Bonne nouvelle pour les amateurs d’exotisme à la nippone : ANA ajoute des vols entre Bruxelles et Tokyo Narita pendant les fêtes. En plus des deux rotations hebdomadaires actuelles, des vols spéciaux décolleront le 15 et le 22 décembre 2025, avec une rallonge le 5 janvier 2026.
3 fois par semaine dès mars
En outre, à partir du 2 mars 2026, la fréquence passera à trois vols par semaine (lundi, mercredi et samedi). Toujours opérés en Boeing 787 Dreamliner, histoire de rendre les 11 heures de vol un peu plus douces – que l’on soit en Business, Premium Economy ou Economy.
Rappelons que la compagnie est habituée aux distinctions : 5 étoiles SKYTRAX chaque année depuis 2013, et pas moins de quatre fois élue Airline of the Year par ATW. Les réservations sont déjà possibles sur le site officiel (ana.co.jp) ou auprès des agences de voyages.
Le Canal du Centre historique : quand l’eau défie la gravité
Notre journée va commencer à Strépy-Thieu, face à un géant de métal qui semble défier les lois de la physique : le célèbre ascenseur à bateaux. Une véritable cathédrale d’ingénierie qui propulse des péniches de plus de 1.000 tonnes… 73 mètres plus haut ! Pour ma part, en bonne curieuse lors de ma visite, je ne me suis pas contentée de l’admirer de l’extérieur : direction le 8e étage pour une expo captivante sur la navigation fluviale. Anecdotes, maquettes, photos anciennes… Il y a de quoi être transporté !
Mais rien ne vaut l’expérience sur l’eau… ce qui est parfaitement possible de faire à bord d’un bateau voguant sur le Canal du Centre historique. La cerise sur le gâteau ? Le passage sur un ancien ascenseur à bateaux, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO ! Et pour la touche ludique, il est même possible de prendre les commandes d’un petit bateau électrique, sans permis !
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utopix – vhello
À vélo, entre patrimoine et terrils fleuris
L’après-midi peut parfaitement prendre des airs bucoliques : enfourchez un vélo au départ de Binche pour longer le canal et explorer les alentours ! Entre les anciennes infrastructures industrielles, les ponts mobiles et les petits ports charmants, il y a de quoi prendre une vraie claque de patrimoine vivant ! Et pas d’inquiétude : le dénivelé reste raisonnable…
Bois-du-Luc : mémoire ouvrière au cœur de la ville
À seulement 5 kilomètres de là, une autre étape incontournable : Bois-du-Luc, véritable cité minière figée dans le temps. Là, c’est l’émotion qui prend le dessus. On découvre les anciens ateliers, le puits Saint-Emmanuel, les maisons ouvrières, le corps médical… Un microcosme industriel d’autrefois, inscrit lui aussi à l’UNESCO. Arpentez les ruelles avec le sentiment de marcher dans les pas des mineurs, de leurs familles, de leur quotidien. Même les terrils alentours se sont transformés en havres de verdure, reflets de la résilience de cette terre…
Keramis
Keramis : la céramique comme vous ne l’avez jamais vue
Quelques coups de pédales plus loin, vous voilà devant Keramis, un musée d’un genre à part. Installé sur le site de l’ancienne faïencerie Boch, ce bâtiment à l’architecture contemporaine abrite trois majestueux fours-bouteilles, derniers témoins de leur espèce en Belgique. Entre pièces patrimoniales du XIXe siècle et créations artistiques contemporaines, vous découvrirez une céramique poétique, audacieuse, parfois même provocante. De quoi bousculer les idées reçues !
Impossible de ne pas faire un détour par Binche, à quelques encablures, que l’on connaît bien entendu pour son carnaval ! Cette ville médiévale a gardé tout son caractère : beffroi, remparts, palais de Marie de Hongrie… Et puis, il y a ce musée du Carnaval et du Masque qui, même hors saison, fait vivre l’âme des Gilles. Un patrimoine immatériel de l’humanité comme on en voit peu, profondément ancré dans le cœur des habitants.
WBT – Bruno D'Alimonte
Seneffe : noblesse et nature en majesté
Changement d’ambiance : cap sur le Domaine de Seneffe. Son château néoclassique, cerné de 22 magnifiques hectares de jardins paysagers, est une ode à la vie aristocratique du XVIIIe siècle. Dans les salons, on admire les collections d’orfèvrerie, tandis que les allées invitent à la flânerie. Le tout ponctué par une application mobile originale, “De jour en jour, le XVIIIe siècle”, qui m’a presque donné envie de ressortir ma robe à panier (presque…).
