditionnel cuit au four, dont on peut souvent admirer la fabrication ancestrale. Mais s’il y a bien une nourriture plus spirituelle qui séduira le visiteur… c’est le plaisir d’écouter résonner l’âme et l’esprit de ce petit pays : la musique envoûtante du doudouk, ce haut-bois ancestral bercé de nostalgie qui transporte au paradis au-delà du mont Ararat.
Le duduk arménien est un instrument de musique à vent traditionnel, considéré comme l’un des symboles culturels les plus emblématiques de l’Arménie. Fabriqué en bois d’abricotier, il est doté d’une anche double qui produit un son doux, profond et mélancolique, souvent comparé à la voix humaine. Ce timbre unique lui permet d’exprimer une large gamme d’émotions, allant de la joie à la nostalgie, et de raconter des histoires imprégnées des traditions et de l’âme arméniennes. Son origine remonte à plusieurs siècles, et il est indissociable des rites, cérémonies et moments marquants de la vie arménienne. En 2005, l’UNESCO a reconnu la musique du duduk comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité, soulignant son importance dans la préservation de l’identité arménienne.
Pour écouter du duduk en Arménie, la capitale Erevan est une excellente destination. Le Centre Cafesjian pour les Arts organise régulièrement des concerts où le duduk est mis en avant. Le Théâtre national d’Opéra et de Ballet propose aussi des performances intégrant cet instrument unique. Les festivals de musique folklorique, comme ceux organisés à Dilijan ou dans la région du Lori, offrent l’opportunité d’écouter du duduk dans un cadre plus traditionnel. Enfin, dans les villages arméniens, des soirées culturelles permettent de découvrir des joueurs locaux dans un contexte authentique et chaleureux, pour une immersion complète dans la richesse sonore de cet instrument légendaire.
Les croisières sont plus populaires que jamais, et le nombre de passagers a considérablement augmenté ces dernières années. La fédération sectorielle Cruise Lines International Association (CLIA) anticipe pour 2024, un total de 30 millions de passagers répartis sur 360 navires, soit 9,2 % de plus qu’en 2019, l’année pré-pandémie ! Les croisières donnent également un solide coup de pouce économique (même si les résidents des escales ne sont pas toujours ravis), mais l’environnement en profite moins.
Un impact néfaste ?
Selon l’organisation environnementale Transport & Environment, les navires de croisière ont un impact très lourd sur le climat, l’environnement et la santé publique, en raison de leurs importantes émissions de CO₂ et autres substances nocives, comme les oxydes de soufre et d’azote, ainsi que les particules fines. La croisière européenne émet, selon l’organisation, autant de soufre qu’un milliard de voitures, car elle utilise des carburants à haute teneur en soufre. Cela a justifié l’interdiction des gros paquebots à Venise, une mesure ayant entraîné une réduction de… 80 % de la pollution de l’air !
karl-callwood
Quelles mesures sont prises ?
Toutefois, à l’instar du secteur de l’aviation, qui n’a pas non plus une bonne réputation en la matière, le monde des croisières fait des efforts pour réduire son impact sur l’environnement et le climat. C’est pourquoi certaines technologies, comme les catalyseurs SCR et l’utilisation du GNL (gaz naturel liquéfié), sont déjà en place. Le GNL brûle de manière plus propre et produit ainsi moins d’émissions. Actuellement, 19 navires de croisière à travers le monde utilisent du GNL, soit 7 % de la flotte et 13 % du nombre total de passagers. À terme, le GNL pourra en outre être remplacé sans modification par du bio-GNL neutre en CO₂ (issu de déchets organiques) ou du GNL synthétique à bilan neutre. Le méthane, principal composant du GNL est un gaz à effet de serre puissant, mais ces émissions seraient également limitées à 1 % selon le secteur.
Zéro émission nette d’ici 2050
Les paquebots produisent également leur propre électricité via des moteurs à combustion, mais environ la moitié de la flotte mondiale peut se brancher au réseau électrique terrestre dans les ports afin de couper les moteurs après l’amarrage. Ces efforts sont également encouragés par des mesures réglementaires. En effet, le secteur maritime (en ce compris les croisiéristes) devra acheter des quotas d’émission dans le cadre du Système d’échange de quotas d’émission (ETS) de l’Union européenne et déclarer ses émissions. L’Organisation Maritime Internationale (OMI) a aussi établi un calendrier visant à rendre les navires neutres en émission de gaz à effet de serre d’ici 2050, avec notamment 5 à 10 % de carburants neutres en émissions d’ici 2030.
