À Trois-Ponts, le réseau Extratrail propose des itinéraires interconnectés de 10, 17, 23 et 37 km. Au départ du syndicat d’initiative, vous vous dirigerez vers St Jacques et Bergeval, Brume et le lac inférieur de Coo, Wanne et le site du Faix du Diable. Gardez du souffle pour les super points de vue !
Baroudeurs_Liégeois_2022
Les tracés sont balisés, les parcours variés et le dénivelé garanti. Les itinéraires sont accessibles aux pratiquants débutants, confirmés et experts. À Vielsalm et Gouvy, ce sont les THArés (Traileurs de la Haute-Ardenne) qui vous proposent de découvrir la vallée de la Ronce au départ du village de Provedroux.
Baroudeurs Liégeois
Leurs parcours mini, famille, médium, maxi et giga vont de 2,8 km à 32,8 km. Le point de départ est la micro-brasserie de la THArée, qui vous pouvez visiter à votre retour, pour déguster leur breuvage aux extraits de sapin. Les parcours ne sont pas balisés, mais vous les retrouvez sur l’application Komoot. Vous pouvez également demander un guide qui ajoutera un plus à votre découverte.
Dormir au Domaine des Grottes de Han : une expérience unique
En cette belle saison du printemps, faites le plein d’énergie, ressourcez-vous au cœur de la nature : dormez dans l’un des logements insolites du Domaine. Amusement et déconnexion pour toute la famille !
Passez la nuit dans une Tree Tent, tente suspendue au cœur des arbres du Parc Animalier, ou au Cocoon Village, site de glamping en bordure de Lesse où des tentes tout confort vous attendent !
Domaine des Grottes de Han
Visite du Domaine et avantages exclusifs sont inclus dans les séjours !
Cette mesure a été prise pour améliorer la sécurité des touristes, car chaque année, 40 à 50 personnes sont portées disparues lors de leur expédition, et les opérations de secours sont compliquées en raison des routes difficiles d’accès et des moyens de communication limités. Cette décision devrait également offrir de nouvelles opportunités aux guides et porteurs, qui ont été touchés financièrement par la pandémie de COVID-19 et l’absence de visiteurs.
Les alpinistes, quant à eux, ont encore le droit de partir seuls à l’assaut des sommets népalais tels que l’Everest et l’Annapurna, mais ils doivent obtenir une autorisation coûtant environ 10.000 euros. Selon Nilhari Bastola, président de l’association népalaise des agences de randonnée, la plupart des touristes qui se perdent sont ceux qui effectuent leur trek sans guide ni connaissance suffisante du terrain.
Chaque commune côtière chérit, à sa façon, un fragment de la vie maritime. Depuis d’authentiques maisons de pêcheurs aux musées en passant par les incontournables « criées » aux poissons et les panoramas à couper le souffle, il y en a pour tous les goûts.
1. Ancienne maisonnette de pêcheurs Majutte
Envie de voyager dans le temps ? Située à Blankenberge, l’ancienne maisonnette de pêcheurs « Majutte » se profile alors comme un passage obligé. Cette véritable institution nous plonge en effet au cœur de la vie d’une famille de pêcheurs à la fin du 18ème siècle.
2. La Minque de Nieuwpoort
Pour ressentir la vie maritime, rien de tel que d’assister au va-et-vient des bateaux de pêche et crevettiers à la Minque de Nieuwpoort. Une fois leur pêche fraîche déchargée, les pêcheurs se rendent ensuite à la criée aux poissons. Un spectacle à découvrir absolument !
3. Le Spioenkop de Wenduine
Situé sur la deuxième plus haute dune (31 m) de la Côte, le « Spioenkop » de Wenduine servait jadis à espionner les bateaux en mer. Aujourd’hui, ce petit pavillon blanc surmonté d’un toit rouge reste un magnifique poste d’observation du panorama côtier. Et l’objectif à atteindre lors d’une belle balade en famille !
