Oubliez les clichés sur les moulins et les tulipes. À Leyde, ce sont le fromage sauvage et la bière artisanale botanique qui attirent les becs fins cet été. Cette ville universitaire à la beauté tranquille, entre canaux, musées et marchés historiques, cache une scène gastronomique locale aussi surprenante que délicieuse.
Simone Both
Marchés, cueillettes et fromages d’auteur
Dès le samedi matin, direction le cœur de Leyde pour un marché aussi vieux que savoureux. Poissons frais, gaufres au sirop, épices et fromage de Warmond s’y côtoient. Et pour ceux qui ne sauraient résister à un deuxième tour, cap sur le marché PUUR Natuur de Wassenaar, chaque dernier samedi du mois.
Simone Both
Envie d’une balade utile ? Partez en cueillette sauvage avec Daphne Struint autour de Leyde. Fleurs, herbes, feuilles comestibles…
L’art du fromage… en version slow
Trois fermes, trois philosophies du bien-manger durable. À Warmond, la ferme De Eenzaamheid produit son légendaire « Wilde Weide Kaas » depuis 170 ans. À quelques coups de pédale, le Boterhuys réinvente le lait avec sa « kalfvolle melk ». Et à Wassenaar, la ferme Nellesteijn, énergétique neutre, a raflé le prix du meilleur fromage fermier des Pays-Bas en 2022. Chapeau, les vaches !
Simone Both
Bière botanique et air marin
Après l’effort, le réconfort : la brasserie Pronck, installée en ville, propose une box bière & fromage à s’offrir ou à ramener. Envie de tout goûter ? Empruntez la route vélo Duin & Zeeroute, 33 km entre dunes, mer et fermes gourmandes.
Paradoxal, mais logique : quand vous êtes bien quelque part, vous n’avez aucune envie de voir s’abîmer l’environnement qui vous convient.
L’exercice est donc périlleux, mais je peux m’y livrer sans crainte : le tourisme de masse à Madagascar n’est pas pour demain ni même après-demain, et le territoire est si vaste qu’il y en a pour tous les goûts. Voici les miens.
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Chez RaWill à Toliara
Un petit bar de quartier à Toliara, sur la côte sud-ouest. Il n’a pas de nom même si tous ceux qui y viennent l’appellent du prénom à peine modifié de son patron : chez RaWill – il s’appelle William, le « Ra » qui s’accole au prénom raccourci est une façon de dire « monsieur ».
Il y a quatre tables bancales en terrasse, quelques autres dans deux petites salles sur le côté et à l’arrière. Les gens du quartier y passent, s’arrêtent parfois, mais n’oublient jamais de saluer le patron ou son épouse, ni de formuler des souhaits circonstanciels à chaque jour de fête. Il arrive qu’une grande table se forme, entre amis ou en famille, et ça peut durer toute la journée.
Ce quartier a été le mien pendant plus de quatre ans, je ne m’en suis pas beaucoup éloigné et j’y reviens toujours, comme chez moi.
Antalaha, capitale de la vanille
Antalaha, sur la côte nord-est, capitale autoproclamée de la vanille, bénéficie des retombées économiques de cette culture, « l’or noir de Madagascar ».
Au bord de l’océan Indien, une longue promenade mène du port à des lieux presque champêtres. Un marché populeux offre aux lève-tôt (j’en suis) café, gâteau banane et autres petits-déjeuners d’une gouteuse simplicité, pendant que les commerçants déballent leurs marchandises.
La circulation sur la route nationale qui coupe la ville en deux est parfois dense, mais dans l’ensemble, il règne à Antalaha un calme appréciable.
Mahajanga et son baobab géant
Mahajanga, à l’ouest, est une autre ville côtière. Plus grande que Toliara, moins pluvieuse qu’Antalaha, elle est célèbre pour un baobab géant qui trône au cœur de la ville – les touristes, malgaches comme étrangers, s’y font systématiquement photographier.
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Je marche le long de la corniche, mange le soir des brochettes (masikita) avec du manioc grillé – l’équivalent, pour un dîner léger, du petit-déjeuner d’Antalaha.
Les plus belles plages sont à l’extérieur de la ville, ce qui m’arrange : au centre, pulse une vraie vie locale, non soumise aux exigences des gens de passage.
