Du 16 décembre au 6 janvier prochain, The Hotel vous propose de venir découvrir son rooftop Altitude 24 et de déguster des huîtres ainsi que les meilleurs champagnes. Situé au 24e étage de la célèbre tour du Boulevard de Waterloo, cet endroit exclusif vous offre une vue imprenable sur la capitale dans une atmosphère qui rappelle les luxueux chalets d’altitude. Une invitation habituellement réservée aux clients de l’établissement !
Ce bar haut perché a mis les petits plats dans les grands pour que ses clients se sentent comme plongés dans un cocon réconfortant. Pour ce faire, tout un chacun a droit à son plaid, à des coussins moelleux ainsi qu’à des bougies. Bref, tout est prévu pour offrir une pause inoubliable avec une vue bluffante sur toute la capitale. Votre palais ne sera pas en reste puisque l’équipe de The Hotel propose des dégustations d’huîtres et de champagne mais aussi des bulles 0 % ainsi qu’une multitude de gourmandises de saison.
Infos pratiques
Le pop-up Altitude 24 sera ouvert tous les jours du 16 décembre 2023 au 6 janvier 2024. Fermeture exceptionnelle les 24, 25 et 31 décembre ainsi que le 1er janvier.
Qui dit fin du mois de novembre dit préparation et ouverture des marchés de Noël. Que vous les fréquentiez pour boire un verre de vin chaud dès le premier jour ou que vous préfériez attendre les premiers flocons pour vous y rendre, il est toujours bon de savoir quels sont les marchés les plus prisés de la planète !
Une tradition européenne
Les premières traces des marchés de Noël remontent au 14e siècle en Allemagne. Ils s’appelaient alors “marchés de la Saint-Nicolas”. Le premier d’entre eux fut vraisemblablement celui de Bautzen dans la Saxe, qui existerait depuis 1384, même si le premier document relatant un marché de Noël effectif est daté de 1434. On y évoque alors un Striezelmarkt qui a eu lieu à Dresde le lundi précédant Noël. Le marché de Noël de Strasbourg date pour sa part de 1570 et celui de Nuremberg de 1628.
Un regain d’intérêt pour ce type de marchés a eu lieu au milieu des années 1990. De nombreuses villes européennes se sont alors lancées dans l’aventure en proposant leur propre marché de Noël avec des chalets thématiques, souvent rehaussés de diverses attractions (patinoire, grande roue,…).
Durant la période de Noël, la capitale autrichienne se pare de lumières scintillantes et de décorations lumineuses en tout genre. La ville est célèbre dans le monde entier pour son marché de Noël ainsi que pour son imposant sapin de Noël dressé sur la Rathausplatz.
Bien que Dresde soit considérée comme ayant organisé le premier véritable marché de Noël au monde en 1434, le marché de Nuremberg, baptisé Christkindleinmarkt, est organisé depuis plus de quatre siècles et s’efforce de rester aussi authentique que possible en proposant des articles de Noël traditionnels qui sont la plupart du temps créés dans la ville même.
L’arbre de Noël le plus imposant d’Estonie est installé chaque année sur la place de l’hôtel de ville depuis 1441 ! De quoi en faire le premier arbre de Noël jamais exposé en Europe ! Aujourd’hui, la même place est richement décorée avec des arbres, des décorations et des lumières colorées, tandis que les marchands locaux proposent de la cuisine du terroir, dont du boudin noir au chou ainsi que du pain d’épices et une multitude de boissons chaudes.
Lorsqu’on pense à Noël aux États-Unis, l’immense sapin qui fait face au Rockefeller Center de New York est probablement la première image qui vient à l’esprit. Mais c’est sans compter sur Chicago qui commence à rattraper son retard en matière de fêtes de fin d’année, au point de proposer aujourd’hui le plus beau marché de Noël d’Amérique du Nord, tout droit inspiré des Christkindlmarket allemands.
Enfin, plus proche de nous, on ne peut pas faire l’impasse sur le célèbre marché de Noël de Strasbourg. Organisé pour la première fois en 1570, celui-ci est considéré comme l’un des plus anciens et l’un des plus grands d’Europe. Il s’étend en effet de la cathédrale à douze autres sites répartis dans toute la ville. Les petits chalets, l’architecture locale et l’immense sapin de Noël créent une atmosphère de conte de fées à ne surtout pas manquer !
