C’est officiel : le 25 octobre 2025, les Treelodges by Mont-des-Pins ouvriront leurs portes à Bomal-sur-Ourthe. Mais attention, ce sont bien plus que de simples cabanes dans les arbres : ce sont de véritables nids enchantés où les elfes, le chant des chouettes et les saunas privés cohabitent sans le moindre conflit de voisinage !
Installés dans le domaine de vacances Mont-des-Pins, les cinq treelodges écologiques peuvent accueillir jusqu’à 22 personnes. Avec hottub, sauna ou barbecue en terrasse, chaque lodge est une jolie et confortable parenthèse dans les arbres.
Treelodges by Mont-des-Pins
Un projet entre écologie, solidarité et… trollologie ?
Imaginé par l’équipe stratégique de MN Vacances, ce projet s’inscrit dans une démarche à la fois écologique, inclusive et légèrement magique. La légende raconte que les lieux sont protégés par cinq anciens trolls, aujourd’hui elfes bienveillants : Lignus Forest, Robin Falco, Chanterelle Moss, Basil Artemis et Kepler Cosmo. Loin du folklore creux, cette narration s’intègre dans un projet éducatif et poétique. Chaque lodge porte la trace de son elfe résident, jusque dans sa déco et son ambiance !
Tourisme pour tous, magie pour chacun
Derrière les étoiles dans les yeux, il y a une mission : rendre les vacances accessibles à tous. Grâce aux Mutualités Neutres, le projet bénéficie de prix abordables, sans sacrifier la qualité. En prime, il stimule l’économie locale et respecte l’environnement (pompes à chaleur, station d’épuration, matériaux organiques, etc.).
Treelodges by Mont-des-Pins
Et si, en pleine nuit, vous entendez un bruissement dans les branches… ce n’est peut-être pas le vent. Juste un elfe qui vous souhaite bonne nuit !
Dans l’établissement, chaque chambre a sa personnalité. Mais toutes sont chaleureuses à souhait. Du parquet ciré, des plafonds hauts qui laissent entrer la lumière, des moulures fines et élégantes : c’est raffiné et tout cosy. On a qu’une seule envie : se cacher du froid, sous les draps, et prendre le temps de se reposer.
Déconnexion garantie
Aux Sorbiers, on s’évade en douceur : les chambres sont dépourvues de télévision ; mais l’hôtel dispose d’une bibliothèque. Alors on se cale, bien confortablement, dans les oreillers, et on en profite : pour bouquiner, pour papoter, pour rêver.
les sorbiers
Pourquoi ne pas prendre aussi le temps d’un massage ? Abandonner votre nuque, votre crâne et votre visage aux mains d’une experte en bien-être, c’est encore une manière de se ressourcer et de prendre soin de soi !
Marché de Noël : guirlandes, vin chaud et étoiles plein les yeux
Ambiance chaleureuse aussi lors du marché de Noël qui s’invite aux Sorbiers du 28 novembre au 30 novembre 2025. Guirlandes, illuminations, cadre enchanteur, chants et animations musicales : tout y est ! Dans ce marché artisanal et gourmand, vous pourrez dénicher des petits cadeaux uniques, en dégustant un bon chocolat chaud ou un verre de vin à la cannelle. Du plaisir à l’état pur…
les sorbiers
Impossible de venir aux Sorbiers sans partir se balader le long de la Meuse, dans le village de Heer, à Waulsort ou encore à Dinant… Rive linéaire, ruelles charmantes, ville animée ou nature dense : il y a ici plein de façon de profiter des couleurs de l’automne et du ciel bleu de l’hiver. On s’emmitoufle dans nos écharpes, on se serre dans nos anoraks, et on profite de l’environnement.
Table gourmande et bar cocooning
Et pour se réchauffer, au terme de la journée, attablez-vous au restaurant de l’hôtel « En Face de l’Ile » : la carte change toutes les 6 à 8 semaines, au gré des saisons ; et c’est toujours un régal. Le bar lounge est encore un endroit dans lequel vous pourrez cocooner : l’atmosphère y est conviviale et unique.
Un cadeau en hiver : une nuit offerte !
Le domaine vous offrira même 1 nuit en cadeau si vous en réservez 2, en janvier et février : encore une raison de se réjouir de l’arrivée des jours plus frais.
Dès le pas franchi, on retrouve cette atmosphère feutrée propre au R Hôtel : une décoration contemporaine, mais jamais froide, des lumières tamisées, et une impression de calme absolu. Pour cette édition automnale, l’accueil se fait autour d’une pause gourmande dans le lounge : le duo brookie tiède et glace artisanale est une petite merveille (je vous préviens, on en redemande), accompagné au choix d’un thé d’automne ou d’un pumpkin latté parfaitement dosé. C’est simple, on entre ici dans la saison comme on enfile un pull en cachemire !