Et tant d’autres lieux…
Et tant d’autres lieux, bien sûr :
un bar (encore ?) à Fianarantsoa où je me sens en famille,
le petit marché de Foulpointe (Mahavelona pour les Malgaches) au nord de Tamatave (Toamasina),
Lorsque vous voyagez en avion, la compagnie aérienne est responsable de vos bagages depuis leur enregistrement jusqu’à leur récupération sur le tapis roulant. Toutefois, cette responsabilité n’est pas illimitée : la législation prévoit un plafond pour l’indemnisation en cas de perte, de vol ou de dommage après l’enregistrement : cette indemnité est actuellement limitée à environ 1.900 euros par passager.
Si vous estimez que la valeur de vos bagages dépasse ce montant, vous pouvez remplir une « déclaration spéciale d’intérêt » au moment de l’enregistrement, moyennant le paiement d’un supplément.
Prouver un vol
Si votre valise arrive bien sur le tapis roulant à l’aéroport de destination, mais que certains objets ont disparu, vous pouvez, en théorie, réclamer une indemnisation. Cependant, vous devrez prouver le vol et démontrer que vous étiez bien en possession des objets volés. Et c’est souvent là que les difficultés commencent. Munissez-vous, dans la mesure du possible, de preuves d’achat et de photos des objets concernés.
Déclarez immédiatement le vol à l’aéroport si vous constatez la disparition sur place. Si vous ne vous en apercevez qu’en ouvrant vos bagages, vous devez envoyer une lettre recommandée dans un délai de sept jours après la réception des bagages pour signaler le vol et demander une indemnisation.
Assurance bagages
Il est également possible de souscrire une assurance bagages supplémentaire auprès d’une compagnie d’assurances. Gardez cependant à l’esprit que toutes les assurances ne se valent pas. La couverture, les montants garantis et les conditions varient selon les contrats. Il est donc essentiel de lire attentivement les conditions générales avant de vous engager avec un assureur !
Le niveau d’instruction est le critère numéro un pour prédire qui part faire bronzette à l’étranger. En moyenne, les diplômés de l’enseignement supérieur voyagent deux fois plus que les autres. Leur mode de transport fétiche ? Toujours l’avion, bien sûr, mais aussi le train, utilisé un peu plus souvent.
Urbanité et mobilité : le duo gagnant
En matière de mobilité, la ville gagne. À Bruxelles, les habitants font la valise plus souvent que les Flamands ou les Wallons, et privilégient les moyens de transport plus « cosmopolites ». Ils prennent deux fois plus l’avion, 4,5 fois plus le train, et un peu moins la voiture.
En Flandre, les citadins voyagent aussi plus que les ruraux. Mais en Wallonie, surprise : ce sont les habitants des zones non urbaines qui partent davantage. Une exception wallonne qui pourrait s’expliquer par des différences de revenus…
Ce parc, situé à Dochamps en province de Luxembourg, est un parc forestier récréatif plein de surprises. Ses passerelles, longues de 200 mètres et accrochées à plus de 15 mètres du sol, vous permettent de rencontrer la forêt autrement. Quant à son sentierpédagogique, long de 2 kilomètres, il traverse le domaine naturel et est ponctué d’activités didactiques passionnantes.
Parc Chlorophylle
Vous pouvez même faire appel à des animateurs natures spécialisés : ils vous proposeront une visiteguidée. 2 heures durant lesquelles vous approcherez le cœur même de la forêt ! Pour le moment (de mai à septembre), ce sont les plantes comestibles qui sont mises à l’honneur. Réservation obligatoire !
Le Parc Chlorophylle, c’est aussi 33 attractions en bois, et de jolies plaines de jeux : à vous les toboggans en plein air. Ils ont été conçus pour que petits et grands puissent en profiter. Mais cette année, deux toutes nouvelles plaines de jeux et de découverte ont été créées : la première est consacrée au hérisson ; la seconde à la feuille d’érable.
Parc Chlorophylle
Le parcours d’aventure vous mènera à un hérisson géant en bois : les enfants peuvent y entrer et en sortir par un toboggan. Vous en apprendrez plus sur le cycle de vie du hérisson, sur son régime alimentaire, sur les soins à lui prodiguer en cas de blessures, etc. L’autre plaine de jeux propose, entre autres choses, un grand filet de détente : couchés là, vous pourrez observer à loisir la canopée environnante.
