Le Limbourg s’offre une nouvelle star des sentiers : la Wijerstrail, une boucle de 110 km en cinq jours à travers De Wijers, le « Pays des 1001 étangs », situé au cœur du Limbourg. Parfaitement balisé, ce sentier est taillé pour les amoureux de nature… mais pas que.
Des paysages qui ont de la répartie
Étangs scintillants, landes violettes, vallées secrètes, forêts anciennes et patrimoine à gogo : le Limbourg en a sous le coude. On y croise des lieux comme le Domaine de Bokrijk, l’Abbaye de Herkenrode ou la ZLDR Luchtfabriek. Même les oiseaux y ont leurs spots, avec miradors et abris d’observation.
Une logistique aux petits oignons
Avec 26 partenaires engagés, la Wijerstrail propose hébergements cosy, transfert de bagages, paniers-repas, voire massage des pieds pour les plus méritants. Une carte (8 €) et un site multilingue (www.wijerstrail.be) complètent le tableau.
Randonner utile
Les courageux qui bouclent le trail peuvent s’offrir un pin’s souvenir, dont une partie des ventes est reversée au Wijersfonds, pour soutenir la nature locale.
On ne pense pas immédiatement à la Vendée quand on évoque les grands vignobles français. Et pourtant, les Fiefs Vendéens ont obtenu leur AOC en 2011, et méritent pleinement d’être découverts. Du littoral de Brem-sur-Mer aux terres intérieures de Mareuil, Pissotte, Vix et Chantonnay, cinq terroirs donnent naissance à des rouges fruités, des rosés légers et des blancs surprenants de fraîcheur. Des cuvées encore confidentielles, à déguster sur place, directement chez les vignerons.
Des circuits qui ont du goût
La route des vins vendéenne se savoure lentement, au fil de petites routes qui serpentent entre les coteaux, les forêts et les marais. Certains itinéraires, comme la boucle de Chantonnay, mêlent joliment patrimoine et paysage viticole sur près de 20 kilomètres, en passant par des moulins, des logis et des domaines viticoles. Plus au sud, la boucle du Fief de Vix vous emmène sur les terres argilo-calcaires du Marais poitevin, entre vignobles et canaux.
S. Bourcier
Et pour une touche encore plus originale, pourquoi ne pas réserver une balade au domaine Mourat ? En méhari ou à vélo électrique, ce concept “slow tourisme” vous invite à parcourir les vignes à votre rythme, avec un pique-nique de produits locaux à savourer au pied d’un moulin. Un vrai retour à l’essentiel !
S. Bourcier
À la rencontre des vignerons passionnés
Dans les domaines viticoles locaux, l’accueil est chaleureux. On vous raconte l’histoire de ces cépages façonnés par le vent du large, l’influence du schiste ou du calcaire, les vendanges encore faites à la main. Chaque étape devient une rencontre : avec un savoir-faire, une famille, une philosophie. Vous goûtez un vin blanc de Brem en regardant l’Atlantique scintiller au loin, un rouge de Mareuil au cœur d’un chai centenaire, ou encore un rosé léger à l’ombre d’un figuier.
S. Bourcier
Vélo, terroir et apéritifs d’ici
La Vendée, pionnière en matière de tourisme à vélo, a tout prévu pour ceux qui veulent pédaler de cave en cave. Certains circuits, comme ceux autour de Mareuil ou de Pissotte, empruntent des voies vertes ou de petites routes peu fréquentées. Les hébergements labellisés “Accueil Vélo” jalonnent le parcours, tout comme les bonnes adresses gourmandes où déguster terrines, fromages de chèvre ou préfou à l’ail.
Et pour finir la journée, pourquoi ne pas trinquer à l’apéritif vendéen ? Kamok (liqueur de café), Troussepinette (à base d’épines noires) ou vin de noix font partie de ces spécialités locales à découvrir en cave ou sur les marchés.
S. Bourcier
Une Vendée inattendue
On vient souvent en Vendée pour ses plages, son air iodé, ses pistes cyclables… Et l’on découvre, presque par hasard, cette autre facette du territoire : ses vins, ses vignerons, ses paysages vallonnés baignés de lumière. Un petit monde discret, sincère, où l’on prend le temps de vivre… et de boire un bon verre !
Vous trouverez plus d’infos sur le site En Vendée.
Le ciel était clair, l’ambiance électrique. Sur la ligne de départ, on retrouve des fleurons de l’époque, comme les Jaguar Type D, Mercedes 300 SLR et autres Ferrari 121 LM. Les spectateurs étaient massés au plus près de la piste. Mais derrière ce spectacle se cachait une réalité bien plus dangereuse : en 1955, la sécurité était encore un concept flou, autant pour les pilotes que pour les milliers de fans venus admirer leurs héros.