Enfin, pour clôturer cette escapade, direction le Musée royal de Mariemont, au cœur d’un parc de 45 hectares. Une vraie bulle hors du temps, entre arbres remarquables, sculptures monumentales et ruines d’un palais du XVIIIe. À l’intérieur, on voyage d’un continent à l’autre : de l’Égypte ancienne à la Chine impériale, en passant par Rome et la Belgique industrielle. Un condensé d’histoire universelle, dans un écrin d’une beauté rare ! Notez que le musée est temporairement fermé et rouvrira le 22 novembre, avec de jolis châssis tout neufs et surtout, une exposition baptisée « Marie de Hongrie, Art & Pouvoir à la Renaissance ».
MRM
Un territoire, mille visages
Entre ingéniosité humaine, richesses culturelles et splendeurs naturelles, cette région autour de La Louvière prouve qu’elle a mille visages à offrir ! Une destination idéale pour les curieux de tout âge, ceux qui aiment s’émerveiller, comprendre, respirer, pédaler… ou tout simplement prendre le temps !
Aujourd’hui encore, chaque retour dans cette région a le goût doux-amer de la madeleine trempée dans la nostalgie. Mais ce qui me ravit le plus, c’est de voir combien ce coin de Wallonie continue à émerveiller, surprendre et séduire, sans jamais perdre ce charme un peu insolite qui lui va si bien !
Une citadelle, des marches… et des guibolles qui s’en souviennent
Dès qu’on arrive à Dinant, la Citadelle nous toise du haut de son éperon rocheux, avec ses 408 marches qui n’ont jamais eu la décence de diminuer avec le temps ! Petite, je les grimpais à toute allure pour prouver ma bravoure. Aujourd’hui ? Je prends plutôt le téléphérique, avec la grâce d’une quarantaine bien assumée. Là-haut, le panorama est renversant, surtout quand le soleil se couche et que la collégiale Notre-Dame déploie ses courbes gothiques dans une lumière dorée.
Du miel, des saxophones et des souvenirs croquants
Une promenade dans Dinant, c’est un festival pour les sens. L’odeur entêtante du miel cuit s’échappe des échoppes de Couques de Dinant, ces biscuits d’une dureté légendaire qu’on offrait jadis comme souvenirs décoratifs. Spoiler : je n’ai jamais pu résister à les croquer. Avec modération et prudence… car le passage chez le dentiste m’a toujours effrayée.
WBT – Anibal Trejo
Et puis il y a Adolphe Sax, l’enfant prodige, l’inventeur de la chaleur musicale du saxophone, dont la maison-musée se visite rapidement.
À quelques kilomètres de Dinant, une virée dans le temps vous attend. Le Château de Freÿr déploie ses jardins à la française, ses orangers tricentenaires et ses salons d’une élégance folle. On s’y sent presque illégitime, comme un personnage de roman qui aurait traversé les siècles par erreur.
JL Flémal
Autre château qui mérite un détour ? Le Château de Vêves bien sûr, qui semble tout droit sorti d’un conte ! Tours rondes, pont-levis et déguisements pour les enfants : le Moyen Âge à portée de main, sans le fumet douteux. La balade jusqu’à Celles, classé parmi les plus beaux villages de Wallonie, est une pépite à ne pas manquer !
Quand j’ai besoin de calme, je file au Parc de Furfooz. Sa boucle de 4 km, entre grottes, ruines romaines et belvédères sur la Lesse, est une parenthèse enchantée. C’est un de ces endroits où l’on marche doucement et où l’on écoute les oiseaux. Et pour les amoureux d’Histoire, cap sur les ruines du château de Montaigle, accrochées à leur éperon rocheux dans la vallée de la Molignée. L’endroit est romantique à souhait, un brin mélancolique, mais terriblement photogénique. La randonnée de 9,6 km autour est parfaite pour digérer…
Un verre de blanc, une bière d’abbaye, un sourire béat
A propos de digestion… Parce que la Wallonie aime bien boire local, je vous recommande deux haltes pleines de saveurs : le Château de Bioul, élégant et pétillant, où l’on découvre une viticulture aussi moderne qu’enracinée ; et le Château Bon Baron, qui produit une mosaïque de 21 vins issus de 14 cépages… rien que ça !
