Depuis 2015, à Mouscron, des dizaines de milliers de personnes ont vécu l’expérience BattleKart : un concept unique qui allie les sensations du karting électrique, le fun et les interactions des jeux vidéo, et la technologie de la réalité augmentée.
BattleKart
BattleKart conquiert et révolutionne le monde des activités de loisir telles que les escape games et les bowlings. A bord de leur kart, les joueurs peuvent se mesurer sur des environnements projetés depuis le plafond, et en choisissant différents modes de jeu, tels que BattleRace, BattleFoot, BattleVirus, BattleSnake, et encore d’autres !
BattleKart
Nul besoin d’enfiler une combinaison ou un casque, les joueurs (dont les enfants à partir de 1,45m) peuvent participer en toute sécurité ! BattleKart Mouscron, c’est donc l’endroit rêvé pour des moments inoubliables entre amis, en famille, entre collègues lors de teambuildings et autres afterworks, ou encore pour célébrer des anniversaires et enterrements de vie de jeune fille ou de garçon.
Selon une étude récente menée par l’organisation Greenpeace, voyager en train en Europe coûte en moyenne deux fois plus cher que de prendre l’avion. Le rapport se base sur une analyse des prix de 112 trajets entre 27 pays européens, pour des distances inférieures à 1 500 kilomètres et des temps de voyage inférieurs à 24 heures en train.
Ça se présente mal chez nous !
La Belgique, en particulier, semble présenter une situation défavorable aux voyageurs ferroviaires. Le prix moyen des voyages en train y est 2,6 fois plus élevé que celui des vols. Parmi les trajets analysés depuis la Belgique vers d’autres villes européennes, seul le trajet entre Bruxelles et Hambourg est systématiquement moins cher en train.
Un défi pour les voyages durables
Greenpeace critique cette disparité de prix, et plus spécifiquement les compagnies aériennes à bas coût qui proposent des vols avec escale, moins chers pour le consommateur. L’ONG souligne que ces vols entraînent jusqu’à 10 fois plus d’émissions de gaz à effet de serre que les voyages en train, posant ainsi un défi pour les efforts de transition vers des modes de transport plus durables.
Des solutions proposées
L’ONG appelle les gouvernements européens à mettre en place des “tickets climats“, des abonnements qui favoriseraient les transports transfrontaliers moins polluants. Elle propose aussi de supprimer les subventions accordées aux compagnies aériennes et aéroports, dans le but de rééquilibrer la concurrence entre les différents modes de transport.
Maurice baigne au cœur de l’océan Indien, le plus tiède des océans, et elle doit sa notoriété pour avoir été jusqu’à la création du canal de Suez en 1869 une étape stratégique sur la route des Indes.
Gravure du quai en bois de Port Louis, bâtiment des marchandises et des douanes (1861)
Les premiers à s’y installer sont les Hollandais à la fin du 16ème siècle qui y développent un marché d’esclaves. Au début du 18ème siècle, ils quittent volontairement l’île, abandonnant une population métissée mais ils sont remplacés par les Français qui prennent possession des lieux et de nouveaux esclaves en provenance du Sénégal et de la Guinée y sont acheminés. Du contact entre les colons français et leurs esclaves naît le parler créole. En 1810 les troupes britanniques envahissent l’île mettant fin à l’occupation française, tout en autorisant les grands propriétaires fonciers franco-mauriciens à poursuivre l’exploitation de la canne à sucre, sauvegardant ainsi la langue française et le créole. Quand l’île perd sa position stratégique avec l’ouverture du canal de Suez, les exportations reculent, la pauvreté s’accroît, de plus la malaria ravage le pays. Au début du 20ème siècle la population mauricienne n’atteignait plus que 350000 habitants ! En 1992 Maurice devient une république indépendante, aujourd’hui sa population s’élève à quelque 1300000 habitants et il n’y a plus de recensement au nom de l’origine ethnique ou de la couleur de la peau, ils sont tous Mauriciens et fiers de l’être.
