Saviez-vous qu’Oman possède une côte longue de 3165 km ? Bordé par la mer d’Arabie et le golfe d’Oman, le pays offre des plages magnifiques et des spots de plongée de renommée mondiale.
Giorgio Parravicini
2. De 30 à 40 degrés en moyenne
Oman est un pays au climat désertique où les températures peuvent atteindre des sommets incroyables. Les étés sont torrides, le thermomètre pouvant dépasser les 50 degrés ! La ville de Quraayyat détient d’ailleurs le record pour la plus haute température minimale pendant 24 heures : 42,6 degrés le 26 juin 2018 ! Dans les montagnes et durant nos mois d’hiver, les températures sont nettement plus basses, entre 20 et 30 degrés.
Niklas Weiss
3. 5000 ans d’histoire
Oman est un des pays les plus anciens du monde avec une histoire qui remonte à 5000 ans. De la civilisation de Magan, mentionnée dans les textes sumériens, aux forts portugais du XVIe siècle, Oman est un véritable livre d’histoire à ciel ouvert. Les passionnés d’archéologie y trouveront leur bonheur !
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4. Le Wadi Darbat : une oasis de fraîcheur avec des chutes de 30 mètres
Parmi les merveilles naturelles d’Oman, le Wadi Darbat se distingue par sa beauté et sa fraîcheur. Situé dans la région du Dhofar, cet oasis verdoyant est alimenté par des cascades de 30 mètres de haut et des rivières saisonnières, offrant un contraste saisissant avec le désert environnant. C’est l’endroit idéal pour se ressourcer en pleine nature !
Oman
5. Le Jabal Shams : Le toit d’Oman à 3009 mètres d’altitude
Oman abrite aussi des sommets impressionnants, et le Jabal Shams est le point culminant du pays avec une altitude de 3009 mètres. Cette “Montagne du Soleil” offre des vues spectaculaires sur le Grand Canyon d’Oman et des paysages à couper le souffle. Les amateurs de randonnée et d’aventure y trouveront un terrain de jeu idéal pour explorer la beauté sauvage et majestueuse de la région !
La Cour suprême du Népal a ordonné au gouvernement de limiter le nombre de permis accordés pour l’ascension de l’Everest et d’autres sommets himalayens. Cette décision vise à protéger l’environnement montagneux face à l’afflux croissant d’alpinistes, qui a atteint un pic avec 478 permis délivrés l’année dernière.
La directive judiciaire répond à une préoccupation grandissante concernant les effets néfastes de la surfréquentation sur l’écosystème local. L’avocat Deepak Bikram Mishra, ayant porté cette cause devant la justice, a souligné l’urgence de respecter la capacité d’accueil des zones montagneuses et de mettre en place des mesures pour la gestion des déchets et la préservation de l’environnement.
Chaque printemps, la période favorable pour les ascensions, voit converger des centaines de grimpeurs vers ces sommets majestueux. Cependant, l’incident de 2019, où un embouteillage humain sur l’Everest a causé des retards mortels, illustrant les risques du surpeuplement, a marqué un tournant dans la gestion des expéditions.
Au-delà de sa majestueuse élévation, la Grande Muraille cache un réseau souterrain mystérieux. Ces tunnels, conçus pour le stockage des vivres et le déplacement des troupes, témoignent de l’ingéniosité militaire chinoise.
La muraille invisible
Technologie antique, la Grande Muraille utilise des matériaux qui se fondent dans le paysage. À certains endroits, elle semble presque disparaître dans son environnement, une stratégie de camouflage pour surprendre les envahisseurs.
Max Van Den Oetelaar
Messages cachés
Des inscriptions secrètes et des symboles gravés dans les pierres racontent l’histoire non seulement de sa construction mais aussi des personnes qui y ont travaillé. Ces marques, souvent cachées à la vue, servaient de messages entre les gardes ou comme témoignages personnels.
La légende du dragon
La Grande Muraille serait, selon la légende, l’incarnation d’un dragon. Ce mythe explique les courbes et les contours de la muraille, s’adaptant au terrain comme le ferait le corps d’un dragon serpentant à travers les montagnes et les vallées.
William Olivieri
Un cimetière impérial
Peu connu, ce gigantesque ouvrage a été le dernier repos de milliers d’ouvriers. La Grande Muraille est ainsi marquée par des sépultures improvisées, faisant d’elle un cimetière à ciel ouvert.
