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La flèche emblématique de la cathédrale, œuvre d’Eugène Viollet-le-Duc, l’architecte de la restauration de la cathédrale au XIXe siècle, qui s’était effondrée dans l’incendie, va progressivement réapparaître au-dessus du monument parisien au fil des prochains mois. “Un signal fort de sa renaissance”, a déclaré le responsable de ce projet colossal, le général d’armée Jean-Louis Georgelin.

La reconstruction elle-même a commencé l’année dernière !

Les travaux de reconstruction ont en effet réellement démarré l’année dernière, après plus de deux ans de travaux préparatoires afin de rendre le monument suffisamment stable pour que les artisans puissent commencer à y travailler en toute sécurité. Pour rappel, les autorités françaises ont fait le choix de reconstruire à l’identique ce monument du XIIe siècle, chef-d’œuvre de l’architecture gothique. On reconstruira donc, aussi à l’identique, la flèche de 93 m ajoutée au XIXe siècle.

Une expo gratuite

En attendant, une exposition intitulée Notre-Dame de Paris: au cœur du chantier vient d’ouvrir ses portes aux visiteurs sous le parvis de la cathédrale. Accessible gratuitement, elle met en lumière les opérations en cours sur le chantier ainsi que le savoir-faire et les compétences des ouvriers et artisans. L’exposition présente également des vestiges de l’incendie et des œuvres d’art de la cathédrale.

Ouverture à la fin 2024

Le général Georgelin a déclaré que Notre-Dame rouvrira en décembre 2024, conformément à l’objectif fixé par le président Emmanuel Macron juste après l’incendie (mais juste un petit peu trop tard pour les Jeux olympiques prévus l’été qui précède).

Si le sujet vous intéresse, nous ne pouvons que vous recommander l’excellente série documentaire en trois épisodes Notre-Dame de Paris, le chantier du siècle diffusée il y a peu sur Arte et disponible en ligne.

Cette fréquentation record est toutefois due à une forte augmentation du nombre de touristes nationaux, tandis que le nombre de visiteurs étrangers a diminué de 14% par rapport à 2019.

Un nombre de nuitées en hausse

Bien que la Flandre ait accueilli moins de visiteurs étrangers en 2022, le nombre de nuitées a augmenté de façon significative pour s’établir à 33,6 millions, soit une hausse de 29,2% par rapport à 2019. Les Néerlandais ont été les plus nombreux à passer la nuit en Flandre, avec 4,2 millions de nuitées, enregistrant ainsi une hausse de 18% par rapport à 2019.

Des curieux toujours plus intéressés

Les musées et autres attractions touristiques ont également connu une hausse de leur fréquentation, avec une augmentation de 43% de curieux en 2022 par rapport à 2021.

Actuellement, bon nombre de touristes provenant d’un autre continent sont exemptés de visa pour un séjour de courte durée dans l’espace Schengen. C’est notamment le cas des ressortissants américains. Cette situation devait changer en novembre de cette année, l’Europe ayant prévu d’introduire l’ETIAS, le système européen d’information et d’autorisation relatif aux voyages. Sauf que celui-ci ne débarquera pas avant 2024.

L’ETIAS est l’équivalent européen du système américain ESTA (Electronic System for Travel Authorization), un document électronique qui simplifie l’entrée aux États-Unis. L’ESTA fonctionne comme un visa, mais aucun tampon ou étiquette n’est apposé sur le passeport. Il est nécessaire pour entrer aux États-Unis, sauf si vous voyagez avec un visa américain.

Plus d’un milliard de personnes concernées !

Comme mentionné plus haut, l’Union européenne a une nouvelle fois reporté le lancement de l’ETIAS, cette fois à l’année prochaine, sans préciser de date exacte.

Selon le site schengenvisainfo.com, l’ETIAS concernera 1,4 milliard de personnes originaires de plus de 60 pays différents, qui se rendent actuellement dans les 27 pays de l’espace Schengen sans avoir à obtenir de visa pour un court séjour. Parmi les voyageurs qui seront touchés par la mise en œuvre de l’ETIAS, on peut citer les ressortissants américains, canadiens et britanniques. La mise en place d’un nouveau système d’entrée/sortie destiné à aider ETIAS à suivre toute personne qui entre et sort de l’espace Schengen a également été reportée à une date ultérieure.

Pour rappel, le dispositif ETIAS devait initialement être lancé en 2022, mais il a ensuite été reporté à la fin de la même année. Il a ensuite été repoussé au 1er mai 2023, puis, sans préavis ni raison, à nouveau reporté à novembre 2023. Il faudra maintenant attendre l’annonce de la nouvelle date de sa mise en œuvre en 2024.

