Les plages de sable rose doivent leur couleur unique à un mélange de coraux, de coquillages, et de micro-organismes appelés Foraminifères, qui, une fois brisés et mélangés au sable, créent cette teinte rose caractéristique. Ces plages offrent non seulement un paysage époustouflant mais représentent également un écosystème fragile et précieux.
Des destinations de rêve
Parmi les destinations les plus célèbres pour admirer ces plages, on trouve Harbour Island aux Bahamas, Elafonissi en Crète, et Komodo en Indonésie. Chacune de ces destinations offre une expérience unique, alliant la splendeur de la nature à des cultures locales riches.
Harbour Island, Bahamas : Connue pour sa Pink Sands Beach, cette île offre une évasion tropicale parfaite, avec des eaux cristallines idéales pour la plongée et le snorkeling.
Elafonissi, Crète : Cette plage grecque, accessible par une courte marche à travers une eau peu profonde, est un paradis pour ceux qui cherchent tranquillité et beauté naturelle.
Komodo, Indonésie : En plus de sa plage de sable rose, l’île de Komodo est célèbre pour ses dragons de Komodo, offrant ainsi une aventure unique entre terre et mer.
Le Premier ministre cambodgien a officiellement inauguré jeudi un nouvel aéroport d’une valeur d’un milliard d’euros à Siem Reap, financé par la Chine. Cette infrastructure moderne est destinée à stimuler le secteur du tourisme dans la région, notamment en facilitant l’accès aux célèbres temples d’Angkor.
Hun Manet, le nouveau dirigeant du Cambodge, a souligné l’importance historique de cet aéroport pour le transport aérien au Cambodge. Son ouverture marque un tournant significatif dans la modernisation des infrastructures du pays, avec une mission claire : améliorer le niveau de vie de la population locale.
Les investissements chinois et leurs impacts
L’aéroport est le résultat des investissements chinois au Cambodge, alignés sur l’initiative des “Nouvelles routes de la soie” lancée par le président chinois Xi Jinping. Ce projet illustre le renforcement des liens entre Pékin et Phnom Penh, avec le Cambodge se positionnant comme un allié clé de la Chine en Asie du Sud-Est.
Le nouvel aéroport, financé entièrement par des investisseurs chinois, a une capacité prévue pour accueillir jusqu’à 12 millions de passagers annuellement d’ici 2040. Sa localisation à une quarantaine de kilomètres des temples d’Angkor permet une meilleure préservation du site, classé au patrimoine mondial de l’Unesco.
Tourisme et Développement
Le Cambodge, ayant accueilli environ 3,7 millions de visiteurs étrangers en 2023, espère retrouver et dépasser les chiffres de fréquentation pré-Covid avec ce nouvel aéroport. Un autre aéroport est en construction près de Phnom Penh, la capitale, dont la livraison est prévue en 2025.
L’Empire romain d’Occident, autrefois vaste et puissant, est maintenant réduit à l’ombre de sa gloire passée. Les invasions barbares, les conflits internes et l’affaiblissement économique ont érodé les fondements de l’empire.
Romulus Augustule, le dernier empereur romain, un jeune garçon sans véritable pouvoir, est déposé parOdoacre, un chef barbare. Cette action symbolise non seulement la fin du règne de Romulus mais aussi la fin de l’Empire romain d’Occident.
Un nouveau pouvoir émerge
Odoacre, refusant le titre d’empereur, se proclame roi d’Italie, marquant le début de l’ère post-romaine en Occident. Cette transition de pouvoir signale un changement radical dans la structure politique et sociale de l’Europe.
Cristina Gottardi
Rome, témoin silencieux
La ville de Rome, centre du monde antique, est maintenant le témoin d’un changement monumental. L’effondrement de l’Empire romain d’Occident laisse un vide de pouvoir, ouvrant la voie à l’âge des royaumes barbares et, finalement, au Moyen Âge.
Un héritage qui perdure
Bien que l’empire soit tombé, l’héritage de Rome continue de façonner le monde moderne. Les idées, la culture, l’art, le droit et la langue latine de Rome continuent d’influencer la société contemporaine.