Plage de Belle Mare Charles Mahaux
Les plus belles plages de l’océan indien
La chance de cette petite île, à peine 65km du Nord au Sud et 48km d’Est en Ouest, c’est la barrière de corail qui la ceinture, la protégeant de la houle qui s’écrase sur les récifs tout en créant un lagon aux eaux turquoise chaudes et sûres qui lèche les plages. Sable doré et palmiers ondoyants, fonds marins multicolores, horizon flamboyant au lever ou au coucher du soleil, tous les clichés d’une carte postale sont réunis à Maurice. Le plus difficile est de choisir son camp de base !
Vue sur le Morne Brabant et la baie de Tamarin Charles Mahaux
La beauté des lagons transforme la plongée et le snorkeling en une immersion dans un univers de rêve auprès des rascasses volantes, des grondins et des poissons flûte qui peuplent le lagon. Sur la côte Ouest et plus particulièrement au départ des plages de Flic-en-Flac ou de Tamarin, offrez-vous l’expérience unique de saluer des dauphins à long bec dans leur cadre naturel et si vous le souhaitez, vous pourrez même nager à leur côté. Nous n’avons pas eu cette chance car c’était une baleine qui nous est apparue. Elle s’était engagée dans la zone à la recherche de planctons et sa seule présence a suffi à faire fuir les dauphins. Rencontre magique !
Le mont de la Tourelle dans la baie de Tamarin Charles Mahaux
Cette sortie en bateau très matinale permet aussi de faire une escale sur l’île vierge Aux Bénitiers où on se la joue Robinson pour quelques heures de bonheur sur cette langue de sable paradisiaque. L’eau ici est translucide et avec un peu de chance on y croise des pêcheurs de poulpe en paddle. Non loin de là une insolite formation de corail semble flotter en lévitation au-dessus de l’eau cristalline qui lui a donné son nom, Crystal Rock. C’est aussi le meilleur endroit pour découvrir de près le Morne Brabant, une sorte de pain de sucre levé sur une péninsule à l’extrémité Sud-Est de l’île. Il dresse ses parois abruptes à 556m d’altitude et a été classé en 2008 par l’Unesco au titre de paysage culturel. Difficile d’accès, il a servi de refuge aux esclaves en fuite et il constitue aujourd’hui un lieu symbolique fort pour les victimes du colonialisme.
Crystal Rock
Un paradis vert
Au-delà de ses plages, Maurice offre une nature tellement généreuse que l’écrivain américain Mark Twain aurait écrit lors d’une visite au 19ème siècle que Dieu s’était inspiré de Maurice pour créer le paradis… De fait, outre ses plages paradisiaques, l’île abrite des trésors naturels qui invitent aussi au dépaysement, le temps d’une escapade de quelques heures.
Les gorges de La Rivière Noire Charles Mahaux
La Terre des sept couleurs, à une quinzaine de km de Tamarin sur la côte Ouest, se découvre au cœur d’une immense clairière cernée de collines verdoyantes. Un paysage d’insolites dunes bombées qui semblent onduler et qui se parent sous le soleil de nuances de couleurs fauves, avec des reflets allant du jaune au bleu en passant par le brun, le violet, le vert, l’orange ou le rouge. Ce phénomène unique dans le monde atteste de l’activité volcanique de l’île, il s’agit de cendres mises à nu par l’érosion progressive des roches basaltiques. Les oxydes minéraux de diverses couleurs qu’elles contiennent ne se mélangent pas à cause des différences de densité et dessinent des bandes de couleurs à l’origine de ce magnifique relief.
La vallée des 7 couleurs à Chamarel Charles Mahaux
Autre escapade insolite, le Casela Nature Park, à 5km environ de Flic en Flac sur la côte Ouest, une sorte de zoo noyé dans une végétation tropicale. Près d’un millier d’oiseaux multicolores piaillent dans leurs volières au milieu d’arbres exotiques centenaires. On y trouve aussi de nombreuses tortues géantes d’Aldabra qui ne se laissent pas impressionner par les enfants qui viennent les toucher.