En tant que propriétaire d’un bien immobilier à l’étranger, vous avez l’obligation de le mentionner dans votre déclaration d’impôts. Gardez à l’esprit que si vous ne le faites pas, il y a de fortes chances que les autorités fiscales le découvrent malgré tout.

Que devez-vous déclarer ?

Si vous louez le bien à l’étranger, vous devez indiquer le montant brut du loyer, c’est-à-dire après déduction des taxes payées à l’étranger. L’administration fiscale applique automatiquement des frais forfaitaires à hauteur de 40%. Si vous ne louez pas le bien, vous devez indiquer la valeur locative brute après déduction des impôts payés à l’étranger. Là encore, l’administration fiscale applique automatiquement un abattement de 40% à titre de frais forfaitaires.

Si vous louez votre seconde résidence une partie de l’année, vous devez indiquer les revenus locatifs réels pour la période durant laquelle vous l’avez loué. Pour la partie de l’année où vous n’avez pas loué le bien, indiquez la valeur locative brute (proportionnellement).

Comment calculer cette valeur locative ?

La valeur locative correspond au loyer brut annuel moyen que vous auriez pu percevoir si vous aviez loué votre seconde résidence. Pour ce faire, vous pouvez par exemple vous référer au loyer d’un bien immobilier similaire trouvé sur des sites d’annonces immobilières ou vous renseigner auprès d’un agent immobilier de la région. Comme base de calcul, vous avez également la possibilité d’utiliser le revenu cadastral ou l’équivalent, s’agissant d’un autre pays.

Serez-vous imposé sur ce revenu ?

Tout d’abord, il faut savoir que votre résidence secondaire à l’étranger peut être imposée dans le pays en question. Cela dépend d’un pays à l’autre. Par conséquent, avant d’acheter quoi que ce soit, n’oubliez pas de vérifier quel régime fiscal s’applique dans le pays concerné.

En outre, il se peut que vous deviez également payer des impôts en Belgique sur vos biens immobiliers à l’étranger. La Belgique a conclu une convention de double imposition avec de nombreux pays. Si tel est le cas, il est souvent stipulé que le pays dans lequel se trouve l’immeuble peut percevoir des impôts et non la Belgique. Cependant, le bien immobilier a aussi une influence sur les impôts que vous payez ici. En effet, la réserve dite “de progressivité” peut entraîner, à juste titre, une tranche d’imposition plus élevée.

La majorité PS-MR-Ecolo a déposé un texte visant à réduire la taxation des camping-cars en Wallonie. Le texte prévoit que le montant de la taxe de circulation soit fixé à 40% du montant établi dans le décret litigieux.

La taxe de mise en circulation serait également réduite à 35% du tarif initialement prévu, avec une rétroactivité remontant au 1er janvier 2022.

La réaction du ministre du Budget

Le ministre du Budget, Adrien Dolimont, a répété l’importance de travailler sur une tarification spécifique pour les camping-cars, des véhicules qui sont utilisés quasi exclusivement pour les loisirs. Selon lui, la proposition de la majorité débouchera sur une diminution significative de la pression fiscale, avec une médiane, pour la taxe de mise en circulation et l’éco-malus, de 565 euros contre 1.614 euros actuellement, et une médiane de la taxe de circulation de 194 euros, à comparer aux 486 euros actuels. Le ministre Dolimont s’est réjoui de cette diminution significative de la pression fiscale. Du côté des Engagés, au contraire, on dénonce une taxation plus élevée qu’auparavant et un compromis boiteux.

Durant la première semaine d’avril, la restriction de 5% sera en vigueur toute la journée pour les voyageurs au départ. Ensuite, jusqu’à la mi-mai, la mesure ne s’appliquera que pour les heures de pointe du matin. Cette mesure vise à réduire le risque de “retards inacceptables pour les voyageurs” à l’enregistrement et aux contrôles de sécurité et d’identité, a indiqué le gestionnaire de l’aéroport.

Selon l’aéroport, cela signifie que le nombre de sièges qui pourront être réservés sera réduit de 5%. Les compagnies aériennes peuvent choisir soit de moins remplir leurs avions soit d’annuler des vols.

Si l’aéroport néerlandais affiche une capacité supérieure à celle de l’année dernière, lorsqu’il faisait face à une pénurie de personnel, actuellement, le problème de manque de bras se situe plutôt au sein des bagagistes.