Les voiliers comme solution ?
Quid des navires utilisant des énergies renouvelables pour se déplacer, comme les voiliers ? Nous avons récemment embarqué à bord du Star Clipper, un voilier de croisière appartenant à une compagnie monégasque qui exploite trois de ces navires. Dominique Rollin, le capitaine belge du navire, confirme que les voiles permettent de réduire la consommation de carburant. « Bien sûr, nous faisons des efforts pour réduire nos émissions, conformément aux règles de l’OMI. Grâce à notre mode de navigation à voile, nous partons déjà avec un avantage, car nous consommons beaucoup moins de carburant pour la propulsion. Nous avons des moteurs à bord pour les moments où le vent est insuffisant, mais nous privilégions autant que possible la force du vent. Combien économisons-nous ? C’est difficile à dire, car cela dépend entièrement du vent et de l’itinéraire emprunté. C’est comparable à une voiture hybride, qui ne consomme presque rien dans certaines conditions. »
Star Clippers
Cependant, même les voiliers utilisent du carburant pour produire de l’électricité, et des alternatives renouvelables devront également être envisagées à terme. De plus, il existe peu de ces navires, et ils ne mettent pas tous autant l’accent sur l’énergie éolienne que les Star Clippers ! En revanche, plus compactes que les gros paquebots habituels s’apparentant souvent à des villes flottantes, ils ont un impact moindre sur les villes où ils accostent. Une raison supplémentaire d’opter pour ce type de croisière !
En automne, le thermomètre est pris d’un effet yo-yo, avec souvent une tendance à pointer vers le bas. Ça m’a donné envie d’aller me rougir les joues au grand air, emmitouflée dans ma doudoune, pour une balade en forêt. J’ai choisi la vallée du Roannay, à l’orée de la fagne spadoise. Je vous emmène…
A l’assaut du ruisseau secret
Départ de grand matin le samedi, pour arriver sur place avant 10 heures. La randonnée que j’ai choisie porte un nom un peu mystérieux : « Francorchamps : le ruisseau secret ». Vous pouvez la retrouver sur le site visitwallonia.be, avec même une carte GPX à télécharger, ou sur l’appli Cirkwi.
Le point de départ est situé rue Emile Goedert 6, à Stavelot. C’est parti pour 14 kilomètres d’itinéraire balisé, classé « difficulté moyenne ». La randonnée longe la fagne spadoise, dans une forêt alternant conifères et feuillus. On a vu de magnifiques épicéas de près de 50 mètres de haut ! Et ce n’est pas une estimation au doigt mouillé : les arbres sont marqués de leur date et de leur hauteur. Comme la vallée est humide, pensez à porter de bonnes chaussures imperméables. On a aussi croisé de nombreux ruisseaux, dont le Roannay. La balade nous a pris 4h30, pause pique-nique comprise.
Roannay – Francorchamps
Un hôtel de charme
Après la marche, direction Spa, où nous avons posé nos valises à l’hôtel le Roannay, situé à 800 mètres du circuit de Francorchamps, dans un bâtiment moderne. Mon homme n’a pas lâché du regard la rutilante Porsche 911 parquée devant la porte de l’hôtel. Ici, la passion mécanique est partout. Logique pour une région qui accueille chaque année le Grand Prix de Belgique de Formule 1…
Notre hôtel a été rénové récemment, dans un style moderne chic, avec une décoration épurée et de beaux matériaux. J’ai particulièrement aimé la salle de bains, avec son surprenant lavabo rond en inox et ses produits d’accueil Clarins.