Quand le froid est là, on a envie de se serrer plus fort encore contre ceux qu’on aime. Une bulle de deux, en amoureux, c’est tout ce qu’il nous fallait pour nous réchauffer. C’est au cœur de la campagne condruzienne qu’on s’est échappés. Nous nous rendus aux Jardins d’eau d’Annevoie. Je les connais bien, ces jardins. Mais je ne les avais jamais parcourus à cette saison. Quelle beauté ! On a pris le temps de tout. Chaque allée, chaque bassin, chaque recoin des jardins ont été visités. Et puis, quelle chance : c’était le week-end du « Marché de Noël aux Jardins ». Les illuminations des jeux d’eau rendaient tout plus magique encore. Quant au château, il avait lui aussi revêtu ses habits de fête.
Cela nous a un petit peu consolés, car nous sommes venus dans la région une semaine trop tôt pour profiter du Marché de Noël de Ciney, connu pour être un des plus beaux de Wallonie. Mais pour vous, il n’est pas trop tard : les Féeries du Parc Saint-Roch vous attendent à Ciney dès le week-end prochain ! Et ça, c’est une jolie nouvelle ! En effet, pour l’avoir visité à quelques reprises, je sais par expérience que cet événement transforme le parc en un monde magique, avec ses animations musicales, sa forêt de sapins géants et ses 270 chalets. Si vous planifiez un séjour dans la région, c’est l’occasion rêvée pour découvrir ces merveilles.
La Fermette de la Petite Reuleau
A notre retour, on s’est réfugiés dans le gîte que j’avais réservé : La Fermette de la Petite Reuleau, dans le village éponyme. Un gîte idéal pour un séjour romantique. Les vieilles bâtisses rénovées ont toujours eu notre préférence. Ici, la pierre du pays et le bois brut sont partout et c’est charmant. Nous nous sommes immédiatement dirigés vers le grand sauna privatif du gîte, histoire de décongeler et fondre de plaisir. Bougies, verres de vin, chaleur : l’esprit de l’hiver, c’est comme ça qu’il me plaît. Sans oublier le brasero du jardin, devant lequel on a passé un autre joli moment, avant de s’éclipser en ville. On avait envie de sortir souper dehors : à Namur, côté resto, on a l’embarras du choix. J’ai encore obligé mon amoureux à m’emmener en haut de la Citadelle avant de rentrer. Voir la ville de Namur d’en haut, ça m’a toujours grisée. Et en cette période, les lumières sont partout : hypnotisant.
La Fermette de la Petite Reuleau
A deux pas de Namur, ce gîte permet de loger 2 personnes dans un cadre bucolique.
La Fermette de la Petite Reuleau
La bâtisse, qui date du XIXe siècle, a été rénovée par les propriétaires et offre tout le confort et les équipements attendus. Un sauna privatif est à votre disposition. Et un poêle à pellets vous garantit des moments cocooning.
Le Fenil est le second gîte du lieu : 2 personnes peuvent y loger.
Le gîte rural se situe sur Les Sentiers d’Art : idéal pour balader !
Le Marché de Noël de Ciney
Les Féeries du Parc sont à admirer dans le cadre enchanteur du Parc Saint-Roch. Les lumières sont partout… Des animations musicales sont proposées : danse et costumes sont au programme !
Denis Closon
La Balade des Sapins est incontournable : une forêt de 30 sapins immenses, tout droit sortis de l’imaginaire d’artistes locaux.
Les exposants sont nombreux : 270 chalets sont rassemblés là ! Apéritifs, gourmandises salées et sucrées, création d’objets artisanaux divers et variés, dégustation en tout genre…
Du 7 au 11 décembre et du 14 au 18 décembre
Les Jardins d’eau d’Annevoie
Les Jardins vont fermer : ils rouvriront le 26 mars, quand le printemps reviendra. Ils sont alors ouverts 7 jours sur 7 et il faut compter 1h30 pour en faire le tour.
Daniel Fouss
Ici, la nature anime les jeux d’eau sans machinerie dans des jardins de style où tout est émotion !
