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Category: Bons plans

  • Ostende nous met encore en garde pour cet été !

    Ostende nous met encore en garde pour cet été !

    Meng Hao

    Une règle de base à la plage, mais souvent négligée : nager uniquement dans les zones surveillées et pendant les heures indiquées. Ostende redouble d’efforts pour sensibiliser ses visiteurs à cette précaution vitale, assurant ainsi leur sécurité en mer.

    Pas de panique, votre enfant est sécurisé!

    Chaque année, des centaines d’enfants se perdent sur les plages bondées. Pour combattre cela, Ostende promeut activement l’utilisation de bracelets de sécurité et de panneaux de signalisation visuels, permettant une localisation facile. Pour renforcer ces mesures, la ‘Beachteam’ d’Ostende sera sur le terrain, sensibilisant les touristes, distribuant des bracelets et fournissant des informations.

    Messages préventifs omniprésents

    Des panneaux préventifs généraux, abordant des thèmes comme la nage sécuritaire, la propreté des plages ou la protection contre la chaleur, accueillent les visiteurs dès leur arrivée sur le sable. Des messages qui peuvent paraître évidents pour de nombreux touristes, mais qu’il est toujours bon de rappeler !

  • 60.000 billets de train gratuits sont offerts par l’Allemagne et la France

    60.000 billets de train gratuits sont offerts par l’Allemagne et la France

    pass horizon

    À l’occasion des 60 ans du Traité de l’Élysée et de la réconciliation entre la France et l’Allemagne, 60.000 billets de train permettant de circuler gratuitement sur les réseaux ferrés des deux pays sont proposés aux jeunes résidents en France et en Allemagne.

    Accessible à tous les jeunes de 18 à 27 ans depuis le 12 juin, le passe France-Allemagne permettra à 30.000 résidents français de se rendre en Allemagne à compter du 1er juillet (et jusqu’au 31 décembre), et de profiter de 7 jours de voyage illimité et gratuit sur tout le réseau ferroviaire allemand pendant 1 mois. Il en ira de même pour les résidents allemands sur le réseau ferré français.

    Parmi ces 30.000 passes :

    • 15.000 individuels sont réservés aux premiers inscrits sur la plateforme,
    • 15.000 autres passes seront distribués par allocation directe via des organismes de formation et de promotion de l’amitié franco-allemande à l’intention de 10.000 étudiants boursiers, 4.000 iront aux apprentis et jeunes en formation professionnelle et, enfin, 1.000 passes seront offerts aux jeunes les plus défavorisés.

    Comment s’inscrire pour bénéficier du passe France-Allemagne ?

    Pour bénéficier de l’un des 15.000 passes individuels rendez vous sur la plateforme passefranceallemagne.fr (et deutsch-franzoesischer-freundschaftspass.de en allemand). Vous recevrez à la suite de votre inscription une confirmation sous 48h, après vérification de l’éligibilité. Pour être éligible, vous devez résider en France et être né entre le 1er juillet 1996 et le 31 décembre 2005.

    Développement des liaisons France-Allemagne

    Cette annonce intervient dans un contexte de développement des liaisons ferroviaires entre la France et l’Allemagne. En effet, le train de nuit reliant Paris et Berlin sera de nouveau en circulation à partir de décembre 2023 et en 2024 une nouvelle liaison ferroviaire directe à grande vitesse reliera les deux capitales.

    C’est quoi le Traité de l’Élysée ?

    Le 22 janvier 1963, le président français Charles de Gaulle et le chancelier de la République fédérale d’Allemagne Konrad Adenauer signent un traité de coopération. Ce traité renforce la coopération entre les deux pays notamment dans les domaines de la défense, de l’éducation et de la jeunesse. Ses objectifs étaient simples : rapprocher et tisser des liens entre les deux peuples, consolider la coopération entre les deux pays, au-delà d’éventuels changements politiques, à l’aide du droit international, et s’inscrire dans les efforts engagés en faveur de la construction européenne, avec la création de la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA) en 1951.

  • Rome dévoile ses secrets: le lieu de l’assassinat de Jules César ouvert au public

    Rome dévoile ses secrets: le lieu de l’assassinat de Jules César ouvert au public

     

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    Un voyage mystique dans le temps

    La place Largo Argentina de Rome, scène du tragique destin de Jules César, s’ouvre aux âmes curieuses. Elle dévoile ainsi ses charmes et 4 temples, outre les vestiges de la Curie. C’est une expérience envoûtante, un voyage à travers les voiles du temps, où le passé antique se révèle dans toute sa splendeur.

    Un accès autrefois réservé

    Jadis, seuls les initiés pouvaient fouler ce sol sacré. Chaque année, une reconstitution historique y était organisée, revivant les derniers instants de Jules César, avant qu’il ne soit trahi par ses proches, dont Brutus, souvent identifié à tort comme son fils.