Un arrêt de bus à Flic en Flac Charles Mahaux
Mais le clou de la visite qui justifie l’excursion est la rencontre avec les félins. Pour les adeptes du grand frisson, la grande attraction consiste à marcher avec des lions, encadrés de guides professionnels. Nous nous sommes contentés du Drive Thru, un parcours à bord d’un véhicule entièrement grillagé à l’intérieur des vastes enclos qui abritent d’un côté des lions et de l’autre des tigres comme si nous étions au cœur de la savane où ils circulent en toute liberté. De quoi offrir certains tête-à-tête uniques https://caselaparks.com.
Château de Labourdonnais Charles Mahaux
Remonter le temps à Maurice
Il ne reste plus grand-chose de ce qui fut l’époque coloniale mais il est un château qui mérite qu’on s’y attarde, le château de Labourdonnais non loin du jardin de Pamplemousses. Il a été construit au 19ème siècle pour une riche famille franco-mauricienne toujours propriétaire du site qui compte également un verger et une distillerie. La beauté historique de cette demeure coloniale a amené la famille à la restaurer pour lui rendre son cachet d’antan et en faire une visite incontournable à Maurice.
La salle à manger du château de Labourdonnais Charles Mahaux
La bâtisse affiche sa structure architecturale typique de l’époque avec de nombreuses fenêtres et portes vitrées qui inondent la maison de lumière et permettent également de l’aérer tandis que les 4 façades restent protégées des rayons du soleil par une varangue, à savoir une longue galerie en bois. Le rez-de-chaussée dévoile un très beau parquet marqueté tout comme un mobilier Second Empire en palissandre. A l’étage la chambre conjugale présente un lit à baldaquin, un bonheur-du-jour, un banc de prière, etc… Une autre pièce transformée en musée est dédiée à l’histoire de la famille mais aussi à Mahé de Labourdonnais du nom du domaine sur lequel Christian Wiehe a construit son manoir https://domainedelabourdonnais.com.
Dans le musée de l’Aventure du Sucre Charles Mahaux
Cette visite dans un ancien manoir des Sugar Lords du 19ème siècle se prolonge non loin de là par celle du Sugar World ou Aventure du Sucre, un musée aménagé dans l’ancienne usine sucrière de Beau Plan fermée en 1999 après 202 années d’activité. La découverte est ludique et interactive tout au long d’un parcours en 8 étapes entre le pavillon de l’histoire de l’île avec une partie intéressante sur l’esclavage, le pavillon de la canne, les routes du sucre, le pavillon du rhum, etc. tout en découvrant d’impressionnantes machines aux engrenages tentaculaires, des centrifugeuses, des malaxeurs, etc. Notez que chaque section est résumée par un panneau « la leçon » qui affiche les points les plus importants. On découvre ainsi que l’identité mauricienne est intimement liée à la canne à sucre qui a façonné l’île, ses paysages, son peuplement et son économie. On y apprend aussi que la filière cannière est aujourd’hui synonyme d’innovation au cœur d’un modèle d’économie circulaire produisant sucres, rhum, bio fertilisants, énergie verte et alimentation animale https://aventuredusucre.com.
Marché de Port-Louis Charles Mahaux
Les saveurs mauriciennes
La vraie richesse de Maurice est sans nul doute son brassage des différentes cultures qui au fil des années ont tissé entre les communautés des liens forgés sur la tolérance et le respect. Cette harmonie malgré les différences religieuses entre autres nous surprend quand on connaît les hérissements qui divisent nos sociétés occidentales européennes. La langue créole met tout le monde d’accord et elle colore toutes les interactions parsemées de mots français, tout comme la toponymie des lieux à Maurice offre à elle seule un incroyable voyage tant leurs noms sont imagés : Curepipe, Crève-Cœur, Le Pétrin, Plaine Champagne, Poudre d’Or, Terre Rouge, Trou aux Biches et tant d’autres encore.
Sous la varangue du restaurant L’Escale créole Charles Mahaux
Les restaurants ne sont pas légion dans l’île, la plupart se situant dans les sites touristiques où ils proposent des menus de qualité dans des décors qui méritent le détour. Comme le rhum est au cœur de l’économie mauricienne, découvrez la table de l’Alchimiste dans le cadre élégant de la rhumerie de Chamarel qui ouvre ses portes pour une visite qui permet de comprendre la différence entre un rhum industriel et un autre dit agricole éco-conscient www.rhumeriedechamarel.com.
