A Brussels Airport, la saison estivale débute le 30 mars. Et à partir de cette date, les voyageurs pourront rejoindre 180 destinations directes, soit six de plus que l’année dernière. Alors, où partons-nous ?
Les nouvelles destinations qui font rêver
Depuis cet hiver, de nouvelles lignes ont été ajoutées au départ de Brussels Airport :
Curaçao avec TUI fly
Bangkok avec Thai Airways International
Bordeaux et Montpellier desservies par easyJet et Transavia
Atlanta aux États-Unis avec Delta Air Lines dès juin
Hong Kong avec le retour de Cathay Pacific début
Les incontournables de Brussels Airport
En tout, 68 compagnies aériennes seront actives cet été. Sans surprise, Brussels Airlines reste le leader avec 90 destinations, suivi par TUI fly avec 66 destinations. À noter que malgré ces nouveautés, Brussels Airport a perdu quelques destinations depuis l’année dernière.
Brussels Airlines ne compte pas rester clouée au sol en 2025 ! Avec deux nouveaux avions dans sa flotte – un Airbus A320 pour l’Europe et un A330 pour les longs courriers – la compagnie belge affiche ses ambitions. En période estivale, elle louera aussi quatre A220 d’airBaltic pour répondre à la demande croissante. Résultat : une flotte de 50 appareils prêts à transporter encore plus de passagers.
L’Europe et l’Afrique à l’honneur
Les voyageurs auront plus d’options pour s’envoler vers l’Espagne et le Portugal, où la demande explose. Mais la grande nouveauté, c’est le retour de Birmingham dans le réseau de la compagnie, rétablissant ainsi un lien clé avec le Royaume-Uni.
Côté long-courrier, pas de nouvelle destination africaine après Nairobi en 2024, mais une augmentation de la fréquence des vols vers plusieurs villes du continent. Brussels Airlines est en effet le spécialiste de l’Afrique au sein du groupe Lufthansa !
Avec une capacité en hausse de 15%, la compagnie vise à dépasser les 9 millions de passagers cette année. Et ce n’est qu’un début : deux avions long-courriers supplémentaires sont attendus dans les prochaines années.
Oui, les plages de Ksamil sont sublimes, avec un sable fin et une eau turquoise qui n’a rien à envier aux Maldives. Le problème ? En été, elles sont littéralement envahies. Trouver un transat devient un sport extrême, et la tranquillité est parfois un concept abstrait.
Un tourisme en plein boom (et ses conséquences)
Le succès de Ksamil a entraîné un développement rapide, parfois au détriment de l’environnement. La construction effrénée d’hôtels et restaurants manque parfois de régulation, et certaines plages autrefois accessibles gratuitement sont désormais privatisées.
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Que faire à Ksamil (à part bronzer) ?
Si vous aimez explorer, Butrint, un site archéologique classé à l’UNESCO, est à quelques kilomètres. Une excursion en bateau vers les îles de Ksamil est aussi un must, tout comme une escapade dans la ville voisine de Saranda.
Alors, on y va ou pas ?
Si vous rêvez d’une mer digne des Caraïbes sans quitter l’Europe, Ksamil vaut le détour. Mais pour éviter la foule et profiter au mieux de son charme, mieux vaut éviter de s’y rendre en été, où l’expérience peut vite devenir un cauchemar !
L’île de Pâques est l’un des endroits les plus isolés de la planète. À plus de 3.500 km des côtes chiliennes et à des milliers de kilomètres de la Polynésie, elle semble flotter hors du temps. Mais elle n’est pas déserte : une population y vit, avec une langue, une culture et une organisation sociale bien définies.
Ce qui intrigue les explorateurs, c’est la présence d’énormes statues de pierre, les moaï. Hautes de plusieurs mètres, elles semblent surveiller l’île, tournant le dos à l’océan. Comment un peuple sans technologie avancée a-t-il pu ériger de tels géants ?
Premier contact : tensions et incompréhensions
L’explorateur Jacob Roggeveen, envoyé par la Compagnie hollandaise des Indes occidentales, est chargé de trouver la légendaire Terra Australis. Il ne s’attendait sûrement pas à tomber sur une île peuplée.
Les premiers échanges sont prudents mais pacifiques. Les insulaires, curieux, approchent les navires. Cependant, l’ambiance se détériore rapidement. Un malentendu, une provocation ? Toujours est-il que les Européens ouvrent le feu, tuant plusieurs habitants. Ce premier contact est un désastre. L’île de Pâques n’aura plus jamais la même tranquillité.
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Les mystères des Moaï
Depuis leur découverte, les moaï fascinent et interrogent. Qui les a construits ? Pourquoi ? Les théories abondent. Certains pensent qu’ils représentent des ancêtres divinisés, d’autres qu’ils étaient liés à des rituels religieux.
