Originaires de l’Antarctique, ces stars marines migrent jusqu’aux eaux chaudes du Brésil pour pouponner. Leur spécialité ? Un show aérien à base de sauts, de coups de nageoire et de vrilles spectaculaires. Bonne nouvelle, leur population, autrefois menacée, atteint désormais 30.000 individus selon l’Institut Baleia Jubarte.
abigail-lynn
Les hotspots d’observation
Nord de São Paulo : saison démarrée assez tôt cette année, avec 200 baleines repérées dès juin. ProBaV y cartographie les cétacés, et le tourisme devrait peser 120.000 visiteurs.
Bahia : avec Abrolhos et Praia do Forte, c’est le cœur du sanctuaire. Sorties pédagogiques à la clé.
Arraial do Cabo (RJ) : top pour l’observation depuis la terre ferme. Clou du spectacle : une baleine gonflable géante de 16 mètres !
Santa Catarina : royaume des baleines franches australes, plus rares et toujours menacées. Arrivées plus tôt que prévu, elles rappellent l’importance de l’observation responsable.
Quelques règles de base pour l’observation des baleines :
Oubliez les clichés sur les moulins et les tulipes. À Leyde, ce sont le fromage sauvage et la bière artisanale botanique qui attirent les becs fins cet été. Cette ville universitaire à la beauté tranquille, entre canaux, musées et marchés historiques, cache une scène gastronomique locale aussi surprenante que délicieuse.
Simone Both
Marchés, cueillettes et fromages d’auteur
Dès le samedi matin, direction le cœur de Leyde pour un marché aussi vieux que savoureux. Poissons frais, gaufres au sirop, épices et fromage de Warmond s’y côtoient. Et pour ceux qui ne sauraient résister à un deuxième tour, cap sur le marché PUUR Natuur de Wassenaar, chaque dernier samedi du mois.
Simone Both
Envie d’une balade utile ? Partez en cueillette sauvage avec Daphne Struint autour de Leyde. Fleurs, herbes, feuilles comestibles…
L’art du fromage… en version slow
Trois fermes, trois philosophies du bien-manger durable. À Warmond, la ferme De Eenzaamheid produit son légendaire « Wilde Weide Kaas » depuis 170 ans. À quelques coups de pédale, le Boterhuys réinvente le lait avec sa « kalfvolle melk ». Et à Wassenaar, la ferme Nellesteijn, énergétique neutre, a raflé le prix du meilleur fromage fermier des Pays-Bas en 2022. Chapeau, les vaches !
Simone Both
Bière botanique et air marin
Après l’effort, le réconfort : la brasserie Pronck, installée en ville, propose une box bière & fromage à s’offrir ou à ramener. Envie de tout goûter ? Empruntez la route vélo Duin & Zeeroute, 33 km entre dunes, mer et fermes gourmandes.
Paradoxal, mais logique : quand vous êtes bien quelque part, vous n’avez aucune envie de voir s’abîmer l’environnement qui vous convient.
L’exercice est donc périlleux, mais je peux m’y livrer sans crainte : le tourisme de masse à Madagascar n’est pas pour demain ni même après-demain, et le territoire est si vaste qu’il y en a pour tous les goûts. Voici les miens.
adobe
Chez RaWill à Toliara
Un petit bar de quartier à Toliara, sur la côte sud-ouest. Il n’a pas de nom même si tous ceux qui y viennent l’appellent du prénom à peine modifié de son patron : chez RaWill – il s’appelle William, le « Ra » qui s’accole au prénom raccourci est une façon de dire « monsieur ».
Il y a quatre tables bancales en terrasse, quelques autres dans deux petites salles sur le côté et à l’arrière. Les gens du quartier y passent, s’arrêtent parfois, mais n’oublient jamais de saluer le patron ou son épouse, ni de formuler des souhaits circonstanciels à chaque jour de fête. Il arrive qu’une grande table se forme, entre amis ou en famille, et ça peut durer toute la journée.
Ce quartier a été le mien pendant plus de quatre ans, je ne m’en suis pas beaucoup éloigné et j’y reviens toujours, comme chez moi.
Antalaha, capitale de la vanille
Antalaha, sur la côte nord-est, capitale autoproclamée de la vanille, bénéficie des retombées économiques de cette culture, « l’or noir de Madagascar ».