Envie de découvrir plus d’adresses permettant de ressentir les secrets de la vie maritime ?
A cette occasion, des artistes internationaux et nationaux ont créé des installations artistiques et des peintures murales. Au fil des éditions, de nouvelles œuvres viennent s’ajouter à celles des années précédentes, formant ainsi un grand parcours à travers la ville.
20 nouvelles fresques
Plus de 20 nouvelles fresques ont ainsi vu le jour cette année, dont trois nouvelles œuvres de l’artiste britannique Mobstr. L’artiste bruxellois Jaune a quant à lui réalisé 10 murs disséminés dans toute la ville. Plusieurs artistes se sont également inspirés de l’histoire de la ville.
“Ces œuvres d’art permettent de rendre l’art accessible à tous, près de 200 œuvres parsèment la ville“, affirme Bart Tommelein. Le festival street art “The Crystal Ship” permet ainsi à un public diversifié de découvrir l’art sous toutes ses formes, dans un cadre urbain.
Le succès grandissant de cet événement atteste de la volonté des organisateurs de promouvoir l’art urbain et de l’intégrer au patrimoine de la ville. Les œuvres resteront ainsi exposées dans les rues d’Ostende pour la plus grande joie des passants et des amateurs d’art.
La serre méditerranéenne a été construite avec des terrasses en calcaire de Bourgogne, offrant un habitat pour des espèces végétales capables de survivre dans des climats chauds et secs. Elle comprend plus de 1 000 espèces de plantes.
La Forêt de nuage est conçue pour reproduire l’environnement de la forêt d’altitude, où l’air chaud ascendant et l’air froid descendant se rencontrent pour former une brume permanente. Elle est constituée de pavés de Diegem et d’ardoises anciennes de l’église de Humbeek, reflétant l’environnement rocheux et montagneux des plantes. Elle regroupe plus de 1 000 espèces de plantes, organisées par continent autour d’un rocher artificiel de sept mètres de haut, où plusieurs chutes d’eau se déversent.
Conception et réalisation des serres
Comme pour la majorité des serres du jardin botanique, ce sont les employés qui ont dessiné le projet et réalisé la plantation.
Les visiteurs peuvent désormais découvrir ces deux nouveaux jardins et observer plus de 1 000 espèces végétales présentant une floraison abondante tout au long de l’année. Marc Reynders, le gestionnaire scientifique des jardins, s’est félicité de l’aboutissement de deux décennies de travail d’équipe pour la réalisation de ces deux nouvelles serres.
Les villes d’Oran, Tlemcen, Constantine et Béjaïa seront desservies à raison d’une fois par semaine pour trois d’entre elles, et deux fois pour Oman, à partir de la mi-mai et pendant toute la saison aéronautique d’été. Ces nouvelles liaisons permettent à TUI Fly de retrouver son niveau d’activité d’avant la crise du coronavirus.
Bien que TUI ne propose pas de voyages organisés vers l’Algérie, la compagnie assure que ces vols répondent à une forte demande de la part de personnes qui souhaitent rendre visite à leur famille ou à des proches en Algérie. Par ailleurs, la capitale Alger sera toujours desservie deux fois par semaine, mais au départ de Charleroi. En outre, Air Algérie propose également une liaison entre Alger et Brussels Airport.
Avec le retour des beaux jours et de températures plus clémentes, nombreux sont ceux qui envisagent de ressortir leur bicyclette pour profiter du grand air. Certains poussent même le bouchon plus loin en n’envisageant leurs vacances que sur une selle, casquette vissée sur la tête…
C’est notamment pour eux que les itinéraires EuroVelo existent, ce réseau de 17 parcours cyclables de longue distance à travers le continent européen. Porté par la fédération européenne des cyclistes, il totalise plus de 91.500 km !