Dans la galerie des villes espagnoles au riche patrimoine – et Dieu sait si elles sont nombreuses dans ce pays -, Cáceres n’apparait pas en tête de classement. Du moins pour les étrangers. Les Espagnols, qui représentent 80% de la clientèle touristique de la région, ont de leur côté adopté depuis longtemps cette cité de 96 000 habitants, percluse de monuments historiques. Percluse ? Ce n’est rien de le dire. Inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1986, la vieille ville regorge de palais moyenâgeux et Renaissance, de tours médiévales, de monastères, d’églises et de chapelles. Et la plupart des façades portent les armoiries des illustres familles ayant régné sur la ville. Un décor de pierre et d’architecture remarquable qui vaut à Cáceres d’être régulièrement choisie pour le tournage de films historiques.
Vue sur des églises du vieux centre de Cáceres Philippe Bourget | cms
Ce patrimoine est hérité d’un passé enchevêtré. Habitée par les Romains et conquise au 12ème s. par les Arabes almohades, ces derniers l’entourent de remparts d’adobe (terre durcie) dont on peut encore voir la maçonnerie sur certaines constructions, comme les tours de la Yerba et del Aver. Reprise par les Chrétiens au 13ème s., Cáceres va alors s’enrichir grâce aux nobles, aux propriétaires terriens puis aux conquistadors rentrés riches d’Amérique, qui édifient églises et palais.
L’église de San Mateo, dans le centre historique Philippe Bourget | cms
Influences maure et chrétienne s’unissent dans ce dédale où s’imbriquent les styles roman, islamique, gothique du Nord et Renaissance. La balade à pied dans l’entrelacs de ruelles où s’élèvent ces édifices donne le tournis. Eglise San Mateo, monastère de Santa Maria de Jésus, casa Ovando Mogollón Perero-Paredes (transformée en hôtel Parador), palacio de las Ciguanas, palais Golfines de Abato… Tous ces lieux respirent la richesse et la noblesse.
La co-cathédrale Santa María à g, et la Diputacíon Provincial au fond Philippe Bourget | cms
Ce centre là est tout sauf figé. De nombreux hôtels et restaurants tendance (Atrio, du chef Toño Perez, trois étoiles au guide Michelin ; La Casa del Sol ; Madruelo…) occupent d’anciens palais. Hors remparts, on s’attardera dans la rue de los Caleros, tranquille avec ses maisons villageoises, et sur l’immense plaza Mayor, pour profiter de l’ambiance des terrasses de bars. Les fans d’art contemporain visiteront le récent (2021) musée Helga de Alvear, gratuit, où sont exposées notamment des œuvres de Goya (estampes), Vasarely, Paul Klee, Kandinsky, Miró, Buren, Tàpies, Ai Weiwei, Louise Bourgeois… Quant à la vie nocturne, elle se concentre dans un quartier nommé la zona Pizarro. Là abondent les discothèques. En journée, on pourra aussi s’y poser au bar Caballerizas, joli lieu branché autour d’un jardin-patio. Cáceres, une vraie découverte.
Qui sait que Mérida est la ville d’Espagne à posséder le plus grand nombre de vestiges romains ? Capitale sous l’empereur Auguste de la province de Lusitanie, l’une des trois de la péninsule ibérique, elle regorge de monuments antiques, dont la plupart sont bien conservés. A l’époque, la cité est presque aussi peuplée qu’aujourd’hui – 60 000 habitants. Sa puissance est illustrée par deux constructions emblématiques, bâties côte à côte : le théâtre et l’amphithéâtre. Le premier pouvait accueillir jusqu’à 6 000 personnes. Reconstruit, son mur de scène est précédé d’une série de doubles colonnes de marbre au milieu desquelles trône la statue de Cérès, déesse de l’agriculture. Cette scène antique prestigieuse accueille chaque année en juillet et en août le réputé festival de théâtre classique. A côté, l’amphithéâtre est moins bien restauré mais il accueille tous les ans, lors des fêtes de Pâques, l’arrivée de l’impressionnant Via Crucis, un chemin de croix se déroulant dans le silence le plus absolu.
