Immanquable et perchée sur son éperon rocheux. On la découvre d’abord depuis les airs grâce au téléphérique puis sous la terre pour une visite insolite de ses 500m de galeries souterraines.
A voir aussi : le Pavillon et ses expositions sur l’art numérique, la Parfumerie Delforge et les points de vue à couper le souffle sur la ville et la région.
Un centre-ville au charme authentique
Promenade le long des quais, ruelles pavées, boutiques locales, artisans passionnés, la vie se déguste et le temps s’allongent. Sur les terrasses, assis aux meilleures tables, on prend le temps de prendre le temps.
M Voglet
La culture à chaque coin de rues
A l’abri des musées mais aussi dans les rues et sur les murs, l’art et la culture ont une place unique à Namur.
Mais la culture se vit aussi, dans les événements et festivals qui illuminent la ville tout au long.
Les visites classiques quelque peu cham-bouuuuh-lées
Durant 8 jours, la folie d’Halloween s’installe au Domaine !
En journée, la plaine d’accueil sera plongée dans l’univers festif d’Halloween. Circassiens, bulleur, maquilleurs… divertiront les visiteurs.
Dans la Grotte de Han et dans le Parc Animalier, des créatures étranges et fantastiques titilleront petits et grands…
Des trolls dans la Grotte de Han !
Les trolls sont de retour dans la Grotte de Han. Toujours aussi taquins, ils ont élu domicile dans plusieurs salles souterraines et perturbent quelque peu les visites classiques de la Grotte. Découvrez leur univers et laissez-vous surprendre par leurs rires malicieux et leurs numéros curieux…
Le Parc Animalier, entre mystères et légendes
Dans le Parc Animalier, la nature vous murmure ses légendes… Des créatures fantastiques investissent les sentiers et tiennent compagnie aux ours bruns, aux loups, aux lynx…
Dragons curieux, nutons malicieux, Roi des Ents, Faune farceur et autres êtres mythiques vous attendent pour une parenthèse ensorcelante.
Psssst ! Les animations Hanlloween en journée sont incluses dans les visites classiques de la Grotte et du Parc Animalier.
Tout commence la plupart du temps à Manaus, capitale de l’État d’Amazonas, où les croisières prennent leur départ. Petits et moyens bateaux attendent leurs voyageurs en quête d’une expérience qui sort de l’ordinaire. Cette métropole au cœur de la jungle, accessible uniquement par avion ou bateau, est déjà une immersion dans l’Amazonie. À bord de votre bateau, chacun trouve sa place et son bonheur : du pont panoramique d’un navire de luxe aux hamacs colorés des bateaux traditionnels, il y en a pour tous les goûts. Le soleil se couche, le fleuve s’élargit, et déjà, l’impression d’entrer dans un monde à part s’empare de vous.
A bord de La Jangada sur l’Amazone
La vie au fil de l’eau
Les journées à bord s’écoulent au rythme lent du fleuve. Les cabines confortables côtoient des espaces conviviaux où les voyageurs partagent leurs impressions. Chaque croisière, qu’elle dure trois jours ou plus d’une semaine, alterne navigation et escales. Depuis le pont, vous observez les villages flottants, les pirogues des pêcheurs, et les enfants qui vous saluent d’un geste de la main, heureux de voir des étrangers dans leur région. Ici, la vie se déploie au rythme du courant, dans une harmonie que l’on contemple avec fascination.
La vie au bord de l’Amazone
Une biodiversité unique au monde
Naviguer sur l’Amazone, c’est entrer dans l’un des réservoirs de vie les plus fascinants de la planète. Le bassin amazonien concentre à lui seul près de 10 % de toutes les espèces connues dans le monde : plus de 40.000 variétés de plantes, 2.200 espèces de poissons, 1.300 d’oiseaux et plusieurs centaines de mammifères. Chaque sortie en pirogue devient une aventure sensorielle. À l’aube, lorsque la brume se lève, vous apercevez parfois les dauphins roses, créatures légendaires du fleuve, qui surgissent à la surface avant de disparaître dans un éclaboussement silencieux.