Une nuit apaisante dans un écrin de confort
Les chambres Confort et Junior Suites du R Hôtel sont irréprochables : literie impeccable, tonalités apaisantes, grandes baies vitrées laissant entrer la douce lumière du matin. Ce séjour d’automne s’y prête à merveille : on s’y réfugie après une balade sur les rives de l’Amblève ou une promenade dans les forêts alentour, lorsque les feuilles flamboyantes craquent sous les pas.
r hôtel
Et le check-out à midi ? Un vrai luxe, surtout pour les amateurs de lenteur assumée. Pouvoir savourer un dernier café en peignoir, sans se soucier de l’heure, c’est l’assurance d’un départ serein !
Un espace wellness comme un cocon de chaleur
Je garde un souvenir ému du wellness du R Hôtel : élégant, lumineux, impeccablement entretenu. On y retrouve sauna, hammam et jacuzzi, un trio parfait pour effacer la fatigue et renouer avec soi-même. Le R d’automne inclut une demi-journée d’accès, largement suffisante pour flotter entre vapeur et bulles, tandis que dehors les collines de Remouchamps se parent de roux et d’or.
r hôtel
La petite touche locale qui fait la différence
J’ai toujours apprécié l’attention portée aux détails dans cet établissement, et cette fois encore, la surprise en chambre témoigne du même soin. En partenariat avec La Petite Gatte, charmante épicerie fine de Remouchamps, le R Hôtel glisse dans chaque chambre un produit du terroir, une confiture, un biscuit ou une douceur artisanale. Un geste simple, mais plein d’élégance, à l’image du lieu !
Un automne réinventé au pied de La Redoute
Ce package “R d’automne”, en plus d’être une invitation à la détente, est proposé avec 20 % de réduction sur l’ensemble des prestations. Une belle occasion de redécouvrir le R Hôtel, ou d’y revenir comme moi, avec le plaisir d’y retrouver un accueil soigné, une cuisine gourmande et cette ambiance chaleureuse qui en fait un havre de paix en bord d’Ardenne.
Direction les Hautes Fagnes, avec un crochet par Malmedy ! Je vous emmène pour une escapade où tourbières mystérieuses, forêts profondes, bières artisanales, châteaux féodaux et lacs enchanteurs tissent le fil d’une aventure dépaysante. Allez, lacets serrés, on respire bien et on y va !
Le Signal de Botrange et les Hautes Fagnes : là où la Belgique tutoie les nuages
Point culminant du royaume, le Signal de Botrange trône à 694 mètres d’altitude. Oui, en Belgique, ça suffit pour être au sommet du monde… ou presque. C’est ici que commence l’immersion dans la plus ancienne et la plus vaste des réserves naturelles du pays : les Hautes Fagnes.
J’ai eu le bonheur d’arpenter ces paysages singuliers un matin de brume — vous savez, ce genre de lumière tamisée qui donne à la lande un air de roman gothique. Bruyères, tourbières, bois moussus : tout ici respire l’ailleurs.
Pour les marcheurs infatigables (et les rêveurs déterminés), je recommande chaudement la Venntrilogie, cette randonnée de 109 km en six étapes à travers les Cantons de l’Est. Primée l’année dernière, elle mérite amplement sa couronne : chaque étape dévoile un visage différent du pays, entre vallées ombragées, plateaux fagnards et villages pittoresques.
Le château de Reinhardstein : le médiéval à flanc de falaise
Non loin de là, le château de Reinhardstein surgit comme un décor de film. Accroché à son rocher au-dessus de la vallée de la Warche, il semble tout droit sorti du Moyen Âge… Mais non, il est bien réel… et fabuleusement restauré ! On y découvre la salle des chevaliers, la chapelle, des tapisseries, des armures… Bref, tout l’imaginaire médiéval en vrai.
WBT – Denis Erroyaux
Depuis le lacde Robertville, une jolie balade de 7 km vous y mène, en passant par le “Nez de Napoléon” (non, on ne l’a pas inventé !) et les méandres de la Warche. Pour les plus endurants, une autre version de 16,7 km démarre depuis Malmedy et serpente entre torrents et parois abruptes. Les mollets s’en souviendront, mais quel spectacle !
Le lac de Robertville : un écrin paisible pour promeneurs en quête de sérénité
Vous aimez les balades les pieds presque dans l’eau ? Le lac de Robertville est fait pour vous. Ses eaux calmes bordées de forêts profondes sont parfaites pour une balade douce, appareil photo à la main ou tête dans les nuages.