Ça y est ! Les températures sont en baisse, les jours raccourcissent et les rues de nos villes se parent de leurs traditionnelles illuminations de Noël. L’effervescence propre aux fêtes de fin d’année commence à se faire sentir, notamment grâce aux marchés de Noël qui constellent bon nombre de régions du pays. Autant d’occasions de passer un bon moment en famille ou entre amis en plongeant dans une ambiance unique en son genre qui mêle gourmandise, shopping et, pourquoi pas, un peu de culture sachant que c’est là l’occasion de visiter des villes qu’on ne connaît pas forcément.
WBT – J.P. Remy
La Wallonie compte de nombreux marchés de Noël. Certains sont incontournables, d’autres ont lieu sur des sites exceptionnels, d’autres encore sont moins connus, mais valent néanmoins le détour. Le plus ancien d’entre eux, mais aussi le plus vaste, est celui de Liège. Pour honorer l’arrivée de son marché annuel, la Cité Ardente se pare de ses plus beaux atours et brille de mille feux pour le plus grand plaisir des grands et des petits. Sur la place Saint-Lambert et la place du Marché, près de 200 chalets vous proposent tous les produits de saison possibles et imaginables. L’occasion parfaite de dénicher le cadeau idéal à glisser sous le sapin !
visitMons – Daie
À Mons, le marché “Cœur en neige” mettra l’Alsace à l’honneur sur la Grand’Place de la Cité du Doudou ! Des chalets colorés feront découvrir aux visiteurs les spécialités culinaires de cette région française proche de chez nous.
SI Dinant
En région namuroise, ne manquez pas le marché de Noël de Dinant. Moins connu que les deux premiers, le marché de la cité mosane vous permettra de découvrir une foule de produits du terroir, de l’artisanat local ainsi que des animations pour petits et grands. Et, pour l’occasion, la ville d’Adolphe Saxe revêt bien entendu ses habits de fête tout en se parant d’illuminations qui se reflètent sur le fleuve tout proche. A ce sujet, Dinant Lumière prolonge la magie du 1/12 au 6/1. Magique !
WBT – J.P. Remy
En Brabant wallon, le plus grand marché de Noël de la “jeune province” se tient à Louvain-la-Neuve. Baptisé “Louvain-la-Neige”, celui-ci accueille une centaine d’exposants dispersés dans une petite centaine de chalets en bois. Étudiants, habitants ou encore touristes, s’y mélangent dans une ambiance bon enfant.
Marche de Noel a Durbuy CGT – Arnaud Siquet
Enfin, dans la province du Luxembourg, Durbuy accueille les amateurs du genre jusqu’au 7 janvier 2024. Un marché de Noël dans la plus pure tradition qui met en valeur le travail d’artisans de la région et qui propose de succulents produits de bouche. Une patinoire est même de la partie !
Il ne s’agit ici que de quelques coups de cœur, d’autres marchés de Noël étant tout aussi incontournables, à l’instar de celui de Namur et, bien entendu, les Féeries du Parc à Ciney.
Une fois n’est pas coutume, je suis partie en vadrouille seule. Un voyage en auto pendant lequel j’ai pu mettre ma playlist et chanter à tue-tête sans déranger personne : ça commençait bien ! Direction la Province de Luxembourg, et l’hôtel La Barrière de Transinne, à Libin. Une mise au vert au cœur de la Grande Forêt de Saint-Hubert, ça recharge les batteries ! J’avais réservé une chambre dans le bâtiment principal : teintes douces, décoration pleine de charme et vue sur la forêt et ses couleurs d’automne. Et puis surtout, un lit immense, juste pour moi. Joie !
JP Remy
Je me suis remise en route : je voulais être rentrée avant que l’obscurité n’ait eu le temps de tout grignoter. Redu m’attendait : c’est là que se cache le Musée de l’Art didactique. Dans un ancien presbytère, j’ai découvert un monde incroyable. Peintures, dessins, sculptures, BD, photos et films d’animation au programme. Les œuvres interactives sont fort bien pensées : mes enfants auraient adoré chipoter à tout ça. Des créatures qui s’animent dans les tableaux, des filtres artistiques qui s’invitent sur les photos, des canons à points qui créent des peintures folles, des jeux divers qui rendent l’approche ludique et originale ! J’ai pris un cappuccino au Mudia Café dont les murs sont tapissés de livres d’art. J’ai bien sûr encore pris le temps de flâner dans le village du livre : 12 bouquineries sont installées ici. Impossible de ne pas acheter quelques exemplaires !