Le théâtre romain de Mérida Xavier Allard – stock.adobe.com
Ailleurs en ville, d’autres vestiges affleurent. L’hippodrome (circo romano) est l’un des mieux préservés du monde romain. Le temple de Diane trône superbement au centre-ville, de même que l’arc de Trajan. Le fleuve Guadiana, lui, est traversé par l’un des plus grands ponts romains jamais construits. Long de près de 750 m (on peut le traverser à pied), il a été réaménagé au 17ème s. Ce n’est donc pas étonnant que l’ensemble architectural de Mérida ait été aussi classé au Patrimoine mondial de l’Unesco. Il est normal aussi que la ville abrite le musée national espagnol d’Art Romain. Cette belle bâtisse en briques de l’architecte Rafael Moneo, aux collections rares (mosaïques, sculptures…) présentées dans de grands espaces, est d’ailleurs en cours d’extension pour abriter d’autres œuvres.
Le pont romain sur la rivière Guadiana venemama – stock.adobe.com
Privilégier les vestiges romains ne doit pas faire oublier de profiter de l’animation de cette ville, qui est aussi, à moins de 2h de route au nord de Séville, la capitale régionale de l’Estrémadure. Ceux qui ne jurent que par l’Andalousie seraient d’ailleurs bien inspirés de faire le détour.
Comme toutes les cités espagnoles, le centre ancien de Mérida vibre aussi de ses commerces et cafés. Le soir, on s’attardera sur la plaza de España, où les familles viennent prendre le frais et s’attarder aux terrasses. Pour le shopping, on remontera jusqu’au musée romain les deux longues calles piétonnes Santa Eulalia et Ramón Mélida, qui regorgent de boutiques en tous genres.
L’hôtel Palace de Mérida datant du 15ème s Philippe Bourget | cms
Au pays de la verte Espagne…
Halte aux clichés sur l’Espagne du sud brûlée à longueur d’année par le soleil, sous des températures frisant les 40° C. Si cette réalité s’impose en été, elle est erronée le reste du temps. De l’automne au printemps, la région baigne dans un décor plutôt verdoyant, grâce aux deux grands fleuves qui la traversent, le Tage et le Guadiana, et à la présence de nombreux barrages. Voilà pour le portrait géographique d’une région encore rurale mais qui a tourné le dos à la pauvreté insigne qui était la sienne dans les années 70-80.
Le Tage dans le Parc national de Monfragüe Philippe Bourget | cms
On imagine donc des paysages brûlés par le soleil ibérique et on découvre, en mars, en avril, en décembre… des montagnes enneigées et de vastes paysages d’herbe et d’arbres. Surprise ! Près de Plasencia, une vallée incarne cette sève printanière : Jerte. Sertie entre les sierras de Gredos et de Béjar, aux sommets couverts de neige, sa forme en auge s’allonge sur plusieurs kilomètres jusqu’au col de Tornavacas (1 275 m). Surtout, plantés de plus d’un million et demi de cerisiers, les versants forment en avril un magnifique décor de fleurs blanches. Inutile d’aller au Japon voir les cerisiers en fleurs ! A l’image de Cabezuela de Jerte, les villages livrent de jolies ruelles bordées de vieilles maisons aux balcons en bois et des passages couverts. Sur les clochers d’églises, les cigognes ont fait leur nid, une constante dans cette région qui abrite près de la moitié de ces échassiers du pays.
Un autre territoire dévoile des paysages spectaculaires : la dehesa, dans le parc national de Monfragüe. La dehesa, ce sont d’immenses espaces de pâturages plantés, en mode clairsemé, de chênes verts et de chênes-lièges. De grands troupeaux de vaches mais aussi de moutons et de cochons noir s’y délectent d’herbe fraîche, contribuant à la qualité de la viande d’Estrémadure – dont le célèbre jamón ibérico. A l’instar de la région portugaise voisine d’Alentejo, le liège est aussi exploité pour fabriquer des bouchons.
Une ferme dans le Parc national de Monfragüe Philippe Bourget | cms
Le vin n’est pas absent. Longtemps considéré comme de piètre qualité, la production régionale s’est nettement bonifiée. A l’image du domaine Pago los Balancines, à Oliva de Mérida, sous l’appellation Ribera del Guadiana. Son vin rouge biologique Haragan 2018 a obtenu un « Double d’Or » au concours international des vins de San Francisco, en 2023. Le parc de Monfragüe est aussi une des destinations majeures du tourisme ornithologique en Europe. Traversé par le Tage, il abrite cigognes noires, vautours fauves et noirs, aigles impériaux… et plus de 400 espèces d’oiseaux différents. Un hot spot pour les naturalistes.