Espace Wellness et simulateur de conduite
Après l’effort, le réconfort : j’ai profité de l’espace Wellness de l’hôtel, lui aussi très moderne et design. Il comprend un sauna, un hammam, un jacuzzi et des matelas de massage à hydrojets. J’ai goûté à tout, avant de finir la session posée sur un transat pour une complète relaxation. Pendant ce temps, mon homme, lui, était totalement concentré, volant en mains, près de la réception… Les propriétaires ont en effet installé au rez-de-chaussée de l’hôtel un simulateur de pilotage (payant), avec siège sport, volant, pédales et grand écran sur lequel est reproduit le tracé du circuit de Francorchamps en qualité HD. Mon amoureux a pu tester ses notions de pilotage sans risque de froisser de carrosserie…
Roannay – Francorchamps
Menu brasserie ou étoile Michelin
Pour l’apéro, direction le bar. D’ambiance lounge, il est installé sous la vieille charpente en bois de l’ancienne grange. L’espace fait aussi brasserie. On a choisi le Menu du Marché, qui change régulièrement en fonction de l’inspiration du chef et des produits de saison ! Le jour de notre passage, c’était tartelette de tomates et stracciatella de burrata en entrée ; tartare de bœuf, caviar de hareng, salade de légumes et frites en plat ; et gaspacho de fruits rouges avec glace lait d’amande en dessert. Pour les fins gourmets, il y a aussi dans l’hôtel un restaurant gastronomique, gratifié d’une étoile au Michelin. Les chefs David Martin et Mathieu Vande Velde y officient sous vos yeux, dans une cuisine ouverte sur la salle. On s’est promis de revenir tester…
WBT – David Samyn
Le Musée du Circuit de Francorchamps
Après un samedi bien rempli, on a baissé le rythme le dimanche. Mais mon amoureux tenait néanmoins absolument à visiter l’abbaye de Stavelot, située à 8 kilomètres de l’hôtel. J’ai vite compris pourquoi : plus de moine dans cette abbaye, mais les caves voûtées accueillent le musée du Circuit de Spa-Francorchamps, avec une collection de voitures et de motos de course. J’ai aussi appris qu’à une époque, la Belgique comptait un grand nombre de constructeurs de motos, comme FN, Gillet ou Saroléa. C’est donc sur une note de nostalgie et de culture mécanique que nous avons conclu notre week-end spadois, mené bon train entre forêt et bolides.
Gebouwd, getest, feestelijk geopend en zonnig ingefietst: de langste fietsbrug van het land, meer dan 700m (!!) over de A201 in Machelen! pic.twitter.com/YC0T3rsGcP
Les travaux, débutés fin 2022, ont duré un peu moins de deux ans. Cette imposante structure relie le Harenweg à Zaventem avec la Sint-Stevens-Woluwestraat à Machelen et surplombe le boulevard Léopold III (A201). Elle permet aux usagers faibles d’éviter un détour d’environ un kilomètre via les avenues du Bourget et de la Fusée pour traverser le boulevard. Elle offre également une alternative plus sécurisante pour traverser cette importante artère.
Le pont couvre aussi la ligne de tram existante. Des escaliers permettent de rejoindre les arrêts de tram, facilitant ainsi l’accès aux transports en commun. Le nouveau pont fait le lien entre la future piste cyclable du ring de Bruxelles et la véloroute F201, également en construction, qui reliera l’aéroport au centre de Bruxelles.
Le gouvernement flamand a investi 11,7 millions d’euros dans ce projet, démontrant son engagement en faveur de la mobilité douce et durable dans la région.
Du XIème siècle à 1596 et son transfert à Varsovie, Cracovie fut la capitale de la Pologne et le siège du royaume. Epargné par les guerres et le communisme, le centre historique fourmille de monuments hérités de ce rang. Et quels monuments ! Dans ce cœur urbain cerné autrefois de murailles – elles ont été remplacées au XIXème s. par les Planty, couronne de verdure relaxante qui le sépare des faubourgs -, le visiteur explore, ébahi, les bâtiments les plus prestigieux.
Le château du Wawel et Basilique Cathédrale de Cracovie Gerald Villena
L’ensemble de la colline du Wawel en est l’épicentre. S’y trouvent côte à côte le château royal et la cathédrale, témoins du partage des pouvoirs et haut lieu de l’identité polonaise. Site de couronnement et de sépulture des rois, la cathédrale égrène tombeaux et monuments des souverains autour de l’autel de Saint-Stanislas, saint-patron de la Pologne. Autour de sa cour centrale encadrée de galeries, le château, lui, a été transformé en musée dédié à la royauté et en lieu d’évènements.