18h26
À 18h26, tout a basculé. La Jaguar de Mike Hawthorn dépasse l’Austin-Healey de Lance Macklin, puis freine sèchement pour rentrer aux stands. Ses freins à disque, ultra-performants, surprennent Macklin qui tente de l’éviter et dévie sa trajectoire. Derrière, la Mercedes de Pierre Levegh, lancée à plus de 200 km/h, ne peut l’éviter. Elle décolle, explose littéralement en vol, et ses débris enflammés s’abattent sur le public. Levegh meurt sur le coup, et plus de 80 spectateurs trouvent la mort. Une scène apocalyptique, encore inimaginable aujourd’hui.
Des conséquences lourdes et durables
Le choc est mondial. Dès le lendemain, des pays comme l’Espagne, l’Allemagne ou la Suisse suspendent les courses automobiles. La Suisse, elle, ne les autorisera plus jamais sur circuit fermé. De nombreux pilotes prennent leur retraite. Mercedes, malgré ses performances, quitte la compétition, et ne reviendra en sport auto qu’en 1987.
Cet accident sera le déclencheur de profondes réformes : installation de vraies barrières de sécurité, zones pour spectateurs mieux protégées, meilleures normes pour les circuits, casques plus résistants, extincteurs embarqués, etc. Le sport auto entre enfin dans une ère plus moderne, avec la sécurité comme priorité.
Un souvenir impérissable
Même des décennies plus tard, le drame du Mans 1955 reste dans toutes les mémoires. Il symbolise à la fois la passion extrême que suscite ce sport et les risques réels qu’il implique. C’est un moment sombre, mais essentiel à comprendre pour mesurer le chemin parcouru depuis, et les vies que ces évolutions ont probablement sauvées.
Imaginez-vous pédalant le long de l’océan Atlantique, les embruns marins caressant votre visage, avant de vous enfoncer dans les terres paisibles du Marais Poitevin, puis de grimper les collines verdoyantes du bocage vendéen. C’est l’expérience immersive que propose le Vendée Vélo Tour, une boucle cyclable de 700 km découpée en 20 étapes, idéale pour une itinérance douce et dépaysante.
Par monts et par vaux
Le Vendée Vélo Tour débute aux Sables-d’Olonne, célèbre port de départ du Vendée Globe. Dès les premiers coups de pédale, vous longez le littoral atlantique, traversant des stations balnéaires animées comme La Tranche-sur-Mer, avant de plonger dans les paysages sereins du Marais Poitevin. Là, les canaux sinueux et la végétation luxuriante offrent un cadre apaisant pour votre périple.
En poursuivant votre route, vous découvrez le bocage vendéen, avec ses collines douces et ses villages pittoresques tels que Vouvant et La Châtaigneraie. Chaque étape révèle une facette différente de la Vendée, entre patrimoine historique, nature préservée et traditions locales.
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Des infrastructures pensées pour les cyclistes
Le Vendée Vélo Tour est entièrement balisé, empruntant des voies cyclables sécurisées et des routes partagées peu fréquentées. Le dénivelé total est modéré, rendant l’itinéraire accessible à la plupart des cyclistes, qu’ils soient débutants ou expérimentés.
Pour faciliter votre voyage, de nombreux hébergements labellisés “Accueil Vélo” jalonnent le parcours. Ces établissements, situés à moins de 5 km de l’itinéraire, offrent des services adaptés aux cyclistes : abris sécurisés pour les vélos, kits de réparation, informations sur les itinéraires locaux, et parfois même des services de blanchisserie ! Que vous optiez pour un camping, une chambre d’hôtes ou un hôtel, vous trouverez des prestations pensées avant tout pour votre confort.
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Une logistique simplifiée
La Vendée est bien desservie par le train, facilitant l’accès au départ et au retour de votre évasion. Les gares des Sables-d’Olonne, La Roche-sur-Yon, Nantes ou encore La Rochelle permettent de rejoindre facilement le Vendée Vélo Tour avec votre vélo. De plus, certaines étapes sont accessibles en TER, offrant une flexibilité appréciable pour adapter votre parcours selon vos envies et votre rythme.
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Des souvenirs plein les sacoches !
Chaque journée passée sur le Vendée Vélo Tour est une invitation à la découverte : dégustation d’huîtres fraîches à La Barre-de-Monts, visite du parc du Puy du Fou à proximité de Pouzauges, exploration des marais salants, ou encore flânerie dans les ruelles médiévales de Fontenay-le-Comte, il y en a pour tous les goûts ! Les rencontres avec les habitants, toujours chaleureux et accueillants, ajoutent une belle dimension humaine à votre aventure.
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Préparez votre escapade
Pour planifier votre itinérance, le site officiel du Vendée Vélo Tour propose des cartes détaillées, des suggestions d’étapes, ainsi qu’une liste des hébergements labellisés “Accueil Vélo”. N’hésitez pas à consulter ces ressources pour organiser un voyage selon vos desiderata, que ce soit pour un week-end prolongé ou une exploration complète de la boucle.