On peut bien entendu se décider à parcourir un itinéraire complet en une seule fois, mais c’est plutôt réservé aux cyclistes disposant d’un bon niveau. On peut aussi se lancer sur une portion de ces itinéraires pendant ses vacances ou à l’occasion d’un week-end par exemple. Et ça, c’est nettement plus accessible au commun des mortels.
Lors de la Fiets en Wandelbeurs d’Utrecht, un itinéraire en particulier a remporté le titre “d’itinéraire cycliste de l’année” et, bonne nouvelle, celui-ci passe directement par la Belgique ! Baptisé Via Romeo, l’itinéraire EuroVelo 5 est pour le moins particulier puisqu’il vous emmène de la ville britannique de Canterbury jusqu’à Brindisi dans le sud de l’Italie ! Selon EuroVelo, le long du parcours belge, “cet itinéraire vous fera découvrir le riche patrimoine naturel, architectural, culturel et brassicole du pays”. De quoi peut-être découvrir des endroits méconnus et pourtant pas si loin de chez vous !
J’aime comme ils s’extasient : les briques rouges, le vieux parquet ciré, la salle de jeux, le jardin mignon. Moi, c’est la vue sur la vallée de la Sambre, sur le quartier historique du Rivage et sur le Beffroi qui m’a enchantée. La maison, qui date du 20 siècle, est complètement rénovée et, joie, les commerces sont juste à côté : devinez qui a attendu en pantoufles que les enfants ramènent le p’tit déj ?
Isabelle GOBERT
Mais si j’ai choisi de poser nos valises ici, c’est parce que le gîte est situé au bord du RAVeL : le point de départ idéal pour partir en exploration ! Il n’y a eu qu’à enfourcher nos vélos, rangés dans les caves du gîte. Ce n’est pas pour rien si l’Escale de Flore est labelisé « Bienvenue Vélo » ! On a commencé par pédaler dans Thuin : je voulais que les enfants s’imprègnent des couleurs et des reliefs de cette jolie cité médiévale. Et puis, je voulais leur faire découvrir le patrimoine UNESCO environnant : impossible de ne pas commencer par le Beffroi !
WBT – David Samyn
On a ensuite pédalé sur la route UNESCO, itinéraire cyclable qui nous a conduits de Thuin à Charleroi. 24 km et une après-midi à travers la campagne bucolique et les paysages industriels du Pays noir. Le balisage du RAVeL est sécurisant : on a pu pédaler en papotant. J’ai profité de l’escapade pour emmener les enfants sur le site minier du Bois-du-Cazier, un autre incontournable du Patrimoine mondial de l’UNESCO. La condition et l’immigration ouvrières, ils n’en savaient pas grand-chose. Après avoir visité le musée de l’Industrie, ils ont participé à une initiation au métier de forgeron. Rentrer avec sa réalisation, ça le fait ! Un weekend, ça passe vite, mais on reviendra faire escale dans la région !
Vivez l’aventure, vous aussi !
L’Escale de Flore se trouve au cœur de Thuin, dans le Hainaut. Localisé sur le chemin de halage, au bord de la Sambre, il peut accueillir entre 6 et 8 personnes. Facilité absolue : il se trouve à proximité de la gare et des commerces.
Le gîte citadin est le point de départ idéal pour des balades à pied ou à vélo : vous êtes à côté du RAVeL. Un local est accessible depuis la rue pour ranger les vélos. Tout ceci explique que le gîte ait reçu le label « Bienvenue Vélo » !
Situation idéale donc pour découvrir une partie de la route UNESCO, itinéraire cyclable de 500 km, qui va de Tournai à Blégny. Au départ de Thuin, vous découvrirez ici l’étape 4 qui relie la cité médiévale à Charleroi.
Les Jardins suspendus de Thuin
Je n’ai hélas pas eu le temps d’y emmener les enfants, mais cet ensemble de jardins en terrasses vaut le coup d’œil ! Situés au sud de la cité, ils s’étendent jusqu’à la vallée de Biesmelle…
Reconnus au patrimoine exceptionnel de Wallonie, ils sont à découvrir librement. A vous les ruelles qui s’insinuent au détour des jardins et les vignes qui embellissent encore les Jardins suspendus !
