Il peut y avoir toutes sortes de raisons pour lesquelles quelqu’un ne peut pas (ou ne veut pas) partir en vacances. Par exemple, la relation entre deux partenaires peut être perturbée, l’un des compagnons de voyage peut ne pas être en mesure de prendre congé ou quelqu’un peut vouloir rester avec un membre malade de sa famille. Mais peut-il alors transférer son voyage à quelqu’un d’autre ?
La loi l’autorise
Si vous avez réservé un forfait vacances, vous pouvez laisser quelqu’un d’autre prendre votre place. Le voyagiste ne peut l’interdire. La personne à qui vous transférez le déplacement doit remplir toutes les conditions stipulées dans le contrat.
Prévenez à temps !
Vous devez en informer l’agence dans un délai raisonnable avant le début du voyage. Pour éviter les discussions, faites-le par lettre recommandée. Si vous informez l’organisateur de la personne qui prendra en charge votre voyage au moins sept jours avant le début du voyage, cela sera en tout état de cause considéré comme raisonnable.
Qui paie ?
La personne qui transfère le voyage et le « remplaçant » sont conjointement et solidairement responsables du paiement du montant restant dû à l’organisateur du voyage ainsi que de tous les frais supplémentaires, suppléments et autres coûts découlant du transfert. L’agence doit informer la personne qui transfère le contrat, des coûts du transfert. Ces frais ne peuvent excéder les frais réels supportés par l’organisateur.
L’intercommunale de sauvetage côtier de Flandre-occidentale (IKWV) entend mettre en lumière les dangers inhérents à la baignade en mer du Nord. An Beun, la secrétaire générale de l’IKWV, a souligné l’importance de sensibiliser les baigneurs aux risques de forts courants marins et de la température de l’eau.
La sécurité sur le littoral
Un poste de secours est mis en place dans chaque commune du littoral mais en dépit de cette présence renforcée, les précautions lors de la baignade restent indispensables.
Les risques pour les nageurs expérimentés
Même les nageurs aguerris peuvent rencontrer des problèmes en mer du Nord. La mer est imprévisible, avec des courants forts et une température plus basse que celle d’une piscine.
L’achat de la vignette suisse, indispensable pour circuler sur les routes du pays, sera possible sur internet dès le 1er août. Cette décision marque une avancée significative pour le gouvernement suisse en matière de digitalisation.
Une solution avantageuse pour tous ?
La vignette électronique, ou e-vignette, sera liée à la plaque d’immatriculation et non plus au véhicule. Cette approche présente de nombreux avantages, notamment pour ceux qui ont des plaques interchangeables ou qui changent de véhicule en cours d’année.
Un système ouvert aux véhicules étrangers
Les autorités suisses ont confirmé que l’e-vignette sera également disponible pour les véhicules étrangers.
Achat sur le site web de l’OFDF au même prix
L’Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF) mettra en vente l’e-vignette sur son site web. Le prix restera inchangé, soit 40 francs suisses (environ 41 euros).
Un futur sans vignette physique ?
Les deux modèles de vignette, électronique et standard, coexisteront dans un premier temps. Cependant, le gouvernement suisse envisage l’abandon de la vignette physique si sa part des ventes tombe sous les 10%.
La compagnie a pour objectif de peser plus de 10.000 voyageurs avec leurs bagages à main dans le cadre d’une étude réalisée tous les 5 ans dans le but d’améliorer la sécurité de ses appareils à la demande de l’autorité de l’aviation civile locale. Les passagers volontaires pourront se peser sur des balances spéciales qui seront placées aux portes d’embarquement du principal terminal de l’aéroport d’Auckland. Les données seront pour leur part collectées de manière anonyme.
Parmi les personnes susceptibles d’être invitées à participer à cette enquête figurent celles qui empruntent la liaison directe entre Auckland et New York. Un vol d’une durée de 17 heures qui a été mis en place à l’automne dernier et qui fait figure de pilier au sein de la stratégie post-pandémie de la compagnie néo-zélandaise.