Enfourchez votre vélo et laissez-vous séduire par la diversité des paysages vendéens, la richesse de son patrimoine et l’accueil chaleureux de ses habitants. Le Vendée Vélo Tour vous promet une aventure inoubliable, au rythme apaisant du pédalier.
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Vous trouverez plus d’infos sur le site En Vendée.
Nichée au cœur de la majestueuse Forêt de Soignes, cet hôtel & resort quatre étoiles semble flotter hors du temps. Dès l’aube, le chant des oiseaux perce délicatement le silence. On ouvre les rideaux, et la nature s’étale à perte de vue, dans un camaïeu de verts qui ferait rougir un peintre impressionniste. Ici, le luxe se conjugue à la sérénité, et la Clé Verte accrochée fièrement à l’entrée promet un séjour en harmonie avec l’environnement.
Un réveil en douceur, une journée tout en délices
Mon moment préféré ? Le petit-déjeuner buffet dans le restaurant baigné de lumière. Tandis que je me sers une deuxième tasse de café (après avoir longuement hésité entre, fromage affiné et salade de fruits frais), je me demande si je ne ferais pas comme ces cyclistes qui s’élancent sur les sentiers forestiers. Car oui, le Dolce est un paradis pour les promeneurs et cyclotouristes. Labellisé Bienvenue Vélo, l’établissement attire autant les amateurs de grand air que les gourmands de pauses bien méritées.
Et pour les plus sportifs, le terrain de jeux est vaste : tennis, badminton, pétanque, baby-foot, basket… on s’active, on rit, on oublie l’heure. Et on peut toujours compenser les excès du brunch dominical (je vous en parle dans une minute) par une balade digestive dans les bois.
800 m² de pur bonheur : le Spa Cinq Mondes
Pour celles et ceux en quête de relaxation profonde, direction, le Spa Cinq Mondes. 800 m² dédiés au bien-être, où chaque soin est un voyage. Un massage balinais, un rituel indien ou un enveloppement aux senteurs de Polynésie… on ressort le corps léger, l’esprit clair, comme lavé des tracas du quotidien. Et si vous hésitez sur le soin à choisir, les praticiennes, expertes et bienveillantes, sauront vous guider.
Un brunch royal et des expériences inoubliables
Et maintenant, parlons sérieusement : le brunch du dimanche. Imaginez une farandole de plats raffinés, de douceurs sucrées, de pains croustillants, de fromages locaux et de plats chauds parfumés. Pour 59 € boissons incluses (21.5€ pour les enfants de 6 à 15 ans et gratuit pour ceux de moins de 6 ans), c’est une véritable célébration de la gastronomie… à savourer sans culpabilité, car on peut filer marcher dans les bois ensuite. Une animation est aussi prévue pour divertir les enfants. C’est le brunch idéal pour les familles et les groupes d’amis.
Tout l’été, ils proposent également un barbecue le samedi soir en terrasse dès que la météo le permet et toujours face à cette magnifique forêt. (45€ par adulte hors boissons)
Mais ce que j’aime par-dessus tout, ce sont les expériences éphémères que propose le Dolce. Le week-end du 14-15 juin, par exemple, place au Festival des Vignobles belges, orchestré par l’inénarrable Eric Boschman. Un dîner-spectacle, une vingtaine de vignerons à rencontrer, un verre à la main… et un lit tout proche pour dormir sur ses deux oreilles. Que demander de plus ?
Le 22 juin, changement d’ambiance mais toujours autant d’émotion : un concert de musique de chambre interprété par TRIO Artis. Trois complices belgo-suisses : Claudia Pana, Jordan Gregoris et Stéphane De May forment un trio qui allie virtuosité et émotion promettant une expérience musicale mémorable. Ils joueront un programme varié allant de Carmen de Bizet arrangé pour piano et flûte au Grand Tango de Piazzolla en passant par Chopin et Tchaïkovky. Un concert joyeux et convivial pour toute la famille qui débute à 11h le dimanche et peut se poursuivre par un brunch et une balade en forêt. Un dimanche parfait, entre culture et plaisir des sens.
Pour ma part, le rendez-vous est pris ! Et pour vous ?
Quand on parle de randonnée, on pense souvent à de longues montées, des mollets qui tirent et des sandwiches écrasés au fond du sac. Mais ici, la marche devient un plaisir raffiné. Grâce aux 1.300 km de sentiers balisés, on choisit sa promenade comme on choisirait un vin : douce ou corsée, courte ou étirée sur plusieurs jours, avec ou sans vue spectaculaire sur la vallée de l’Our. Le tout orchestré par l’application Nodemapp, une merveille technologique qui vous permet de planifier, enregistrer et suivre vos circuits, même sans réseau. L’idéal pour se perdre dans la nature… sans vraiment se perdre ! Et si vous êtes plutôt du genre à enfourcher une selle, ce n’est que du bonheur : outre les circuits VTT balisés, ne manquez surtout pas la Stoneman Arduenna, une piste VTT 5 étoiles ! Mon chéri est diablement tenté, mais vous m’excuserez, je n’ai déjà pas beaucoup d’équilibre sur deux jambes, alors sur deux roues, vous imaginez le tableau… Bon à savoir, l’hôtel Pip Margraff propose également à la location des vélos électriques, ainsi qu’un garage à vélo !