Mais les nouveautés ne s’arrêtent pas là : 2 modules pédagogiques ont encore été aménagés dernièrement. Ils s’articulent autour des thèmes de la fougère et des animaux cavernicoles (qui nichent dans des cavités), comme la chouette, la chauve-souris, la martre…
Pour comprendre les choses, il faut s’activer : c’est aussi ludique que pédagogique. Ainsi, c’est en manipulant les cylindres rotatifs que vous en apprendrez plus sur les particularités des fougères, et c’est en soulevant les panneaux accrochés au tronc d’arbre que vous découvrirez, sous l’écorce, la fourmi charpentière ou le mille-pattes…
Parc Chlorophylle
Après avoir exploré les 9 hectares que compte le parc, nul doute que vous aurez envie de vous poser et de vous restaurer : la Brasserie du Parc, ouverte toute la saison de 10 à 19h, est là pour ça ! Se poser pour un momentgourmand, dans un tel écrin, c’est doublement plaisant.
Parc Chlorophylle
La terrasse panoramique de la brasserie vous fera même rêver : vous pourrez y déguster votre plat face à une vue magique sur la grande plaine. Et pour célébrer les beaux jours, les soirées d’été prennent vie en musique : convivialité et saveurs au programme !
À Puerto de La Duquesa, charmant port andalou, le français est devenu langue semi-officielle. Là, Zapinvest, agence belgo-espagnole, accueille les futurs acquéreurs sous un soleil éclatant ! Il faut dire que les avantages sont nombreux : soleil, paysages, plages, prix du panier de la ménagère…
Et du côté des prix ?
Selon le journal Le Soir, qui a investigué du côté de l’agence Zapinvest, les prix ont très fort grimpé ces dernières années : en 10-15 ans, on peut estimer que les prix ont doublé. Aujourd’hui, il faut compter un minimum de 200.000 euros pour un bien ancien et 280.000 euros pour un bien neuf ! C’est qu’en matière d’immobilier, les Belges sont devenus exigeants : deux chambres, deux salles de bains, une grande terrasse, et le tout à deux pas des commodités.
Le profil des acheteurs ?
Principalement entre 50 et 65 ans, souvent déjà pensionnés ou en préparation de leur retraite dorée. Mais une nouvelle génération débarque aussi : ceux qui optent pour le télétravail les pieds dans l’eau.
Depuis exactement un an, Singapore Airlines relie Brussels Airport à Singapour quatre fois par semaine avec une liaison directe opérée par la version long-courrier de l’Airbus A350-900. À partir de Singapour, plus de 130 connexions sont possibles vers l’Asie, l’Océanie et au-delà. Pour fêter cet anniversaire et mettre en lumière la richesse de ces destinations, la compagnie aérienne la plus primée au monde a sollicité The Chocolate Line pour créer des pralines belges, typiques mais revisitées. Et qui dit revisitées, dit forcément une touche audacieuse, comme on peut s’y attendre de la part des maîtres chocolatiers Dominique et Julius Persoone. Le résultat ? Une boîte édition limitée, une explosion de saveurs qui vous propulse droit vers quelques-unes des destinations les plus fascinantes du réseau de Singapore Airlines.
Des goûts surprenants, parfois même expérimentaux
C’est principalement Julius Persoone qui s’est chargé du développement du panel de saveurs pour Singapore Airlines. Et ces saveurs sont aussi affirmées que surprenantes, voire carrément expérimentales. Un brin de rock & roll dans l’ADN des Persoone – et donc aussi dans la collection Chocolatitude.
Voici les neuf pralines de la boîte Chocolatitude :
• Singapour, la praline signature : gin, citron vert et cerise dans un enrobage de chocolat noir, inspirée du cocktail « Singapore Sling »
• Philippines : fraîcheur du calamansi et du kosho dans un chocolat noir intense
• Indonésie : chocolat au lait onctueux avec noix de coco, feuille de citron kaffir et citronnelle
• Thaïlande : chocolat blanc parfumé à la feuille de kaffir, noix de coco grillée, sucre de palme et piment
• Cambodge : chocolat blanc et ganache tropicale à la mangue et au fruit de la passion
• Viêt Nam : chocolat au lait avec une ganache caramel-café et du lait concentré
• Malaisie : ganache de chocolat blanc aux feuilles de pandan et cacao noir
• Nouvelle-Zélande : chocolat noir, kiwi frais et menthe poivrée
• Australie : ganache chocolat fumé (à base de fèves provenant d’une région volcanique) avec un caramel au Vegemite – une pâte à tartiner salée australienne à base d’extrait de levure. Une association étonnante mais réussie. On aime… ou pas !
Nous avons eu la chance de toutes les goûter, et le verdict est clair : le résultat est bluffant, voire carrément addictif pour certaines. D’où vient l’inspiration de Julius ?