Le début de la rue Grodzka, artère principale de la vieille ville Philippe Bourget | cms
Hors l’enclave du Wawel, le cœur historique bât tout aussi fort. Des hordes de touristes arpentent la colonne vertébrale que forment les rues Grodzka et St-Florian, irriguant tout le centre. A condition de ne pas être distrait par la profusion de boutiques, voici ce qu’il ne faut pas manquer : l’église Saints Pierre-et-Paul, modèle d’architecture baroque ; l’église Saint-André, le plus ancien édifice roman ; l’adorable rue Kanonicza et ses bâtiments des XIVe et XVe s., dont l’un abrite le Centre Jean-Paul II, dédié à sa mémoire – icône de la ville, il en fut l’archevêque avant d’être pape ; le Collegium Maius, siège de la prestigieuse université Jagellonne, où étudia Nicolas Copernic… et le futur Jean-Paul II ; les basiliques des Franciscains et des Dominicains, puissants ordres de cette ville religieuse.
Le château de Wawel vu depuis la Vistule K. Skubala
La rue Grodzka débouche sur le Rynek. C’est le foyer incandescent de Cracovie. Sur la plus grande place médiévale d’Europe (200 m x 200 m) se tient la prestigieuse Halle aux Draps et ses échoppes de souvenirs, symbole de la ville commerçante de jadis. Devant les terrasses de cafés et de restaurants, l’église Notre-Dame et le beffroi de l’Hôtel de Ville font office de totems. A voir et à entendre dans la première : le retable gothique de Veit Stoss (XVe s.), l’une des plus beaux et grands du monde, avec 200 personnages ; la ritournelle du hejnał, une mélodie jouée chaque heure par un trompettiste posté en haut d’une tour de l’église, interprétée depuis le 16ème s. et expression de l’indépendance de la ville.
Le Rynek avec la Halle aux Draps et le beffroi de l’hôtel de ville Philippe Bourget | cms
Le nord du Rynek est à l’unisson. Autour de la rue St-Florian, le musée des Princes Czartoryski (et sa célèbre peinture La Dame à l’Hermine, de Léonard de Vinci), la Jama Michalika (archétype du café-musée du XIXe s.), le théâtre Slowacki, la porte Saint-Florian et la Barbacane constituent le quinté de choc. Au-delà, la balade peut se poursuivre jusqu’au Stary Kleparz, authentique marché populaire de la ville.
Vieilles maisons dans le quartier de Kazimierz Philippe Bourget | cms
Kazimierz, héritage de la culture juive
Rattaché à la ville au tournant du XIXe s., ce quartier diffuse une atmosphère autant historique que bohême. C’est ici que, dès le XIVe s., une première communauté juive s’implante. Elle va se développer et prospérer durant cinq siècles, jusqu’à la seconde guerre mondiale. Au point qu’en 1939 un quart des 250 000 habitants de Cracovie est de culture juive.
La persécution nazie va tragiquement décimer cette population, transférée dans le quartier voisin devenu ghetto de Podgórze (voir ci-dessous), puis déportée vers les camps de concentration – dont Auschwitz, situé à 60 km. Depuis 20 ans, alors que le souvenir du conflit de 39-45 s’estompe, ce quartier longtemps livré aux squats et à la délinquance retrouve son identité juive autour de lieux de culte et de mémoire et d’une indéniable animation boutiquière et touristique.
Anciennes façades de magasins juifs de Kazimierz, transformés en restaurant Philippe Bourget | cms
Il suffit d’arpenter les rues Mieselza, Józefa et Szeroka pour s’en convaincre. Les cafés et les restaurants de cuisine juive y côtoient les synagogues, les musées et centres de culture ashkénaze, deux cimetières juifs et une flopée d’adresses de bouche, de boutiques et de galeries branchées non ethniques où se mélangent touristes et jeunes cracoviens. Autour de la rue Szeroka (en réalité, une place), le restaurant casher Ariel est proche d’Hamsa, où l’on mange des spécialités orientales dans l’esprit « Tel-Aviv ». Les deux font face à la synagogue et au vieux cimetière juif Remu’h (l’un des plus anciens d’Europe), très fréquentés par les communautés juives orthodoxes étrangères, reconnaissables à leurs tenues vestimentaires typiques.
