C’est faux. Si les VIP désertent le port en hiver, le village ne ferme pas pour autant les volets. Marché le mardi et samedi, tropezienne en terrasse au soleil d’hiver, balades dans les ruelles sans touristes ni selfie sticks… C’est même le moment préféré des Tropéziens. Restaurants, galeries et cafés restent bien ouverts. L’ambiance y est plus douce, plus vraie.
axp-photography
« Saint‑Tropez, c’est uniquement pour les riches »
Oui, les yachts sont là. Mais le bling‑bling n’est qu’un décor partiel. Il y a des B&B, des petits hôtels, des snacks abordables et même un camping. Le village accueille aussi des familles, des retraités et des backpackers, surtout en arrière‑saison. Hors juillet‑août, les prix baissent, l’ambiance devient plus locale et la Méditerranée reste aussi belle. On n’est pas obligé de claquer 30€ pour une salade niçoise.
clemens-van-lay-
« Tous les bateaux sont des yachts »
Non. On croise des pointus (barques traditionnelles), des bateaux de pêche, de plaisance et même des voiliers d’école. Les superyachts sont la façade, pas la majorité.
natacha-de-hepcee
« Saint‑Tropez, c’est bronzette, plage et farniente »
C’est très réducteur. Le village regorge de trésors culturels : la Citadelle, le musée de l’Annonciade, des galeries, des concerts en plein air… Les randos dans le massif des Maures ou sur le sentier du littoral offrent des panoramas de folie. Et si vous voulez la plage, Pampelonne n’est pas seule au monde : l’Escalet ou la Moutte sont des alternatives plus sauvages.
michael-kroul
« Saint‑Tropez, c’est une ville-musée figée dans le passé »
Faux. Même si Brigitte Bardot hante encore les souvenirs, le village bouge, crée, évolue. Des artistes y installent leurs ateliers, des jeunes entrepreneurs relancent des boutiques locales, des festivals de musique ou de photo animent la saison. Le patrimoine est là, oui, mais il vit au présent, pas coincé dans un cliché sixties. Et non, tout ne tourne pas autour de la Gendarmerie.
Dans l’Atlantique Sud, cette île volcanique rattachée au Royaume-Uni est à 2 787 km de l’Afrique du Sud. Aucun aéroport, et des navires en provenance du Cap… quand la météo le permet. Son petit village au nom royal, Édimbourg-des-Sept-Mers, abrite une population de 250 personnes qui vivent en autarcie partielle.
hector-john-periquin
La vie y est rythmée par les saisons agricoles, la pêche, les éruptions volcaniques à l’occasion (celle de 1961 a forcé une évacuation), et une solidarité quasi tribale. On y partage tout : terres, bétail, actualités venues par bateau ou radio. On pourrait croire à un cauchemar logistique, mais pour les habitants, c’est un art de vivre.
L’île de Pâques (Rapa Nui)
Située à plus de 2 000 km de toute autre terre habitée, cette île chilienne est célèbre pour ses moai, statues monumentales mystérieuses alignées face à l’océan. Pourtant, derrière les cartes postales se cache une vie quotidienne assez calme : environ 7 700 habitants, dépendants du tourisme et de l’importation maritime.
stephanie-morcinek
L’aéroport Mataveri reste leur seul lien aérien avec le monde extérieur, mais les vols sont coûteux. Ce bout de terre volcanique est non seulement isolé, mais aussi profondément marqué par une culture unique, issue de peuples polynésiens et façonnée par l’isolement. Signe des temps modernes, les infrastructures se sont considérablement améliorées ces dernières décennies.
Pitcairn
C’est probablement l’île la plus romanesque des trois. Descendants des mutins du Bounty et des femmes tahitiennes, la quarantaine d’habitants vivent sur une île de 47 km², au beau milieu du Pacifique Sud.
Pas d’aéroport, aucun port en dur : pour y arriver, il faut embarquer sur un cargo depuis Tahiti ou la Nouvelle-Zélande, et accoster… en petite embarcation.
adobe
Les écoles peinent à rester ouvertes et l’île ne cesse de chercher de nouveaux habitants (sans grand succès). Malgré une beauté sauvage et une histoire digne d’un roman, la vie à Pitcairn est rude.