Office de Tourisme de Thuin
Le parcours Fluide
Un autre regret ? Ne pas avoir eu l’occasion de vivre le parcours Fluide, au cœur de Thuin. Long de 5 km, c’est pourtant un musée à ciel ouvert qui aurait bien plu aux enfants.
Une petite vingtaine d’œuvres, cachées dans les lieux les plus emblématiques de la ville, invitent ainsi à la réflexion. 2h30 de découverte !
Les beffrois de Thuin et Charleroi, l’Abbaye d’Aulne, le Château du Fosteau, Chimay, Lobbes…
La pandémie de Covid-19 a poussé bon nombre de secteurs à revoir leur mode de fonctionnement, en ce compris celui du tourisme. C’est qu’on ne compte plus les sites exceptionnels, situés tout autour du globe, qui ont dû faire face, avant la crise sanitaire, à une invasion de touristes. De quoi frôler la saturation avec toutes les conséquences environnementales et logistiques que cela engendre. Le “monde d’après” est donc l’occasion pour les professionnels du tourisme d’imaginer une nouvelle vision. Parmi les leviers à leur disposition, on trouve une nouvelle manière de voyager, plus verte, qui gagne en popularité : le “tourisme régénératif”.
Il était temps d’agir
Du parc national d’Ao Phang Nga en Thaïlande aux sommets du Népal en passant par les Gorges du Verdon en France, Venise, Barcelone ou encore le site de Stonehenge au Royaume-Uni, on ne compte plus les destinations qui font l’objet d’invasions de touristes tout au long de l’année. Un “sur-tourisme” qui a tendance à accélérer la détérioration de ces sites remarquables à tel point que ceux-ci pourraient disparaître ou, à tout le moins, être irrémédiablement anéantis dans les prochaines années. Il faut dire que le secteur du tourisme a connu une croissance plus rapide que le PIB mondial au cours des neuf dernières années !
La crise sanitaire qui a sévi ces deux dernières années a été l’occasion pour de nombreux professionnels du tourisme, mais aussi pour le voyageur lambda, de réfléchir au modèle actuel. C’est dans ce contexte d’introspection et de réflexion que des initiatives visant à promouvoir un tourisme plus local et moins polluant ont vu le jour. Mais jusqu’à présent, ces démarches balbutiantes avaient fort à faire face à un tourisme de masse, globalisé et bien rodé, dont l’appétit semblait ne connaître aucune limite.
De durable à régénératif
Chaque crise donne l’occasion de se réinventer et de reconsidérer les pratiques du passé pour mieux anticiper l’avenir. On vient de le voir, le tourisme vert se développe déjà depuis plusieurs années mais certains professionnels veulent aller encore plus loin afin de promouvoir ce qu’on appelle le “tourisme régénératif”.
L’idée est de laisser un lieu dans un meilleur état que celui dans lequel on l’a trouvé en y arrivant. Avec ce concept, on vise à créer un tourisme durable qui limite non seulement les impacts environnementaux mais qui ralentit aussi la dégradation des écosystèmes. Le tout a été “gravé dans le marbre” par l’intermédiaire de la coalition Future of Tourism qui énonce les grands principes de ce tourisme régénératif.
Tout cela ne pourra se faire qu’avec le concours des autorités locales mais aussi internationales. Il faudra en effet que des lois et des régulations plus strictes soient édictées, tout en accompagnant les acteurs du secteur touristique afin qu’ils puissent se réinventer. Depuis la moitié du siècle dernier, le succès du tourisme a été défini par la seule augmentation du nombre de visiteurs. Or, cette course effrénée a des conséquences désastreuses sur l’environnement, mais également sur l’expérience des touristes eux-mêmes.