WBT – Pierre Pauquay
J’ai personnellement craqué pour une boucle dans la réserve naturelle des Hautes Fagnes. Imaginez : des tourbières à perte de vue, des caillebotis de bois qui serpentent entre les bruyères, un silence presque solennel troublé seulement par le cri lointain d’un rapace… Un tableau à la fois sauvage et poétique.
Un cocon nommé Pip Margraff
Après l’effort, le réconfort. Et quel réconfort ! Le Relax Hotel Pip Margraff, véritable institution familiale depuis plus de 140 ans, m’a accueillie dans une atmosphère à mi-chemin entre le charme d’antan et le confort moderne. Dès que j’ai franchi la porte, j’ai su que j’étais entre de bonnes mains : accueil souriant, chambre douillette, et surtout un spa comme on en rêve les jours de pluie (ou les lendemains de randos ambitieuses).
Sarah Linden Fotografie
Mention spéciale pour la piscine à rocaille et le sauna bio, véritables antidotes au stress urbain. Et que dire des chaises longues infrarouges ? J’y ai trouvé un niveau de détente que même mes cours de yoga du jeudi soir n’ont jamais réussi à atteindre !
Gastronomie locale au sommet
Côté papilles, l’hôtel ne fait pas non plus les choses à moitié. Le restaurant du Pip Margraff, c’est un peu comme une balade gustative dans les prés alentours. Produits frais et locaux, recettes soignées, dressage élégant… Tout est pensé pour séduire autant les amateurs de terroir que les palais les plus exigeants. Mon coup de cœur : une entrecôte de veau, sauce au morilles, servie avec des échalotes caramélisées, des asperges et des fettuccine. Divin.
pip margraff
Un séjour tout compris, sans prise de tête
Pour prolonger l’expérience, j’ai opté pour la formule Midweek : trois nuits, petits déjeuners, menus quatre services et accès illimité au spa. Une aubaine à partir de 300 € par personne, qui permet de goûter à tous les plaisirs de la région sans devoir organiser quoi que ce soit. Juste savourer, flâner, dormir, recommencer.
Un dernier mot avant de repartir…
Les Cantons de l’Est, et Saint-Vith en particulier, ne sont pas seulement un havre de paix pour les randonneurs. Ce sont aussi des terres où l’on prend le temps. Le temps de regarder un panorama sans sortir son téléphone. Le temps de discuter avec un aubergiste passionné. Le temps de redécouvrir que le vrai luxe, finalement, c’est peut-être ça : le calme, l’air pur et la sensation d’être exactement là où l’on doit être.
Alors si vous cherchez une escapade loin du bruit et du stress, entre tourbières mystérieuses, vallées bucoliques et spa douillet, Saint-Vith et son hôtel Pip Margraff vous attendent.
En plein coeur des Lacs de l’Eau d’Heure, Natura Parc vous propose un parcours accrobranche pour tous les âges, une tyrolienne au-dessus du lac, et un Explor Game immersif en pleine nature.
Natura Parc
Des sensations à vélo pour petits et grands
Avec Natura Bike, profitez d’une piste de descente sécurisée, d’un airbag géant pour s’élancer en toute sécurité, et d’un circuit de draisiennes électriques pour les plus jeunes.
Lex-Deckers
Une journée riche en émotions
Entre nature, sport et fun, vivez une journée inoubliable en famille ou entre amis. Réservez maintenant sur le site du Natura Parc !
6h50 du matin, dans la ville haute du Puy-en-Velay. A l’heure où les touristes dorment encore du sommeil du juste, de curieux marcheurs grimpent, sac à dos volumineux sur les épaules, vers la cathédrale. En cette matinée de printemps, ces trekkeurs urbains d’un genre particulier ont rendez-vous pour la messe et la bénédiction de 7h, assurée ce jour là par Monseigneur Yves Baumgarten, évêque du Puy-en-Velay.
De quelques jours à plus de deux mois
Tous vont prendre, à l’issue de la cérémonie, le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Un périple à pied de quelques jours pour certains et de plus de deux mois pour d’autres, beaucoup moins nombreux, à vouloir rallier d’un trait la ville espagnole de Galice. Voir une église en France copieusement remplie de fidèles à 7h du matin est un spectacle devenu rare. Sacs à dos posés le long des murs de la nef ou à leurs pieds, en short, leggings et chaussures de randonnée, plus d’une centaine de personnes suit religieusement l’office, avant que le prélat, d’un ton patelin, n’encourage les marcheurs dans leur future équipée, s’enquérant de leur parcours et de leur origine.