    Un lieu empreint de mystère

    La place Lago Argentino, autrefois réservée aux chats errants et aux vestiges silencieux, s’ouvre désormais au public. Ces quatre temples de la Rome antique, témoins muets de l’histoire, sont désormais accessibles à tous.

    Un investissement pour l’éternité

    Pour accueillir les voyageurs du temps, ces ruines chargées d’histoire ont été restaurées et des passerelles ont été installées pour une promenade en toute sérénité. Un investissement de plus d’un million d’euros, financé par la société Bulgari, pour préserver ce trésor du passé.

    Un vestige préservé

    Selon l’agence de presse AP News, cette place abrite aussi “une fondation et une partie d’un mur qui faisaient partie de la Curie de Pompée, une grande salle de forme rectangulaire qui abritait temporairement le Sénat romain lorsque César a été assassiné“. Un vestige précieux de la République antique, désormais accessible à tous.

    La visite est ouverte tous les jours sauf le lundi et certains jours fériés, avec des billets au prix de 5 euros pour les personnes non-résidentes à Rome. Un voyage dans le temps qui promet d’être riche en émotions pour tous les passionnés d’histoire.

  • La verte Slovénie, petit pays qui fait chavirer votre cœur

    La verte Slovénie, petit pays qui fait chavirer votre cœur

    Ces panoramas que vous découvrirez au fur et à mesure s’enchaînent comme dans un fascinant documentaire diffusé sur National Geographic. Ils se déclinent sous une dominante de vert qui brille en toutes saisons, mais encore plus l’été. Allons-y vous ne serez pas déçus…

    Ljubljana, l’église franciscaine et les terrasses au bord de la rivière Myriam Thys | cms

    Ljubljana, le charme de l’Ancien Monde

    Véritable dédale de rues piétonnes, Ljubljana c’est le charme de l’Ancien Monde avec une touche résolument cosmopolite. La rivière Ljubljanica est l’artère de la ville,  de nombreux bars et restaurants s’y sont installés le long et participent à l’ambiance très cool de ce quartier qui est fréquenté par de nombreux étudiants. Oui, Ljubljana est une ville jeune avec pas mal d’ambiance. L’emblématique Triple, pont menant au centre-ville est sans hésiter le Place to Be. Mais il n’est pas le seul : le pont du Dragon, construit en 1901, est aussi particulièrement photogénique.

    Ljubljana et son château en arrière-plan Myriam Thys | cms

    Parce que le dragon est le symbole de Ljubljana, quatre magnifiques spécimens en bronze trônent à ses angles. La légende dit que ceux-ci agitent leur queue à chaque fois qu’une jeune fille s’aventure sur cette passerelle… Faut vérifier sur place, de mon côté je n’ai rien remarqué ! Les joyaux architecturaux colorés du cœur historique sont aussi remarquables. L’édifice le plus spectaculaire est l’église franciscaine de l’Annonciation, située sur la place Prešeren. Et le meilleur spot pour admirer la ville est au départ du château qui domine Ljubljana. En été, des concerts en plein air y sont organisés. Mais on peut aussi visiter son musée ou manger dans l’un de ses deux excellents restaurants.

    Triglav National Park Myriam Thys | cms

    Triglav, la nature s’offre à nous

    En quittant la capitale, vous pouvez rejoindre les montagnes de Kamnik-Savinja, séparées des Alpes juliennes par la vallée de la Save. C’est un point de départ idéal pour partir en randonnée. Avant même d’avoir fait le premier pas, voilà déjà un magnifique panorama sur la vallée. Après une courte randonnée, le mont Triglav se dresse déjà, roi incontesté des Alpes juliennes et point culminant du pays (2.864 m).

    Triglav National Park Myriam Thys | cms

    Cette montagne à trois têtes est aussi l’un des symboles de la Slovénie. Cette région est parsemée de pics abrupts, de glaciers, de flancs densément boisés, de vastes lacs et de cascades. En clair, c’est un véritable fait pour les randonneurs et pas très connu. Vous continuez le GR et voilà le Lepa Nadia que l’on peut traduire librement par « la belle Nadia ». Cette montagne ressemble à une dame perchée sur un sommet et qui laisse ses longs cheveux courir sur l’un de ses flancs. C’est aussi un endroit insolite pour les golfeurs, le green est en effet le plus du monde. Voici déjà la fin de journée, soyez prêts avec votre appareil photo, un majestueux coucher de soleil est annoncé. Remarquable tant les couleurs sont éclatantes.