La visite de Kazimierz passe aussi par la place Nowy. Hôte d’une rotonde où l’on vend dans des kiosques les célèbres zapiekanki (baguettes avec du fromage, du ketchup et de la ciboulette), elle est investie chaque dimanche par un marché aux fripes vintage, qui a retrouvé un allant auprès des touristes et des bobos. Depuis la place Wolnica où se dresse la grande bâtisse de l’ancien hôtel de ville du quartier, la rue Mostowa conduit à la passerelle design (piétonne et cycliste) Ojca Bernatka qui, par delà la Vistule, mène au quartier de Podgórze.
Dans le musée de la Fabrique d’Oskar Schindler Philippe Bourget | cms
Podgórze et Zabłocie, souvenirs du ghetto et cluster muséal
Situé rive droite de la Vistule, ce quartier plus excentré conserve la mémoire tragique du génocide contre les Juifs de Cracovie, parqués ici à partir de 1941 puis déportés vers différents camps de concentration et de travail, dont celui de Płaszów, au sud-est de la ville. C’est aujourd’hui un vrai quartier cracovien, résidentiel, qui n’a pas (encore) succombé au tourisme de masse. Sur la Vistule, la passerelle Ojca Bernatka qui le relie depuis 2010 à Kazimierz assure toutefois une connexion facile qui induit de nouvelles habitudes.
Cette place constitue un lien parfait avec la visite suivante, dans le quartier contigu de Zabłocie : le musée de la Fabrique d’Oskar Schindler. Aménagé dans l’ancienne usine éponyme et rendu célèbre par le film (1993) de Steven Spielberg, « La liste de Schindler », il rappelle le rôle crucial tenu par Oskar Schindler, le directeur allemand de cette usine de batteries de cuisine pour soustraire plus de 1 000 juifs à la déportation. Consacré plus globalement à Cracovie sous l’Occupation, le musée, aux commentaires non traduits en français, est certes très émouvant mais pâtit de l’exiguïté des salles d’exposition et de son atmosphère sépulcrale, sur fond de profusion d’informations.
La passerelle design Ojca Bernatka et ses sculptures Philippe Bourget | cms
Dans un autre genre, le MOCAK (2011) propulse le visiteur dans la création artistique polonaise. Constitué d’un nouvel édifice et de bâtiments d’usine réhabilités, le Musée d’Art contemporain de Cracovie met en scène les œuvres d’artistes du pays et organise des expositions temporaires très courues.
La place Podgórski et l’église néogothique Saint-Joseph Philippe Bourget | cms
Pour découvrir l’aspect très cracovien du quartier, on n’hésitera pas à se perdre autour de la place Podgórski. Autour de l’église néogothique Saint-Joseph, on découvrira des immeubles résidentiels des XVIIIe et XIXe s., un ou deux « bars à lait » authentiques de la ville (cantines héritées de la période communiste) et l’ambiance de village résidentiel de la colline située derrière l’église (rue Dembowskiego et parc Bednarskiego).
Une ville ‘arty’ et ‘foody’
Avec 160 000 étudiants pour 1 million d’habitants, des dizaines de nationalités (Français, Allemands, Italiens, Espagnols, Ukrainiens…) employées dans différents secteurs d’activités – les centres de services, le design… – et des valeurs européennes affichées avec force, rien d’étonnant à ce que cette ville de « professeurs », qui baigne depuis des siècles dans un climat artistique et intellectuel, soit une des cités les plus dynamiques d’Europe.
Au-delà de ses richesses muséales et du nombre de théâtres (six), Cracovie est une ville d’intense culture urbaine. Ce secteur serait d’ailleurs le second pôle économique de la cité, après le tourisme. Le nombre de festivals organisés chaque année et l’armée de salariés du Bureau de la ville chargé de les organiser, 140 personnes, en témoigne : Festival Misteria Paschalia (Pâques) ; Fête des étudiants de Cracovie (une semaine en mai, le maire leur remet alors les clefs de la ville) ; Festival de la Culture Juive (juin) ; Festival de la Musique de Film (mai-juin, le plus grand du monde) ; Festival de la poésie (juin) ; Festival de musique classique (juillet) ; Festival d’été de jazz (juillet) ; Festival international de théâtre de rue (juillet) ; Unsound Festival (musique électronique, octobre) ; All Soul Jazz Festival (novembre)… Jusqu’au Forum des villes européennes, dont Cracovie sera l’hôte en juin 2025, consécration de son ouverture au Vieux Continent.