Le 4 septembre 476 restera gravé comme le jour où l’un des plus grands empires de l’histoire a pris fin, marquant le début d’une nouvelle ère dans l’histoire de l’Europe et du monde.
Ce jour marque le début d’une révolte contre le long règne autoritaire de Porfirio Díaz, président depuis près de trois décennies. Sous son régime, le mécontentement populaire a grandi, alimenté par les inégalités sociales, économiques et politiques.
Francisco I. Madero, le Catalyseur
Francisco I. Madero, un leader politique et réformateur, appelle à la révolution dans son Plan de San Luis Potosí. Son appel à des élections démocratiques et à la fin de la dictature de Díaz allume la mèche de la révolte.
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Un mouvement diversifié
La révolution attire une mosaïque de groupes sociaux, des paysans aux ouvriers, en passant par les intellectuels. Des figures emblématiques comme Emiliano Zapata et Pancho Villa rejoignent le mouvement, chacun avec ses propres idéaux et objectifs.
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Mexico, centre de l’agitation
La capitale mexicaine devient le théâtre d’événements clés et de débats politiques. Les rues de Mexico, témoins des premiers affrontements, reflètent l’esprit révolutionnaire qui se propage à travers le pays.
Un héritage durable
La Révolution mexicaine, bien que marquée par des années de conflit et d’instabilité, jette les bases d’importantes réformes sociales et politiques. Elle remodèle l’identité nationale mexicaine et inspire les mouvements de libération à travers le monde.
Le 20 novembre 1910 reste gravé dans l’histoire comme le jour où le peuple mexicain a commencé à écrire un nouveau chapitre de son histoire, marquant le début d’une lutte pour la justice, l’égalité et la démocratie.
Le Colosse de Rhodes était bien plus qu’une simple statue; c’était un chef-d’œuvre de l’ingénierie antique. Situé à l’entrée du port de la ville de Rhodes, ce géant de bronze mesurait environ 33 mètres de haut, équivalent à un bâtiment moderne de dix étages. Construit en 280 av. J.-C. par le sculpteur Charès de Lindos, il symbolisait la victoire de Rhodes contre l’assiégeant Démétrios Poliorcète.
Architecture et symbolisme
Le Colosse représentait Hélios, le dieu du soleil, protecteur de l’île. Sa structure interne était faite de pierres et de fer, tandis que l’extérieur était recouvert de plaques de bronze, formant la peau de la statue. Cette merveille combinait art, religion et technologie, reflétant l’importance culturelle et spirituelle du monument pour les Rhodiens.
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Le destin du colosse
Malheureusement, le Colosse ne resta pas debout très longtemps. En 226 av. J.-C., un violent tremblement de terre détruisit la statue. Les restes du Colosse restèrent sur place pendant plus de 800 ans, une attraction en soi, jusqu’à ce qu’ils soient vendus par les envahisseurs arabes.
Les incontournables de l’Île de Rhodes
La Vieille Ville de Rhodes : Un voyage dans le temps à travers des rues pavées et des bâtiments médiévaux.
Le Palais des Grands Maîtres : Un chef-d’œuvre architectural datant de l’époque des Chevaliers de Saint-Jean.
L’Acropole de Lindos : Découvrez des ruines antiques avec une vue imprenable sur la mer Égée.
Les Plages de Rhodes : Des eaux cristallines et des plages de sable fin, idéales pour la détente et les sports nautiques.
La Vallée des Papillons : Un écosystème unique, abritant des milliers de papillons pendant l’été.
Inspirés par les jeux de l’Antiquité, les premiers Jeux Olympiques modernes sont l’aboutissement du rêve de Pierre de Coubertin, un pédagogue et historien français. Son idée : réunir les nations dans un esprit de compétition sportive et de respect mutuel.
Le stade panathénaïque
Construit entièrement en marbre blanc, ce stade historique, originairement édifié en 330 av. J.-C. et rénové pour les Jeux, pouvait accueillir environ 80 000 spectateurs. Sa structure elliptique et son design ouvert offraient une atmosphère unique, mêlant héritage antique et esprit sportif contemporain. Ce lieu emblématique, témoin de la renaissance des Jeux Olympiques, reste un symbole fort de l’unité et de la compétition sportive internationale.