Les singes-écureuils dans la forêt amazonienne
Plus loin, les cris rauques des singes hurleurs résonnent comme un appel venu d’un autre temps, tandis que les paresseux, immobiles dans les branches, se laissent observer avec nonchalance. Les toucans et aras multicolores traversent le ciel par grappes, contrastant avec le vert intense de la canopée. La nuit, place à un autre spectacle : les yeux phosphorescents des caïmans percent l’obscurité, et le chant continu des insectes enveloppe le bateau dans une symphonie hypnotique. Ici, chaque instant révèle la fragilité et la puissance de la nature, rappelant que l’Amazonie est bien plus qu’un paysage : c’est un monde vivant en perpétuelle effervescence, chaque sortie devient une véritable leçon de nature.
Le dauphin rose espèce endémique de l’Amazone
Escales et rencontres humaines
Votre bateau s’arrêtera certainement dans une des communautés cabocla. Les locaux vous accueillent avec des sourires timides, puis partagent leur quotidien : préparation de la farine de manioc, artisanat en fibres naturelles, chants traditionnels. Ces rencontres, toujours respectueuses, offrent un aperçu rare de la vie en Amazonie. Certaines croisières incluent également des randonnées dans la jungle, guidées par des habitants qui dévoilent les usages médicinaux des plantes et quelques secrets bien gardés dont les ingrédients et épices qui rehaussent leur cuisine. À bord comme à terre, la cuisine est une découverte en soi. Le tambaqui grillé, poisson emblématique, se déguste accompagné de manioc et de piments parfumés. Sur les étals des marchés de Manaus ou des villages vous trouvez des fruits tropicaux étonnants : açai, cupuaçu, graviola. Vous goûtez, comparez, et vous serez étonnés par ces saveurs inconnues. Chaque repas devient un voyage sensoriel, prolongeant l’immersion de votre croisière dans cet univers gustatif.
Pêche traditionnelle à bord d’un canoë sur l’Amazone
Le souffle de l’Amazonie
Lorsque le bateau reprend sa route, vous réalisez que cette croisière est bien plus qu’un simple voyage : c’est une immersion dans l’un des derniers grands sanctuaires naturels de la planète. Entre contemplation, découvertes culturelles et émotions sensorielles, l’Amazonie se dévoile comme un monde à la fois fragile et puissant.
Le Soir Voyage vous y emmène en mars 2026. Sur la Jangada, un petit bateau de 18 cabines seulement entièrement privatisé et qui promet une expérience inestimable. Lorsque vous quitterez ce fleuve mythique, vous repartirez avec un sentiment d’émerveillement, et l’envie profonde de protéger ce trésor universel.
Louvain entre dans le club très sélect des villes belges auréolées du titre de Capitale européenne de la Culture. Après Anvers (1993), Bruxelles (2000), Bruges (2002) et Mons (2015), la cité universitaire portera haut les couleurs culturelles du pays en 2030.
Derrière cette désignation se cache un projet vieux de 1985, imaginé par Mélina Mercoury et Jack Lang, destiné à célébrer la diversité européenne tout en dopant le tourisme culturel. Concerts, expositions, festivals : le programme est chargé !
Molenbeek et Namur, la déception fair-play
À Molenbeek, où la candidature avait suscité un réel engouement citoyen, la déception était palpable. Fatima Zibou, co-chargée de mission, a salué le travail accompli par les bénévoles auprès de Belga : « Nous aurions aimé avoir le titre. Mais sans celui-ci, nous nous devons de continuer… Nous avons un plan B. Nous allons continuer à porter un projet avec le soutien des communes bruxelloises dans cette Région qui en a besoin. » Une manière de rappeler que la mobilisation culturelle ne s’arrête pas avec un tampon européen, mais peut s’ancrer durablement dans le quotidien d’un territoire.