Robertville-les-bains
Et pour ceux qui aiment tremper les pieds, voire plus, la base de loisirs Robertville-les-Bains propose baignades et activités nautiques… ambiance douce, loin de l’agitation.
Après l’effort… la mousse ! Impossible de randonner dans les Hautes Fagnes sans faire halte à la brasserie Belgium Peak Beer, située à seulement 2 km du Signal de Botrange.
WBT – Olivier Bourgi
Ici, la bière est plus qu’une tradition, c’est un hommage liquide à la région : Peak Blonde, Triple, Scotch, et même une étonnante Peak Myrtille qui goûte la forêt. J’ai un petit faible pour cette dernière, dégustée sur leur terrasse en bois, avec vue sur les Fagnes. Le combo parfait : mollets fatigués, cœur léger, verre levé !
Chargement en cours…
Et pour ne rien gâcher, on y mange très bien. Idéal pour se remettre d’une randonnée qui a dépassé le “petit tour tranquille” prévu au départ.
La Vennbahn : quand l’histoire devient piste cyclable
Si vous préférez le deux-roues, enfourchez votre vélo et partez à la conquête de la Vennbahn, cette ancienne voie de chemin de fer reconvertie en piste cyclable de 125 km. Elle relie Aix-la-Chapelle à Troisvierges au Luxembourg, en passant par Montenau et les plus beaux paysages des Cantons de l’Est.
Ostbelgien.eu-Dominik Ketz
Vous pouvez bien sûr le parcourir par tronçons, au rythme des anciennes gares, viaducs majestueux et villages plein de charme. Ce n’est pas juste du vélo : c’est une traversée poétique de la mémoire industrielle et des grands espaces.
Enfin, comment ne pas s’attarder à Malmedy, ce petit bijou blotti au creux des collines ? Sa cathédrale, ses ruelles animées, ses terrasses accueillantes… Tout invite à la flânerie.
WBT – David Samyn
Mais ne passez pas à côté de ses trésors cachés : poussez la porte du Malmundarium, installé dans l’ancien monastère, pour un voyage immersif entre histoire locale, carnaval, cuir et papier. Flânez le long de l’Itinéraire de la Mémoire, une promenade urbaine ponctuée de stèles et de bâtiments emblématiques – de l’obélisque à la maison Vinette, en passant par la Halle Grétedar ou le Calvaire : un parcours passionnant, parfois poignant, toujours éclairant. Et pour trinquer à tout ça (avec modération mais beaucoup de goût), direction la Brasserie de Bellevaux : un havre de houblon dans un écrin de verdure.
Mais ma balade préférée reste celle « Au pays des Négus » (oui, le nom intrigue), qui vous plonge dans un décor sauvage et spectaculaire, digne d’un conte nordique…
Le château de Durbuy vient d’ajouter une corde inattendue à son arc médiéval : un whisky artisanal ! Le projet, lancé avec la brasserie Minne (établie à Somme-Leuze), a donné naissance à un chai de quelque trente barriques, bien à l’abri dans une cave du château datant — excusez du peu — du XIVe siècle.
Un duo improbable mais savamment distillé
Tout est parti d’un échange entre Philippe Minne, brasseur bien connu du milieu, et le comte Jean-Michel d’Ursel, seigneur des lieux. Ensemble, ils ont concocté un breuvage qui ne manque ni de corps, ni d’histoire.
“Pendant le Covid, nous disposions de matériel et des effectifs de la brasserie et nous nous sommes mis à réaliser des brassins spécialement voués à être distillés”, explique Philippe Minne. Le tout est passé par les alambics de Biercée, puis Radermacher, avant de revenir vieillir tranquillement à l’ombre des pierres centenaires de Durbuy.
Velvet Tusk : l’Ardenne, en plus corsée
La gamme s’appellera Velvet Tusk – Ardenne Whisky et proposera dès novembre trois variétés de whisky, oscillant entre 46% et 60% d’alcool.