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Des épreuves historiques
Les Jeux de 1896 comportent des épreuves d’athlétisme, de cyclisme, d’escrime, de gymnastique, de lutte, de natation et de tennis. Chaque épreuve est un spectacle de force, d’endurance et de technique, captivant les spectateurs venus nombreux.
Plus qu’une simple compétition sportive, les Jeux de 1896 symbolisent l’unité et la paix entre les nations. Ils marquent le début d’une tradition qui perdurera, devenant un élément central de la culture mondiale.
Athènes, berceau des jeux
La ville d’Athènes, riche de son héritage antique, se révèle être l’hôte parfait. Les rues de la ville, les monuments anciens et le stade lui-même sont imprégnés d’histoire et de signification.
Un héritage qui perdure
Les Jeux Olympiques de 1896 posent les fondations d’un mouvement qui transcendera les frontières et les générations. Ils rappellent au monde l’importance du sport dans la promotion de la compréhension mutuelle et du respect.
Le souvenir d’Athènes en 1896 reste gravé dans la mémoire collective comme le moment où les Jeux Olympiques ont été réinventés pour le monde moderne, inaugurant une ère de compétitions internationales qui continuent d’inspirer et d’unir les peuples du monde entier.
Chaque année, 5,5 millions de personnes sont mordues par des serpents. Bien que toutes les morsures ne conduisent pas à une envenimation, elles entraînent un nombre important de décès par an. A ce dernier sujet, les rapports ne sont pas tous d’accord entre eux, mais on peut néanmoins tabler une moyenne d’environ 100.000 morts par an, ce qui est colossal ! En d’autres termes, les morsures de serpent causent plus de décès et d’infirmités que de nombreuses maladies tropicales reconnues, telles que la dengue et le choléra.
2. Principalement en Inde
L’Inde est particulièrement touchée : selon geo.fr, 80 % des décès mondiaux dus à des morsures de serpent sont concentrés dans ce pays. Cela donne un taux de mortalité de quatre décès pour 100.000 personnes. Plus globalement, l’Asie du Sud et l’Afrique subsaharienne sont les zones les plus dangereuses à ce titre.
3. Envenimation et venins
Il est important de noter que la toxicité des venins est dose-dépendante. Contrairement à ce que l’on pourrait donc penser, il n’existe pas de venin mortel en quelques minutes, le risque immédiat étant surtout lié à un choc anaphylactique, une réaction allergique sévère, et non à la toxicité intrinsèque du venin.
David Clode
4. Difficulté de réduire la mortalité
Malgré la gravité du problème, atteindre l’objectif de l’OMS de réduire de moitié le nombre de décès dus aux morsures de serpent d’ici 2030 est considéré comme très difficile. Cela nécessiterait des interventions rapides et des stratégies préventives telles que l’éducation et le renforcement du système de santé dans les zones rurales.
5. Les serpents les plus dangereux
Parmi les nombreux serpents venimeux, la vipère à cornes (Echis carinatus) est souvent considérée comme le plus mortel, étant tenu pour responsable de plus de décès humains que toutes les autres espèces de serpents combinées. Sa dangerosité ne réside pas uniquement dans la toxicité de son venin, qui est mortel dans moins de 10 % des cas non traités, mais dans son comportement agressif qui le pousse à mordre fréquemment. On le trouve en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.
glen carrie
En ce qui concerne la toxicité pure, le Taïpan du désert (Oxyuranus microlepidotus) est reconnu comme le serpent le plus venimeux du monde. Sa morsure contient suffisamment de venin pour tuer 125 hommes de corpulence normale. Un antidote existe aujourd’hui, mais il est très rare de le rencontrer : il vit dans les zones les plus reculées du désert australien !
D’autres experts mettent en avant le mamba noir et le taïpan côtier comme les serpents les plus dangereux du monde, bien qu’ils ne soient pas les plus venimeux. Ce sont deux espèces d’elapidae, et dans plusieurs aspects, le taïpan côtier présente de fortes similitudes avec le mamba noir. Ces serpents sont redoutés pour leur potentiel offensif et leur capacité à infliger des morsures multiples en peu de temps.