Au bord de l’océan Indien, une longue promenade mène du port à des lieux presque champêtres. Un marché populeux offre aux lève-tôt (j’en suis) café, gâteau banane et autres petits-déjeuners d’une gouteuse simplicité, pendant que les commerçants déballent leurs marchandises.
La circulation sur la route nationale qui coupe la ville en deux est parfois dense, mais dans l’ensemble, il règne à Antalaha un calme appréciable.
Mahajanga et son baobab géant
Mahajanga, à l’ouest, est une autre ville côtière. Plus grande que Toliara, moins pluvieuse qu’Antalaha, elle est célèbre pour un baobab géant qui trône au cœur de la ville – les touristes, malgaches comme étrangers, s’y font systématiquement photographier.
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Je marche le long de la corniche, mange le soir des brochettes (masikita) avec du manioc grillé – l’équivalent, pour un dîner léger, du petit-déjeuner d’Antalaha.
Les plus belles plages sont à l’extérieur de la ville, ce qui m’arrange : au centre, pulse une vraie vie locale, non soumise aux exigences des gens de passage.
Et tant d’autres lieux…
Et tant d’autres lieux, bien sûr :
un bar (encore ?) à Fianarantsoa où je me sens en famille,
le petit marché de Foulpointe (Mahavelona pour les Malgaches) au nord de Tamatave (Toamasina),
Il était une fois un homme enterré dans un pot en céramique, dans une tombe creusée à flanc de colline à Nuwayrat, à 265 km au sud du Caire. Nous sommes quelque part entre la période prédynastique et l’Ancien Empire, époque des premières pyramides. Son squelette est exhumé en 1902, lors d’une campagne archéologique dirigée par John Garstang. Sous domination britannique, les autorités égyptiennes confient alors certains restes à des institutions étrangères : ce défunt en fait partie.
Initialement conservé à l’Institut d’archéologie de Liverpool, il est ensuite transféré au World Museum Liverpool. Ironie du sort, ce simple squelette survivra aux bombardements de la Seconde Guerre mondiale qui détruisirent la majorité des collections humaines du musée. Sa longévité inattendue va finir par servir la science.
Des racines nord-africaines… et mésopotamiennes
Ce n’est que récemment, grâce aux technologies modernes de séquençage, que les chercheurs ont réussi à extraire de l’ADN intact à partir d’une dent. Résultat : cet homme avait une ascendance majoritairement nord-africaine, avec environ 20 % de gènes hérités d’ancêtres du Croissant fertile, notamment de l’actuelle Mésopotamie (Irak).
Artisan ou aristocrate ?
Son squelette révèle un mode de vie sédentaire et physique, avec des traces d’arthrose et des muscles développés comme ceux d’un potier – un métier qui apparaît justement à cette époque. Mais sa sépulture soignée détonne avec le statut social habituellement réservé aux artisans. Les chercheurs penchent pour un potier star ou un self-made-man de l’Ancien Empire.
On s’est levées tôt : l’aventure nous attendait ! On a seulement pris un café et on s’est mises en route : on avait prévu de déjeuner dans l’un des établissements de la Grand-Place. Et on ne l’a pas regretté : quel plaisir de prendre un croissant en terrasse, devant le plus vieux beffroi de Belgique, et sous un joli ciel bleu !
Arts & Design in the city
Le ventre bien rempli, on allait s’aventurer en plein cœur de la ville pour suivre le parcours « Arts & Design in the city ». L’Office de tourisme distribue gratuitement le plan du circuit qui fait quand même 6 km. On a profité de notre passage à l’Office de Tourisme pour regarder le petit film « Les Folles Histoires de Tournai » : de quoi en savoir plus sur la ville avant d’entamer notre circuit artistique.
Tournai en couleurs !
Oui, Tournai, c’est désormais un musée à ciel ouvert. On a pris plaisir à découvrir les énormes lapins jaunes sur la place Crombez. On a vu des pantins escalant la façade de l’école des Arts, mais aussi des fresques pleines de couleurs, des sculptures jouant avec la lumière, un banc végétalisé… et j’en passe. Attractif et captivant.
Coralie Cardon
Je préciserai encore que nous avions hésité entre ce parcours et celui d’«Art Nouveau », qui compte lui, 7 km. Mais dans la vie, il faut choisir. Et ne jamais regretter !
