Initialement réservé aux citoyens qataris, le système a été élargi à d’autres pays du Golfe début 2024. À partir du 2 avril, il concernera les ressortissants de la majorité des pays européens, sauf l’Irlande.
Une démarche 100 % en ligne
Les voyageurs doivent faire leur demande via l’application UK ETA ou le site officiel. Les enfants et bébés ne font pas exception ! Les citoyens vivant au Royaume-Uni, en revanche, ne sont pas concernés.
Une tendance mondiale
Ce dispositif s’inscrit dans une tendance globale. Les États-Unis et l’Australie utilisent des systèmes similaires depuis plusieurs années. L’Union européenne suivra en 2025 avec l’ETIAS, une autorisation valable trois ans pour 7 euros.
Depuis leur adhésion à l’Union européenne en 2007, la Roumanie et la Bulgarie attendaient d’intégrer pleinement l’espace Schengen. Après des années de blocages, notamment par l’Autriche, cette attente a pris fin mercredi 8/1 à minuit avec l’ouverture des postes-frontières terrestres.
Pour ces deux pays, souvent considérés comme “citoyens de second rang” au sein de l’UE, il s’agit d’une sacrée victoire ! Le Premier ministre roumain Marcel Ciolacu a qualifié cet événement de “plus grand succès de 2024“.
Une adhésion longtemps retardée
Bien que remplissant les critères techniques depuis 2011, les deux pays ont dû faire face à des objections répétées de certains membres de l’UE. Ces blocages étaient souvent liés à des préoccupations migratoires, notamment exprimées par l’Autriche.
En novembre dernier, un compromis a été trouvé : des contrôles temporaires de 6 mois seront mis en place pour surveiller d’éventuels changements dans les routes migratoires, tandis que la frontière bulgaro-turque bénéficiera d’un renforcement de la sécurité.
Quid pour le tourisme ?
Le secteur touristique prévoit une hausse du nombre de visiteurs, notamment vers la Grèce, facilement accessible via les deux pays. Avec cette adhésion, l’espace Schengen s’étend désormais à 25 des 27 membres de l’UE. Plus de 400 millions de citoyens peuvent circuler librement.
La Tour Eiffel, construite en 1889, est tombée dans le domaine public depuis longtemps. Cependant, son éclairage nocturne est une œuvre créée par Pierre Bideau en 1985. Cette installation lumineuse est considérée comme une œuvre artistique protégée par le droit d’auteur.
Photographier pour un usage personnel : pas de souci !
Bonne nouvelle : si vous prenez une photo de la Tour Eiffel illuminée pour un usage personnel (votre compte Instagram, par exemple), vous n’avez rien à craindre. La loi française permet ce type d’usage tant qu’il ne génère pas de profit.
Commercialiser vos clichés : attention !
En revanche, si vous souhaitez commercialiser une photo de la Tour Eiffel illuminée (par exemple, en vendant des cartes postales), vous devez obtenir une autorisation préalable de la Société d’Exploitation de la Tour Eiffel (SETE). Sinon, vous risquez des sanctions pour violation des droits d’auteur. Il en va de même pour une photo de presse…
La Commission européenne a annoncé la création d’un label CO2 pour le transport aérien, disponible dès juillet 2025. L’objectif ? Permettre aux passagers d’identifier les vols les moins polluants en comparant leurs émissions de gaz à effet de serre. “Actuellement, les compagnies aériennes et les vendeurs de billets utilisent des méthodes disparates, ce qui rend la comparaison difficile“, précise la Commission.
Une mesure contre le greenwashing
Face à l’engagement du secteur à atteindre le “zéro émission nette” d’ici 2050, le label vise à lutter contre le greenwashing et rendre les informations plus transparentes. Toutefois, les défis sont de taille : les difficultés de Boeing et Airbus à produire des avions de dernière génération, ainsi que le coût élevé des carburants d’aviation durables (SAF), menacent cet objectif.
Une démarche non obligatoire
Le label, inclus dans le règlement ReFuelEU Aviation, ne sera pas obligatoire et sera délivré uniquement par l’Agence européenne pour la sécurité aérienne (AESA). Les passagers pourront ainsi mieux évaluer l’empreinte carbone de leurs trajets avant d’acheter un billet.
Le porte-parole présidentiel Manuel Adorni a précisé que plusieurs provinces, comme Salta, appliquent déjà ces mesures, réduisant les soins étrangers de 95% et économisant 60 millions de pesos (60.000 dollars).
L’éducation également touchée
Les universités pourront désormais facturer des frais aux étudiants étrangers. Avec 123.000 étudiants étrangers recensés en 2022, cette réforme pourrait transformer le système éducatif ! Toutefois, des experts comme le constitutionnaliste Felix Lonigro soulignent que seule une modification de la loi par le Parlement permettrait ce changement. Affaire à suivre, donc…
Opposition et tradition en jeu
La province de Buenos Aires, dirigée par l’opposition, maintient sa position sur la gratuité des services de santé pour tous. L’Argentine, historiquement un pays d’immigration et d’accueil, voit donc sa tradition remise en question par ces nouvelles mesures.
C’est Vittorio Pisani, chef de la police nationale, qui a décidé d’imposer une vérification physique de l’identité des locataires. Concrètement, cela signifie que les gérants de structures d’hébergement doivent s’assurer que les documents correspondent bien aux personnes présentes. Comprenez que le propriétaire doit vérifier votre identité avant de vous laisser les clés du bien !