Une de mes meilleures amies habite le bout du bout des Ardennes. Alors, chacune à notre tour, on se rapproche de l’autre. La première roule beaucoup ; la seconde roule à peine. Puis, on inverse. Cette fois-ci, c’était mon tour de prendre longuement la route.
Direction Marche-en-Famenne, en province de Luxembourg. On s’était donné rendez-vous à la brasserie de l’hôtel Le Quartier Latin, au cœur du piétonnier. Quel bel endroit : du marbre clair, du bois doux et de la ferronnerie aux courbes élégantes. J’ai opté pour un risotto aux champignons des bois et à la truffe fraîche. Mon amie a choisi la terrine de gibier, accompagnée de son chutney de figues et toast de pain. Des retrouvailles festives, on peut le dire.
On s’est ensuite offert une balade digestive dans Marche-en-Famenne. L’Eglise Saint-Remacle, les petites boutiques, la fontaine Ponthier, les sculptures en bronze du boulevard urbain, qui évoquent les anciens métiers marchois… J’ai laissé mon amie nous guider : la balade nous a conduites à l’Eglise Saint-Etienne de Waha, située à quelques kilomètres au sud de la ville. Les vitraux de Folon sont d’une telle beauté. Ils confèrent au lieu une ambiance magique : ce bleu, surtout, est divin. On est restées assises là un moment et c’était juste parfait. La route qui redescend vers la ville n’était plus qu’un ruban de feuilles multicolores.
Quartier Latin
Quand nous sommes arrivées à l’hôtel, nous avions les joues aussi rouges que les feuilles. Nous nous sommes rendues au Spa : immersion dans un monde de douceur. Nous avons papoté là, dans ce havre de paix, avant de bouquiner chacune dans notre bulle. C’est également au Quartier Latin que nous avons pris notre souper : la « formule à savourer entre amis » était faite pour nous. Lueur des bougies, ambiance musicale douce et joli menu. Dormir dans cette église jésuite reconvertie en hôtel fut évidemment un plaisir : tout est élégant et chargé d’histoire !
Quartier Latin
Le déjeuner derrière nous et l’écharpe autour du cou, nous avons poussé la porte de la Brasserie Atrium, au cœur de Marche. Ici, on produit des bières non-conventionnelles. Noix de pécan, sirop d’érable, clémentine, café, chocolat… Des ingrédients aussi surprenants que décalés. J’ai aimé les tables et les bancs en bois, les divans et la musique de la salle de dégustation : un esprit décontracté et une vue directe sur les cuves de brassage. L’endroit idéal pour mettre un nouveau rendez-vous à l’agenda !
Le Quartier Latin
L’hôtel-restaurant est situé au cœur de la jolie ville de Marche-en-Famenne, dans la zone piétonne.
Quartier Latin
Ici, tout est fait pour que vous passiez un séjour réussi : 70 chambres et suites cosy, une brasserie et un restaurant, un centre de bien-être…
Ce n’est pas tous les jours qu’on loge dans une ancienne église jésuite du XVIIIe siècle ! Une partie des chambres se trouve en effet dans ce bâtiment classé.
Le Quartin Latin est labellisé Bienvenue Vélo : un local est mis à disposition.
Eglise Saint-Etienne de Waha
Cet édifice roman, parmi les plus anciens de Belgique et classé au Patrimoine Majeur de Wallonie, est orné de vitraux réalisés par Jean-Michel Folon.
Un montage audiovisuel présente d’ailleurs le témoignage de l’artiste sur la fabrication des vitraux.
Vous trouverez aussi des réalisations du Maître de Waha, sculpteur peu connu dont les œuvres valent le détour.
Brasserie Atrium
C’est au cœur de la ville de Marche-en-Famenne que se situe la micro-brasserie.
Brasserie Atrium
Ici, les bières de haute qualité varient au gré des saisons. La Brasserie Atrium produit 3 gammes de bières, dont certaines ont obtenu des récompenses internationales !
La visite de la brasserie est évidemment une occasion de plonger au cœur des cuves de brassage.