Chateau de Bioul
Mais mon rituel préféré reste la visite de l’Abbaye de Maredsous, située à quelques pas de mon village d’enfant, Warnant. Enfant, j’y allais à vélo, dépassant les fameuses draisines qui empruntent l’ancienne voie ferrée de la Molignée. Aujourd’hui, j’y vais surtout pour le fromage, la bière et la terrasse ensoleillée du Centre Saint-Joseph. Avec un peu de chance, les cloches sonneront au moment où vous croquerez dans votre tartine !
WBT – Bruno D'Alimonte
Les villages de Sosoye et Falaën, classés parmi les plus beaux de Wallonie, ont gardé leur âme d’antan. Ruelles en pierres, maisons anciennes, silence habité… Ce sont des lieux où l’on ralentit naturellement.
L’échappée belle : charme et quiétude au cœur de la nature
À Falaën, l’un des plus beaux villages de Wallonie situé à deux pas de Dinant, L’échappée belle porte bien son nom : cette maison d’hôtes lovée dans un écrin de verdure invite à ralentir et à savourer l’instant. Cette ancienne bâtisse rénovée avec goût, mêle le caractère des vieilles pierres à une décoration contemporaine, créant une atmosphère à la fois douce et chaleureuse. Chaque chambre, lumineuse et confortable, offre une vue apaisante sur la campagne environnante. Le matin, un petit-déjeuner gourmand, composé de produits locaux et de préparations maison, réveille les papilles avant une journée de découvertes. Jardin, terrasse et coin détente complètent le tableau, faisant de cette adresse une halte idéale pour rayonner dans la région… ou simplement profiter du calme.
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Revenir ici, c’est revenir à moi. C’est redécouvrir, saison après saison, une région aux mille facettes, pleine de contrastes, d’élégance et de simplicité. C’est un paysage d’enfance devenu décor de rêves adultes. Et je ne m’en lasse pas.
Depuis ce mois d’août, la signalétique qui structure l’ensemble des parcours est phase de finalisation. N’hésitez d’ailleurs pas à fouler le terrain au plus vite : ce serait une jolie façon d’aider les équipes responsables à affiner les derniers détails et à s’assurer de la parfaite lisibilité du balisage ! Car le projet n’a qu’un seul objectif : celui de garantir une expérience de course nature au cœur de la Haute Ardenne.
Chacune des communes précitées propose 3 parcours en boucle et de niveaux différents, imaginés sous forme de trèfle : de cette façon, les combinaisons d’itinéraires sont facilitées. Un parcours d’ultra trail relie ces boucles locales et offre également une grande odyssée au sein de la Haute Ardenne.
Au fur et à mesure de l’évolution du balisage, vous trouverez sur le site officiel du TRHA
TRHA
toutes les informations attendues : les distances, les dénivelés, les accès aux fichiers GPX, le pourcentage offroad. Mais encore les dates de périodes de chasse, les recommandations environnementales et plein d’autres précieuses données. Une pépite à consulter !
Vous le savez, la pratique du trail est surtout belle car elle s’intègre naturellement dans son environnement. Ce réseau de course à pied est une invitation à découvrir les richesses du territoire ardennais et à s’épanouir autrement au cœur d’un nature époustouflante !
De la sorte, quel que soit le niveau de difficulté que vous aurez choisi, vous apprécierez l’évasion qu’offre ce réseau de trail permanent. La région est magnifique : à vous les crêtes boisées, les vallées encaissées, les forêts profondes, les points de vue exceptionnels et les paysages sauvages.
Bonne nouvelle encore : les itinéraires ont été conçus avec l’aide du Département de la Nature et des Forêts. Ce qui vous assure d’éviter les zones sensibles et de préserver la faune et la flore. Vous pourrez pratiquer votre sport en toute sérénité.
Le TRHA, projet animé par la Maison du Tourisme Haute Ardenne, est désormais une vraie destination touristique de qualité. Son ouverture officielle, ce sera pour 2026, mais à tester dès maintenant. Réjouissez-vous !
Une autre promenade est prévue le 13 septembre: dès 15h30 (et toutes les 20 minutes jusque 17h50), vous pourrez démarrer votre « balade romantique » au départ de Chapelle Saint-Willibrord. Direction le beau village de Guirsch ! Sur les 3 km que compte la balade, diverses animations seront proposées. Un concert piano-voix-jazz clôturera cette douce après-midi.