Pèlerinage intérieur…
Il y a des Français, logiquement majoritaires, venus de toutes les régions du pays. Mais aussi des Belges, des Polonais, des Suisses, des Suédois, des Américains, des Canadiens et même des Australiens. « Vous avez décidé de prendre un chemin qui va vous révéler, à travers la culture et les rencontres, un autre pèlerinage, plus intérieur, peut-être. Pour cela, il faut du temps, le temps de l’intériorisation pour aller au fond de vous-même. Je vous invite à découvrir tout cela dans un désir de foi », prêche Monseigneur Baumgarten, écouté attentivement par les plus croyants.
Les marches de la cathédrale
Philippe Bourget
Si certains sont là par piété, beaucoup assistent à la messe pour le symbole. Jusqu’à la traditionnelle et majestueuse ouverture des « portes » de la cathédrale. Au Puy-en-Velay, les battants ne s’ouvrent pas comme ailleurs à l’arrière de l’édifice, vers un parvis situé à hauteur de ville. Ici, des grilles s’élèvent lentement à la verticale depuis la travée centrale de la nef, libérant des volées d’escaliers et leurs 139 marches pour précipiter vertigineusement les ouailles depuis la colline religieuse vers la ville basse.
500 000 pèlerins en 2024
Portable allumé pour immortaliser l’instant, et munis d’un crédencial (carnet de route du pèlerin) et d’une coquille Saint-Jacques offerte par l’évêque, les marcheurs s’engagent dans la descente, protégés par l’onction catholique. Les voilà prêts à en découdre sur tout ou partie des quelque 1 500 km du parcours. « Entre le 1er avril et la fin octobre, il y a entre 80 et 300 personnes qui assistent chaque matin à la bénédiction et partent sur le chemin. Je suis ici depuis 2022, tous les ans, il y a de plus en plus de monde », constate Yves Baumgarten. Selon le prélat, de 25 000 pèlerins en 1984, la Via Podiensis a accueilli, sur tous les tronçons de ce chemin, balisé jusqu’à la frontière espagnole, près de 500 000 marcheurs en 2024 !
Marche libératrice
Si l’on rencontre encore sur l’itinéraire, né en 950 de l’initiative de l’évêque Godescalc, de véritables pèlerins animés par la foi, la majorité s’y lance pour des raisons plus païennes. Retour sur soi, désir de pause dans une vie survoltée, marche libératrice après une épreuve familiale ou un burn out, quête de sens, plaisir de l’effort, pari sportif… Les raisons sont aussi nombreuses que les marcheurs !
Même le roi Philippe et la reine Mathilde
Sur les marches de la cathédrale, Fransesco, belge résidant à Liège, a rejoint dans l’aventure Anne, une compatriote du plat pays habitant dans le sud de la France. « Je vais jusqu’à Conques, en une huitaine de jours. Moi, c’est le côté sportif qui m’intéresse », reconnait ce jeune senior, rappelant opportunément que quelques jours plus tôt, le 16 avril, le roi Philippe et la reine Mathilde, avec trois de leurs enfants, ont achevé le périple à Saint-Jacques-de-Compostelle, après l’avoir entamé il y a 8 ans. Anne et son amie, Sylvie, qui marche « pour avoir la paix », iront un peu plus loin que Conques. Mais pas question de dormir dans des gîtes de pèlerins ! « On est plutôt chambres d’hôtes, histoire d’avoir un bon dîner et un vrai petit-déjeuner, un lit douillet et ne pas être obligé de dormir à 15 dans un dortoir. Ca, c’est bon quand on a 20 ans ! », sourit Anne.
Verre de l’amitié la veille au Camino
Philippe Bourget
Après avoir dévalé les rues de la vieille ville, traversé la place du Plot où les étals du marché accueillent leurs premiers clients, les marcheurs, en solo ou en petits groupes, grimpent sur le versant opposé de la cité. Certains, la veille, sont passés par Le Camino. Près de la cathédrale, cet ancien hôtel particulier du 14 et 15ème s., doté d’un joli café-jardin, abrite « L’accueil des Pèlerins ». Ouvert de 17h à 19h pour un verre de l’amitié, « les marcheurs viennent échanger, se renseigner, se rassurer, aussi », témoigne Marie-Christine, une bénévole. Le Camino abrite également un parcours scénographique sur le chemin de Saint-Jacques, histoire de se mettre dans l’ambiance.
Des rues du Puy-en-Velay au chemin
Philippe Bourget
Il est un peu plus de 9h quand les randonneurs quittent l’ultime rue du Puy-en-Velay pour s’engager sur le premier sentier. Un pré, à côté, a été fauché de manière à reproduire une coquille St-Jacques. Cathédrale du Puy dans le dos, le lieu, à 711 m d’altitude, offre un joli point de vue sur Espaly-Saint-Marcel et son piton volcanique, occupé par une basilique et la statue monumentale de Saint-Joseph. Cette transition est l’occasion d’une pause. Les randonneurs se rafraichissent, ôtent une veste devenue superflue ou en profitent, avec leurs portables, pour réserver le gite du soir.