Tout est une question de poids
Lorsqu’une compagnie aérienne a la connaissance de la charge embarquée par l’un de ses appareils, elle est en mesure de mieux déterminer la quantité de carburant dont elle aura besoin pour rallier la destination. Selon The Independent, les compagnies aériennes chargent généralement environ 1% de carburant en plus que ce dont elles ont réellement besoin. Un excès de poids qui contribue à faire grimper la consommation de l’appareil jusqu’à 0,5 % en plus.
Pour rappel, les compagnies du monde entier dépensent plus de 180 milliards € en carburant chaque année ! Avec des estimations plus précises, elles pourraient économiser près de 940 millions €, sans parler de la réduction des émissions dues au carburant qui n’est pas brûlé durant le vol.
Grâce à votre téléchargement de ce guide de voyage, un arbre sera planté à Cunewalde, en Saxe. Cela se fait en collaboration avec Go Forest, une organisation belge qui se consacre à la reforestation de notre planète. Avec votre aide, nous veillerons à ce que la nature allemande soit préservée et protégée.
Il y a des règles qui s’appliquent au transport de bagages à main dans l’avion. En dehors de ces règles, toutes sortes de règles s’appliquent également aux autres bagages que vous êtes autorisé à emporter avec vous et qui sont placés dans la soute de l’avion.
Le poids des bagages que vous pouvez emporter avec vous peut varier d’une compagnie aérienne à l’autre et d’un itinéraire à l’autre. Des règles spécifiques peuvent également s’appliquer au nombre de valises que vous êtes autorisé à transporter et à leur poids.
Vous trouverez probablement sur votre billet, les règles qui s’appliquent à votre vol. Si nécessaire, vous pouvez également obtenir des informations auprès de l’agence de voyage avec laquelle vous voyagez ou auprès de la compagnie aérienne avec laquelle vous effectuez le vol. Veuillez noter que la règle supplémentaire à l’aéroport de Bruxelles National est que chaque pièce ne doit pas peser plus de 32 kg.
Regardez la
Différentes règles peuvent également s’appliquer selon la classe avec laquelle vous volez. Il est parfaitement possible, par exemple, que les passagers voyageant en classe business puissent transporter plus de bagages que ceux voyageant en classe économique.
Si vous avez vu trop large ?
Si vous avez trop de bagages avec vous, vous risquez de devoir payer un supplément. Si nécessaire, vous pouvez choisir d’envoyer des objets encombrants ou lourds comme fret aérien.
Si vous avez des escales avant d’arriver à destination, veuillez noter que les divers vols peuvent être soumis à des règles différentes en ce qui concerne vos bagages.
L’organisation belge de mobilité, VAB, alerte tous les voyageurs belges qui ont prévu un voyage en voiture vers la France cet été. De nouvelles Zones à Faibles Émissions (ZFE), aussi appelées zones de basses émissions, ont été mises en place dans neuf grandes villes françaises : Grenoble, Lyon, Marseille, Montpellier, Nice, Reims, Rouen, Strasbourg et Toulouse.
Crit’air: l’adhésif environnemental indispensable
Pour entrer en voiture dans ces villes, les voyageurs doivent désormais être munis d’une vignette environnementale Crit’air. Les régulations spécifiques peuvent varier d’une ville à une autre. En général, les voitures diesel Euro 4 sont autorisées partout et aucune restriction n’est prévue pour les voitures à essence, mais elles doivent disposer de la vignette Crit’air. Les conducteurs sans vignette risquent une amende de 68 euros.
Durcissement des règles à Paris
A Paris, où une zone de basses émissions est en vigueur durant la semaine entre 8h00 et 20h00, les règles vont être durcies à partir du 1er juillet. Les voitures diesel de la norme Euro 4 et les voitures à essence de la norme Euro 3 seront interdites. Cependant, des discussions sont en cours sur un possible report de cette législation. Planifiez bien votre voyage pour respecter ces nouvelles règles !
Les pays qui imposent la vignette autoroutière sont en progression constante. Et s’il n’y a pas de vignette à apposer sur le pare-brise, l’automobiliste est bien souvent confronté au péage autoroutier.