Décoration design dans le récent hôtel de luxe H15 cms | cms
Ce multiculturalisme se retrouve dans l’assiette. Aux restaurants traditionnels polonais servant dans des cadres chics les recettes immémoriales (soupes, pierogi…) s’ajoute une multitude d’adresses ethniques (arméniennes, lituaniennes, japonaises, coréennes…) et branchées, de lieux vintage, de marchés bios… Et chacun a forcément son idée sur le meilleur endroit du moment ! Dans Kazimierz, certains vous emmèneront dans les bars en vue Hevre (cadre vintage chic dans une ancienne synagogue) ou Eszeweria (vieux meubles en bois et jardin intimiste à l’arrière).
Lipowa 6, un bar en vue du quartier de Zabłocie Philippe Bourget | cms
Les fans de cafés-lecture vous inviteront à se poser à Austeria, un café-restaurant de cuisine juive également petite maison d’édition. Elle est devenue célèbre pour ses « livres à écrire », qui alternent pages d’auteur et pages blanches réservées aux commentaires du lecteur. Karakter pour les vins en biodynamie, Bottigliera 1881 (et sa récente déclinaison bistronomique, Buffet) pour goûter la cuisine 2 étoiles Michelin de Przemysław Klima… Kazimierz, quartier hipster gentrifié, est une mine d’or pour les dénicheurs de tendance.
L’intérieur du bar francophile Les Couleurs Philippe Bourget | cms
Podgorze n’est pas mal non plus. D’aucuns jurent que Luktung y est le meilleur « asiat » de la ville, tandis que les bobos vont faire leurs courses chaque samedi au marché bio-écolo Pietruszkowy, devant la piscine Korona. Même le centre historique est concerné : Pimienta est considéré comme le meilleur restaurant de viande de la ville et le récent hôtel de luxe H15 fait l’actualité avec son restaurant Artesse, remarqué aussi par Michelin. A Cracovie, la surprise est à chaque coin de rue.
La façade du restaurant Austeria, à Kazimierz Philippe Bourget | cms
Infos pratiques
Y aller
Vols Bruxelles Charleroi-Cracovie avec Ryanair (ryanair.com) et Bruxelles National-Cracovie avec Brussels Airlines (brusselsairlines.com).
Alors, vite profitez d’une nuit + 1 gratuite ou de la 2ème nuit à -50% dans la liste des 13 hébergements ci-dessous !
Ces ventes privées sont uniquement valables pour une réservation de 2 nuitées dont les dates de séjour sont comprises entre le 15/10/2024 et le 15/12/2024.
Cette action est réalisée en collaboration avec VISITWallonia.
EN BRABANT WALLON
Ferme de l’Hosté (Wavre)
OFFRE : -50% sur la deuxième nuit sans petit-déjeuner, sans restriction de jours.
Ferme de l’Hosté Trema visuals
La Ferme de l’Hosté vous accueille dans un cadre verdoyant et tranquille, à la périphérie de Wavre. Nous vous proposons divers types d’hébergements en courte ou longue durée. Vous bénéficiez également d’un parking extérieur et d’une connexion Wi-Fi gratuite. Envie d’évasion ? La région offre de nombreux parcs et espaces extérieurs pour les amateurs de randonnée et de marche. La Ferme de l’Hosté est également située à seulement 4 km du parc d’attractions Walibi Belgium.
OFFRE : -50% sur la deuxième nuit avec petits-déjeuners inclus, sans restriction de jours.
B&B Entre Champs Céleste Coupez
Envie de vous offrir un week-end de détente en amoureux dans une ambiance calme et cosy ? Bienvenue dans notre B&B. Entièrement conçu par nos soins, ce lieu est un véritable havre de paix pour les amoureux de la campagne et des bons produits locaux. Nous avons conçu nos chambres d’hôtes de A à Z avec une idée directrice : réaliser une maison de vacances de rêve. Un cocon de calme, une vue époustouflante, vous y serez accueillis avec joie et douceur. Vous vous sentirez comme à la maison, avec tout le confort d’un hôtel !