Jeunes, seniors, « solos », familles…
Nathalie, une Française, est partie seule, un mois, « pour me couper de la routine, faire un vrai break et penser à d’autres choses. Là, j’ai encore tout dans la tête mais dans 3 jours, j’aurai oublié ! », dit-elle. Guillaume, venu de l’ouest de la France, part pour une semaine. Il n’a rien préparé. Cinq vendéennes, retraitées, envisagent de rejoindre Conques. Sauf pour l’une d’elles, c’est la première fois qu’elles s’engagent sur le chemin. Objectif : « vivre de bons moments ensemble, avoir des discussions sur des sujets existentiels et voir si on est capables de faire ça », témoigne Marie-Jeanne. Des jeunes, des seniors, des familles, des « solos »… A des allures différentes, les voilà tous partis sur le GR 65.
Gîte d’étape à Montbonnet… « La 1ère étape »
Philippe Bourget
Selon le rythme de chacun, l’étape du soir ne sera pas la même. Village agricole posé dans un paysage de pâturages et de collines boisées, Montbonnet, à 4h de marche du Puy, signe pour certains le premier arrêt. Là se trouve la splendide chapelle Saint-Roch, au bord du chemin. Bâtie en pierre du Velay, cet édifice roman à clocher-peigne dont l’origine remonte au 11ème s. est presque enfoncé dans la terre grasse du plateau. Dédié à Saint-Roch, devenu le saint patron des pèlerins au 17ème s., elle recueille, sur de petits papiers blancs pliés dans une corbeille, les vœux des marcheurs. Montbonnet abrite plusieurs gites d’étapes et d’autres hébergements mais s’il en est un où l’esprit du chemin de Saint-Jacques souffle avec force, c’est bien le gîte « La 1ère étape ».
Chemin de Saint-Jacques, une République indépendante !
Dans une maison traditionnelle du Velay, en pierre pouzzolane (rouge) et basalte (grise), ainsi que dans un chalet récent bâti au fond d’un jardin avec vue sur les monts d’Ardèche, Anne et Didier, eux-mêmes pèlerins du chemin de Saint-Jacques, accueillent, à 1 100 m d’altitude, jusqu’à une vingtaine de marcheurs chaque jour. « Tout le monde ici est dans la même énergie. Le chemin de Saint-Jacques est une République indépendante de 1 500 km de long sur 1 km de large, où règnent bienveillance et qualité des rapports humains », éclaire joliment Didier. Un changement aussi pour eux deux, venus d’horizons différents et qui se sont rencontrés sur les marches de la cathédrale du Puy, après des parcours de vie dans d’autres univers.
Gîte ou chambre d’hôtes ?
Philippe Bourget
Les randonneurs plus vaillants poussent en général jusqu’à Saint-Privat-d’Allier. A 6-7h de marche du Puy-en-Velay, ce village-étape dominé par un château et une église ne manque pas non plus d’hébergements, avec 475 lits et quelques magasins de bouche pour se ravitailler. « L’Escargot dans sa Coquille », au cœur du village, est l’un d’eux. Catherine Richard et Philippe Delarivière ont repris cette « affaire » en 2023, après avoir tenu une maison d’hôtes dans le Haut-Bugey (Ain). Dans trois maisons mitoyennes, ils proposent un gîte de 16 places, quatre chambres d’hôtes cosy et un restaurant ouvert le soir, avec une cuisine 100% maison. Le couple a aussi aménagé un centre de bien-être – leur valeur ajoutée – avec des lits de flottaison pour raffermir les muscles, et des soins prodigués par Catherine, rebouteuse-masseuse.
Philippe Bourget
Effets de la société moderne sur les âmes
« Ce qui nous anime, c’est d’apporter du plaisir. Ici, nous voyons le monde entier, des Allemands, des Belges, des Anglais, des Canadiens, des asiatiques… Notre plus jeune client était un enfant d’un an, avec ses parents. Le plus âgé, une dame de 86 ans. Elle a même dormi au dortoir ! », se souvient Catherine. Parce que l’étape du jour 2 est rude, avec la descente puis la remontée dans les gorges de l’Allier, le petit-déjeuner est très roboratif. Et les soins de Catherine, bien utiles. A leur poste, ils voient aussi les effets délétères de la société moderne sur les âmes. « Beaucoup de marcheurs viennent pour se reconnecter à eux-mêmes. On reçoit aussi des jeunes de 25-30 ans qui ont fait de longues études et sont paumés face aux défis qu’ils ont à relever », intervient Philippe. Autre tendance chez certains marcheurs : la demande de confort le soir à l’étape, qui leur fait préférer les chambres d’hôtes aux gîtes d’étape.