S’il y a bien un pays où l’automobile est reine, c’est bel et bien l’Allemagne. C’est aussi là que l’on compte le réseau autoroutier le plus dense. Actuellement, les autoroutes allemandes ne sont pas payantes. Par contre, certains centres-villes imposent la vignette environnementale. Sa couleur déterminant où l’on peut se rendre. En outre, les principales métropoles ont définitivement banni les véhicules les plus anciens fonctionnant au diesel.
Ce site reprend les villes qui exigent ladite vignette environnementale. Cette dernière peut généralement être achetée auprès des stations-service locales.
2. France
Le réseau autoroutier français est en grande majorité payant. Paiement qui s’effectue par l’intermédiaire des célèbres péages où l’on peut régler son dû en espèces, par carte bancaire ou encore à l’aide d’un boîtier de télépéage. Ce dernier permet d’éviter les files en passant par une voie spécifique, les frais de péage étant prélevés automatiquement.
Outre les autoroutes, il faut également payer pour traverser certains tunnels et ponts. C’est notamment le cas des tunnels du Mont-Blanc et du Fréjus.
Ce site vous permet de calculer le coût de votre trajet en France.
Avec des tarifs en constante évolution, il être souvent plus intéressant de passer par l’Allemagne pour rallier la Suisse et l’Italie. C’est aussi un bon moyen d’éviter les gilets jaunes…
3. Italie
Peu le savent mais c’est en Italie qu’on a inventé l’autoroute ! Si dès 1913 les Allemands entament les travaux d’un tronçon expérimental à l’ouest de Berlin (baptisé AVUS), ce sont les Italiens qui ont inauguré la première autoroute civile le 21 septembre 1924 entre Milan et Varèse avec l’Autostrada dei Laghi.
Comme en France, l’Italie applique un système de péage où l’on paye par kilomètre parcouru. Il est possible de payer en espèces, par carte ou encore par Telepass (système similaire au télépéage français). Certains tunnels autoroutiers sont également payants, à l’image du tunnel du Grand Saint-Bernard qui relie la Suisse à l’Italie et qui permet d’éviter le très encombré tunnel du Mont-Blanc.
Le site officiel du réseau autoroutier italien permet de calculer le coût d’un déplacement en terre transalpine.
4. Autriche et Suisse
En Autriche comme en Suisse, on paye l’usage des autoroutes à l’aide d’une vignette que l’on achète et que l’on colle derrière son pare-brise. Si l’Autriche vous permet d’opter pour une durée de dix jours, deux mois ou un an, la Suisse ne vous offre pas ce choix puisque seule une vignette d’une année civile est disponible. La vignette suisse peut être achetée en Belgique (notamment auprès de Touring) ainsi qu’en ligne. L’acheter à l’avance vous permettra de gagner pas mal de temps, les files aux frontières étant monnaie courante.
À noter que depuis peu, l’Autriche propose pour sa part une vignette digitale que l’on télécharge sur son smartphone. Ici aussi cela permet de gagner pas mal de temps !
5. Espagne
Dans la péninsule ibérique, la plupart des autoroutes sont payantes. Celles-ci sont signalées par les lettres AP. Il est possible de régler son dû par carte bancaire ou en cash. Alternatives aux principales autoroutes : les routes A, gratuites, mais souvent plus encombrées et sinueuses.
Le site des autoroutes espagnoles, particulièrement bien fait, permet de calculer les frais relatifs à un déplacement en Espagne mais également en dehors des frontières. Pratique lorsque vous souhaitez par exemple vous rendre au Portugal ou au Maroc en voiture.
6. Portugal
Au Portugal, une grande partie du réseau autoroutier est soumise à des péages. Vous pouvez régler les péages par carte bancaire ou en espèces. Les routes nationales sont une alternative gratuite au autoroutes, mais ces routes peuvent être plus encombrées et sinueuses, ce qui risque de rallonger le temps de trajet. Les autoroutes sont signalées par les lettres AP, tandis que les routes nationales sont signalées par la lettre A, ce qui permet de faire la distinction.