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À Namur, l’humeur était plus mélancolique mais tout aussi constructive. La Ville a salué le « travail colossal » mené depuis mars 2024 par les habitants, les artistes et les associations. Laura Latour, commissaire du projet, a tenu à souligner que cet effort ne serait pas perdu : « Il faut maintenant se demander comment optimiser au maximum les opportunités, il n’est pas obligatoire de recevoir le label de Capitale européenne pour développer des projets. »
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Une Europe en tournée culturelle
Avant Louvain en 2030, le flambeau passera par Oulu (Finlande) et Trencín (Slovaquie) dès l’an prochain, puis Liepaja (Lettonie) et Évora (Portugal) en 2027.
Le Musée gallo-romain de Tongres vient de lever le voile sur une découverte hors norme : plus de 85tablettes d’écriture romaines en bois, datant du IIIᵉ siècle après J.-C. Ce sont les plus anciennes jamais mises au jour en Belgique ! Gravées au stylet dans de la cire, elles servaient à tout : administration, juridique, courrier et même exercices scolaires.
Fouilles et révélations
Tout commence avec 73 tablettes retrouvées en 1930 près du Broekberg, puis 12 autres exhumées en 2013 dans un puits de la Beukenbergweg. “Nulle part ailleurs en Belgique, on n’a trouvé et étudié autant de tablettes d’écriture“, se réjouit An Christiaens, échevine locale du Tourisme. Grâce à des techniques photographiques de pointe, les chercheurs ont décrypté une partie de ces fragments, même si toutes les tablettes ont été brisées en deux.
Une vie quotidienne très écrite
Les inscriptions parlent de tout : un prêt avec intérêt (usura), une pension d’ancien soldat, des cérémonies religieuses à Cérès, ou encore la présence de fonctionnaires romains tels que les lictores et les vigiles. Ces mentions inédites prouvent l’implantation très tôt d’une administration locale digne d’une petite capitale régionale.
Une société multiculturelle
Les noms gravés sur ces tablettes révèlent un patchwork : Latins, Celtes, Germains… Trois langues parlées, mais une seule pour les papiers officiels : le latin. L’étude complète est désormais publiée dans The Writing Tablets of Roman Tongeren (Belgium) and Associated Wooden Finds chez Brepols.
Suspendue depuis l’incendie du 15 avril 2019, la visite des tours a été totalement repensée. Marie Lavandier, présidente du Centre des monuments nationaux (CMN), promet désormais “une expérience inspirante”.
Un parcours réinventé
L’ascension débute par la tour sud, avec un nouvel escalier monumental en chêne massif. On accède ensuite aux terrasses à 69 mètres de haut, où la vue sur Paris coupe presque autant le souffle que l’effort fourni. Le visiteur croise également les célèbres cloches, dont la gigantesque Emmanuel, plus de 13 tonnes de bronze qui ne résonne qu’aux grandes occasions.
Le circuit mène ensuite à la Cour des citernes, offrant un aperçu inédit de la nouvelle charpente – surnommée la forêt – reconstruite après les flammes. La descente se fait côté tour nord.
Infos pratiques
Durée de la visite : environ 45 minutes.
Capacité : 400.000 visiteurs par an.
Tarif : 16 € (l’entrée dans la cathédrale reste gratuite).
Les ruelles de Marche, parfois si étroites qu’on les croirait tout droit sorties d’un vieux roman, vous plongent dans une atmosphère hors du temps ! On lève les yeux, et les façades du XVIIe siècle bien entretenues racontent des histoires de familles marchandes, de foires oubliées et de temps où la pierre se faisait noble. Les placettes, le piétonnier vivant et les fontaines qui clapotent donnent un rythme doux à la balade. Le Parc Van Der Straten est notre petit refuge préféré. On y respire, on s’y installe sur un banc, on observe… Et puis, soyons honnêtes, c’est l’endroit parfait pour sortir une gaufre ou une tartelette achetée chez un artisan local !