B Deprez – La barrière de Transinne
De retour à l’hôtel, j’ai sauté dans mon maillot : je m’étais réservé une heure à l’espace Wellness. Un Dafalgan met plus de temps à fondre que je n’en ai mis à me détendre dans le sauna. J’ai mangé au restaurant de l’hôtel, en tête-à-tête avec mon filet de Marcassin. Puis j’ai filé sous les draps pour retrouver mes bouquins et rouler de chaque côté du lit. Une couette qu’on ne doit pas partager, c’est divin ! J’ai savouré mon petit-déjeuner au calme : tout le temps d’un café, à rêvasser ! Le buffet était parfait et c’est le ventre (trop) rempli que je suis partie me balader : pas question de partir sans avoir fait le plein de nature. Au départ de l’église de Redu, j’ai entamé une balade de 8 km de difficulté moyenne. « Le Passage des Chèvres » m’a pris un peu plus de 2 heures, mais j’y suis allée calmement : ça glissait ! La boucle est facile à réaliser : il suffit de suivre le balisage. Une réussite ! Vive les bulles de solitude : ça fait tant de bien aussi…
Hôtel-restaurant La Barrière de Transinne
28 chambres tout confort vous attendent ici dans cet hôtel qui a su préserver un cachet traditionnel et forestier à la fois. Les animaux de la forêt sont partout : petits bronzes, tableaux et déco raffinée leur est dédiée.
La barrière de Transinne
Vous pouvez loger dans le bâtiment principal ou réserver un chalet authentique. C’est selon…
Quoi qu’il en soit, le cadre est verdoyant et propice à la relaxation. L’espace wellness (privatisable pour deux personnes) et le restaurant contribuent à faire de votre pause en solo ou en amoureux, un moment réussi !
Le MUDIA
Le Musée didactique d’Art se trouve dans le village de Redu. 7 siècles d’art se retrouvent là, dans un ancien presbytère, au cœur du village. 300 œuvres et 20 salles sont à voir !
WBT
L’intérêt du lieu réside surtout dans les animations proposées : les œuvres interactives, digitales et high-tech amuseront petits et grands. Ici, découvrir l’art, c’est surtout amusant. Des animations et évènements sont régulièrement organisés.
Un catalogue permet aussi d’illustrer la visite et un jeu inédit est mis à disposition : il permet de faire le lien entre les collections d’art, le village, ses librairies, ses restaurants et son patrimoine.
Le village de Redu
Une trentaine de commerces sont regroupés dans le village dédié aux amoureux du livre. Ici, les bouquineries ne couvrent pas moins de deux kilomètres de rayonnage : un rêve !
Le Mudia n’est pas la seule activité à faire. Les promenades balisées en forêt sont nombreuses : le passage de Chèvres (rectangle jaune) et la Virée des Croix (rectangle bleu) démarrent sur la place de l’église.
Un nouveau circuit de découverte interactif est aussi proposé : Tania au cœur des légendes. Vous partez à la rencontre de personnages légendaires de la région et résolvez des énigmes. L’Office du Tourisme de Libin vous donnera le roadbook nécessaire !
Le Koi Pla, une spécialité culinaire de la région d’Isan en Thaïlande, est plus qu’un simple mets. Ce plat, composé de poisson cru haché, d’herbes, d’épices et de jus de citron, est un incontournable de la cuisine locale. Cependant, derrière ses saveurs exotiques, se cache un danger mortel : la présence de vers parasites.
Un risque de cancer ?
Ces parasites, présents naturellement dans les poissons d’eau douce de la région du Mékong, sont responsables de cas de cholangiocarcinome (cancer de la vésicule biliaire). Cette maladie, souvent fatale, est particulièrement répandue dans l’Isan, où le Koi Pla est très consommé. Selon des études, la région enregistre un nombre alarmant de décès liés à ce cancer.
Sensibilisation et résistance culturelle
Face à cette crise sanitaire, des médecins s’efforcent de sensibiliser la population. Cependant, leurs efforts se heurtent souvent à la résistance de l’ancienne génération, attachée à la tradition culinaire. Malgré les risques, beaucoup refusent de modifier la recette du Koi Pla, arguant que la cuisson du poisson, nécessaire pour tuer les parasites, altère le goût du plat.