    Grotte de Postojna Myriam Thys | cms

    Postojna, une merveille souterraine

    Le plateau karstique du sud-ouest de la Slovénie, qui s’étend sur 10.000 km2, ressemble à un grand gruyère plein de trous. Il est ponctué de profondes gorges, de grottes et de rivières souterraines. D’après mon guide, la Slovénie compte quelque 13.000 grottes, dont beaucoup mesurent plus de 100 mètres de long. Après le paradis des randonneurs, c’est donc aussi un paradis pour les spéléologues. Si vous n’êtes pas claustrophobe, faites un petit tour dans la grotte de Škocjan, la plus célèbre, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO.

    Grotte de Postonja Myriam Thys | cms

    La visite se poursuit dans la grotte de Postojna, la deuxième plus longue du monde : 24 km et, croyez-moi, le réseau de galeries semble infini et on s’y perd. Seuls 5 km sont accessibles au public, ce qui est déjà vraiment pas mal. Et c’est d’une beauté spectaculaire, cette grotte s’est formée il y a 3 millions d’années, sculptée donc par le temps. L’endroit est aménagé et, depuis un pont de 40 mètres de haut, vous pourrez admirer la salle de concert installée dans ce lieu insolite, un espace de 3.000 m2.

    Grottes de Postojna la plus longue du monde

    Les nombreuses stalactites titillent les imaginations. On peut y deviner des animaux ou des silhouettes humaines. Certaines stalactites et stalagmites sont tout bonnement énormes, l’un des plus imposants atteint les 60 mètres de haut. Quand on sait qu’elles grandissent d’un centimètre tous les 100 ans, le calcul est facile… Anecdote : à 120 mètres sous terre, on trouve un bureau de poste d’où on peut envoyer une carte postale. Quel intérêt ? Affranchir la lettre avec le timbre original de la grotte ! A l’heure des emails, c’est cocasse !

    Château de Predjama Myriam Thys | cms

    Château troglodytique de Predjama

    Près de Postojna se trouve un château extraordinaire datant du XIIe siècle, celui de Predjama qui est l’un des plus grands forts troglodytes au monde. Suspendu à une falaise, il semble défier les lois de la gravité. L’ennemi n’avait d’ailleurs aucune chance : il était imprenable. Au XVe siècle, il a abrité un chevalier rebelle condamné à mort par l’empereur de l’époque. Comme celui-ci ne voulait pas se rendre, on l’a laissé mourir de faim. Or, personne ne savait que ce château était construit au sommet d’une grotte reliée par une longue galerie par laquelle de la nourriture était acheminée… L’histoire s’est toutefois mal terminée, car l’homme fût finalement tué dans la seule partie vulnérable : les toilettes suspendues de l’une des tours. Au XVIe siècle, l’édifice a été restauré dans le style Renaissance et aujourd’hui, il est devenu un musée qui vous promet un fascinant voyage dans le temps.

    Vallée de la Soca Myriam Thys | cms

    L’aventure dans la vallée de la Soca

    À l’ouest de la Slovénie, vous découvrirez la superbe vallée de la Soca, un paradis naturel fait de lacs et de rivières émeraude, dont la pièce maîtresse est la rivière Soca qui se fraye un chemin le long d’imposantes falaises et de profondes gorges, tantôt avec douceur, tantôt avec une violence tonitruante. Pour les amoureux de la nature et de l’aventure, c’est l’endroit idéal pour une belle randonnée ou du rafting. En pagayant dans les eaux de la rivière, de magnifiques paysages défilent devant vous.

    Vallée de la Soca Myriam Thys | cms

    À bord des canoës, on est littéralement entouré par une nature impressionnante, dense et intacte. Il est également possible de pêcher à la mouche, une activité davantage méditative, car les endroits calmes ne manquent pas non plus. Cette beauté naturelle immaculée a le don de ralentir votre rythme pour le plus grand bonheur de votre âme. Une chose est sûre, on comprend vite pourquoi la Soca est appelée la « plus belle rivière des Alpes ». Sa couleur qui résulte des nombreux minéraux présents dans l’eau est tout simplement unique. Et son tracé est absolument époustouflant, à elle seule, la Soca vaut le déplacement en Slovénie.

    Lac de Bled Myriam Thys | cms

    Le lac de Bled, l’attraction la plus populaire

    Le lac de Bled est de loin l’un des plus beaux sites de Slovénie, mais il est aussi le plus couru. Ce lieu emblématique est en effet envahi par les touristes en été. Découvrez-le hors saison. Depuis le château, au sommet d’une falaise bordant les majestueuses Alpes juliennes, on surplombe la minuscule et unique île slovène.