Dans le domaine du thé de Bois-Chéri Charles Mahaux
Ou encore le restaurant de Bois Chéri qui domine le domaine de l’usine à thé du même nom qui se visite également. Ici le thé figure en bonne place dans le menu : thé glacé, chutney, poulet au thé, etc. A découvrir en s’offrant le parcours gastronomique, historique et culturel de la Route du Thé, du Rhum et de la Vanille www.saintaubinloisirs.com.
Cuisine de rue Charles Mahaux
La cuisine mauricienne est à l’image de sa population, elle intègre des spécialités indiennes, européennes, chinoises ou créoles. Comme le public des vacanciers dans les hôtels est tout aussi varié, on y offre souvent des buffets où chacun peut y trouver son bonheur. Mais le moyen le plus sûr d’apprécier les saveurs mauriciennes c’est en s’offrant un Port-Louis Street Food Tour ou comment découvrir les différentes facettes de la capitale entre le Caudan Waterfront la galerie commerciale vitrine de l’île et les rues bigarrées du centre avec intrusion dans le quartier chinois et le marché très coloré.
Le waterfront de Port-Louis Charles Mahaux
Une découverte jalonnée de pauses gourmandes autour de la cuisine de rue : des dholl puri, des rotis, un mine frit et bien sûr un jus de canne fraichement pressé mixé avec du jus de citron et une pomme granny ! Délicieux et parfait pour accompagner ensuite la balade dans le marché qui offre une incroyable palette de couleurs avec la richesse des fruits et légumes proposés. Et si vous préférez plus de confort choisissez une authentique varangue créole ouverte au cœur d’un jardin fleuri luxuriant, L’Espace Créole. Le menu dégustation permet de découvrir les 4 saveurs de la cuisine mauricienne servies dans des petits chaudrons, de quoi organiser chacun son assiette à son goût. Un régal dans un décor terriblement authentique https://escalecreole.net.
Vous êtes en quête d’une cure de désintoxication numérique ? Alors ne cherchez plus ! En effet, l’île finlandaise d’Ulko-Tammio entend devenir la première zone touristique sans téléphone au monde ! Située dans le golfe oriental de Finlande, cette petite île s’est autoproclamée “zone sans téléphone”. “Nous voulons exhorter les vacanciers à éteindre leurs appareils connectés et à s’arrêter pour profiter réellement des îles” a expliqué Mats Selin de l’office du tourisme local.
Dans la pratique, il sera demandé aux voyageurs de garder leurs appareils dans leurs poches et de se déconnecter des médias sociaux. L’île dispose pourtant bel et bien d’un réseau de téléphonie mobile opérationnel…
Redécouvrir les bienfaits de la nature
Ulko-Tammio, qui est nichée au cœur d’un parc national, est inhabitée. Il est néanmoins possible d’y passer la nuit dans des tentes ou des cabanes. Les nouvelles règles, qui ne seront néanmoins pas contraignantes mais à considérer comme une invitation, offriront aux visiteurs l’occasion de “se concentrer sur la nature”, explique Joel Heino, de Parks and Wildlife Finland. Une initiative pour le moins insolite qui pourrait être mise en œuvre dans d’autres destinations naturelles et récréatives du pays.
Une cure bénéfique
Beaucoup l’ignorent mais, en moyenne, un adulte européen passe en moyenne six heures par jour le nez sur des écrans ! Les abandonner peut avoir de nombreux effets bénéfiques sur la santé mentale. En effet, une étude réalisée en 2022 a révélé que les participants à celle-ci qui ont fait une pause d’une semaine dans les médias sociaux ont constaté des améliorations significatives de leur bien-être et de la qualité de leur sommeil. Le “repos numérique” peut également contribuer à restaurer la capacité d’attention. L’exposition constante aux stimuli numériques diminuerait en effet les capacités de concentration.