Du 24 novembre au 31 décembre, prolongé jusqu’au 7 janvier 2024, les Plaisirs d’hiver animeront le cœur de la capitale belge. Les places De Brouckère, de la Monnaie et la Grand-Place s’habilleront de lumières et de couleurs pour offrir une expérience unique aux visiteurs.
Festivités et découvertes
Ouvert de midi à 22h, l’événement propose une immersion dans un monde de chalets traditionnels, de délices culinaires et de réjouissances diverses. La Grande roue et les manèges émerveilleront petits et grands, tandis que le spectacle de son et lumière transformera les façades historiques de la Grand-Place.
L’honneur aux Nations autochtones
Les 11 Nations autochtones du Québec, invitées d’honneur, enrichiront l’édition 2023 de leur culture. Une programmation de spectacles inédite et immersive est prévue !
visit.brussels – Eric Danhier
Activités pour tous
La patinoire de la place De Brouckère et les pistes de curling de la place de la Monnaie offriront des plaisirs de glisse. Le mont des Arts accueillera “L’éloge de l’air“, une installation interactive et nocturne, invitant à une expérience lumineuse au rythme des balançoires.
Musique et patrimoine
Chaque jeudi, un DJ set animera la place De Brouckère. La soirée “Disco on Ice” promet une clôture festive sur la patinoire. L’hôtel de ville ouvrira ses portes pour des visites guidées, accessibles à tous.
Durabilité et sécurité
Engagée pour un événement durable, la Ville de Bruxelles fournira de la vaisselle réutilisable aux commerçants. Malgré les tensions internationales et locales, aucune mesure de sécurité supplémentaire n’est prévue, mais une vigilance constante sera maintenue pour assurer la sécurité des festivités.
Le saviez-vous : on produit du vin en Belgique depuis l’époque romaine ! Sauf que le Petit Âge glaciaire, qui a plongé l’Europe dans des températures polaires aux 13e et 14e siècles, a tué les vignes belges. Mais depuis une bonne vingtaine d’années, la culture du vin repart de plus belle, boostée par des températures de plus en plus clémentes. Au point que certains n’hésitent pas à affirmer que “la Belgique, c’est la Bourgogne d’il y a 30 ans” !
Le changement climatique, bienfaiteur pour les vignobles belges ?
Les changements climatiques peuvent effectivement avoir un impact significatif sur l’industrie viticole en Belgique, de même que dans d’autres régions au climat plus frais. En raison de l’augmentation des températures et des changements dans les conditions météorologiques, avec des périodes sèches plus longues, certaines régions de Belgique ont vu s’améliorer leur capacité à cultiver des raisins pour la production de vin au cours des dernières années.
Les avantages potentiels des changements climatiques pour la viticulture belge comprennent notamment des saisons de croissance plus longues et des étés plus chauds, ce qui peut favoriser la maturation des raisins. Cela a déjà conduit à une expansion progressive de la production de vin dans certaines parties du pays, en particulier en Wallonie.
Un enthousiasme qu’il convient néanmoins de tempérer. En effet, il faut noter que les changements climatiques ne sont pas sans risques pour la viticulture. Des phénomènes météorologiques extrêmes, tels que des tempêtes de grêle, des gelées printanières et des précipitations excessives, peuvent causer des dégâts importants aux vignobles. Les producteurs devront donc s’adapter à ces nouvelles conditions climatiques et prendre des mesures pour atténuer tout risque pour la vigne.
En résumé, la culture du vin en Belgique connaîtra certainement une belle croissance dans les années à venir mais elle devra également faire face à de nombreux défis liés aux phénomènes météorologiques extrêmes. Les récoltes risquent donc d’être fort aléatoires d’une année à l’autre…
S’il n’y avait pas eu la révolution architecturale entamée en 1998 et l’accueil de l’America’s Cup en 2007, sans doute Valence serait-elle encore une ville « secondaire », rangée au rayon d’une destination de passage sur la route de l’Andalousie. Mais la troisième cité d’Espagne a su forcer son destin pour apparaître aux yeux du monde comme branchée et culturelle. L’explication tient en deux mots : audace urbanistique.