A Coque’Line – Chambre d’hôtes (Frasnes-Lez-Anvaing)
OFFRE : -50% sur la deuxième nuit avec petits-déjeuners inclus, sans restriction de jours.
Coque’Line Coque'Line
Nichée au pied du Pays des Collines, dans le village de Moustier, votre maison d’hôtes A Coque’Line vous accueille dans un écrin de verdure. L’ancienne ferme à cour carrée, entièrement rénovée, allie parfaitement le charme du passé aux envies d’aujourd’hui. Deux des 4 ailes de la ferme sont dédiées à l’accueil des personnes qui voyagent entre amis, en famille, en amoureux, en solo ou pour un déplacement professionnel.
OFFRE : -50% sur la deuxième nuit sur la chambre poésie avec petits-déjeuners inclus et sur la cabane du berger hors petit-déjeuner, sans restriction de jours.
L’Escapade au Walestru Olivier Michèle
Idéalement située à mi-chemin entre les Lacs de l’Eau d’Heure et la région de Chimay, l’Escapade au Walestru propose un séjour de charme à la ferme, à deux ou en famille. Calme, nature et romantisme sont au rendez-vous pour un séjour en amoureux tandis que les animaux, les loisirs et le grand air raviront toute la famille. Notre table d’hôtes vous fera découvrir les produits de notre jardin biologique et la gastronomie de notre terroir. Envie de calme, de grand air, d’un cocon intime et raffiné ? La chambre poésie vous fera rêver. Envie de nature et d’indépendance ? La cabane du berger vous ravira.
OFFRE : une nuit gratuite à l’achat d’une nuit payante, sans petit-déjeuner, du lundi soir au jeudi soir.
INTHEMIA Jonathan Godts
Nouveau depuis juillet 2023, bienvenue à l’hôtel Inthemia, où vous pouvez voyager dans le temps, sous la mer, dans l’espace, dans un cocon glamour, ou vivre une soirée aux côtés de figures célèbres ! Découvrez nos chambres thématiques exceptionnelles, chacune avec son propre décor enchanteur et un confort haut de gamme. Inthemia vous invite à vous déconnecter et à vous évader loin de votre quotidien et de la routine. Découvrir Inthemia est une idée parfaite pour surprendre et partager un moment unique. Notre accueil chaleureux et notre service sur mesure sauront répondre à toutes vos attentes.
OFFRE : une nuit gratuite à l’achat d’une nuit payante, sur la suite « Jardin Secret », petits-déjeuners inclus
Au Fil de la Magrée Rick Glay
Au fil de la Magrée offre 2 chambres d’hôtes aménagées avec goût pour un séjour inoubliable aux confins du Condroz et de la région d’Ourthe-Amblève, en province de Liège. La suite dans laquelle vous pourrez séjourner vous propose de passer un moment de relaxation dans un cadre « atypique ». Laissez-vous surprendre ! Cet espace de 50m2, situé au deuxième étage, se compose de trois pièces : la chambre avec petit salon, la salle de bains et l’espace détente avec un sauna.
OFFRE : -50% sur la deuxième nuit avec petits-déjeuners inclus, sans restriction de jours.
Le Mayou Laurie Smets
Anne France et Arnaud vous accueillent dans une vieille bâtisse remise à neuf, tout en conservant le charme de l’ancien et l’âme de la maison. La décoration est principalement réalisée à partir d’objets anciens, récupérés, chinés et détournés… Ce qui renforce le côté authentique et convivial de la maison ! Dans le village de Mortroux, au cœur du Pays de Herve, les amateurs de nature et de balades trouveront leur bonheur. Proche de Liège et Maastricht, de superbes villes à (re)découvrir…
OFFRE : -50% sur la deuxième nuit, sans restriction de jours.