Enfin, une étude réalisée en 2019 par l’Université d’East Anglia a révélé qu’une cure de “désintoxication numérique” augmentait significativement le sentiment de bien-être.
La partie nord de Venise abrite le quartier tranquille de Cannaregio, un lieu souvent négligé par les touristes. Flâner dans ses rues calmes et le long de ses canaux est un plaisir rare. Le vieux quartier juif et les tavernes locales traditionnelles, appelées “bacari”, vous feront vivre une Venise authentique.
2. L’Escalier du palais Contarini del Bovolo
Caché au cœur de Venise, l’escalier du Palais Contarini del Bovolo est une merveille architecturale souvent oubliée. Ses multiples arcs et sa forme en spirale offrent une vue panoramique inégalée sur la ville.
3. La Librairie Acqua Alta
Bien que de plus en plus connue, la Librairie Acqua Alta reste un secret bien gardé. Avec ses piles de livres d’occasion disposées dans des gondoles et des baignoires pour les protéger des inondations, cette librairie dégage un charme indéniable.
4. L’Île de San Francesco del Deserto
Cette petite île abrite un monastère franciscain actif et est un havre de paix loin de l’agitation de la ville. Le jardin paisible et l’aura sereine de l’île en font une retraite spirituelle inoubliable.
5. Le Palais Fortuny
Le Palais Fortuny, autrefois résidence de l’artiste Mariano Fortuny, est souvent ignoré des itinéraires touristiques. Aujourd’hui, c’est un musée dédié à l’œuvre de Fortuny, avec ses textiles luxueux et ses magnifiques lustres en verre de Murano.
1. Las Vegas, la ville du jeu qui perd de son éclat
Grant Cai
Selon ViaTravelers, Las Vegas serait la destination la plus surestimée des États-Unis. Malgré ses lumières scintillantes et ses casinos alléchants, la ville semble perdre de son glamour. Les activités familiales sont rares et tout tourne autour de l’industrie du jeu.
2. La Tour de Pise, un selfie trop cher
Andrea Cevenini
La Tour de Pise, selon le même site, est l’une des destinations les plus décevantes de la planète. En réalité, c’est juste un endroit pour prendre un selfie. De plus, la tour est beaucoup plus petite que ce que l’on pourrait penser et les foules rendent difficile la prise d’une bonne photo.
3. London Eye, une vue surestimée
John Cameron
Le London Eye, cette grande roue près du Palais de Westminster, est une autre attraction surestimée. Les longues files d’attente et le prix élevé du billet rendent l’expérience décevante. De plus, la vue depuis le sommet n’est pas aussi impressionnante qu’on pourrait le penser.
4. Les Chutes du Niagara, une beauté naturelle gâchée par le tourisme
Sergey Pesterev
Les Chutes du Niagara, malgré leur beauté naturelle, sont devenues un piège à touristes. La ville de Niagara Falls est remplie de boutiques de souvenirs et le stationnement peut être un véritable challenge. De plus, il n’y a pas grand-chose à faire dans la région une fois que vous avez vu les chutes.
5. Hollywood, le glamour qui s’estompe
Oxana Melis
Hollywood, malgré son image glamour, est une autre destination surestimée. La circulation est un cauchemar et beaucoup de studios de cinéma ont déménagé vers des villes plus abordables. De plus, le Walk of Fame d’Hollywood a été voté comme l’un des pires pièges à touristes de tous les temps.
6. Dubaï, une ville sans âme
ZQ Lee
Dubaï, malgré son apparence impressionnante, est souvent décrite comme une ville sans âme. La ville est pleine d’hôtels, de centres commerciaux et de projets de construction qui la font ressembler plus à un projet de développement qu’à une destination touristique de haut niveau.
7. Times Square, un carrefour surpeuplé
James Ting
Times Square, l’une des destinations les plus surestimées de New York, est en réalité un carrefour bruyant et surpeuplé. Les prix sont élevés et l’expérience est souvent décevante.
8. Les Champs-Élysées, un luxe surestimé
Pedro Gandra
Les Champs-Élysées, bien que considérés comme une promenade de luxe, sont en réalité remplis de magasins vendant des marques surévaluées et de restaurants qui ne sont pas à la hauteur des autres options à Paris.