MuFlm
Nous avons ensuite poussé la porte du MuFIm : à nous le Folklore et les imaginaires tournaisiens. Le bâtiment, qui date du 17e siècle, raconte des tas d’histoires, comme par exemple celle du fabricant de bas en coton ou de la plus ancienne friterie itinérante de Belgique. Emouvant ! Et puis, j’ai aimé admirer le plan en relief de Tournai, à l’époque de Louis XIV. Moi qui aime les détails, j’étais hypnotisée !
Pas bien, je sais : on n’a rien mangé de sérieux. Du sucre, que du sucre ! Mais que c’était bon ! On a testé les faluches, les palets de dame et les gaufres à la cassonade. Il faut dire : les tea-rooms sont nombreux et les spécialités tournaisiennes trop tentantes.
Les quais, un passage obligatoire !
On a ensuite rejoint les quais de la ville : ici, ce sont les bars et les cafés qui animent Tournai. Convivialité assurée ! Les rives droite et gauche de l’Escaut sont idéales pour rêvasser. Arbres remarquables, façades classées, ponts historiques… L’ambiance est détendue et les festivités font plaisir à voir. C’est finalement dans un café du quai du Marché au Poisson qu’on s’est posées et qu’on a grignoté (encore).
Coralie Cardon
Le repos des guerrières
Nous avions réservé un petit hôtel bien centré : histoire de pouvoir rentrer tard et d’être au cœur de la ville dès le réveil. Sachez néanmoins qu’on trouve ici tous types de logements : les chambres d’hôtes et les auberges de jeunesse ont aussi la cote.
L’héroïne de mon enfance !
Le lendemain, après le petit déjeuner, on s’est baladées tranquillement dans les ruelles et les quartiers tournaisiens. On y a d’ailleurs croisé une adorable statue de Martine (et Patapouf !), l’héroïne des albums de notre enfance, qui était tournaisienne de par son scénariste et son dessinateur.
Un moment solennel
On a encore visité la Cathédrale Notre-Dame, qui est de toute beauté à l’intérieur. C’est néanmoins surtout depuis le sommet du Beffroi que je l’ai trouvée splendide. Moi par contre, je l’étais moins après avoir grimpé les 142 marches du Beffroi.
Coralie Cardon
Ecopark Adventures
Après un dernier verre (ou deux, et un paquet de frites, j’avoue !), on s’est décidées pour l’Ecopark Adventures : c’est vous dire si on est folles ! Pour une fois qu’on était sans les enfants… Mais l’idée de finir notre weekend sur une activité fun et de rire à gorge déployée l’a emporté sur celle de la détente et des bulles.
J’ai d’ailleurs quelques clichés assez sympas de mon amie qui trépigne au départ de la tyrolienne (la plus grande de Belgique) ! Je souris encore, rien que de vous l’écrire. Dire qu’on aurait pu choisir de se re-po-ser dans un des centres de bien-être de la ville. On ne se refait pas !
On est donc rentrées fatiguées. Mais pleinement heureuses de notre escapade. Tournai est vraiment une ville qui plaira à tous : que vous y veniez en amoureux, en famille, entre amis, vous y trouverez de quoi être heureux.
C’est officiel : le 20 septembre, les visites des tours de Notre-Dame de Paris feront leur grand retour, comme l’a annoncé le Centre des monuments nationaux (CMN). Un timing savamment calé sur les Journées européennes du patrimoine.
« Nous visons le 20 septembre prochain », a confié Marie Lavandier, présidente du CMN, à Ouest-France. Depuis l’incendie de 2019, ces deux gardiennes de pierre faisaient grise mine, leurs entrailles blessées par les flammes. Mais après une cure de jouvence bien méritée, elles sont prêtes à accueillir de nouveau les visiteurs, avec un parcours repensé et “aux normes de sécurité“.
Au programme : gargouilles, vue imprenable et… escalier en chêne
La visite commencera dans la tour sud, par une salle didactique peuplée de maquettes et de chimères originales. Ensuite, place à une double révolution pour grimper jusqu’à la terrasse. Là-haut, à 69 mètres, Paris se dévoilera dans toute sa splendeur – et la nouvelle flèche aussi.
À la descente : les visiteurs passeront devant les bourdons avant de rejoindre la cour des citernes, soit la connexion entre les deux tours. Les visiteurs auront alors une vue sur la charpente de la nef. Enfin, la visite se clôturera avec la tour nord, restaurée entre 2023 et 2024 et accompagnée par une création sonore inédite.