Aqualodge Aqualodge
Qui n’a jamais voulu, un jour, défier le temps, le bruit, le stress, la vie qui court ? Au creux de la campagne maredsolienne, en bord de Molignée, s’étend un chapelet de petits étangs. Sur l’un d’eux sont érigés 6 petits chalets. Chacun d’eux est unique : l’un sera plus grand, l’autre invitera à la relaxation, le troisième sera plus reculé… Mais tous invitent à s’arrêter, à rêver, à écouter les secondes… Le cadre est magique. Bienvenue à Aqualodge !
-50% sur la deuxième nuit avec petits-déjeuners, sans restriction de jours.
B&B Windsor Pascale Bourgois
Une parenthèse hors du temps au cœur d’une nature sauvage et préservée dans une magnifique demeure de charme. Prenez le temps de déconnecter dans une des chambres d’hôtes avec petit-déjeuner gourmand, local et fait maison. Profitez du salon cosy et chaleureux où vous pourrez déguster une bière locale, du grand jardin et de la boutique vintage Cool & Chic. En effet, tout le mobilier et la déco sont à vendre dans le B&B. Le + jusque octobre inclus : le dernier passeur d’eau manuel sur la Meuse vous fera passer d’une rive à l’autre vers le port de plaisance d’où partent de magnifiques balades.
A proximité :
> Passage d’eau
> Randonnée insolite ( 5 à 10km)
> Plusieurs visites de Châteaux ( Vêves, Freyr, lavaux Sainte à Anne)
Une nuit gratuite à l’achat d’une nuit payante, sans petit-déjeuner, du dimanche au jeudi.
River Lodge Laurence Delchevalerie
Vous cherchez à vous évader du quotidien et à oublier tous vos tracas dans un cadre dépaysant ? Le River Lodge est un hôtel plein de charme avec un concept inédit à Maredsous : vous transporter vers des destinations insolites et lointaines au cœur d’un des plus beaux villages de Wallonie, Maredret. Ses 10 suites entièrement rénovées sauront vous séduire par leur caractère insolite tout en vous offrant un maximum d’intimité et d’autonomie. Un hôtel, 10 destinations insolites au bord de l’Ardenne belge.
A proximité :
> Maredsous et ses dérivés : Abbaye/ Microbrasserie
Une nuit gratuite à l’achat d’une nuit payante, sans petit-déjeuner, du dimanche au jeudi.
Les Oiseaux de Passage Annick Adam
Les Oiseaux de Passage B&B sont sortis du nid en 2012, aujourd’hui, une nouvelle formule voit le jour ! Désormais, Annick, Nicolas et leurs deux fils vous proposent de dormir et manger dans leur auberge-restaurant. La bâtisse située à l’orée de la forêt ardennaise est un point de chute idéal pour tous, les sportifs, les familles ou les couples. Les chambres cosy, le jardin avec terrasse, l’accès direct à la forêt, le billard et le bar vous séduiront pour un moment de repos quelle que soit la saison. Le restaurant propose une cuisine familiale et inventive qui privilégie les produits frais et du terroir !
-50% sur la deuxième nuit sans restriction de jours. Un verre de cava offert lors d’une réservation au restaurant.
Hôtel et restaurant La Hutte Lurette La Hutte Lurette
Tout y est réuni pour que vous passiez un moment inoubliable ! Au cœur de l’Ardenne belge, et juste à côté de Bouillon et du château, découvrez notre hôtel 3 étoiles et ses nouvelles chambres spacieuses, modernes et lumineuses. Il y a de nombreuses balades au départ de l’établissement pour découvrir la nature environnante. Les 12 chambres tout confort de différents standings. Le restaurant propose un menu du mois et une cuisine savoureuse basée sur des produits de saison locaux. Grande terrasse sise plein sud par beau temps !
Une nuit gratuite à l’achat d’une nuit payante, sans petit-déjeuner, du dimanche au jeudi.
Les Trappeurs FTLB-PWillems
Nos chambres d’hôtes sont situées en plein cœur de l’Ardenne belge, dans le magnifique village de Laneuville-au-Bois, à deux pas de Saint-Hubert. Du jardin de la maison et des chambres d’hôtes, vous bénéficierez d’une vue imprenable sur les plaines et la forêt de St-Michel Freyr… La région de Saint-Hubert regorge de richesses, de beautés et de nombreuses activités y sont possibles. Tout a donc été soigneusement pensé dès le départ pour votre bien-être.