Leur transport reste aussi un casse-tête. Sans roues, ni bêtes de somme, comment ces statues, pesant parfois plus de 80 tonnes, ont-elles été déplacées sur des kilomètres ? Certains archéologues suggèrent qu’elles ont été « marchées » grâce à un ingénieux système de cordes.
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Un écosystème fragile
L’île de Pâques est souvent citée comme un exemple d’écocide. Autrefois, elle était couverte de forêts de palmiers. Mais une déforestation massive aurait entraîné un effondrement écologique, rendant la vie sur l’île de plus en plus difficile.
Un patrimoine en péril
Aujourd’hui, l’île de Pâques est un site du patrimoine mondial de l’UNESCO. Mais les menaces persistent : le tourisme de masse et le changement climatique accélèrent l’érosion des statues.
Les habitants de Rapa Nui, eux, tentent de préserver leurs traditions, mais la modernité transforme l’île. Reste une question : cette terre fascinante pourra-t-elle encore garder son âme face aux défis du XXIe siècle ?
C’est le retour tant attendu des Serres Royales de Laeken ! Du 18 avril au 11 mai inclus, le grand public pourra à nouveau déambuler dans ce joyau architectural et botanique niché au cœur du Domaine Royal.
Au programme, deux parcours enchanteurs au choix :
L’itinéraire court (2 km) : une balade concentrée dans les serres.
La promenade longue (3 km) : une aventure plus complète qui inclut les magnifiques Jardins Royaux.
Et pour les amateurs de balades nocturnes, des nocturnes seront organisées les vendredis, samedis, dimanches, ainsi que les lundi 21 avril et jeudi 1er mai. Seule l’itinéraire court sera accessible durant ces soirées magiques.
Le Jardin d’Hiver tire sa révérence (temporairement)
Attention, avis aux amoureux du Jardin d’Hiver ! Cette somptueuse serre, la plus grande du complexe, fermera ses portes juste après l’événement pour une rénovation complète.
Infos pratiques et tarifs
Les billets sont disponibles au prix de 7 euros via le site officiel : www.koninklijke-serres-royales.be. L’entrée est gratuite pour les enfants de moins de douze ans.
Bon à savoir : le 6 mai, une journée spécifique sera organisée pour les personnes à mobilité réduite, car habituellement, les serres ne leur sont pas accessibles.
Le drapeau rouge flotte sur la réserve naturelle des Hautes Fagnes. La cause ? Le risque accru d’incendie en raison d’une sécheresse qui s’installe durablement. Selon le Service public de Wallonie (SPW), la mesure restera en place tant que les conditions ne s’amélioreront pas.
Interdiction formelle de se promener
Si vous aviez prévu une petite randonnée en pleine nature, c’est loupé. L’accès à certaines zones est en effet interdite et les panneaux rouges sont bien visibles aux entrées des chemins. Des patrouilles sillonnent la réserve pour s’assurer que la consigne est respectée. En cas d’infraction, vous vous exposez à une amende de 250 euros !
Le feu, un danger bien réel
Pourquoi tant de précautions ? Parce que les Hautes Fagnes sont une région exposée au vent, où les herbes desséchées par l’hiver offrent un terrain idéal pour que le feu se propage à une vitesse fulgurante. Les plus gros incendies de forêt en Wallonie se sont déroulés ici. Souvenez-vous : en avril 2011, 1.200 hectares étaient partis en fumée.
Vous aimez le vin bio ? Vous adorez marcher ? Alors, Randos Vin en France est fait pour vous ! Ce guide, concocté par Damien Courcoux, nous invite à arpenter 50 itinéraires de randonnée à travers les vignobles français, tous sélectionnés avec soin pour leur authenticité, leur diversité et… leur finalité incontournable : découvrir à la fois des paysages, des régions et des vignobles !
Des vignobles de Bourgogne à ceux d’Ajaccio, en passant par le Languedoc-Roussillon, la Vallée du Rhône ou même la Bretagne, vous découvrirez des régions viticoles classiques mais aussi des pépites contemporaines. Le fil rouge ? La mise à l’honneur de vins bios soigneusement choisis par un connaisseur passionné.
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50 itinéraires pour tous les palais
Chaque randonnée est adaptée à tous les niveaux, et les saisons ne sont pas une limite pour profiter des paysages viticoles français. Damien Courcoux, qui s’est déjà illustré avec Randos Bière Hauts-de-France et la Route du Malt, propose ici un nouveau concept alliant tourisme, vin bio et aventure. Le guide Randos Vin en France sera disponible dès le 24 avril 2024 au prix de 24,90€.