C’est par un roaaar enthousiaste que mes petits neveux ont accueilli notre visite au Monde Sauvage Safari Parc. En voiture ou à bord du petit train, on traverse un monde peuplé de girafes, éléphants, zèbres et autres créatures exotiques. Le cadre est verdoyant et on jurerait être à des milliers et des milliers de kilomètres au sud ! Ce qu’un hippopotame m’a semblé confirmer… Et puis, il y a aussi les makis qui bondissent d’arbre en arbre, les grands singes majestueux et les petits pandas roux qui jouent les vedettes. Bref, un zoo grandeur nature, où la frontière entre l’homme et l’animal semble s’amenuiser…
Les Grottes de Remouchamps : sous la terre, le rêve
À peine trois kilomètres plus loin, changement d’ambiance. On s’engouffre dans les Grottes de Remouchamps, un bijou géologique ! Une marche souterraine parmi les stalactites et stalagmites nous a menés à la “cathédrale”, une immense salle aux airs mystiques. Mais le clou du spectacle, c’est cette balade en barque sur la rivière souterraine – la plus longue d’Europe, s’il vous plaît. Silence, fraîcheur et magie. Une parenthèse hors du temps.
Rien de tel, après ces aventures souterraines, qu’un bon bol d’air pur. Le vallon du Ninglinspo est un de mes coups de cœur : des cascades, des bassins naturels, des ponts de bois… Un véritable décor de conte. J’ai aussi adoré flâner le long de la majestueuse Charmille du Haut Maret, la plus longue allée de charmes d’Europe. Et que dire des points de vue depuis la Roche aux Faucons, à Esneux ? Grandiose. Même les ruines du château d’Amblève, pourtant bien modestes, semblent conter des histoires oubliées…
fb-com-frederic-thomsin-photographie
Comblain-au-Pont : entre art, chauves-souris et silence minéral
Vous voulez un petit conseil ? Si vous avez le temps, ou si vous restez pour un séjour prolongé, dirigez-vous vers Comblain-au-Pont, où tout semble plus calme, presque feutré. Mais ne vous fiez pas aux apparences. Derrière ses airs discrets, se cachent des trésors inattendus ! Les Grottes de Comblain offrent une expérience sensorielle unique : ici, on écoute la roche, on touche l’argile, on observe le travail millénaire de l’eau. Un peu plus loin, le Centre de la Chauve-souris va sûrement vous réconcilier avec ces petites créatures souvent mal aimées. Et puis, en plein air, les sculptures monumentales en pierre bleue rappellent que l’art aussi, peut être enraciné dans le paysage.
L’adrénaline n’est jamais loin à Aywaille. Pour vous en convaincre, prenez la direction d’Hamoir, pagaie à la main. La descente de l’Ourthe, entre rochers, rapides et feuillages frôlant l’eau, va vous permettre de redécouvrir la rivière avec une intensité rare, et c’est peu de le dire ! Les parcours sont adaptés à tous les niveaux : 8, 15 ou 23 kilomètres selon l’humeur (ou l’état des bras).
Chargement en cours…
Kayak Club Les Remous – geoffreymeuli
Stavelot : une abbaye, des musées… et un art de vivre !
À seulement 25 kilomètres d’Aywaille, Stavelot est l’un de ces joyaux discrets qui mêlent patrimoine, culture et traditions populaires. Au cœur de la ville trône l’ancienne abbaye bénédictine, un site majestueux au passé millénaire. Aujourd’hui, elle accueille trois musées incontournables : le Musée de la Principauté de Stavelot-Malmedy, passionnant pour comprendre l’histoire de cette région jadis indépendante ; le Musée du Circuit de Spa-Francorchamps, un circuit tout proche au tracé et à l’histoire mythiques ; et enfin, le Musée Guillaume Apollinaire, dédié au célèbre poète français qui séjourna dans la région.