Pour calculer les frais relatifs à un déplacement au Portugal, vous pouvez consulter le site web officiel des autoroutes portugaises. Ce site est particulièrement bien fait et vous permet de planifier votre itinéraire en tenant compte des péages.
7. République tchèque et Slovaquie
En République tchèque tout comme en Slovaquie, on paye l’usage des autoroutes en utilisant une vignette autoroutière. Celles-ci sont disponibles pour différentes durées, allant de 10 jours à un an et doivent être collée sur le pare-brise du véhicule. La vignette autoroutière peut être achetée dans les stations-service, les points de vente autoroutiers ou en ligne pour les deux pays.
La Hongrie met en place un système combinant vignettes autoroutières et paiement supplémentaires sur certaines sections spécifiques. La vignette autoroutière, également appelée e-vignette, est obligatoire et peut être achetée aux stations-service, en ligne ou dans certains bureaux de postes désignés. Elle est disponible pour des durées variées, allant de 10 jours à 1 an, et doit être achetée avant d’entrer sur l’autoroute. En plus de la vignette autoroutière, des péages supplémentaires sont imposés sur des tronçons spécifiques d’autoroutes et de routes rapides en Hongrie. Ces péages doivent être réglés aux postes de péage désignés ou via des systèmes électroniques de paiement du péage.
Avant de prendre la route en Hongrie, n’hésitez pas à consulter le site web de l’autorité nationale de péage hongroise afin d’obtenir les informations les plus à jour sur les exigences du pays. Cela facilitera votre voyage !
9. Danemark et Suède
Pour voyager au Danemark et en Suède, vous n’avez pas besoin d’une vignette autoroutière spécifique. Au Danemark, vous rencontrerez principalement des péages pour l’utilisation de ponts, tunnels, et routes spécifiques. Les péages sont généralement basés sur le principe du paiement à l’utilisation, où vous payez en fonction de la distance parcourue ou du passage à travers une infrastructure spécifique.
Par contre, le système de péage en Suède est basé sur une combinaison de péages urbains et de péages sur les autoroutes. Les péages urbains sont en place dans certaines villes, où vous devez payer pour entrer ou circuler dans certaines zones centrales pendant certaines heures de la journée. Concernant les péages autoroutiers en Suède, la plupart des autoroutes sont gratuites à l’exception de quelques tronçons où des péages sont prélevés.
Il est recommandé de consulter les sites web officiels des autorités routières du Danemarket de la Suèdepour obtenir des informations actualisées sur les péages, les méthodes de paiement et les règles spécifiques pour chaque pays.
Joris Salden, directeur général des Affaires consulaires, souligne l’importance de l’assurance voyage, rappelant que “la sécurité est une responsabilité partagée“.
L’avenir de l’aviation pourrait bien dépendre des carburants d’origine non fossile, notamment ceux issus de la biomasse et d’huiles usagées. L’Association internationale du transport aérien (IATA) prévoit que leur production atteindra 69 milliards de litres d’ici 2028.
Les défis à surmonter
Malgré ce potentiel, l’IATA appelle les gouvernements à garantir une répartition équitable des carburants d’aviation durables (SAF) parmi les différents secteurs industriels. Actuellement, d’autres secteurs, tels que le biodiesel pour les camions et le biogaz pour le chauffage, sont également en concurrence pour ces produits.
La promesse des SAF
Les SAF sont encore naissants, représentant seulement 0,1% des carburants consommés par l’aviation. Néanmoins, ils sont essentiels pour les compagnies aériennes, qui se sont engagées à atteindre zéro émission nette en 2050. En effet, 62% de cette transition reposera sur les SAF, selon l’IATA.
Un objectif ambitieux
La production de SAF a déjà triplé entre 2021 et 2022, atteignant 300 millions de litres. L’IATA vise 30 milliards de litres en 2030. Plus de 130 projets de production de carburants renouvelables sont en cours dans 30 pays, soutenant l’ambition de zéro émission nette de CO2 du secteur aérien d’ici 2050.