« Je n’ai pas encore eu la chance de visiter toutes ces destinations, mais chez The Chocolate Line, nous avons la chance d’avoir une équipe très internationale. Ils connaissent les saveurs de leur pays d’origine jusque dans les moindres détails. Ensemble, nous avons développé des goûts marqués, allant du plus classique au plus audacieux, en écho aux profils des voyageurs et à la diversité des destinations de Singapore Airlines. »
Disponible en édition limitée, sans billet Business Class
« Chocolatitude, c’est bien plus qu’une collection de pralines. C’est une invitation à la découverte, » explique Christian Stenkewitz, General Manager Benelux chez Singapore Airlines. « Chaque bouchée stimule les sens et éveille l’envie d’explorer – un clin d’œil subtil à l’expérience de classe mondiale à bord et aux destinations extraordinaires que Singapore Airlines rend accessibles. »
Voler en Business Class est un rêve pour de nombreux voyageurs, surtout avec une compagnie aussi primée que Singapore Airlines, connue pour son service irréprochable et sa gastronomie raffinée. Mais bonne nouvelle : pas besoin de billet Business pour savourer les pralines Chocolatitude ! En réalité, ces pralines ne sont pas (encore ?) servies à bord des avions de la compagnie.
Les pralines Chocolatitude sont disponibles exclusivement dans les boutiques The Chocolate Line à Bruges et Anvers, ainsi que, plus récemment, à Brussels Airport. Une petite gourmandise à s’offrir avant le décollage – ou pourquoi pas, un souvenir gustatif pour prolonger le voyage après votre retour ?
On s’est levées tôt : l’aventure nous attendait ! On a seulement pris un café et on s’est mises en route : on avait prévu de déjeuner dans l’un des établissements de la Grand-Place. Et on ne l’a pas regretté : quel plaisir de prendre un croissant en terrasse, devant le plus vieux beffroi de Belgique, et sous un joli ciel bleu !
Arts & Design in the city
Le ventre bien rempli, on allait s’aventurer en plein cœur de la ville pour suivre le parcours « Arts & Design in the city ». L’Office de tourisme distribue gratuitement le plan du circuit qui fait quand même 6 km. On a profité de notre passage à l’Office de Tourisme pour regarder le petit film « Les Folles Histoires de Tournai » : de quoi en savoir plus sur la ville avant d’entamer notre circuit artistique.
Tournai en couleurs !
Oui, Tournai, c’est désormais un musée à ciel ouvert. On a pris plaisir à découvrir les énormes lapins jaunes sur la place Crombez. On a vu des pantins escalant la façade de l’école des Arts, mais aussi des fresques pleines de couleurs, des sculptures jouant avec la lumière, un banc végétalisé… et j’en passe. Attractif et captivant.
Coralie Cardon
Je préciserai encore que nous avions hésité entre ce parcours et celui d’«Art Nouveau », qui compte lui, 7 km. Mais dans la vie, il faut choisir. Et ne jamais regretter !
MuFlm
Nous avons ensuite poussé la porte du MuFIm : à nous le Folklore et les imaginaires tournaisiens. Le bâtiment, qui date du 17e siècle, raconte des tas d’histoires, comme par exemple celle du fabricant de bas en coton ou de la plus ancienne friterie itinérante de Belgique. Emouvant ! Et puis, j’ai aimé admirer le plan en relief de Tournai, à l’époque de Louis XIV. Moi qui aime les détails, j’étais hypnotisée !
Pas bien, je sais : on n’a rien mangé de sérieux. Du sucre, que du sucre ! Mais que c’était bon ! On a testé les faluches, les palets de dame et les gaufres à la cassonade. Il faut dire : les tea-rooms sont nombreux et les spécialités tournaisiennes trop tentantes.
Les quais, un passage obligatoire !
On a ensuite rejoint les quais de la ville : ici, ce sont les bars et les cafés qui animent Tournai. Convivialité assurée ! Les rives droite et gauche de l’Escaut sont idéales pour rêvasser. Arbres remarquables, façades classées, ponts historiques… L’ambiance est détendue et les festivités font plaisir à voir. C’est finalement dans un café du quai du Marché au Poisson qu’on s’est posées et qu’on a grignoté (encore).
Coralie Cardon
Le repos des guerrières
Nous avions réservé un petit hôtel bien centré : histoire de pouvoir rentrer tard et d’être au cœur de la ville dès le réveil. Sachez néanmoins qu’on trouve ici tous types de logements : les chambres d’hôtes et les auberges de jeunesse ont aussi la cote.