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Une autre « balade romantique » se tiendra le 20 septembre dès 14h30 (et toutes les demi-heures ensuite) : au départ de la salle du village de Mirwart, vous partirez pour 4 km d’émerveillement. Des animations surprises égayeront encore votre parcours ! Une petite dégustation sera même prévue. A 18h, un concert sera donné à la salle du village.
C’est au « Donjon Carondelet » de Crupet que se tiendra le concert de clôture de saison, le 3 octobre, au soir. O’Tchalaï Quartet et le Chœur Droga Mleczna vous feront vibrer au cœur de ce beau village de Wallonie. L’entrée vous donnera accès au concert et à la visite commentée « Les douves du château » !
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Ces évènements (souvent payants, parfois gratuits) sont à réserver surbeauxvillages.be : les inscriptions sont obligatoires, pensez-y !
Et si vos agendas ne vous permettent pas de vous libérer à ces moments-là, choisissez l’application de géolocalisation « Totemus » qui vous emmènera, elle aussi, à la découverte des Plus Beaux Villages de Wallonie. Vous pourrez explorer les villages quand cela vous conviendra : pratique !
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15 chasses sont proposées à travers les Plus Beaux Villages de Wallonie, parmi lesquelles Chassepierre, Torny, Olne, Mirwart… Il y a de quoi faire ! Vierves-Sur-Viroin, Sohier, Mozet et Ragnies sont les derniers parcours ajoutés. Ces balades, qui vont de 3 à 8 km, plairont aussi aux enfants qui devront résoudre des énigmes en chemin.
Huanglong Island : l’hôtel qui s’attaque à la solitude insulaire
Perdue dans l’archipel de Zhoushan, au large du Zhejiang, l’île de Huanglong avait tout pour sombrer dans l’oubli : population vieillissante, école fermée, accès digne d’un roman de Jules Verne… jusqu’à ce que WJ STUDIO y voie l’écrin parfait pour une expérience hôtelière hors du commun.
Tian Fangfang
Une expédition avant le lit douillet
Pas d’autoroute ici : comptez jusqu’à 4,5 heures de voyage depuis Shanghai, via ferry et voiture. Autant dire que la destination se mérite. Et c’est bien cela que l’équipe de design a décidé de valoriser : faire de l’arrivée elle-même une immersion.
Tian Fangfang
Le temps comme fil rouge
Le communiqué du projet, joyeusement pompeux comme vous pouvez l’imaginer, parle d’un design articulé autour de trois dimensions du temps :
Temps naturel : entre brume marine et roche brute, l’île vit au rythme des marées et du vent.
Temps historique : les maisons de pierre en gradin, témoins du passé, sont préservées et réinterprétées.
Temps humain : ici, le luxe, c’est l’expérience. L’architecture doit « guider le regard, capter les sons, encadrer la lumière ». Tout un programme…
Tian Fangfang
Un hôtel taillé dans le paysage
Implanté sur d’anciens récifs protégés, l’hôtel reprend la forme du village : petites unités, volumes fragmentés, et un savant jeu de “dedans-dehors” qui rend chaque espace vivant. Mention spéciale au “hall de roche” où le soleil vient délicatement lécher les pierres…
Juan-Galo Macià, président d’Engel & Völkers Iberia & South America, résume l’ambiance : « Le Portugal continue d’attirer les acheteurs, tant nationaux qu’internationaux, à la recherche d’un lieu où vivre, investir ou profiter d’une résidence secondaire. »
L’Algarve, star des cartes postales… et des investisseurs
C’est dans le sud, entre criques turquoise et golfs impeccables, que les prix atteignent des sommets. Le très privé Quinta do Lago affiche un insolent 12 800 €/m². À Albufeira, Lagos ou Faro, les prix sont plus doux mais suivent la même pente ascendante. Et pour cause : plages à perte de vue, vie nocturne animée, et charme historique attirent autant les touristes que les acheteurs en quête de seconde résidence.
Comporta, Lisbonne, Cascais : dolce vita à la portugaise
Comporta, nouveau refuge chic en bord d’océan, combine luxe et nature — avec des prix en hausse de 27 % ! Lisbonne, capitale élégante et vibrante, reste un incontournable, tout comme Cascais et Estoril, prisées pour leurs villas de bord de mer et leur style de vie balnéaire à deux pas de la ville.
En Alentejo, pas besoin de filtre pour capturer les plages désertes, les villages blancs ou les collines d’oliviers : la lumière fait tout le travail. Avec l’une des densités de population les plus faibles d’Europe, l’Alentejo offre ce luxe rare : de l’espace.