Infos pratiques
Le quota annuel est fixé à 400.000 visiteurs (contre 450.000 avant), avec des billets en ligne dès début septembre, au tarif de 16 euros. Un peu plus cher, certes, mais l’expérience promet d’être plus riche.
AtelierChristian de Portzamparc, fondation Herge-Moulinsart
Un musée, une icône, une surprise
Première étape : le Musée Hergé. Derrière une architecture franchement moderne, se cache un véritable trésor pour les amoureux de bande dessinée et de culture. On y découvre Hergé dans toutes ses dimensions : dessinateur de génie, publicitaire talentueux, observateur acéré de son temps… Les originaux, les documents, les objets… tout y est !
Atelier Christian de Portzamparc – Herge-Moulinsart 2016 – WBT – Bruno D'Alimonte
En arpentant les salles, même mes ados ont levé les yeux : « Ah ouais, il dessinait tout ça à la main ?! » On ne peut qu’être ému en voyant les premières planches de Tintin, ou encore les objets personnels du maître. Parce que oui, je suis de cette vieille génération qui a bercé ses enfants avec des Tintin ! Faute d’avoir pu les emmener sur la Lune…
Louvain-la-Neuve, ville verte et vivante
Mais Louvain-la-Neuve, ce n’est pas que Tintin. C’est aussi une ville étonnamment verte, jeune et dynamique. Pas de voitures qui bourdonnent ici : les piétons sont rois. Nous avons choisi une des balades thématiques (celle sur l’art urbain, bien sûr !). Le street art y est omniprésent, avec des fresques signées par des artistes de renom, dans le cadre du Kosmopolite Art Tour. Une galerie à ciel ouvert.
Et puis, juste à côté, se trouve le Musée L, un joyau injustement méconnu, où se rencontrent les arts, les sciences et les curiosités humaines. La diversité y est impressionnante : de Magritte à un squelette de dinosaure en passant par des inventions les plus étranges… Un musée pas du tout ennuyeux, d’autant que c’était le deuxième de la journée et il est passé crème !
A Delsoir
600 balais, ça se fête !
Bon à savoir : en ce moment, et jusqu’au 4 janvier 2026, l’UCLouvain célèbre ses 600 ans avec une exposition captivante au Musée L. Un tel anniversaire, ça se fête ! On y découvre les grandes figures de l’université, ses temps forts historiques, les coulisses de la recherche actuelle et des débats sur les défis de demain. Les esprits scientifiques et philosophiques pourront d’ailleurs questionner les chercheurs et débattre en toute tranquillité, sur la terrasse. L’Unif, sans l’ambiance pesante, en somme !
Le lendemain, nous avons fait un petit saut en voiture en direction de l’Abbaye de Villers-la-Ville. Quel lieu ! On a beau l’avoir visité maintes fois, le site reste toujours aussi impressionnant ! Ici, les pierres respirent six siècles d’histoire monastique. Munis de tablettes, nous avons plongé dans le passé grâce à la réalité augmentée, ressuscitant devant nous la vie quotidienne des moines.
Martin Dellicour
Le site est immense : 15 hectares de ruines, de jardins, de recoins à explorer. Petit conseil de la vieille routarde que je suis : les environs se découvrent principalement à vélo. Le réseau est bien fait et les pistes sont une invitation à la balade ! En ce qui nous concerne, vu qu’il était midi, nous avons diné au Bistro de l’Abbaye.
Un été féérique à l’Abbaye
Du 14 juillet au 14 août, l’Abbaye de Villers-la-Ville servira de théâtre à un conte intemporel : La Belle et la Bête, dans sa version originelle de 1740. Une mise en scène poétique signée Alexis Goslain, sublimée par les pierres et la lumière du site abbatial. Un spectacle que l’on suppose envoûtant en plein air qui démarre à 21h (ouverture dès 20h30, mais n’oubliez pas de réserver) !
Julie a sélectionné pour vous :
Les Trois Fontaines (Walhain)
Niché au cœur d’un parc privé de 4 hectares, cet hébergement à l’esprit slow tourisme est un véritable cocon de nature. Deux chambres d’hôtes 3 épis y offrent tout le confort : salle de bain privée, coin café/thé, literie de qualité et Wi-Fi rapide. Mention spéciale pour le sauna et jacuzzi en pleine forêt – l’expérience parfaite pour se détendre après une journée bien remplie. Le lieu est aussi écoresponsable et labellisé Clé Verte, avec recharge pour véhicules électriques et accueil vélo.