Mais Stavelot ne se résume pas à ses musées. Flâner dans ses ruelles pavées, c’est découvrir une ville pleine de cachet, aux maisons anciennes bien conservées, aux placettes conviviales et aux petits cafés où l’on peut déguster une gaufre maison en regardant le monde passer. Et si vous avez la chance d’y être en mars, ne ratez pas le Laetare, le carnaval local. Les Blancs-Moussis, personnages facétieux vêtus de blanc avec un long nez rouge, envahissent les rues dans une ambiance bon enfant et décalée. Entre culture, folklore et plaisir de vivre, Stavelot est bien plus qu’une étape, c’est un gros coup de cœur !
En effet, Vresse-sur-Semois, décroche la 22e place parmi 50 joyaux ! Le classement repose sur plusieurs critères : prix des logements, qualité des paysages, météo, randonnées et gastronomie. Si le climat belge plafonne à un modeste 7,37/10, la commune fait un carton plein sur les sentiers de rando avec un impressionnant 9,77/10. Vresse-sur-Semois se distingue aussi par des hébergements abordables (8,66/10) et des paysages pittoresques (7,58/10).
Que faire à Vresse-sur-Semois ?
Côté activités, les promeneurs seront ravis. La réserve naturelle de Bohan-Membre vous attend avec ses versants boisés, ses ruisseaux cachés, et une forêt dense peuplée de chênes et érables. Envie de fraîcheur ? On opte pour une virée en kayak sur la Semois.
Ne manquez pas la promenade des légendes, un parcours parsemé de panneaux explicatifs pour en apprendre davantage sur les contes et l’architecture locale. Le pont Saint-Lambert, avec ses trois arches irrégulières en pierre, constitue un autre immanquable du coin.
Les amateurs d’art s’arrêteront à la Fondation Chaidron-Guisset et son centre dédié à l’art régional, où l’École de Vresse continue de faire vivre l’âme artistique de la vallée.
Le Sri Lanka est classé parmi les 34 hotspots mondiaux de la biodiversité, rien que ça. On y trouve plusieurs milliers d’espèces végétales et animales, dont 830 sont endémiques, c’est-à-dire introuvables ailleurs. Entre les léopards du parc de Yala, les papillons géants de Sinharaja et les plantes médicinales des monts Knuckles, chaque mètre carré semble avoir reçu une dérogation de Mère Nature elle-même !
egle-sidaraviciute
2. Un rocher, une forteresse, un chef-d’œuvre : Sigiriya
Imaginez un immense bloc rocheux surgissant au milieu de la jungle, haut de 200 mètres, comptant des fresques, un escalier taillé dans la pierre, d’anciens jardins et des systèmes hydrauliques du Ve siècle. Bienvenue à Sigiriya, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO.
yves-alarie
3. La cannelle, c’est du sérieux ici
Oubliez la cannelle fade du supermarché. Le Sri Lanka produit la meilleure cannelle au monde, grâce au Cinnamomum verum, soit le cannelier de Ceylan. Exportée depuis des siècles vers l’Europe et le Moyen-Orient, elle reste très convoitée aujourd’hui. Aujourd’hui encore, le pays expédie plus de 23.000 tonnes chaque année, une tradition agricole toujours aussi précieuse. L’odeur de cette épice envoûtante embaume même certains marchés locaux
diana-polekhina
4. Un melting-pot spirituel à taille humaine
Sur un territoire d’une taille un peu inférieure à celle de l’Irlande, on trouve une mosaïque spirituelle étonnamment paisible. Le bouddhisme est majoritaire, mais hindous, musulmans et chrétiens y pratiquent librement. À Colombo, vous pouvez faire trois lieux de culte différents en dix minutes à pied. Mention spéciale aux fêtes religieuses : Vesak (bouddhiste), Thai Pongal (hindoue) ou Noël (chrétien) sont autant de fenêtres sur une société plurielle.
anusara-weerasooriya
5. Nature extrême : des plages de rêve aux fauves furtifs
Oui, les plages sont incroyables – Bentota, Mirissa, Hikkaduwa… – mais le vrai spectacle se passe souvent à l’intérieur des terres. Des éléphants sauvages errent dans les parcs nationaux, des léopards rares se laissent furtivement photographier à Yala, et même certains oiseaux migrateurs européens viennent y passer l’hiver. Une sorte de safari XXL version tropicale, sans oublier les plantations de thé à Nuwara Eliya, perchées à près de 2.000 mètres d’altitude.