9. Le Manneken Pis, une déception belge
Frédéric Paulussen
Le Manneken Pis, bien que célèbre, est souvent cité comme l’une des attractions touristiques les plus surestimées… au monde ! Cette petite statue, bien qu’emblématique de Bruxelles, est souvent décrite comme décevante en raison de sa taille et de son manque d’intérêt. En réalité, c’est juste un endroit pour prendre un selfie. De plus, la zone autour du Manneken Pis est souvent bondée de touristes, ce qui rend difficile la prise d’une bonne photo.
10. Le Mont Rushmore, une déception en pierre
Jean Beller
Enfin, le Mont Rushmore, malgré son image emblématique, est souvent décrit comme décevant. La sculpture est beaucoup plus petite qu’on pourrait le penser et il y a très peu de choses à faire sur place.
Dans la ville de Solapur, au sud de l’Inde, une coutume ancestrale a lieu qui pourrait faire frémir plus d’un occidental. Les bébés sont jetés du haut d’un bâtiment de 15 mètres dans un drap tendu en bas par des membres de la communauté. Cette tradition, qui remonte à plusieurs siècles, est censée porter bonheur aux nouveau-nés.
2. Le marathon déguisé de San Francisco
Le marathon “Bay to Breakers” de San Francisco est une course pas comme les autres. Les participants ne se contentent pas de courir, ils le font déguisés ! Des centaines, voire des milliers de personnes, se lancent dans cette course festive, ajoutant une touche de fantaisie à l’effort physique.
3. Les cadeaux tabous en Chine
Si vous voyagez en Chine et que vous avez l’intention d’offrir un cadeau, soyez prudent. Certains objets sont traditionnellement associés à la mort et sont donc réservés aux enterrements. Parmi eux, les fleurs (associées au deuil), les mouchoirs (pour pleurer), les montres (qui symbolisent le temps qui passe) et les sandales en paille.
4. Le crachat de bienvenue au Kenya
Dans les tribus Masaï du Kenya, la naissance d’un bébé est célébrée d’une manière assez unique. Le nouveau-né est passé de bras en bras parmi toutes les femmes du village, chacune crachant dans sa bouche. Cette tradition est censée porter chance au bébé.
5. Les fenêtres en diagonale du Vermont, États-Unis
Dans le Vermont, au nord-est des États-Unis, certaines maisons possèdent des fenêtres non pas verticales ni horizontales, mais en diagonale. La légende dit que ces fenêtres permettraient de protéger les maisons et leurs habitants des sorcières en leur empêchant d’entrer. Une coutume qui témoigne de la richesse du folklore local et de l’importance des croyances dans l’architecture.
Le Global Peace Index vient donc de révéler son classement annuel des destinations les plus sûres au monde. De quoi ravir les touristes et voyageurs qui choisissent leur lieu de vacances en fonction de la sécurité qui y règne. Car qu’on se le dise, il n’y a pas que la diversité des paysages, le temps clément ou encore la gastronomie locale qui sont des critères déterminants.
Cette année, 23 indicateurs différents ont été pris en compte pour déterminer les pays les plus safe, dont le taux de violence et de criminalité liés au terrorisme et aux conflits internationaux, l’accès aux armes, les relations avec les pays voisins ou encore le nombre de manifestations émaillées d’incidents et de faits de violence. Sur cette base, une moyenne est établie sur une échelle allant de 1 à 5. Plus le score est bas, plus le pays est sûr !
Robert Lukeman
Selon le Global Peace Index, c’est l’Islande qui est le pays le plus sûr du monde, avec un résultat de 1,124/5. C’est tout sauf une surprise puisque ce pays du nord de l’Europe occupe cette première place depuis 15 ans ! Suit le Danemark en deuxième position (avec un score de 1,31/5) puis l’Irlande avec une moyenne de 1,312/5. Enfin, en quatrième et cinquième positions, on retrouve la Nouvelle Zélande (1,313/5) et l’Autriche (1,316/5).
Quid de la Belgique ?