    Le lac de Bled Myriam Thys | cms

    En son centre se dresse l’église baroque de l’Assomption de la Vierge Marie, aujourd’hui transformée en musée. Pour accéder à l’île, le plus amusant est d’emprunter le bateau traditionnel pletna, une forme de gondole slovène. Chaque bateau appartient à une famille et la technique unique de rame se transmet de père en fils. Mon guide exprime d’ailleurs parfaitement l’expérience de ce lac de Bled : « il ne faut pas de raison pour venir à Bled. Bled constitue elle-même la raison ». Décidément, encore une raison de venir en Slovénie…

    Le lac de Bohinj Myriam Thys | cms

    Le lac de Bohinj, la beauté sereine

    Le lac de Bohinj est le plus grand du pays. Il est niché au cœur des Alpes juliennes et les montagnes se reflètent dans l’eau ondoyante comme des divas devant leur miroir. Les sommets forment autour de ce site comme un amphithéâtre, enserrant le lac dans un étau d’intimité. En empruntant les voies piétonnes le long des rives, vous traversez de charmants villages tandis que le paysage change constamment. Le hameau le plus visité est celui de Ribčev Laz dont l’attrait réside dans sa belle église Saint-Jean-Baptiste d’architecture gothique. Mais la nature n’est jamais loin et plusieurs superbes cascades se trouvent aussi à proximité, la plus célèbre étant celle de Savica. En été, il ne faut pas hésiter à vous baigner dans le lac, car c’est un rafraîchissement quasi salutaire. On peut aussi y pratiquer le canoë ou, plus moderne, du stand-up paddle. Nombreuses sont aussi les possibilités de rouler à vélo dans les environs. Cela dit, ce qui frappe dans cette région, c’est surtout l’environnement serein qui y règne en maître.

    La riviera slovène à Koper Myriam Thys | cms

    Des villes côtières pleines de charme

    La côte slovène ne fait que 46 km. Tiens tiens, presque comme chez nous. Coincées entre l’Italie et la Croatie, ses villes sont tout à fait charmantes. Les nombreux palmiers et les jolies marinas de Piran, Izola et Koper vous plongent dans une toute autre ambiance, celle méditerranéenne.

    Vue sur Piran et son port kasto – stock.adobe.com

    Portorož est également connue comme étant le Nice slovène, une comparaison qui s’explique par les plages magnifiques et la culture du bien-être. L’architecture s’inspire quant à elle plutôt de Venise et de ce strict point de vue, Piran est incontestablement la ville la plus authentique de la Riviera slovène avec son labyrinthe de rues étroites.

    Piran Myriam Thys | cms

    Sur l’impressionnante place Tartinijev trg, on a l’intime conviction d’être catapulté quelques siècles en arrière. Et ça s’explique : Piran faisait autrefois partie de la cité-État de Venise. Ça a laissé de belles traces. Le clocher de l’église Saint-Georges, qui date du XVIe siècle, semble être une réplique du campanile de Venise. Par temps clair, on peut d’ailleurs apercevoir la cité des Doges depuis les remparts de la vieille ville. Et on peut d’ailleurs constater depuis ce même point de vue que Piran a été édifiée sur une péninsule. Presque entièrement entourée par la mer, elle ressemble à une forteresse invincible. Dans les rues étroites, l’odeur des fruits de mer se mêle à la brise salée de l’Adriatique. Le littoral regorge de restaurants et de bars. Les terrasses sont d’ailleurs bondées, ce qui décuple l’ambiance estivale qui règne dans ce lieu unique. Mince… mon voyage s’achève et ce soir je dois boucler mes valises avec beaucoup de nostalgie.

  • Rush d’été : voici les week-ends à éviter sur la route

    Rush d’été : voici les week-ends à éviter sur la route

    Aleksandr Popov

    Les week-ends à éviter

    Le réseau routier sera particulièrement chargé à partir du troisième week-end de juillet (du 14 au 16). Les samedis 15, 22 et 29 juillet, ainsi que le vendredi 28 juillet, seront des jours d’affluence. Il est conseillé aux automobilistes d’éviter ces journées et de préférer le dimanche. Le premier week-end d’août, classé noir, sera le plus chargé de l’été. Le vendredi 4 et le samedi 5 sont des jours à éviter absolument.

    Les retours : quand et comment ?

    Pour les retours, les premiers problèmes de circulation sont attendus le samedi 22 juillet avec un trafic très dense. Les files seront cependant moins importantes (orange) en Allemagne, Autriche, Suisse et Italie. Le pic est attendu du 11 au 13 août et du 18 au 20 août, le samedi étant à chaque fois le jour le plus chargé et donc à éviter. Les vendredis et lundis seront les meilleurs jours de voyage dans le sens des retours, avec un trafic chargé, mais fluide.

  • La route Copernic en Warmie-Mazurie : à la découverte des châteaux de charme

    La route Copernic en Warmie-Mazurie : à la découverte des châteaux de charme

    Office polonais du Tourisme

    S’il est des endroits qui valent la peine d’être visités, la Warmie-Mazurie, le pays des mille lacs, des châteaux de charme et des paysages à couper le souffle, en fait incontestablement partie. Dans le cadre de l’année Copernic, en Pologne, GRANDE.be s’est glissé dans le sillage de l’homme qui a arrêté le soleil et fait tourner la terre. Nous avons contourné les lacs et emprunté la route Copernic pour visiter les villes d’Olsztyn, de Lubawa, de Lidzbark Warmiński et de Frombork.