Dans un environnement calme, à la lisière des champs, Dimensions M propose un hébergement contemporain et sain. Sans moquette, avec literie anti-acariens, chauffage par le sol et ventilation individuelle, tout est pensé pour votre bien-être. À proximité : restaurants, bien-être, arrêts de bus et borne de recharge. Parfait pour les amateurs de randonnées et balades à vélo qui souhaitent un hébergement paisible, fonctionnel et éco-conscient.
Ce charmant hébergement allie luxe discret et ambiance champêtre. Deux chambres élégamment décorées dans un esprit nature accueillent les visiteurs en quête de calme et de confort. Idéal pour un séjour en amoureux ou un déplacement professionnel. Accès facile, parking gratuit, prestations haut de gamme et accueil chaleureux de Béatrice et Philippe en font une adresse de choix à l’orée des champs.
Au départ de la Cantine des Italiens, à Houdeng-Goegnies, vous deviendrez pilote d’un jour. Des bateaux de 5, 7 ou 9 places sont proposés à la location : de quoi profiter en famille, entre amis ou collègues ! Le bateau 9 places permet d’accueillir une personne à mobilité réduite : une bonne nouvelle !
Découverte historique
Vous prendrez les commandes et partirez naviguer sur la plus ancienne portion du Canal du Centre historique. Sur votre route, vous irez à la rencontre du plus vieil ascenseur à bateaux de Belgique : l’ascenseur hydraulique n° 1, qui date de 1888. Émotions en perspective.
Maison du Centre
Paysages enchanteurs
Les berges du Canal sont aussi à admirer : vert et bleu s’y marient à la perfection. C’est le moment de se laisser porter par la magie de l’instant.
canal du centre
Une pause gourmande pour finir
Après avoir suivi le ruban scintillant du Canal, et après avoir navigué une heure durant, pourquoi ne pas vous attabler à la Cantine des Italiens ? Une jolie manière de finir votre expédition !
À trop courir après le soleil, on en oubliait presque l’essentiel : souffler. En 2025, les Belges vont-ils reprendre le contrôle de leurs vacances ? Les Pays de La Loire proposent en tous cas un programme qui répond aux tendances du moment : slow life, coolcation et voyages en solo. Trois tendances douces comme un hamac à l’ombre ! Voici ce que propose la région.
Pause au vert : la revanche du calme
En Mayenne, au Gué de Selle, la forêt remplace les transats et les sentiers ombragés font taire les notifications. Même vibe à l’Ecodomaine Rêver Ailleurs, où cabanes et roulottes composent un tableau taillé pour les amateurs de sérénité.
La Fosse Barbâtre, Vendée Simon Bourcier
Coolcation, la clim’ naturelle
Marre des chaleurs suffocantes ? Cap sur la Vendée. À Barbâtre, une balade dans les pins offre un shot d’air frais et de parfums boisés. Et pour prolonger ce moment suspendu, l’hôtel La Mission sur l’île d’Yeu mêle patrimoine et bien-être dans un cadre historique relooké 4 étoiles.
Alpes Mancelles Pascal Beltrami
Le solo trip version Sarthe
Voyager seul n’a jamais été aussi tendance. En Sarthe, les cyclistes solitaires trouvent leur bonheur sur la Vélobuissonnière®, entre ports charmants et villages d’artisans. Pour la nuit ? Les Insolites de JSK offrent un cocon assez décalé pour vous reposer…
C’était une demande récurrente de l’aéroport : faire entrer les trains à grande vitesse dans la danse. À partir du 7 septembre 2026, ce sera chose faite, avec deux liaisons ICE par jour reliant Anvers, Bruxelles-National, Louvain et Liège à Cologne et Aix-la-Chapelle.
Deux allers-retours quotidiens
Les horaires ? Départ d’Anvers-Central à 11h00 et 19h00, avec arrêts à Zaventem (11h30/19h30) et Liège-Guillemins (12h20/20h20), pour une arrivée à Cologne à 13h30 ou 21h30. Dans l’autre sens, les trains partiront de Cologne à 6h30 et 14h30, direction Anvers via Liège et Bruxelles.
Une ligne mi-express, mi-régulière
Si les ICE fileront à toute allure entre l’Allemagne et Louvain, ils ralentiront ensuite sur une ligne classique jusqu’à Anvers.