La porte de Trujillo, du 13ème s., à Plasencia Philippe Bourget | cms
Plasencia, Trujillo, Zafra, trio urbain de choc
Les villes d’Estrémadure ont de la ressource. Après les divines surprises de Cáceres et de Mérida, ces trois cités de taille plus modeste possèdent un intérêt patrimonial et historique évident. Porte d’entrée de la vallée du Jerte (voir plus haut), Plasencia est la plus au nord des trois. Première ville visitée quand on arrive de Madrid, elle plonge immédiatement dans une profusion architecturale, héritée d’une culture entremêlée. Remparts médiévaux entourant la vieille ville, souvenir de l’alcazar arabe, ancienne et nouvelle cathédrale siamoises, ancien quartier juif, palais et couvents… La balade plonge dans le passé atypique de l’Espagne du Sud, terre d’influence entre les Chrétiens et les musulmans, entre la noblesse et le clergé.
Maison fortifiée dans la ville haute de Trujillo. Philippe Bourget | cms
Il ne faut pas pour autant oublier de profiter de la sociabilité légendaire de l’Espagne. A Plasencia, tout se concentre sur la plaza Mayor, vaste agora rectangulaire entourée d’arcades où bars et restaurants déploient leurs terrasses. Moment de détente assuré en fin de journée autour d’une bonne cerveza. On aime aussi beaucoup Trujillo. Sur la plaza Mayor de cette petite ville (moins de 9 000 habitants) située entre Plasencia et Mérida, se révèle une richesse patrimoniale inattendue, issue de fortunes rapportées… des Amériques.
Vue sur une église de la ville haute de Trujillo depuis l’alcazaba (château) Philippe Bourget | cms
L’Andalousie est en effet très proche et quelques Estrémaduriens de la noblesse ont embarqué jadis pour le Nouveau Monde. A Trujillo, un nom domine tous les autres : Francisco Pizarro. Le « découvreur » du Pérou et fondateur de Lima, fossoyeur de l’Empire Inca, est né à Trujillo. Sa statue équestre trône fièrement sur la plaza Mayor. Partout dans la ville haute et basse, sous le château médiéval, les demeures seigneuriales, aujourd’hui des domaines privés cachés derrière de hauts murs, témoignent des richesses accumulées. Certaines ont été transformées en boutiques-hôtels historiques, à l’image de la Posada dos Orillas, splendide demeure vieille de six siècles.
Tout au sud de l’Estrémadure, on marquera une halte prolongée à Zafra. La blancheur des façades, les portes en ferronnerie, la réputation de la plaza de toros… Pas de doute, l’Andalousie est proche ! Zafra est connue pour sa foire de l’élevage de San Miguel, chaque année fin septembre, depuis… 1453. Ne pas manquer non plus de déambuler dans la vieille ville, entre la plaza Grande et la plaza Chica. Les deux sont connectées par un passage sous voûtes, soutenu par d’authentiques piliers en pierre. Un esthétisme unique, à l’image de cette région d’Espagne qui ne mérite plus d’être le parent pauvre du pays.
En avion, vols vers Madrid depuis Bruxelles, puis location de voiture et 265 km (2h30 de route) jusqu’à Plasencia, première ville majeure au nord de l’Estrémadure. On peut aussi repartir de Séville vers Bruxelles.
Visiter
Découverte de la région en voiture, du nord au sud. Les routes sont de très bonne qualité.
Face à une affluence croissante et aux défis que cela pose, les autorités ont décidé de rendre l’ascension du mont Fuji payante. Dès juillet, les randonneurs désirant emprunter le sentier Yoshida, l’itinéraire le plus prisé pour atteindre le sommet, devront s’acquitter d’un droit d’accès de 12 euros. Cette initiative, annoncée par un responsable du département de Yamanashi, vise à réduire l’encombrement et à améliorer la sécurité sur ce volcan emblématique.
Un phénomène de masse
Le mont Fuji, avec son sommet enneigé visible une grande partie de l’année, attire plus de 220.000 visiteurs durant la saison estivale de juillet à septembre. L’afflux de randonneurs, exacerbé par la levée des restrictions liées à la Covid-19, a poussé les autorités à agir. Toshiaki Kasai, un responsable départemental, souligne l’importance de la préparation et de l’équipement adaptés pour affronter la montagne. Il invite également les visiteurs à se tenir informés via les réseaux sociaux sur le nombre de personnes empruntant le sentier chaque jour.