ishan-kahapola-arachchi
Des défis urgents
Ce paradis n’est pas sans failles : déforestation croissante, pollution plastique et tourisme de masse menacent les écosystèmes fragiles. Il n’est guère évident pour les autorités de jongler entre développement économique et préservation…
À quelques kilomètres de Lisbonne, Loures propose désormais un parcours piéton et cyclable qui longe la rive droite du Tage sur plus de 6 km. Ce nouvel itinéraire, pensé pour relier la capitale à Vila Franca de Xira, combine, selon les dires de ses auteurs, mobilité douce et valorisation du paysage naturel.
Artur Carvalho & João Guimarães
Le sentier traverse différents quartiers de Loures, reconnectant des zones urbaines autrefois séparées par des infrastructures routières. C’est aussi une belle option pour ceux qui cherchent une balade au calme, à pied ou à vélo, loin de l’agitation du centre-ville !
Artur Carvalho & João Guimarães
Une immersion en pleine nature
Ce qui surprend ici, c’est le contraste : à seulement quelques minutes d’une zone dense, on se retrouve face à des marais salants, des roselières et des vasières. Ces milieux accueillent une biodiversité remarquable et offrent un cadre idéal pour l’observation des oiseaux.
Artur Carvalho & João Guimarães
Le parcours a été conçu pour inciter à prendre son temps. On peut s’arrêter sur un banc, écouter les sons du marais ou observer les mouvements du fleuve. On ne parle pas juste de pistes cyclables bien lisses. On parle d’un chemin sinueux de 6,2 km, qui préfère les détours aux lignes droites, les pauses contemplatives aux sprints du dimanche matin.
Perché à 3.000 mètres d’altitude sur les flancs du Wheeler Peak, dans le Nevada, Prometheus (WPN-114 pour les intimes) était un pin Bristlecone du genre Pinus longaeva. Et surtout : l’arbre le plus vieux jamais enregistré. Au moment de sa coupe en 1964, il avait au moins 4.862 ans… et probablement plus de 5.000 ! Son tronc, modeste mais costaud, cachait un âge digne des pyramides !
L’erreur qui coûte cher
Tout commence avec Donald R. Currey, étudiant en géographie passionné de climats anciens. Il cherchait à dater les oscillations du Petit Âge glaciaire via la dendrochronologie. Mais à défaut d’un outil en état (il aurait cassé son carottier…), il opte pour une solution radicale : faire abattre Prometheus.
À l’époque, personne ne sait encore que cet arbre est un record du vivant. Le couper ? Une décision partagée entre l’étudiant et les Forest Rangers. Un malentendu scientifique aux conséquences irréversibles.
Leçon de modestie
Après l’analyse des anneaux, c’est la stupeur : Prometheus détrône Methuselah, un autre bristlecone californien célèbre, comme doyen du vivant. En voulant mieux comprendre le passé climatique, on a effacé une part irremplaçable de ce même passé.
Des morceaux de Prometheus sont encore visibles aux États-Unis, dans des musées ou des centres scientifiques. En 2014, une cérémonie a été organisée pour les 50 ans de sa disparition…
À Najaf, en Irak, le Wadi al‑Salam s’étend sur 9,17 km², faisant de lui le plus vaste cimetière de la planète. On y estime des millions de dépouilles depuis le VIIᵉ siècle !
La proximité du sanctuaire de l’Imam Ali lui confère une importance religieuse majeure : au sein du chiisme, seuls La Mecque et Médine sont supérieurs, rapporte le Guinness Book.
Le cimetière est un enchevêtrement de tombes collectives et de cryptes, pouvant contenir jusqu’à 50 corps chacune. Au plus fort de la guerre d’Irak, 250 corps étaient inhumés chaque jour.
Malgré son nom évoquant la paix, l’histoire récente est marquée par la violence. Ce terrain labyrinthique a servi de refuge à des combattants chiites — lors des soulèvements contre Saddam Hussein ou l’occupation américaine. En 2004, lors des affrontements entre l’armée américaine et la milice du religieux Muqtada al‑Sadr, des mortiers et roquettes ont touché le site, endommageant plusieurs édifices funéraires. Même dans le repos éternel, l’histoire humaine sut y imposer ses conflits.