S’il y a un musée à ne pas manquer, c’est bien le Famenne & Art Museum. On y voyage à travers les époques, entre bijoux anciens, dentelles fines, mobilier et photos. Mais ce que j’adore, c’est que ce musée n’est pas figé : il accueille aussi de l’art moderne, parfois surprenant !
L’art, ça vous titille ? Dès lors, un petit détour s’impose vers le village de Waha : on y trouve une église romane du XIe siècle, toute simple de l’extérieur. Mais à l’intérieur, surprise : des vitraux signés Jean-Michel Folon ! Ces œuvres autant modernes que spirituelles illustrent le martyr de saint Étienne.
Prendre l’air
Si la ville est charmante, ses alentours sont un vrai terrain de jeu pour amoureux de nature. Le Fond des Vaulx est un petit vallon calcaire qui cache des grottes et une flore étonnante. Les balades sont accessibles (2 à 4 km), parfaites pour une sortie improvisée avec enfants, amis… ou juste soi-même.
Pour ceux qui préfèrent pédaler, le RAVeL Marche–Hotton est une bénédiction : une piste douce et tranquille qui déroule son paysage au fil des kilomètres. Les sportifs plus téméraires peuvent s’aventurer sur les circuits VTT de la région, histoire de mériter une bonne bière locale au retour.
Et tant qu’on parle d’Hotton… ne manquez pas ses grottes spectaculaires. À 65 mètres sous terre, on se retrouve dans un univers féérique. Claustrophobes s’abstenir, mais pour les autres : frissons garantis ! Et si vous aimez l’eau, direction RIVEO à Hotton. C’est ludique, avec des aquariums, des jardins thématiques et des animations autour de la rivière. Une manière légère d’apprendre en s’amusant.
Passer une nuit à Marche, c’est goûter à une autre ambiance. Le Quartier Latin est un grand classique : installé dans une ancienne église jésuite, avec un spa qui fait oublier la fatigue d’une journée bien remplie. Pour plus d’intimité, Le Manoir ou La Gloriette offrent un cadre chaleureux. Et pour les amateurs de chambres d’hôtes, Cochlea reste une belle découverte, cosy et accueillante.
Ouvert le 25 septembre 2015, Train World s’est rapidement imposé comme une halte incontournable pour les amoureux du rail. Installé dans la gare de Schaerbeek, bijou architectural de 1887, le musée attire les regards bien au-delà de la capitale. Et pour cause : en dix ans, il a franchi la barre symbolique du million de visiteurs.
Des rails chargés d’histoire
Le choix de Schaerbeek n’est pas un hasard : la commune se trouve sur la ligne historique Malines-Bruxelles, là où le premier train à vapeur siffla en 1835. Aujourd’hui, les visiteurs parcourent 8.000 m² de scénographie imaginée par l’artiste François Schuiten et son équipe. Le dessinateur de bandes dessinées avait confié lors de l’inauguration :”Nous avions envie de faire partager l’amour des cheminots pour leurs machines et leur métier.”
Locomotives stars et expositions
Dans les halls, on croise des stars de l’acier : la “Pays de Waes” (1844), doyenne européenne des locomotives à vapeur, ou encore l’impressionnante Atlantic type 12 (1939). Mais le succès du musée tient aussi à ses expositions temporaires, parfois légères (Tintin, chocolat…) et parfois engagées (climat, biodiversité).
Des hauts, des bas… et un nouveau départ
Avant la pandémie, la fréquentation culminait à 135.827 visiteurs (2019). Après une reprise timide, l’an dernier a vu les chiffres descendre à 77.346 entrées. Un frein passager ? Peut-être, puisque l’intégration au PASSmusées et la nouvelle exposition pourraient relancer la machine.
Le 26 septembre, une exposition inédite s’ouvrira sur le rôle ambigu de la SNCB durant la Seconde Guerre mondiale.
Le français est omniprésent. C’est la langue de l’école, de l’administration, des médias, des séries Netflix… Même si le reo tahiti est enseigné, valorisé et parlé dans certaines familles, il est loin d’être la langue du quotidien pour tout le monde. Et encore moins dans les autres archipels où l’on parle le marquisien, le paumotu ou le mangarévien. Bref, la diversité linguistique existe, mais ce n’est pas la version hollywoodienne d’un peuple parlant tous la même langue exotique.