Cité des Arts et des Sciences
La Cité des Sciences
Sur l’ancien lit du Turia, le fleuve détourné pour cause d’inondations destructrices, les grands noms de l’architecture ont érigé la Cité des Arts et des Sciences, un complexe culturel et de loisirs composé de bâtiments ultra contemporains. Musée des Sciences Príncipe Felipe, Umbracle (jardin-palmeraie), Oceanogràfic, Palais des Arts Reina Sofía (œuvre de Santiago Calatrava qui a également crée la gare Liège-Guillemins) et Hemisfèric. Conséquence : ces cinq OVNI architecturaux composent ce pôle avant-gardiste de Valence rendant ce lieu de visite absolument incontournable.
Les jardins du Túria
A vélo sur le lit du Túria
Ce n’est pas tout, d’autres projets sont sortis de terre à Valence. Jeté entre le Musée des Sciences et l’Oceanogràfic, l’Assud de l’or, un pont effilé sur le Turia, envoie sa flèche blanche et ses haubans aux faux airs de harpe à 125 m dans le ciel. Et L’Agora, une conque de verre et de métal destinée à recevoir de grands événements sportifs et culturels rivalise à côté de symétrie et de finesse. Tous deux ont également été dessinés en 2010 par l’inévitable Calatrava, bâtisseur prodigue et enfant de Valence.
La meilleure façon de découvrir cette ville dans la ville est le vélo : le lit du Túria s’est transformé en coulée verte avec allées, bassins, jardins et fontaines. L’occasion de traverser Valence sur 8 km, à l’écart de l’agitation urbaine. Vous pourrez ainsi pédaler dans ce corridor protégé jusqu’au parc de Cabecera et au Bioparc, un concept novateur de zoo urbain et écologique. Originalité : il a été pensé pour rendre invisibles les barrières entre les visiteurs et les animaux.
Le port branché de Valence
Fiesta au quartier branché du port
A l’autre bout de ce poumon vert, voici le port, transformé en zone branchée avec restaurants et cafés-bars design, il clôt l’aménagement de cet ensemble spectaculaire et est devenu le nouveau place to be des jeunes valenciens. C’est là qu’en 2007 et en 2010 la ville a accueilli les voiliers de l’America’s Cup. Le port abrite restaurants tendance, cafés lounge à terrasses et hangars revisités en lieux festifs. Les voies d’accès portuaires, serpents de bitume tracés le long des quais, ont servi quant à elles de cadre au Grand Prix d’Europe de Formule 1.
Cathédrale de Valence
Patrimoine gothique et moderniste exceptionnel
Tout cela suffirait déjà à motiver une escapade à Valence. Mais ce serait oublier bien vite que la ville s’est aussi construite avec l’Histoire et qu’elle dispose d’un centre urbain en tous points remarquable.
Tour à tour romaine, arabe et chrétienne, Valence accumule les vestiges et s’enorgueillit de ses immeubles gothiques et modernistes. Le tout est baigné d’une atmosphère festive qui jaillit le soir dans les ruelles autour des traditionnels bars à tapas, bodegas, restaurants à paëllas et boites de nuits…. Parmi les bâtiments, il ne faut rater pour rien au monde le mercado central, la cathédrale, le palais de la Generalidad, le musée des Beaux-Arts, la remarquable gare du Nord au style Art Nouveau et surtout la Lonja. Cette ancienne bourse de la soie, joyau gothique, est classée au patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO. Elle dévoile dans son immense salle une splendide série de colonnes torsadées.
Me Mercado central
L’Oceanogràfic, rendez-vous avec le monde des mers
Situé au cœur du complexe de la Cité des Arts et des Sciences, l’Oceanogràfic est considéré – notamment par les valenciens comme le plus grand aquarium d’Europe. Chacun des bâtiments aux toits profilés en forme de pagodes abrite un écosystème marin différent (Méditerranée, Tropiques, Mer Rouge, Arctique, Antarctique, Iles, Océans…) et la faune aquatique qui le peuple. Au total, 45 000 spécimens de 500 espèces différentes sont présentés, parmi lesquels dauphins, requins, pingouins, raies mantas, lions de mer, phoques, tortues, crustacés…
Oceanogràfic de Valence
Fait rare, c’est aussi le seul aquarium du Vieux Continent à héberger à la fois des morses et des belugas. Ces derniers, formidables « baleineaux » blancs que l’on trouve notamment dans le golfe du Saint-Laurent, au Québec, sont à eux seuls une découverte exceptionnelle. Mais l’Oceanogràfic n’est pas qu’un lieu d’exposition. Centre d’études, il mène des programmes de recherche scientifique et donne la possibilité aux visiteurs de vivre des expériences originales.