L’Affaire Dreyfus revient sur le devant de la scène avec une exposition au Musée d’art et d’histoire du judaïsme (mahJ) à Paris. Intitulée “Alfred Dreyfus, vérité et justice”, elle retrace ce scandale politico-judiciaire qui a secoué la France à la fin du XIXe siècle.
L’Affaire Dreyfus en bref
En 1894, un bordereau compromettant est retrouvé dans une poubelle de l’ambassade d’Allemagne à Paris. L’armée française cherche un coupable et accuse Alfred Dreyfus, capitaine juif brillant mais issu d’une minorité déjà ciblée par un fort antisémitisme. Jugé en secret, il est condamné à perpétuité sur la base de faux documents et envoyé en exil en Guyane.
Mais l’affaire prend un tournant lorsque des preuves disculpent Dreyfus et désignent le vrai traître : Ferdinand Walsin Esterhazy. L’armée refuse d’admettre son erreur et couvre Esterhazy, tandis que la presse et l’opinion publique se divisent.
En 1898, Émile Zola publie son célèbre “J’accuse…!”, dénonçant une injustice d’État. L’affaire devient un séisme politique et judiciaire. Après un second procès et des années de combat, Dreyfus est finalement réhabilité en 1906.
Des archives saisissantes
Parmi les pièces exposées :
📜 Le fac-similé du fameux bordereau, élément déclencheur de l’affaire, dont l’original a mystérieusement disparu.
📰 Un exemplaire du journal L’Aurore, avec l’explosif “J’accuse…!” d’Émile Zola, véritable plaidoyer contre cette injustice.
🎨 Les dessins satiriques de Caran d’Ache, dont “Un dîner en famille”, illustrant l’impact du scandale sur la société.
📸 Une photo de la dégradation de Dreyfus, moment humiliant où il fut publiquement déchu de son grade.
Un crime d’État, pas une simple erreur
Les commissaires de l’exposition, Philippe Oriol et Isabelle Cahn, ne mâchent pas leurs mots : ce n’était pas une simple “erreur judiciaire“, mais bien un “crime judiciaire“. Un complot orchestré par l’armée et le gouvernement, dans un climat d’antisémitisme virulent. Pendant que Dreyfus pourrissait en détention, le véritable traître, Ferdinand Walsin Esterhazy, coulait des jours tranquilles…
Allez, après les grands froids de cet hiver, j’ose à nouveau pointer mon nez dehors. Suivez-moi, je vous propose ici mon « Top 5 » des plus belles balades à faire en Wallonie. J’en ai choisi une par province. J’ai essayé de varier les plaisirs, alternant entre la balade facile pour petites jambes et la rando longue durée destinée aux mollets bien échauffés. A vous de décider où vous mettrez les pieds…
Namur : sur les pas des maquisards à Gedinne
On commence en douceur à Gedinne, au sud de la province de Namur, avec une balade facile de 5,5 kilomètres, que j’ai bouclée en famille en deux petites heures. Le massif forestier de la Croix-Scaille propose un large choix de promenades. La nôtre prend son départ depuis la Tour du Millénaire, un spectaculaire belvédère en forme de sablier, perché à 60 mètres de hauteur et offrant une vue à 30 kilomètres à la ronde. On s’enfonce ensuite dans la forêt qui a abrité durant la Seconde Guerre mondiale un véritable camp retranché de résistants, avec cabanes et huttes. Le parcours, baptisé « Espace Liberté 44 », nous emmène sur ces chemins de l’ombre. Et des panneaux didactiques retracent ces jours de guerre. Pour le balisage, suivez les rectangles rouges (balade n°42). Possibilité de coupler avec une autre balade balisée pour une distance totale de 12 kilomètres.
Sophie Dekkers
Brabant wallon : autour de l’Abbaye de Villers-La-Ville
En Brabant wallon, j’ai fait plus long, avec une rando de 9,3 kilomètres à Villers-la-Ville, bouclée en 3h15. On prend le départ à hauteur des ruines de l’ancienne Abbaye, fondée en 1146, avant de se glisser dans le bois adjacent, où de grands hêtres se dressent le long du parcours. Après avoir longé un étang, on glisse vers les paisibles villages de La Roche et de Tangissart. Puis, on longe le cours d’un petit ruisseau : le « Ry d’Hez ». Le paysage est varié, entre futaies, zones humides et, bien sûr, ruines d’exception. Suivez le balisage jaune. Niveau de difficulté : moyen.