Donald Campbell, fils d’un père pilote et anobli pour ses divers records sur terre et sur mer, Malcolm Campbell, n’a qu’un objectif : être le plus rapide, lui aussi. Il hérite de la passion (et de la pression) paternelle et enchaîne les records. Son véhicule fétiche ? Le Bluebird K7, un hydroglisseur conçu pour pulvériser les limites humaines. Déjà recordman du monde avec 444 km/h en 1964, Campbell veut pousser encore plus loin. Il vise les 480 km/h sur Coniston Water, un lac aussi paisible que dangereux à grande vitesse.
🚀 Le dernier essai : entre gloire et tragédie
Le 4 janvier 1967, après plusieurs reports dus aux conditions météorologiques, Campbell décide de tenter le coup. Son Bluebird K7 fend l’eau à une vitesse hallucinante. Tout semble bien se passer et il pousse son engin à plus de 480 km/k. Mais Donald en veut plus et fait une nouvelle tentative : il fait demi-tour et se relance à pleine vitesse. Le bateau est pris dans les remous de son premier passage et devient incontrôlable. Son hydroglisseur, instable à cette vitesse, décroche brutalement, décolle et s’écrase violemment. Les images sont terrifiantes. Campbell périt instantanément, son corps ne sera retrouvé que 34 ans plus tard, en 2001 !
Aujourd’hui, Coniston Water reste un lieu de mémoire… Et d’une beauté naturelle absolument sidérante ! Le Ruskin Museum, situé dans le Lake District, expose des objets liés à Donald Campbell et son fameux Bluebird K7, restauré en hommage à cet aventurier de l’extrême.
Le lac, lui, est toujours aussi sublime : un endroit où la nature règne en maître, contrastant avec le tumulte de cette journée tragique de 1967.
Aujourd’hui, on ne parle plus de chasse, mais de rencontres respectueuses et de moments suspendus. Le lion règne sur la savane avec autorité, la force tranquille de l’éléphant fascine, le léopard reste un caméléon furtif dans les arbres, le buffle incarne la sauvagerie imprévisible, et le rhinocéros, menacé, symbolise la fragilité de la biodiversité africaine.
Pour tout safariste digne de ce nom, en voir même quatre sur cinq laisse un goût d’éternité. En revanche, les cinq réunis pour un seul séjour… c’est la légende. Et ça se raconte encore après le retour.
Parc Kruger (Afrique du Sud)
simon-reeve
Le Kruger National Park, s’étendant sur 20.000 km², propose une communion avec la nature. Là, les réserves privées comme Sabi Sands ou Timbavati, associés à des guides ultra‑expérimentés, offrent des safaris en 4×4, à pied ou de nuit, avec souvent des observations de léopards – chose rare et magique. Hôtellerie haut de gamme ou charme rustique au coucher du soleil : Kruger sait surprendre.
Maasai Mara + Serengeti (Kenya & Tanzanie)
jorge-tung
Ces deux voisins sont les stars de la Grande Migration.
Maasai Mara : densité élevée de lions, de rhinos noirs, et accès à des safaris en montgolfière.
Serengeti : plébiscité en 2024 comme meilleur parc d’Afrique par plusieurs sources dont le WTA, habitacle de milliers de lions, et expérience immersive sans équivalent.
Le duo permet de vivre deux ambiances : la tradition tribale masaï d’un côté, et les plaines sans fin de l’autre.
Botswana – Delta de l’Okavango & Parc National de Chobe
hans-jurgen-mager
Le contraste eau/terre, c’est ici. Safaris en mokoro (pirogue) dans les marécages d’Okavango, et game drives dans Chobe, réputé pour ses milliers d’éléphants. C’est l’endroit idéal pour combiner faune terrestre et fluviale, souvent dans des lodges sobres et intégrés.
Namibia – Parc national d’Etosha
sam-power
Une autre vision avec la plaine blanche salée d’Etosha comme toile. Les points d’eau deviennent des scènes animalières en plein jour. Cerise sur le gâteau, il est parfaitement possible de visiter le parc avec votre véhicule de location. Envoûtant.