Tommy Silver
Limites et précautions
En plus du tarif d’entrée, le nombre de randonneurs sur le sentier Yoshida sera limité à 4.000 par jour, avec une fermeture nocturne entre 16h et 2h. Cette mesure intervient alors que les récits de touristes mal équipés, tentant l’ascension sans pauses adéquates, abondent chaque été. Les risques de malaises et d’accidents ne sont pas négligeables sur ce volcan toujours actif.
Autres voies, autres choix
Bien que le sentier Yoshida soit concerné par ces nouvelles règles, les trois autres principaux itinéraires, moins fréquentés restent accessibles gratuitement.
L’Afrique du Sud est un melting-pot culturel, abritant environ 59 millions d’habitants répartis en une multitude de groupes ethniques. Elle reconnaît 11 langues officielles, reflétant cette grande diversité culturelle et linguistique. Cette pluralité est au cœur de l’identité sud-africaine, faisant du pays la célèbre “Nation Arc-en-Ciel”.
La force économique africaine !
L’économie sud-africaine est la plus industrialisée d’Afrique. Le pays est un important producteur et exportateur de minéraux tels que l’or, les diamants et le platine. Cependant, malgré ses riches ressources naturelles, le pays fait face à de gros défis tels que le chômage élevé et les inégalités socio-économiques.
kelly arnold
Biodiversité
L’Afrique du Sud est renommée pour sa biodiversité exceptionnelle. Elle abrite le célèbre parc national Kruger, l’un des plus grands parcs animaliers du monde. Le pays se classe sixième au niveau mondial en termes de biodiversité, avec une multitude d’écosystèmes, allant des savanes aux forêts humides.
Nelson Mandela
L’Afrique du Sud est mondialement connue pour son histoire tumultueuse d’apartheid, qui a pris fin en 1994 avec l’élection de Nelson Mandela, le premier président noir du pays..
kylefromthenorth
Tourisme et Attractions Naturelles
Avec ses paysages époustouflants, allant des montagnes de la chaîne du Drakensberg aux plages magnifiques de la Garden Route, l’Afrique du Sud attire plus de 10 millions de visiteurs chaque année.
Selon la plus haute juridiction financière du pays, les efforts actuels des stations de ski pour s’adapter au réchauffement climatique sont loin de répondre aux enjeux. La production de neige artificielle, sur laquelle beaucoup misent, est critiquée pour son coût élevé, son efficacité décroissante avec le réchauffement et son impact sous-estimé sur les ressources en eau.
Vers une réorientation « fondamentale »
La Cour des Comptes appelle à « une réorientation fondamentale de la dépense publique en fonction de la réalité climatique et économique de chaque territoire doit être envisagée ». Elle souligne que, depuis les années 2000, la diminution de l’activité ski et l’inadaptation du patrimoine immobilier ont commencé à fragiliser l’économie locale des stations de ski, un phénomène exacerbé par le changement climatique.
Un avenir incertain pour les stations de ski
Avec une hausse des températures en accélération, les projections climatiques indiquent que toutes les stations seront impactées d’ici 2050, certaines pouvant même ne plus être viables après cette date. La Cour prévient que seules quelques stations pourraient espérer continuer leur exploitation au-delà de cette échéance.
A two-year-old British boy is considered the youngest to reach Everest Base Camp. Ross Dallas took their son Carter to the mountain’s southern campsite, 17,598ft above sea level.
Mr Dallas, 35, completed the trek with Carter on his back and alongside (1/3) pic.twitter.com/4uKjTTfmlP
La famille Dallas, en voyage en Asie depuis août 2023, a entrepris cette ascension extraordinaire avec une préparation minutieuse, incluant des bains de glace et des exercices respiratoires. Malgré les défis, Carter a montré une résilience remarquable, supportant mieux l’altitude que ses parents. Son père, Ross, a partagé que des médecins ont vérifié les valeurs sanguines de Carter au camp de base, révélant des résultats assez impressionnants.
Au-delà de l’exploit physique, cette aventure divisera sans doute les avis, entre ceux qui jugent cet exploit dangereux et irresponsable et les autres, qui applaudiront la bravoure de cette famille, incitant leur fils à aller à la rencontre de l’autre : Carter aurait déjà appris plusieurs langues et n’aurait aucun mal à jouer avec les enfants des villages rencontrés sur leur chemin.
Le Japon, avec une population de environ 126 millions d’habitants, fait face à un défi démographique unique. Près de 28% de sa populationest âgée de 65 ans et plus, faisant du Japon l’un des pays avec la plus grande proportion de personnes âgées au monde. Cette situation a des répercussions profondes sur l’économie, la politique sociale et la vie quotidienne.