    Cet article a été rédigé en collaboration avec l’office du tourisme polonais et la région de Warmie-Mazurie.

    Olsztyn : une ville intensément verte

    Olsztyn, la plus grande ville et capitale de la région de Warmie-Mazurie, est pour nous le point de départ de la route Copernic. Nous logeons à proximité du lac, dans la bien nommée « région des 1 000 lacs ». Même si la saison touristique vient tout juste de commencer, les touristes polonais affluent déjà dans notre hôtel. La Mazurie est, en effet, une destination touristique très prisée en Pologne. Olsztyn en est, en quelque sorte, la porte d’entrée : c’est ici que de très nombreux touristes entament leur immersion en pleine nature. Nous laissons les lacs derrière nous et nous dirigeons vers Olsztyn où Copernic a vécu et travaillé il y a un peu plus de 500 ans. En chemin, nous sommes frappés par la beauté de la ville, se fondant parfaitement dans la nature environnante. Et c’est peu de le dire : elle abrite en effet la plus grande forêt urbaine d’Europe ! Ici, les tonalités verdoyantes de la nature exacerbent les couleurs des édifices gothiques et Art nouveau.

    Office polonais du Tourisme

    La table astronomique de Copernic

    Dans la rue Zamkowa, nous nous arrêtons devant un banc accueillant une statue de Copernic assis. Le « banc de Copernic » est l’endroit parfait pour prendre quelques clichés. D’ailleurs, depuis la statue, la vue sur le château d’Olsztyn, juste à l’arrière-plan, est absolument imprenable !

    Office polonais du Tourisme

    Martha, notre guide, nous raconte que le château, situé dans un méandre la rivière Lyna, était autrefois complètement entouré d’eau. Seul un pont suspendu en bois permettait alors d’y accéder. Le château abrite actuellement le musée de Warmie-Mazurie. La forteresse teutonique, où Copernic a vécu pendant son séjour dans la ville, accueille une exposition permanente sur l’astronome et mathématicien. Dans le cloître du château, vous découvrirez d’ailleurs la célèbre « table astronomique », l’outil que Copernic utilisait pour étudier le mouvement du soleil. Jusqu’à la fin du mois de septembre 2023, vous pouvez y également visiter l’exposition temporaire « Copernici tempus et studium » : l’occasion d’admirer des documents originaux et certaines des notes de Copernic.

    Copernic : la fierté d’Olsztyn

    Le « banc de Copernic » et le château d’Olsztyn ne sont pas les seules références à Copernic dans la ville. Construit en 1973 pour célébrer le 500e anniversaire de Copernic, le planétarium propose une reconstitution des instruments de mesure de l’astronome. Dans le parc du château, le buste de Copernic commémore son rôle de gardien de la ville contre les envahisseurs teutons.

    Office polonais du Tourisme

    Un chef-d’œuvre gothique blotti entre deux rivières

    Ancienne capitale épiscopale de la région, Lidzbark Warmiński ne fait que confirmer les nombreuses curiosités que la Warmie a à offrir. C’est au confluent des rivières Łyna et Symsarna que l’évêque Jan z Miśni a fait construire un château en briques au milieu du XIVe siècle. La construction du château a duré 50 ans et a abouti à un chef-d’œuvre gothique. Copernic a passé sept ans de sa vie entre les murs de la forteresse et a travaillé comme médecin et secrétaire de son oncle, l’évêque Łukasz Watzenrode.

    Les illustres résidents du château de Lidzbark 

    Dans le château, qui a appartenu à l’ordre Teutonique jusqu’au XVe siècle, vous pouvez aujourd’hui visiter le musée de Warmie, se composant de trois parties. Au rez-de-chaussée, vous verrez une collection d’armes datant du XIVe au XXe siècle tandis que le sous-sol propose une exposition retraçant la construction du château. Au premier étage, l’exposition « Illustres résidents du château de Lidzbark », vous permet de découvrir les chambres privées des évêques. La traversée de l’aussi immense qu’impressionnant réfectoire de l’aile est clôturera en beauté la visite de ce joyau.

    Office polonais du Tourisme

    Lubawa et « Des révolutions des sphères célestes »

    Impossible de ne pas profiter de ce séjour pour visiter la superbe Lubawa. La ville doit en effet sa célébrité à la publication du livre le plus important de Copernic. C’est au cours de l’été 1539 que Copernic arrive à Lubawa, avec Joachim Retyk, son étudiant, afin de rendre visite à son ami et évêque, Tiedemann Giese. Ces derniers parviennent alors à convaincre Copernic de publier son œuvre majeure : « Des révolutions des sphères célestes ». Malheureusement, le château, où Copernic séjourna cet été-là, sera détruit plus tard, au cours du XIXe siècle, par un incendie. Aujourd’hui, un magnifique musée moderne vous ouvre ses portes sur les vestiges de l’ancienne forteresse. À l’occasion de l’année Copernic, des expositions sur l’astronome y sont organisées parallèlement à l’offre habituelle. Nous posons avec le maire sous l’arbre bicentenaire à côté du musée : une « séance photo » qui fera la une de la presse locale quelques jours plus tard !