L’héroïne de mon enfance !
Le lendemain, après le petit déjeuner, on s’est baladées tranquillement dans les ruelles et les quartiers tournaisiens. On y a d’ailleurs croisé une adorable statue de Martine (et Patapouf !), l’héroïne des albums de notre enfance, qui était tournaisienne de par son scénariste et son dessinateur.
Un moment solennel
On a encore visité la Cathédrale Notre-Dame, qui est de toute beauté à l’intérieur. C’est néanmoins surtout depuis le sommet du Beffroi que je l’ai trouvée splendide. Moi par contre, je l’étais moins après avoir grimpé les 142 marches du Beffroi.
Coralie Cardon
Ecopark Adventures
Après un dernier verre (ou deux, et un paquet de frites, j’avoue !), on s’est décidées pour l’Ecopark Adventures : c’est vous dire si on est folles ! Pour une fois qu’on était sans les enfants… Mais l’idée de finir notre weekend sur une activité fun et de rire à gorge déployée l’a emporté sur celle de la détente et des bulles.
J’ai d’ailleurs quelques clichés assez sympas de mon amie qui trépigne au départ de la tyrolienne (la plus grande de Belgique) ! Je souris encore, rien que de vous l’écrire. Dire qu’on aurait pu choisir de se re-po-ser dans un des centres de bien-être de la ville. On ne se refait pas !
On est donc rentrées fatiguées. Mais pleinement heureuses de notre escapade. Tournai est vraiment une ville qui plaira à tous : que vous y veniez en amoureux, en famille, entre amis, vous y trouverez de quoi être heureux.
C’est Kristi Noem, ministre américaine de la Sécurité intérieure, qui a annoncé la nouvelle : la fameuse “Shoes-Off Policy” vit ses dernières heures. En vigueur depuis près de 20 ans, cette mesure obligeait les passagers à se déchausser avant d’embarquer. “Nous sommes convaincus de pouvoir renoncer à cette étape tout en maintenant les normes de sécurité au plus haut niveau“, a affirmé la ministre sur X (anciennement Twitter).
Une décision techno-compatible
Si cette règle peut enfin disparaître, c’est grâce aux avancées technologiques dans les contrôles de sécurité. Les scanners de nouvelle génération permettent désormais de détecter les menaces sans avoir à voir vos orteils. Pour les agents de la TSA, l’agence de sécurité américaine, c’est aussi un soulagement : moins de manipulations, moins de tensions, et sans doute un peu moins d’odeurs suspectes !
Une mesure née d’un attentat manqué
La règle avait été mise en place après l’arrestation de Richard Reid, surnommé le “shoe bomber”. En 2001, il avait tenté de faire exploser ses chaussures piégées sur un vol Paris-Miami. Résultat : dès 2006, la TSA imposait le retrait des chaussures pour tous. Les aéroports européens, eux, avaient déjà rangé cette mesure au placard depuis plusieurs années.
C’est devenu une tradition bruxelloise aussi attendue qu’une frite bien dorée : le Bal National revient le dimanche 20 juillet dès 19h, fidèle à sa place du Jeu de Balle. Organisé depuis 2003, ce grand bal populaire s’annonce encore une fois haut en couleurs.
Frank Anthierens, maître d’orchestre de l’événement, le dit sans détour : « C’est l’événement le plus important de Belgique, car il offre tout ce qu’on a à offrir : la bonne humeur, l’accueil, le fait d’être ouvert à tous ». Au programme : Upside Down pour mettre l’ambiance, suivi de Lou B., Slongs Dievanongs, Two Dots, les Amazing Flowers, et en apothéose, le légendaire DJ Daddy K. Le tout gratuit et retransmis en direct sur BX1.
Resto National : moules-frites pour tous
Le lundi 21 juillet, c’est le ventre qui prendra le relais avec le Resto National dès 17h, toujours sur la même place. Deux classiques belges au menu : moules-frites ou boulettes végé sauce tomate. Environ 2.000 repas seront servis, dont 450 à 1 euro pour les plus précaires. Une nouveauté saluée par Delphine Houba, échevine du Tourisme : « 100 de ces repas seront, pour la première fois, distribués dans des maisons de repos ».
Côté ambiance : les Mignonnettes, le Fietsorkest, Lazy Jack, et le karaoké “Bruxelles Zingt” feront chanter les plus timides.
La fête continue lundi soir dans tout le centre-ville avec la Fête au Parc, concerts, animations et un feu d’artifice au Cinquantenaire. Tout est 100 % gratuit.