David Edelstein
3,26
Leader mondial en technologie et innovation, le Japon est réputé pour son avancement dans des domaines tels que la robotique, l’automobile et l’électronique. Le pays consacre environ 3,26% de son PIB à la recherche et au développement, un des taux les plus élevés parmi les pays industrialisés, alimentant son économie et son statut de puissance technologique.
Agathe
22
Le Japon, avec ses 22 sites classés au patrimoine mondial de l’UNESCO, attire des visiteurs du monde entier. Ces sites comprennent des temples historiques, des paysages naturels et des monuments culturels. Voilà qui témoigne de la riche histoire et de la diversité culturelle du pays.
Sorasak
100%
Le système éducatif japonais est l’un des plus performants au monde, avec un taux d’alphabétisation proche de 100%. L’éducation est fortement valorisée, et les étudiants japonais se classent régulièrement parmi les meilleurs en mathématiques et en sciences dans les évaluations internationales.
Masaaki Komori
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La cuisine japonaise, inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, est réputée mondialement pour sa qualité et sa finesse. Le Japon possède plus de 230 étoiles Michelin, le plaçant parmi les destinations gastronomiques les plus prestigieuses au monde.
Le téléphérique de Tires/Tiers est probablement le plus original avec ses énormes cabines vitrées sur deux étages. Le niveau supérieur est à ciel ouvert, offrant une vue époustouflante sur le massif de Rosengarten et une bouffée d’air frais.
2. Téléphérique futuriste
Skirama
Les télécabines panoramiques sont à la mode. Parfaites pour capturer de magnifiques photos de vacances. Avant de monter dans les cabines Olang I et II, préparez votre appareil photo ! La station, d’allure futuriste, semble tout droit sortie d’un film de science-fiction. Le téléphérique Olang vous amène en deux étapes au sommet du Kronplatz, à 2.275 mètres d’altitude.
3. Téléphérique ultramoderne
3zinnen-helmjet Kottersteger
La station de ski 3 Zinnen Dolomites a toujours misé sur l’innovation. En 1981, elle a inauguré un téléphérique révolutionnaire pour l’époque, menant au sommet du mont Helm/Monte Elmo. En 2020, cette installation a été modernisée. Aujourd’hui, c’est le luxueux Helmjet Sexten qui vous transporte.
4. Le téléphérique le plus élevé
Schnalstaler Gletscherbahnen-Natdesign
La station de Val Senales/Schnalstal propose une ascension mémorable. Son téléphérique, le plus haut du Sud-Tyrol, vous conduit en 6 minutes à la station de montagne de Grawand, à 3.212 mètres d’altitude.
5. Télécabine gratuite
IDM
Ces téléphériques font partie du réseau de transport public du Sud-Tyrol. Prenez le Rittner Bahn à Bolzano/Bozen, avec des départs toutes les 4 minutes pour Oberbozen. Bonus : l’accès est gratuit pour les détenteurs de la RittenCard.
6. Téléphérique panoramique
Tourismusverein Lana-upscale
Au cœur de Lana, un téléphérique vous attend. Ses cabines panoramiques rénovées vous emmènent au col enchanté de Monte San Vigilio/Vigiljoch.
7. Télésiège authentique
Tourismusverein Lana-upscale
Dans le Sud-Tyrol, l’ancien côtoie le moderne. Pour un trajet Lana-Vigiljoch différent, choisissez le télésiège traditionnel, survolant les magnifiques pâturages alpins.
8. Télésiège relaxant
IDM
À partir de la ville thermale de Meran/Merano, un télésiège vous transporte sereinement vers Tirolo/Dorf Tirol, au-dessus des vignes.
9. Télésiège historique
Tourismusverein Algund – Frieder Blickl
Pour les amateurs de télésièges, celui historique de Lagundo/Algund est incontournable. Il vous fait survoler forêts et vignobles jusqu’à Velloi/Vellau.
10. Téléphérique à paniers
Tourismusverein Algund – Benjamin Pfitscher
L’aventure continue à Velloi avec un téléphérique unique : montez dans un panier métallique vert pour rejoindre Leiter Alm, un alpage pittoresque à 1.550 mètres d’altitude.
11. Télécabine « œuf »
wisthaler.com
Revivez la nostalgie avec les télécabines « œufs » de Forcella Sassolungo. Ces petites nacelles jaune pastel grimpent jusqu’à la station de montagne à 2.681 mètres. Une aventure à ne pas manquer !