    Frombork : la ville sur la lagune de la Vistule

    Nous terminons notre visite de la Warmie-Mazurie à Frombork, là où le parcours de Copernic ici-bas a pris fin. Nicholas Copernic y est omniprésent : où que vous alliez, vous trouverez un clin d’œil à l’astronome et mathématicien. Et c’est, somme toute, assez normal. Copernic y a passé 30 ans de sa vie et c’est également ici qu’il est enterré. Dans cette ville située sur la lagune de la Vistule, la colline de la cathédrale retient particulièrement notre attention. Au sommet de cette colline se trouve la « Basilique cathédrale de l’Assomption-et-Saint-André ». Une profusion d’églises et de châteaux attendent en effet les voyageurs qui découvrent la Pologne. Mais avec son architecture remarquable et son aménagement intérieur que l’on pourrait presque qualifier de chaleureux, la cathédrale de Frombork tire vraiment son épingle du jeu.

    Office polonais du Tourisme

    Un « homo universalis » moderne

    Martha, notre guide, apprécie également l’acoustique et la musicalité de la cathédrale. Elle pointe le doigt vers l’orgue : « J’aime me laisser emporter par les sonorités de cet instrument. Les chants grégoriens, par exemple. Ou ‘Smoke on the water’ de Deep Purple… », chuchote-t-elle.

    Nous sommes particulièrement impressionnés par la quantité d’autels présents dans la cathédrale. Il y en a plus de 20, au total, précise Martha. À l’époque de Copernic, il y avait 16 chanoines et chacun se voyait attribuer la responsabilité de l’un d’entre eux. Étant chanoine, Copernic fut donc en charge de l’entretien de l’autel de Saint-Étienne. Au terme de sa vie, chaque chanoine était enterré près de son autel. Mais, comme de nombreux autels ont disparu pendant la guerre entre la Pologne et la Suède au XVIIe siècle, nul ne savait où Copernic était enterré. C’est pourquoi, des siècles durant, plusieurs expéditions ont été organisées dans la cathédrale, dans l’espoir de mettre au jour des restes de Copernic. Des efforts qui finirent par payer en 2005. Après un long examen des ossements retrouvés et des analyses ADN, il a été possible d’affirmer avec certitude que des restes de Copernic avaient été retrouvés dans la cathédrale.

    Copernic repose donc aujourd’hui dans la cathédrale de Frombork, sous une stèle noire moderne, encastrée dans un autel latéral traditionnel de la cathédrale. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il s’agit d’un joli mariage entre passé et présent. Notre guide Martha y voit un symbole : « Copernic était un ‘homo universalis’ moderne, d’où le choix de cette ‘stèle’ contemporaine.

    Office polonais du Tourisme

    Fin du voyage sur la colline du château avec un panorama exceptionnel

    L’ancien palais épiscopal du XIVe siècle abrite aujourd’hui le musée Copernic. Il propose une collection d’objets d’astronomie et de médecine liés à Copernic. Vous y trouverez notamment des recettes de ses médicaments. Deux exemplaires de l’ouvrage « Des révolutions des sphères célestes », le plus connu de Copernic, ont également leur place dans le musée.

    Depuis le musée Copernic, quelques minutes suffisent pour rejoindre à pied la tour du même nom. Les chanoines devant disposer d’une demeure dans l’enceinte de la cathédrale, Copernic avait fait l’acquisition de cette tour. Il ne l’a toutefois jamais utilisée comme résidence, mais y a installé son espace de travail. C’est également dans cette tour que l’on peut admirer une copie du célèbre tableau « Astronome Copernic, ou Conversations avec Dieu » de Jan Matejko. Le temps d’une promenade sur la colline du château, nos pensées errent entre Moyen Âge et présent. La vue sur la lagune de la Vistule est à couper le souffle et nous permet de refermer en beauté le livre de notre voyage en Warmie-Mazurie.