Sur les 163 pays passés au crible, la Belgique occupe la vingtième place du classement avec une moyenne de 1,523/5. Pour ce qui est des destinations les moins sûres, les cinq pays qui bouclent ce classement annuel sont la République démocratique du Congo (3,214/5), le Soudan du Sud (3,221/5), la Syrie (3,294/5), le Yémen (3,35/5) et enfin l’Afghanistan (3,44/5) qui arrive en dernière position.
Envie d’en savoir plus ? Les résultats de l’enquête Global Peace Index peuvent être consultés ici.
Les agences de voyage et les sites spécialisés dans le tourisme sont confrontés à un sacré casse-tête : faut-il encore recommander des destinations comme Athènes, l’Andalousie, la Provence ou encore la Sicile en été alors que, de plus en plus souvent, ces régions connaissent des vagues de chaleur extrême ? Autrement dit, faudra-t-il bientôt faire évoluer les recommandations saisonnières pour telle ou telle destination ? Une nouvelle donne qui, conjuguée à des épisodes de sécheresse, de pénuries d’eau et d’incendies, a de quoi faire réfléchir de nombreux Belges quant à leur lieu de villégiature estivale.
Toujours est-il que certains d’entre eux, même s’il ne s’agit encore que d’une minorité, commencent à revoir leurs habitudes de voyage, en optant par exemple pour la montagne, la Scandinavie ou la Grande-Bretagne. Autant de zones où les températures d’été demeurent, pour l’instant, moins extrêmes. Cela concerne bien entendu les personnes qui n’envisagent plus de passer leurs vacances sous le cagnard mais aussi celles qui privilégient les promenades au grand air plutôt que de faire la crêpe sur un sable brûlant, recouvert de crème solaire ou encore celles qui, plus simplement, entendent fuir les destinations habituellement envahies par le tourisme de masse.
La chaleur ? Même pas peur !
Pour d’autres, l’été se conjugue irrémédiablement avec le soleil et la mer, quitte à devoir endurer des températures insupportables. Et les statistiques récentes le montrent, ne fût-ce qu’à l’échelle de la France : la mer Méditerranée attire encore à elle seule le double des touristes de la Normandie et de la Bretagne réunies. L’été dernier, le pourtour du bassin méditerranéen retrouvait quelque 83 % de ses chiffres d’avant pandémie et, pour la saison actuelle, l’affluence de touristes ne semble pas s’essouffler, malgré la chaleur. Il faut aussi dire que bon nombre de réservations sont enregistrées des mois à l’avance, sans savoir si l’été qui suit sera marqué ou pas par des épisodes de canicule. Avec plus d’un demi siècle de tradition touristique, la Méditerranée et, plus globalement, le sud de l’Europe, demeurent incontournables pour de nombreux foyers belges. Mais rien n’exclut que cet enthousiasme s’amenuise dans les années qui viennent.
Enfin, il est aussi possible de fréquenter ces destinations populaires à un autre moment de l’année, comme au mois de mai ou au mois de septembre. Si on a la possibilité d’éviter les mois les plus chauds, on peut donc anticiper ou différer son départ en vacances. Une solution de plus en plus privilégiée par les ménages sans enfant et les couples retraités.
La Royal Air Maroc (RAM), la compagnie aérienne du Maroc, veut multiplier par quatre sa flotte d’avions dans les 15 prochaines années, passant de 50 à 200 avions. Pour y arriver, la RAM a signé un contrat avec le gouvernement. Le plan est simple : faire venir environ 65 millions de touristes en 2037. C’est six fois plus qu’aujourd’hui !
Participation de l’État
Le gouvernement va aider la RAM à réaliser ce plan en investissant davantage dans la compagnie. On ne sait pas combien exactement, mais cela aidera la compagnie à améliorer ses services et à devenir plus compétitive.
Nouveaux avions et de nouvelles destinations
La RAM prévoit d’acheter de nouveaux avions dès 2024. En outre, elle prévoit d’ajouter de nouvelles destinations internationales et locales pour attirer davantage de touristes. Notez que la compagnie va principalement se concentrer sur l’Afrique, l’Amérique et l’Asie.