Le vieillissement dépasse allègrement les 4 ans, bien au-delà des trois requis pour mériter l’appellation. La production est limitée à 1.500 litres par an,
Avis aux amateurs de houblon et de découvertes gustatives : le séjour Beer Experience (à partir de 360 €) est un incontournable. Imaginez une nuit dans une chambre business élégante, un petit déjeuner buffet de produits frais et locaux, et surtout… une immersion dans l’univers brassicole. Au programme : un atelier de zythologie d’1h30 avec Hoptimalt, la dégustation de bières artisanales locales, et un dîner trois services en beer-pairing, commenté avec passion. Le tout ponctué de fiches organoleptiques et d’un syllabus, histoire de repartir aussi enrichi que rassasié.
quartier latin
Noël magique au cœur de l’Ardenne
Du 24 au 25 décembre, le séjour Magique de Noël (à partir de 515 €) plonge l’hôtel dans une atmosphère féerique, avec une nuit dans une chambre raffinée et un petit déjeuner gourmand pour démarrer la journée. Mais la véritable magie opère le soir du 24 décembre : un grand buffet de Noël aux saveurs généreuses, boissons comprises, dans une ambiance festive… et la visite du Père Noël en personne !
quartier latin
Nouvel An festif et raffiné
Envie de commencer l’année en beauté ? Le séjour Festif du Nouvel An (à partir de 1 090 € pour deux personnes) promet deux nuits élégantes et gourmandes, avec petits déjeuners copieux chaque matin. Le clou du spectacle : la soirée du 31 décembre, où vous aurez le choix entre un menu cinq services ou un grand buffet prestige. Dans les deux cas, les boissons sont incluses, et à minuit, les bulles couleront à flots pour trinquer à la nouvelle année.
La soirée se prolonge sur la piste de danse, dans une ambiance chic et festive, avant de retrouver le confort douillet de votre chambre. Le lendemain, un menu trois services avec boissons comprises complète ce réveillon digne des plus belles adresses.
quartier latin
Spa et cocooning d’hiver
Mais au Quartier Latin, la magie ne s’arrête pas aux fêtes. Quand les journées raccourcissent, c’est le moment rêvé pour s’offrir une bulle de détente dans son centre de bien-être. Cabine méditerranéenne, sauna, piscine chauffée et espaces de relaxation : tout invite à se laisser aller au cocooning.
Le soin mis à l’honneur actuellement ? Le somptueux rituel French Riviera (299 €/personne). Trois heures de pur bonheur inspiré par la Méditerranée : gommage marin, enveloppement aux algues, soin du visage reminéralisant, massage à la main et au galet chauffant… le tout prolongé par deux heures d’accès aux thermes. Comme un doux voyage sur la Côte d’Azur, mais sans quitter les Ardennes. Et bonne nouvelle : même sans séjourner à l’hôtel, vous pouvez réserver ce rituel ou d’autres programmes bien-être.
quartier latin
Des séjours pour tous les goûts
Romantiques, gourmands, passionnés ou simplement en quête de détente, chacun trouvera son bonheur parmi les différents séjours thématiques proposés. Du week-end gourmand à l’escapade réservée aux véhicules classiques, l’offre est large et soigneusement conçue pour répondre à toutes les envies. À deux, en famille ou entre amis, le Quartier Latin a ce don rare : celui de faire de chaque séjour une expérience unique, teintée de raffinement et de convivialité !
Derrière les murs de cette bâtisse prestigieuse (qui vaut déjà à elle seule le détour !), différentes salles vous narrent l’héritage mosan. La Meuse, avec ses rives humides, ses rochers abruptes, ses ponts, ses châteaux et ses villages, est au cœur de tout. On vous explique la vie des hommes, le long du fleuve, de Sedan à Maastricht. C’est aussi passionnant qu’émouvant !
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Les aspects historiques, urbanistiques, architecturaux, militaires aussi, sont illustrés de bien des façons : le château mosan, comme les villes mosanes, n’auront plus de secret pour vous.
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Les activités politiques, administratives, rurales, commerciales et religieuses du Moyen Age sont aussi racontées : vous ne saurez pas où donner de la tête. Et c’est sans parler des espaces réservés à la tradition potière, à la céramique mosane médiévale et à l’or des dinandiers !
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Maquettes, bornes multimédia, contenu audio-guide, livrets-jeux : les approches sont aussi ludiques que modernes. Des copies de vêtements du Moyen Age sont même à disposition du public ! Les enfants sont accueillis comme il se doit : tout est fait pour que leur visite soit un moment de joie et d’amusement !
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Pour le moment, et jusqu’au 4 janvier 2026, se tient l’exposition temporaire « Avoir sa peau » : on s’y intéresse aux animaux qui peuplent les espaces forestiers et les cours d’eau de la région, du Moyen Age à aujourd’hui. Chassés, piégés, traqués, utilisés aussi, on leur rend ici hommage. Restes fauniques, manuscrits, illustrations, objets et autres supports sont là pour raconter leur histoire.
Autant vous dire que vous ne sortirez pas indifférents de cette visite au musée : ce sont des pans de vie qui sont partagés ici !