Exemples ? Partager le quotidien d’un gardien auprès des phoques et des dauphins ; découvrir les coulisses de l’aquarium (nourriture, gestion de l’eau…) ; et même, pour les enfants, dormir une nuit dans le tunnel-aquarium, sous les requins!
Tellement envie de partir se mettre au vert : s’enfoncer dans une petite bulle de douceur et oublier ce monde fou. C’est avec ma petite maman que je suis partie près de Huy, sur les hauteurs de Wanze, au Domaine de Naxhelet. Au programme : détente au centre de bien-être, balades et découvertes nature. Nous sommes arrivées en début d’après-midi : peignoir tout doux, pantoufles et petite salade fraîcheur au centre wellness. Ma maman avait apporté de quoi bouquiner : thé et calme des espaces détente sont tout ce qu’elle aime. Moi, je suis plus aventurière : jacuzzis, hammams, saunas, fontaine de glace, cabine de sel à rayons infrarouges… J’ai tout testé. Je m’étais aussi réservé un rituel volcanique et un lifting green. J’étais tellement zen en revenant que ma mère a failli ne pas me reconnaître !
www.Lucnix.be
L’hôtel est remarquable : le château-ferme, restauré avec grand soin, conjugue le contemporain et l’ancien avec classe. Le domaine, niché dans un écrin superbe, sublime la campagne environnante. Et puis, vous ai-je dit qu’il y avait au Domaine un practice de golf ? Le green ajoute encore du raffinement : le tableau « nature » est parfait.
C’est au Pollen que nous avons pris notre souper. Courges du jardin, gravlax de maigre, échine de cochon confite et chocolat crémeux. Quel joli moment de fête !
Après une nuit de papote et de rigolade, nous avons mis nos chaussures de marche : une randonnée de 8 km nous attendait. Le point de départ ? Le romantique Château de Modave. J’avais déjà plusieurs fois arpenté les salles de ce bijou, mais j’y suis entrée une fois encore : maman ne l’avait jamais visité ! On a ensuite remonté notre col et on a entamé notre balade. Nous avons longé une allée de hêtres, traversé un bois et parcouru des chemins bordés d’aulnes magnifiques. On avait pensé à prendre nos bâtons de marche : une bonne chose.
JP Remy
L’automne rend tout plus joli, mais les feuilles rendent parfois le sol très glissant. Ferme perdue, hameau oublié, réserve naturelle : les surprises ne manquent pas. La rivière Hoyoux est encore un enchantement : le calme vous envahit face à de si doux paysages. Ce weekend devait être une pause hors du temps : ce fut réussi !
Le Domaine de Naxhelet
L’architecture centenaire de ce château-ferme vous éblouira. Dans cet hôtel haut de gamme, 33 chambres et 2 suites vous attendent. Mais ce n’est pas tout : vous trouverez aussi un club de golf, un centre de bien-être et deux restaurants !
La nature est au cœur du Domaine : ici, la démarche est environnementale. La très haute qualité rime avec éco-responsabilité. De la décoration aux matériaux de rénovation, en passant par les produits servis aux restaurants et le petit-déjeuner, tout est local.
Le golf est d’ailleurs le seul de Wallonie à avoir obtenu le label « géo » grâce un traitement responsable 100% biologique.
Au départ du Château de Modave, vous partirez découvrir le Condroz, aux alentours de Huy, en province de Liège.
Une balade romantique, sur une terre de châteaux de plaisance de toute beauté !
Le Château de Modave
Cette jolie demeure est entourée de grands jardins dans lesquels il fait bon flâner.
Château de Modave
L’audio-guide proposé lors de la visite du château vous permettra de découvrir les secrets des 25 salles. Et, surprise, vous aurez l’occasion d’en apprendre plus aussi sur les captages de Vivaqua !
De nombreuses promenades balisées démarrent aux alentours du château !
La ville de Huy
Une ville qui jouit d’un patrimoine exceptionnel !
Arnaud Siquet
Une puissante place forte, qui surplombe la vallée depuis un imposant éperon rocheux, la Collégiale, à son pied, qui recèle un trésor et la Grand-Place, qui est pleine de charme avec son ancienne fontaine.
Des commerces, des parcs, des piétonniers rendent aussi la ville attrayante.