Mais encore…
Tellement de choses ! Marche-en-Famenne offre bon nombre d’activités à vivre. Et son patrimoine est riche. Le Château Van der Straeten et son parc sont, par exemple, à découvrir. Le site du Fond des Vaulx permet de se balader en forêt, à pied ou à vélo. Quant aux aficionados des visites géolocalisées, ils trouveront de quoi arpenter la ville et ses alentours.
Un peu plus loin, et pour ne citer que ça, vous trouverez entre autres choses le circuit commémoratif de la bataille des Ardennes (à Durbuy) et les Grottes de Hotton…
Une croisière sur le Nil va tout d’abord vous permettre de vous plonger dans l’histoire de l’une des plus anciennes civilisations du globe. L’Égypte compte en effet de nombreux sites historiques majeurs qui se trouvent justement le long des rives de ce fleuve mythique. Le temps d’une croisière, vous visiterez donc une partie de ceux-ci tout en en apprenant davantage sur l’histoire égyptienne.
Le gros avantage de la formule est que vous allez vous cultiver tout en passant un moment exceptionnel que vous n’oublierez pas de si tôt. Cette façon de voyager offre en effet de multiples atouts : vous profitez du confort d’un bateau bien équipé tout en découvrant les merveilles historiques du pays, vous pouvez admirer le paysage spectaculaire qui défile le long du fleuve et, cerise sur le gâteau, on vous donne accès à de nombreux sites historiques majeurs, sans avoir à faire de longs trajets terrestres. La plupart des circuits incluent en effet des visites aux temples et aux monuments directement depuis le bateau. Enfin, ces formules de voyage sont généralement accompagnées de guides experts en égyptologie qui peuvent vous fournir des informations précieuses sur l’histoire des sites que vous visitez.
5 sites incontournables
Parmi les sites majeurs que vous ne devez pas manquer lors d’une croisière sur le Nil, voici les cinq qui sont les plus célèbres :
Les pyramides de Gizeh : ces célèbres pyramides, dont la grande pyramide de Khéops, sont probablement les structures les plus emblématiques de l’Égypte ancienne.
Louxor : cette ville est célèbre pour son impressionnant complexe de temples, y compris le temple de Karnak et le temple de Louxor.
La vallée des Rois : il s’agit d’un site de sépultures de pharaons et de dignitaires égyptiens qui comprend des tombes richement décorées.
Le temple de Philae : situé sur une île de la région d’Assouan, ce temple est dédié à la déesse Isis et est un exemple magnifiquement préservé de l’architecture égyptienne.
Le temple de Kom Ombo : ce temple est unique car dédié à deux dieux, Sobek et Horus. Il offre un aperçu fascinant de la religion égyptienne.
Ces cinq sites ne représentent qu’une infime partie des innombrables merveilles que vous pourrez découvrir lors d’une croisière sur le Nil. Chacun d’entre eux offre une fenêtre différente sur l’histoire et la culture fascinantes de l’Égypte ancienne.
La Vallée de la Mort détient le record officiel de la température la plus élevée jamais enregistrée sur Terre. En 1913, le mercure a grimpé à 56,7°C. Cette chaleur extrême est due à sa faible altitude et à sa géographie unique qui piège la chaleur.
2. Profondeur impressionnante
Située à 86 mètres sous le niveau de la mer, la Vallée de la Mort est le point le plus bas des Etats-Unis. Cette profondeur contribue à la pression atmosphérique élevée et aux températures torrides.
Jordi Vich Navarro
3. Faune et flore résilientes
Malgré ses conditions extrêmes, la vallée abrite une faune et une flore adaptées à cette chaleur. On y trouve des espèces uniques comme le poisson Cyprinodontidae, capable de survivre dans des eaux à haute salinité.
4. Pluviométrie quasi nulle
Avec une moyenne annuelle de seulement 50 millimètres de pluie, c’est l’un des endroits les plus secs de la planète. Cette sécheresse extrême est due à la présence de montagnes qui bloquent les nuages porteurs de pluie.
5. Un million de touristes par an
Chaque année, plus d’un million de touristes sont attirés par la beauté austère de la Vallée de la Mort. Malgré les dangers, ils viennent admirer ses paysages lunaires, ses dunes de sable et ses formations rocheuses spectaculaires.