Rochegude, vigie des gorges de l’Allier
Philippe Bourget
Et puisque sur ce chemin, le principe est de ralentir, il n’est pas interdit de faire de longues pauses pour profiter de sites magnifiques. L’un d’eux se trouve à 3 km de Saint-Privat d’Allier : Rochegude. Une tour ronde, vestige d’un château du 13ème s. ; une chapelle rustique à clocher-peigne et chevet rond couvert de lauzes ; une poignée de maisons paysannes ; des rochers ; et la vue, surtout, panoramique, sur les gorges de l’Allier et ses versants boisés, 350 m plus bas. Rochegude, « château de rochers » comme on dit par ici, affirmait jadis l’autorité de seigneurs locaux le long de la rivière, ancienne frontière du Velay face à la Basse Auvergne. Des marcheurs de Saint-Jacques s’y arrêtent pour pique-niquer, séduits par la beauté du lieu. C’est l’une des multiples occasions de poser le sac et de méditer au long d’un itinéraire où les paysages et les rencontres font de vous, parait-il, un « autre homme ».
Le nom « Domaine des Grottes de Han » ne reflète plus entièrement la diversité de l’offre. Non, les grottes ne sont pas fermées au public, elles sont toujours accessibles. Le parc animalier, l’aire de jeux, le charmant petit train… tous ces incontournables continuent d’attirer du monde depuis des décennies à Han-sur-Lesse. Mais le Domaine veut désormais aller plus loin : devenir une destination ;où les visiteurs de tous âges passent une journée complète de plaisir et d’aventure, et où l’on peut revenir régulièrement tout au long de l’année sans jamais s’ennuyer. D’où les événements thématiques, les nuitées insolites, et maintenant, donc, la Tree Experience.
La tour en bois de 17 mètres de haut, point de départ de la « Tree Experience » Bryan Nicola Maxwell
5 parcours
Dès l’entrée de la Tree Experience, on l’aperçoit au loin : cette tour en bois de 17 mètres, point de départ des deux parcours d’accrobranche les plus exigeants. Lors de la conception du projet, le Domaine a veillé à ce que tous les profils de visiteurs puissent y trouver leur compte, pour rendre la sortie en famille encore plus attrayante.
Des parcours accessibles aux plus petits, avec autant de sensations Bryan Nicola Maxwell
Pas moins de 5 parcours sont proposés chacun portant un nom d’animal. Les deux premiers sont idéaux pour les enfants dès 4 ans. Le niveau intermédiaire, reste facile mais offre un peu plus de challenge avec sa hauteur de 2 mètres. Quant aux plus téméraires, ils se lanceront perchés à 10 mètres du sol, avec un départ et une arrivée via une tyrolienne de 140 mètres.
Libre comme l’air à 10 mètres du sol. Bryan Nicola Maxwell
Adrénaline
Pour une fois, je me suis mis avec les courageux et j’ai gravi, harnaché, la fameuse tour de 17 mètres. Pour ceux qui aiment les défis, une paroi d’escalade permet de monter, mais il y a aussi un escalier plus classique. Arrivé en haut, vous êtes directement confronté au câble de 140 mètres qui vous transporte vers le début des deux parcours les plus costauds. Le souffle court après l’ascension, avec une vue imprenable sur la canopée, on se sent déjà transporté. Se préparer à la tyrolienne (ou deathride, pour les amateurs de sensations fortes) a quelque chose de troublant… à moins que vous n’ayez l’habitude de vous jeter dans le vide !
La sécurité avant tout ! Bryan Nicola Maxwell
Heureusement, un briefing sécurité précède le départ : toutes les procédures y sont expliquées en détail. Le système de sécurité est infaillible : une double ligne de vie ne permet de se détacher que si l’autre point est solidement fixé. Système de glisse enclenché, petit signe de l’instructeur… et on saute ! De l’adrénaline pure. L’excitation initiale laisse rapidement place à un sentiment de liberté, planant comme un oiseau au-dessus du Domaine !
Effort
Quelques secondes plus tard, vous atterrissez avec un petit choc sur une plateforme en bois, qui marque le début des deux parcours les plus intenses de la Tree Experience. En accrochant votre longe à gauche, vous choisissez le parcours de niveau 4, ce qui me semblait largement suffisant pour une première fois.
Acrobaties entre les arbres et à plusieurs mètres du sol. Bryan Nicola Maxwell
Tel un trapéziste dansant sur un câble tendu entre deux arbres, en équilibre sur des planches et poutres en bois, accroché à un filet ou filant sur des tyroliennes, je me fraie un chemin à travers les arbres, haut perché au-dessus du sol. Chaque portion entre deux arbres constitue un nouveau défi, demandant à la fois courage et effort, mais toujours dans un cadre sécurisé et, somme toute, très accessible, tout en procurant une réelle satisfaction personnelle. Un instructeur – ils sont toujours trois sur place, avec renforts en période de forte affluence – vous observe depuis le sol pendant que vous jouez les acrobates d’un jour, en surmontant vos peurs et en faisant le plein d’adrénaline. Il vous glisse aussi, de temps à autre, quelques bons conseils.