Pourquoi ?
La mesure s’inscrit dans un contexte de niveau d’alerte élevé à l’international. En outre, de nombreux événements sont prévus en Italie, comme le Jubilé de l’Église catholique, et devraient attirer de nombreux visiteurs. A ce sujet, en 2025, l’Italie se prépare à accueillir plus de 30 millions de touristes en 2025 ! P
Pour Roberto Gualtieri, maire de Rome, cette mesure est “une bonne nouvelle pour tous” et “un premier frein à la concurrence déloyale” envers les hôteliers. Florence a déjà pris des mesures similaires pour lutter contre le surtourisme en limitant les “keybox” dès 2025.
Les plateformes de réservation de logements et de vente de billets devront bientôt jouer la carte de la transparence. La Federal Trade Commission (FTC) a annoncé une nouvelle réglementation visant à supprimer les frais cachés. Objectif : obliger ces sites à indiquer le prix final dès le début de la transaction !
Cette décision vise à combattre les pratiques de prix trompeuses. La FTC dénonce ces frais ajoutés au dernier moment, estimant que cela pénalise les consommateurs et les entreprises honnêtes… Surtout pour nous, pauvres européens pas du tout habitués à ces pratiques ! Selon l’agence, cette mesure pourrait faire économiser 11 milliards de dollars aux utilisateurs sur les dix prochaines années et leur éviter 53 millions d’heures de recherches inutiles.
Qui est concerné ?
Les plateformes de réservation de logements de courte durée, d’hôtels, et les sites de vente de billets de spectacles doivent se conformer à cette nouvelle règle. Même les prix affichés en publicité sont concernés.
Le président américain, Joe Biden, soutient cette initiative : « Dans toutes les situations où les grandes entreprises essayent de glisser des frais dans les factures, mon gouvernement s’y est opposé au nom des familles américaines. » La règle entrera en vigueur dans les 120 jours suivant sa publication officielle.
La compagnie Air Belgium, en liquidation judiciaire depuis septembre, voit ses jours comme transporteur de passagers arriver à leur terme. Le tribunal du Brabant wallon a validé, le 5 décembre, une offre unique de reprise concernant uniquement le fret aérien. Un consortium formé par Peso Aviation Management et Air One Holdings International a proposé 800.000 euros pour reprendre les opérations cargo. Cette reprise inclut 197 emplois et deux Boeing 747 en leasing, mais aucune place pour les vols passagers.
200 licenciements et des billets perdus
Sur les 402 employés d’Air Belgium, seuls 197 postes seront sauvegardés. Autre coup dur : aucun remboursement n’est prévu pour les clients ayant acheté des billets avant l’arrêt des vols. Près de 20.000 passagers sont concernés par cette décision.
Les repreneurs envisagent une expansion des opérations cargo avec une nouvelle base à Bruxelles. Toutefois, sans accord de la Direction générale du transport aérien belge (DGTA), qui pourrait prendre plusieurs mois, le calendrier reste flou. Un nouveau chapitre commence pour Air Belgium, mais pour le transport de passagers, l’histoire s’arrête ici.
Cette mesure pour le moins drastique vise à réduire les effets du surtourisme dans des zones déjà fortement sollicitées, comme la vieille ville, le quartier de La Merced où est né Pablo Picasso, ainsi que la plage de El Palo.
Cette régulation n’affecte que les nouvelles offres, mais elle vise à diriger les visiteurs vers des zones moins centrales et moins saturées. Le principe est bien entendu de freiner l’envolée des prix et maintenir les locaux sur place !
D’autres villes espagnoles comme Barcelone et les îles Baléares ont déjà imposé des restrictions similaires. La limitation des locations de courte durée permet de lutter contre la congestion et la flambée des loyers, deux problèmes évoqués par les mouvements anti-surtourisme.
Le simple fait qu’il n’y ait pas de neige sur votre lieu de vacances ne constitue pas une raison valable pour annuler votre séjour. Une exception pourrait s’appliquer si vous avez conclu d’autres accords, par exemple avec le propriétaire du chalet que vous avez loué ou avec l’hôtelier local. Si vous avez réservé un hôtel qui permet encore l’annulation, il n’y aura pas de problème.
Garantie neige
Certaines agences de voyage proposent une « garantie neige ». Celle-ci vous permet, par exemple, de modifier votre réservation pour une destination où la neige est présente, si quelques jours avant votre départ il y a peu ou pas de neige.
Cette garantie est souvent assortie de conditions strictes. Vous ne pouvez généralement l’invoquer que quelques jours avant votre départ, mais pas une fois sur place. De plus, elle ne s’applique pas si les pistes de ski sont fermées pour une raison autre qu’un manque de neige. Modifier la destination peut également engendrer des frais supplémentaires.
Avant de réserver, vérifiez donc en détail ce que la garantie inclut et ne réservez que si les conditions vous conviennent.
Et si vous ne voulez pas partir ?
Si vous décidez de ne pas partir en vacances à cause de l’absence de neige, vous devrez probablement payer la location de votre hébergement. Si l’annulation n’est pas possible, vous serez également tenu de régler l’hôtel.
Dans le cas d’un voyage à forfait, tout dépend souvent du moment de l’annulation pour déterminer les frais qui vous seront imputés. Le contrat que vous avez signé prévoit probablement des indemnités qui varient selon la date à laquelle vous annulez votre séjour.