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Notez que des balades « à partir du musée » sont encore proposées. A pied et à vélo, à l’aide de votre smartphone, vous aurez l’occasion de partir découvrir les ruelles de Bouvignes, la forteresse de Crèvecoeur, les ruines du château de Poilvache, la vallée de la Molignée, etc…
Après plus de 150 ans sans rénovation majeure, l’abbaye de Maredsous s’offre un sérieux coup de jeune. Le chantier “Basilique 2030”, prévu pour le printemps prochain, vise à redonner éclat et stabilité à la basilique Saint-Benoît, joyau du néo-gothique imaginé par Jean-Baptiste de Bethune.
Fissures, humidité, zinguerie dézinguée : le temps a fait son œuvre. « Ce n’est pas le chantier de Notre-Dame de Paris, mais l’intervention est nécessaire pour pérenniser les lieux », résume Freddy Paquet, architecte attitré de l’abbaye.
2,5 millions d’euros et une bière pour la bonne cause
Le coût total du projet s’élève à 2,5 millions d’euros. Une somme trop lourde pour les seules recettes issues du tourisme et de la célèbre bière de Maredsous. « L’ASBL Abbaye Maredsous a un équilibre fragile en raison de coûts d’entretien devenus faramineux », explique Charles d’Orjo, le tout nouveau directeur général.
Maredsous Distillery Pierre-Olivier Tulkens
Heureusement, la solidarité coule à flot : la Fondation Roi Baudouin soutient une campagne de dons, tandis que le groupe Duvel Moortgat apporte sa contribution houblonnée. Sa nouvelle création, La Basilique (7,3 % alc.), brassée sur place et aromatisée aux baies de genévrier, financera une partie des travaux : un toast à la préservation du patrimoine !
Un chantier ouvert et une communauté confiante
Le public pourra suivre le chantier à travers une exposition gratuite dans le cloître, organisée avec la province de Namur. Le père abbé François reste optimiste : « Nous avons encore un avenir ». Avec plus de 600.000 visiteurs par an et 200 emplois directs, l’abbaye de Maredsous prouve qu’elle est aussi un moteur économique !
Le Parc Chlorophylle n’est pas qu’un havre de paix au cœur de l’Ardenne. Les 25 et 26 octobre, il enfile cape et chapeau pointu pour une aventure familiale d’Halloween pas comme les autres ! Oubliez les maisons hantées et les zombies criards : ici, le mystère se glisse entre les feuilles d’automne et les passerelles suspendues…
Jeu de piste et énigmes
Ce jeu de piste interactif est devenu un classique des vacances de Toussaint. Le concept ? Se laisser surprendre par des personnages masqués, relever des défis légers et résoudre des énigmes tout en explorant le parc et ses cabane perchées. Le tout dans une ambiance bon enfant, à la croisée du conte et de la chasse au trésor !
Et si l’on sursaute, ce n’est jamais bien grave : « Rien de terrifiant, mais juste ce qu’il faut pour se sentir plongé dans une ambiance aussi mystérieuse que joyeuse », promet l’équipe du parc.
Infos pratiques
Quand ? 25 et 26 octobre
Départs entre 10h et 14h30
Tarif : 11 € pour les enfants, 12 € pour les adultes
Les mardi 21 et mercredi 22 octobre, Louvain-la-Neuve s’apprête à vibrer au rythme de sa course la plus mythique : les 24 Heures Vélo. Organisée par le CSE Animations, cette édition promet d’être mémorable, puisqu’elle s’inscrit dans les 600 ans de l’UCLouvain. Rien que ça.
Au programme : une course, bien sûr, mais surtout 24 heures d’animations, de musique, de déguisements improbables et de bonne humeur contagieuse. Et pour marquer le coup, un “prix folklorique spécial 600 ans” sera décerné aux participants les plus inspirés. Le circuit, lui, fera un passage symbolique dans l’Aula Magna, haut lieu du campus.
Une fête pour tous
Si les étudiants sont les vedettes de ces 24 heures, les villages thématiques accueilleront aussi familles, enfants, seniors et habitants curieux. Des navettes relieront les autres campus et des trains de nuit vers Bruxelles et Namur sont prévus pour un retour en toute sécurité. L’événement se veut inclusif : accès PMR, zones calmes et espaces de repos seront au rendez-vous.
Une fête responsable ?
Avec près de 3.000 bénévoles mobilisés, la fête entend être responsable. 80 étudiants formés assureront la prévention, des distributions d’eau et des aires de repos seront installées, et un plan de lutte contre les violences sexistes et sexuelles est mis en place.