    Pour plus d’informations, consultez :

  • Plaisirs insoupçonnés : la magie naturelle de l’Oise en été

    Plaisirs insoupçonnés : la magie naturelle de l’Oise en été

    je programme mon séjour

    Xavier Renoux – Oise Tourisme

    Vadrouiller à cheval, c’est pour moi un plaisir infini. Vous me direz, l’équitation, on aime ça, ou pas. Que les plus frileux s’enhardissent : peut-être que monter à cheval dans l’Oise vous réconciliera avec les chevaux. Car la race des Henson, que vous retrouverez ici, est réputée pour sa docilité et sa douceur ! Et découvrir la forêt domaniale de Compiègne ou de Chantilly à dos de cheval, c’est vraiment autre chose. Comme les cavaliers des temps passés, vous chevaucherez sur « l’allée des Beaux Monts » qui relie le château de Compiègne à la forêt éponyme ou bien vous trotterez tranquillou au cœur de la capitale du cheval : Chantilly. Une jolie manière de s’approprier ses lieux d’exception.

    Un Monde à vélo

    Si je ne vous ai pas convaincu, vous pouvez grimper sur votre vélo : pourquoi ne pas parcourir l’itinéraire 7 qui vous mène de Compiègne à Pierrefonds ? A la force des mollets, c’est toute l’histoire de l’Oise qui vous sera ainsi contée. Il y a de quoi pédaler : rien que la forêt de Compiègne offre 14 000 hectares à parcourir ! Sur votre chemin, deux villages charmants et tout fleuris (Vieux-Moulin et Saint-Jean-aux-bois) et l’incroyable château de Pierrefonds. Il vous fera sourire : il ressemble à s’y méprendre à ceux de vos livres d’enfant. Le carnet de voyage de cette boucle, qui compte une trentaine de km, est à télécharger : ne vous en privez pas. Nul doute que vous rentrerez ravi !

    Compiègne – Pont-Sainte-Maxence Hervé Tallon – Studiolight Productions

    Autre idée sympa : combiner les plaisirs !  « Boat & Bike », c’est un parcours qui, comme son nom l’indique, vous invite à vivre l’aventure en bateau et à vélo. Moi qui aime les compromis, ça me plait beaucoup ! Le circuit proposé relie Pont Sainte Maxence à Compiègne : vous embarquez pour une croisière sur l’Oise (3h30) et vous faites le retour à vélo (2h30). Le plus amusant ? Le rallye découverte qui permet d’en apprendre plus sur la batellerie et les sites rencontrés : au fur et à mesure de la balade, des énigmes sont à résoudre. Et même pas besoin d’être une petite tête blonde pour jouer : une version adulte est aussi disponible ! J’ai apprécié la formule brunch : s’offrir un moment gourmand au fil de l’eau, c’est plaisant !

    Rivière Thérain Grégory Smellinckx

    Si vous préférez quelque chose de plus sportif, osez les balades en canoë kayak sur le Thérain. C’est certain que vous vous sentirez dans la peau d’un aventurier : à vous les petits recoins cachés dans les méandres de la rivière et les rives sauvages. Nous nous sommes rendus au club du Thérain Montataire qui organise d’ailleurs des sorties découvertes sur d’autres rivières encore. Une randonnée à la journée nous semblait un peu trop : on a loué un canoë à la demi-journée. Une immersion totale pour découvrir la faune et la flore. Quatre heures de dépaysement total de Cirès-les-Mello à Montataire ! D’autres possibilités existent : 4 balades sont proposées par 3 services.

    Xavier Renoux – Oise Tourisme

    Et puis, à partir du 21 juin, vous pourrez communier avec la nature grâce aux balades musicales du Festival des Forêts. Du violon, de la flûte traversière, de la guitare… Le mariage de la musique classique et des forêts de Compiègne et Laigue. De nombreux rendez-vous seront proposés jusqu’à la mi-juillet. Si ça, ce n’est pas magique ? Les déclinaisons seront belles : marches thématiques, goûter musical, villes de caractère… De l’inédit !  Pensez à réserver votre place : il n’y en aura pas pour tout le monde.

    C’est certain, vous ne regretterez pas cette parenthèse au vert dans l’Oise. A pied, à vélo, à cheval, en bateau… vous trouverez ce qui vous sied. Mais surtout, respirez et ouvrez grand les yeux. Tout est si joli ici !

    je programme mon séjour

  • Découvrez les Lacs de l’Eau d’Heure : le site touristique des plus grands Lacs de Belgique

    Découvrez les Lacs de l’Eau d’Heure : le site touristique des plus grands Lacs de Belgique

    David Samyn

    Une multitude d’activités pour vous distraire et vous détendre

    Découvrir le Lac en Amphibus. Faire le tour des Lacs en vélo par le RAVel. Prendre le petit train touristique. Découvrir la nature avoisinante. Partir à l’aventure dans les arbres et en VTT. Plonger dans l’atmosphère tropicale du Parc Aquatique. Se détendre l’esprit au Centre de Wellness. Manger et prendre un verre en toute décontraction. Profiter des différentes plaines de jeux. Découvrir le Golf et le Foot Golf …

    Mais aussi !