Bryan Nicola Maxwell
Sortie parfaite en famille ou pour un teambuilding
Les deux parcours se terminent par une tyrolienne qui vous ramène à toute allure à la tour de départ en bois. Une fois de retour, vous avez le choix : redescendre tranquillement par l’escalier… ou opter pour une chute libre. C’est vous qui décidez du niveau d’aventure que vous voulez vivre ! Grâce à la variété des parcours, aux degrés de difficulté adaptés, à l’encadrement sécurisé et au cadre naturel exceptionnel, la Tree Experience est une sortie idéale pour les familles, les groupes d’amis ou encore pour un teambuilding original.
Terminer votre aventure par une chute libre de 17 mètres ? C’est possible. Bryan Nicola Maxwell
Autre avantage : le billet d’accès donne droit à un accès illimité à cette activité, que vous pouvez combiner avec les autres attractions du Domaine. Et pour clore l’expérience en beauté, pourquoi ne pas savourer une bière bien fraîche ? Vous pouvez, par exemple, opter pour une Lupulus, brassée en Wallonie, qui propose une édition dédiée à la Tree Experience.
Adrénaline garantie ! Bryan Nicola Maxwell
Testez par vous-même !
Envie de partir à l’aventure dans les cimes des arbres ? C’est possible tous les jours : la Tree Experience du Domaine des Grottes de Han est ouverte en permanence. Le billet vous donne accès aux 5 parcours. Vous pouvez acheter un ticket uniquement pour la Tree Experience (25 € par personne, peu importe l’âge), ou combiner avec la grotte, le parc animalier, ou encore choisir le PassHan+, qui donne accès à l’ensemble du parc (50 € pour les adultes, 40 € pour les enfants de moins de 12 ans).
Vous êtes accro à l’adrénaline ou comptez revenir plusieurs fois dans l’année ? Pensez à l’abonnement annuel, qui vous donne accès à tout le Domaine pendant 12 mois, y compris la Tree Experience : 67 € pour les adultes, 52 € pour les enfants.
1. Trailrunning à Davos (Suisse) : à l’attaque des sommets !
Les Davos X Trails, les 25 et 26 juillet, offrent des parcours de 10 à 68 km au cœur des Alpes suisses. Pour les plus téméraires, la Diamond Trail (68 km) promet 2606 mètres de dénivelé.
➡️ Plus d’infos : www.davos-xtrails.ch/en/
Davos x trails
2. Marathon sous le soleil de Malte
Un parcours côtier spectaculaire et une arrivée dans la capitale historique, La Valette. Après l’effort, flânez dans les ruelles de Mdina ou détendez-vous au bord d’une piscine ensoleillée.
➡️ Plus d’infos : www.lavalettemarathon.com
La Valette Marathon
3. Trailrunning en Slovénie : nature et défi sportif
Les amateurs de sentiers sauvages seront conquis ! Entre vignes et montagnes, la Vipava Valley Ultra Trail propose des courses de 10 à 165 km. Mention spéciale pour la K24 Ultra Trail, où vous traversez une mine abandonnée !
➡️ Plus d’infos : www.slovenia.info
anze coki
4. Biathlon en Italie : ski et tir au fusil
À Ridanna-Ridnaun (Tyrol du Sud), testez ce sport olympique mêlant ski de fond et tir. Accessible à tous jusqu’au 7 avril… et après ? Place aux randonnées et au vélo !
➡️ Plus d’infos : www.suedtirol.info
idm sudtirol manuel kottersteger
5. Slow swimming au Monténégro : nage et contemplation
Dans la baie de Kotor, oubliez la compétition et savourez la nage dans un fjord magnifique. Plutôt team « pieds au sec » ? Explorez les charmants villages des alentours.
➡️ Plus d’infos : www.montenegro.travel
the chedilustica bay
6. Un marathon entre deux continents (Istanbul)
La Marathon d’Istanbul est la seule au monde où l’on court de l’Asie à l’Europe en traversant le pont du Bosphore. Une occasion unique de mêler sport et culture !
➡️ Plus d’infos : www.maraton.istanbul
Likya Yolu
7. Surf en Alentejo (Portugal) : vagues pour tous niveaux
Moins fréquentée que l’Algarve, la côte de l’Alentejo est un paradis du surf. Débutants et experts y trouveront leur bonheur, toute l’année !
➡️ Plus d’infos : www.visitalentejo.pt
carvlhal surf school
8. Marathon et city-trip à Lisbonne
Prenez part au Marathon de Lisbonne, puis profitez d’un séjour en famille à l’hôtel pour découvrir l’une de nos capitales européennes préférées !
➡️ Plus d’infos : https://www.visitlisboa.com/fr/