2. « Les gens se déplacent en pirogue, façon Moana »
L’image est belle, hein ? Mais aujourd’hui, on prend surtout le bateau à moteur, le ferry ou l’avion. Entre les îles, la mer est vaste, souvent agitée, et tout déplacement demande du temps et de l’argent. Il n’est pas rare que certaines familles se voient quelques fois par an seulement, car les distances sont immenses. Moana, c’est Disney. En Polynésie, c’est Air Tahiti.
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3. « Soleil, soleil, soleil »
Oui, les couchers de soleil sont magiques. Oui, les plages font rêver. Mais attention à la saison des pluies, aux coups de vents et aux caprices du ciel. Entre novembre et mars, on peut vivre plusieurs jours de pluie tropicale intense, et les cyclones sont une réalité dans certaines zones. Et même hors saison, il y a des jours où la grisaille s’invite. A noter que la Polynésie étant très étendue, les climats sont parfois assez différents d’une île à l’autre !
4. « La vie locale, c’est du chill permanent »
Ce cliché plaît, surtout quand on rêve d’évasion. Et c’est vrai qu’on y ressent une forme de sérénité, une absence de stress européen. Mais ça ne veut pas dire que tout est facile. Les habitants jonglent avec des prix exorbitants (même un concombre peut coûter 3 €), des démarches administratives complexes et un système de santé parfois saturé.
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5. « Le tatouage est obligatoire »
Les tatouages polynésiens sont parmi les plus riches en symboles au monde. Chaque motif raconte une histoire. Mais tout le monde ne les arbore pas pour autant ! Certains préfèrent ne pas se faire tatouer, par pudeur ou par choix personnel. La beauté de la culture polynésienne, c’est aussi cette liberté : on n’est pas moins « d’ici » parce qu’on a la peau vierge d’encre.
Direction l’île de Hong Kong pour une plongée au cœur du quartier de Central et de sa vieille ville. On débute par une montée vertigineuse à bord du Peak Tram, mythique funiculaire datant de 1888 menant aux hauteurs du Pic Victoria, pour une vue imprenable sur la baie et le cœur urbain de Hong Kong. Redescente en douceur pour s’attabler dans un restaurant étoilé ou goûter à l’ambiance authentique d’un dai pai dong – ces cantines de rue locales où l’on mange à ciel ouvert, au cœur du tumulte.
Hong Kong Tourism Board
L’après-midi est placé sous le signe de la flânerie : Hollywood Galleries, ses antiquaires et galeries d’art, le temple Man Mo, baigné de volutes d’encens, les ruelles en pente raide de Pottinger Street et Possession Street, les fresques de street art au fil des escaliers de Mid-Levels. On pousse jusqu’à Tai Kwun (centre d’art contemporain installé dans un ancien commissariat) et au PMQ, véritable ruche de créateurs. En fin de journée, traversée mythique de la baie à bord du Star Ferry, au coucher du soleil.
Hong Kong Tourism Board
Jour 2 : Wan Chai et Causeway Bay, entre shopping et patrimoine
Ce matin, cap sur Wan Chai, quartier vivant où les gratte-ciels côtoient les maisons traditionnelles. On s’arrête dans les marchés de quartier ou dans la paisible Blue House, emblème du patrimoine local. Puis direction Causeway Bay, quartier voisin et repère des fashionistas, pour une virée shopping dans les nombreux centres commerciaux sur Lee Gardens ou Hysan Place. Pause verte au Victoria Park avant de revenir dîner dans l’un des restaurants animés de Wan Chai, avant une soirée prolongée dans ses bars éclectiques.