    Faire de la planche à voile, du kayak, du paddel, de la voile, du jet ski, du ski nautique, de la plongée …

    François de Ribaucourt

    Insolite ! le plus grand barrage de Belgique vu de l’intérieur

    Une visite inoubliable, depuis les entrailles du géant jusqu’au sommet de sa tour avec une vue extraordinaire sur les Lacs de l’Eau d’Heure.

    Votre logement en bordure du Lac dans un des villages de vacances ou à l’hôtel.

    Landal

    Aux Lacs de l’Eau d’Heure tout devient possible et accessible pour passer un moment inoubliable.

    Infos : reservation@lleh.be –  www.lacsdeleaudheure.be

    Route de la Plate Taille 99 – 6440 Boussu-lez-Walcourt

  • Vin : les bulles wallonnes, vous connaissez ? Voici nos 5 alternatives au champagne français.

    Vin : les bulles wallonnes, vous connaissez ? Voici nos 5 alternatives au champagne français.

    WBT – Denis Erroyaux

    La Wallonie est-elle appelée à devenir une terre incontournable en matière de production vinicole ? Tout porte à le croire. En effet, les nouveaux domaines se multiplient à vitesse grand V, de quoi concurrencer les champagnes français et autres proseccos italiens. Tout bénéfice pour l’environnement puisque les Belges peuvent désormais profiter de bulles produites localement.

    C’est que si réchauffement climatique il y a, l’intensité de celui-ci n’est pas encore suffisante que pour pouvoir faire de la Belgique un terroir à même de concurrencer le Bordelais, le Piémont ou encore les vallées de la Rioja. En revanche, la production de bulles colle particulièrement bien au climat belge, ce qui encourage bon nombre de producteurs à se tourner vers ce créneau.

    1.   Château de Bioul, Brut de noirs

    Fleuron de la viticulture en Wallonie, le Château de Bioul s’est récemment lancé dans la production de vins suivant la méthode traditionnelle. La cuvée Brut de noirs est obtenue à partir d’une sélection qui a fait l’objet d’une grande rigueur et dont les fruits sont vieillis deux fois plus longtemps que les autres cuvées du château, soit durant 18 mois.

    2.   Domaine du Ry d’Argent, Cuvée Nell

    Ce domaine est sans aucun doute l’un des plus dynamiques de Wallonie. La Cuvée Nell est une des plus belles créations de la maison, un mousseux léger qui se distingue par son côté agrumé qui fera merveille à l’apéro ou pour accompagner un repas agrémenté de poisson ou de terrines.

    3.   Domaine des Agaises, Cuvée Ruffus

    Le Vignoble des Agaises est le tout premier domaine à avoir été planté en Wallonie dans le but de produire exclusivement des vins effervescents. C’était en 2002. C’est donc probablement la bulle la plus connue de Belgique et l’une des plus appréciées. Et pour cause, l’expertise de la famille Leroy, à la tête de l’entreprise, fait mouche à chaque nouvelle cuvée !

    4.   Domaine du Chant d’Eole, Cuvée Prestige

    La “Rolls” des mousseux belges se distingue par sa robe de couleur or qui annonce fraîcheur et maturité. L’effervescence se présente en une myriade de fines bulles qui produisent une belle luminosité. En bouche, l’attaque est franche, l’acidité est parfaite. Le vieillissement de 48 mois lui confère plus de complexité et de matière à la dégustation que les autres créations du domaine hennuyer. Une merveille !

    5.   Domaine viticole du Chenoy, Perle de Wallonie

    Issu d’un assemblage millésimé de différents cépages (dont du Johanniter, de l’Helios, du Bronner et du Merzling), cette cuvée “Extra Brut” est unique en son genre. Ses raisins récoltés à la main et son élevage long sur latte donne un vin pétillant tout en élégance et en finesse au parfum subtil d’agrumes et de fruits blancs. Très demandé, ce breuvage est malheureusement souvent en rupture de stock.

    En savoir plus sur les vins wallons

  • La mer n’est pas une piscine : L’IKWV sensibilise aux dangers de la baignade en mer du Nord

    La mer n’est pas une piscine : L’IKWV sensibilise aux dangers de la baignade en mer du Nord

    Sarah

    L’intercommunale de sauvetage côtier de Flandre-occidentale (IKWV) entend mettre en lumière les dangers inhérents à la baignade en mer du Nord. An Beun, la secrétaire générale de l’IKWV, a souligné l’importance de sensibiliser les baigneurs aux risques de forts courants marins et de la température de l’eau.

    La sécurité sur le littoral

    Un poste de secours est mis en place dans chaque commune du littoral mais en dépit de cette présence renforcée, les précautions lors de la baignade restent indispensables.

    Les risques pour les nageurs expérimentés

    Même les nageurs aguerris peuvent rencontrer des problèmes en mer du Nord. La mer est imprévisible, avec des courants forts et une température plus basse que celle d’une piscine.