Pas de méga-resorts ni de files pour les selfies, mais des expériences sur mesure : dormir dans un ancien couvent, bruncher chez le vigneron du coin, ou encore pagayer au calme sur le lac Alqueva.
Chaque euro dépensé a un impact direct : il soutient l’artisanat local, protège le patrimoine et encourage les producteurs à rester eux-mêmes. Un tourisme durable, à visage humain, sans greenwashing.
“Nous accueillons les visiteurs comme s’ils faisaient partie de la famille : avec du temps, de la fierté et un bon verre de vin”, rapporte António Lacerda, Visit Alentejo.
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Idées de séjours slow mais stylés
Gourmandise et raffinement à Herdade da Malhadinha Nova avec dégustations, ateliers et design hôtelier.
Nature et contemplation au bord du lac d’Alqueva : kayak, chevaux, et ciel étoilé classé Dark Sky.
Culture et vieilles pierres : d’Évora (future capitale européenne de la culture) à Elvas, une balade dans le temps.
Côte Atlantique et esprit surf : la Rota Vicentina entre falaises, poissons grillés et criques désertes.
Après un premier essai avorté en 2023, la compagnie ferroviaire tchèque Leo Express revient à la charge avec un projet de train de nuit entre Ostende et Bratislava, via l’Allemagne et la République tchèque. Mise en circulation visée ? Le 13 décembre 2026.
Une odyssée ferroviaire de 19 heures (et 50 arrêts)
Selon les documents remis à l’Agence de régulation des transports en Belgique, le trajet ressemblera à un tour de l’Europe centrale : plus de 50 arrêts, 4 pays traversés, et une durée de 19 heures.
Le train partira chaque soir à 19h10 d’Ostende, traversera la Flandre (Bruges, Gand, Bruxelles, Louvain, Liège), l’Allemagne (Aix-la-Chapelle, Cologne, Düsseldorf, Dortmund, Hanovre, Leipzig, Dresde…), puis Prague, avant une arrivée prévue à 14h18 à Bratislava. Dans l’autre sens, le départ se fera à 14h44, pour une arrivée à Ostende à 09h52.
Concurrence sur les rails nocturnes
Le tronçon entre Dresde et Prague est déjà emprunté par les trains de nuit European Sleeper, qui relient Bruxelles à Prague via Anvers et Berlin. Mais Leo Express entend bien tirer son épingle du rail avec un trajet plus long…
C’est faux. Si les VIP désertent le port en hiver, le village ne ferme pas pour autant les volets. Marché le mardi et samedi, tropezienne en terrasse au soleil d’hiver, balades dans les ruelles sans touristes ni selfie sticks… C’est même le moment préféré des Tropéziens. Restaurants, galeries et cafés restent bien ouverts. L’ambiance y est plus douce, plus vraie.
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« Saint‑Tropez, c’est uniquement pour les riches »
Oui, les yachts sont là. Mais le bling‑bling n’est qu’un décor partiel. Il y a des B&B, des petits hôtels, des snacks abordables et même un camping. Le village accueille aussi des familles, des retraités et des backpackers, surtout en arrière‑saison. Hors juillet‑août, les prix baissent, l’ambiance devient plus locale et la Méditerranée reste aussi belle. On n’est pas obligé de claquer 30€ pour une salade niçoise.
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« Tous les bateaux sont des yachts »
Non. On croise des pointus (barques traditionnelles), des bateaux de pêche, de plaisance et même des voiliers d’école. Les superyachts sont la façade, pas la majorité.
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« Saint‑Tropez, c’est bronzette, plage et farniente »
C’est très réducteur. Le village regorge de trésors culturels : la Citadelle, le musée de l’Annonciade, des galeries, des concerts en plein air… Les randos dans le massif des Maures ou sur le sentier du littoral offrent des panoramas de folie. Et si vous voulez la plage, Pampelonne n’est pas seule au monde : l’Escalet ou la Moutte sont des alternatives plus sauvages.
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« Saint‑Tropez, c’est une ville-musée figée dans le passé »
Faux. Même si Brigitte Bardot hante encore les souvenirs, le village bouge, crée, évolue. Des artistes y installent leurs ateliers, des jeunes entrepreneurs relancent des boutiques locales, des festivals de musique ou de photo animent la saison. Le patrimoine est là, oui, mais il vit au présent, pas coincé dans un cliché sixties. Et non, tout ne tourne pas autour de la Gendarmerie.