Maxime Collin
Hainaut : Charleroi et sa Boucle Noire
Changement de décor à Charleroi, où je suis partie à l’assaut des vestiges de l’ancienne cité industrielle. Une rando insolite de 22 kilomètres. La difficulté est moyenne, mais comptez 6 heures de marche. On prend le départ depuis la Gare de Charleroi-Sud, pour rejoindre le RAVeL longeant les rives de la Sambre. Puis, on traverse d’anciens sites miniers en grimpant sur quatre terrils, reliés entre eux par des passages et sentiers. Une rando décalée et saisissante ! Si vous avez encore un peu de temps, prévoyez une visite du Bois du Cazier tout proche ; cet ancien charbonnage est un magnifique lieu de mémoire, qui illustre la condition et l’immigration ouvrières de l’époque minière.
Christophe Vandercam
Liège : autour du Château de Raeren
Dans la province de Liège, j’ai opté pour une promenade autour du Château de Raeren, un bijou d’architecture médiévale. Départ depuis la Burgstrasse, où l’on découvre d’abord cette forteresse impressionnante, qui abrite aujourd’hui un musée dédié à la poterie locale. Après cette plongée dans l’histoire, on se met en route sur un sentier agréable qui longe un ruisseau offrant une atmosphère paisible. Plus loin, on passe devant le petit château de Haus Raeren avant d’emprunter un tronçon de la Vennbahn, une ancienne ligne de chemin de fer transformée en voie verte, qui serpente entre la Belgique et l’Allemagne. Une balade facile de 8 kilomètres, que j’ai bouclée en 2 heures. Elle allie patrimoine, nature et petites découvertes inattendues, comme on aime !
Christian Charlier – eastbelgium
Luxembourg : au cœur de la forêt de Saint-Hubert
On termine en beauté avec une plongée de 20 kilomètres en forêt de Saint-Hubert. Sortez vos meilleures chaussures et comptez 7 heures de marche, avec un niveau de difficulté moyen. La balade commence par une vallée luxuriante où coule un ruisseau, avant d’entamer une longue descente entre les rochers et de s’enfoncer au cœur du silence de la forêt. Le parcours traverse la réserve naturelle de La Fagne du Rouge Poncé et passe aussi par l’observatoire de la Bilaude, qui vous permettra peut-être de toucher du regard les animaux de la forêt. Cette balade vous fera entrer en connexion directe avec la terre et la nature !
Imaginez une plage de sable fin s’étendant sur trois kilomètres, bordée de dunes majestueuses et d’une forêt domaniale propice aux randonnées pédestres, cyclistes et même équestres. À Hardelot-Plage, la nature est reine, offrant un cadre idyllique, entre mer et campagne !
Un paradis pour les sportifs
Les amateurs de sports nautiques trouveront leur bonheur avec des activités telles que le char à voile, le kitesurf ou la planche à voile. Les golfeurs ne sont pas en reste avec deux parcours de 18 trous réputés parmi les plus beaux d’Europe. Et pour ceux qui préfèrent garder les pieds sur terre, de nombreux courts de tennis et un centre équestre de renom sont à disposition.
Un héritage britannique élégant
Fondée au début du XXᵉ siècle par l’entrepreneur anglais John Whitley, Hardelot-Plage conserve une élégance britannique qui se reflète dans ses villas de style Belle Époque. Cette touche d’outre-Manche confère à la station un charme unique en son genre !
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Un détour par Ambleteuse, un village chargé d’histoire
Si vous avez envie d’une excursion hors des sentiers battus, direction Ambleteuse, à quelques kilomètres au nord. Ce petit village côtier est célèbre pour son fort Vauban, une imposante forteresse posée sur la plage, témoin des luttes entre la France et l’Angleterre. À marée basse, la balade le long des rochers et des étiers offre un paysage étonnement sauvage ! Un passage par la baie de la Slack est incontournable pour les amoureux de la nature, avec ses oiseaux migrateurs et ses dunes préservées.
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Des événements pour toute la famille
Tout au long de l’année, la station s’anime avec des événements tels que le Midsummer Festival, célébrant la musique au château d’Hardelot, ou encore des tournois de golf et des régates. Les enfants ne sont pas oubliés avec des activités dédiées, faisant de Hardelot-Plage une destination labellisée Famille Plus !
Gastronomie et détente
En France, la gastronomie est un sujet traité avec beaucoup de soin ! Et là encore, vous aurez le choix : de la cuisine traditionnelle française aux saveurs plus exotiques, il y en a pour tous les goûts. Et pour prolonger la soirée, plusieurs bars et discothèques vous accueillent !
Un accès facile depuis la Belgique
Située à environ deux heures trente de route de Bruxelles, Hardelot-Plage est une escapade idéale pour qui désire une bonne dose de dépaysement sans trop s’éloigner, que ce soit pour un week-end ou des vacances prolongées !