Hong Kong Tourism Board
Jour 3 : Le sud de l’île, entre plage et randonnée
Changement d’ambiance : à seulement 30 minutes de Central, le sud de l’île offre une vraie bouffée d’air pur. On enfile ses baskets pour la célèbre randonnée du Dragon’s Back, crête verdoyante surplombant les baies turquoise. À l’arrivée, après une marche modérée d’environ 2h, détente à Big Wave Bay Beach, entre surfeurs et gargotes de fruits de mer.
Hong Kong Tourism Board
L’après-midi, on explore le marché de Stanley, ses échoppes et ses terrasses en bord de mer. En famille, pourquoi ne pas pousser jusqu’à Ocean Park, parc d’attractions mêlant manèges, aquarium et pandas géants ? En fin de journée, apéritif les pieds dans le sable à Repulse Bay.
Jour 4 : Kowloon côté culture
On traverse la baie pour rejoindre WestK, tout nouveau quartier culturel à l’ouest de Kowloon. Au programme : visite du musée M+, musée international consacré à l’art contemporain d’Asie, et du superbe Hong Kong Palace Museum, qui rend hommage à l’art impérial.
Hong Kong Tourism Board
Pour le déjeuner, on opte pour une vue panoramique — que ce soit au restaurant Hutong, au mythique Peninsula Hotel, ou au Regent Hotel. Ou pour une expérience locale sur la populaire artère de Nathan Road. L’après-midi, direction Tsim Sha Tsui : le Hong Kong Museum of Art, K11 Musea, la Tour de l’Horloge et l’Avenue of Stars. À 20h, on lève les yeux pour la Symphonie des Lumières, show nocturne synchronisé entre musique et gratte-ciel illuminés.
Jour 5 : Kowloon authentique
On commence par un petit-déjeuner typique dans le quartier de Sham Shui Po : pineapple bun, egg tart et thé au lait local sont au menu. Ce quartier populaire est une mine d’or pour les amateurs de street food, de marchés d’électronique vintage ou de tissus colorés.
Hong Kong Tourism Board
L’après-midi est plus contemplatif avec le couvent de Chi Lin et le jardin de Nan Lian, havre zen au milieu de la modernité. Le soir venu, immersion dans le bouillonnement de Mong Kok, flânerie dans Ladies Market, puis direction le marché nocturne de Temple Street pour les souvenirs et un dîner sur le pouce dans les stands aux mille parfums.
Jour 6 : Nature brute dans les Nouveaux Territoires
Aujourd’hui, place au grand air ! Direction Sai Kung, charmante bourgade en bord de mer, porte d’entrée du Hong Kong UNESCO Global Geopark. Randonnée sur le MacLehose Trail, paysages volcaniques du High Island Reservoir, criques paradisiaques autour de Sharp Island ou Double Haven : la nature ici est spectaculaire, inattendue, minérale.
Hong Kong Tourism Board
Les plus motivés peuvent passer la nuit à Sa Kung pour approfondir leur exploration, mais l’aller-retour depuis Central se fait facilement dans la journée !
Jour 7 : Lantau, entre spiritualité et détente
Cap sur Lantau, la plus grande île du territoire. On emprunte le téléphérique Ngong Ping 360 qui offre des vues panoramiques spectaculaires sur la mer et les collines, pour grimper au Grand Bouddha et au monastère de Po Lin. Après cette parenthèse spirituelle, cap sur Tai O, pittoresque village de pêcheurs sur pilotis où le temps semble suspendu. Déjeuner de fruits de mer, balade dans les ruelles, et baignade à Cheung Sha Beach en fin de journée.
Hong Kong Tourism Board
En famille, on peut opter pour une journée à Hong Kong Disneyland, qui célèbre jusqu’en juin 2026 ses 20 ans avec de nombreuses nouveautés.
Jour 8 : Dernières îles, derniers plaisirs
Pour cette dernière journée, on explore deux perles insulaires : Lamma, l’île bohème aux plages tranquilles et aux restos de fruits de mer, et Cheung Chau, repaire de pêcheurs et haut lieu du festival du Bun (petit pain). Randonnées légères, marchés artisanaux, vélo ou farniente… à vous de choisir.
Hong Kong Tourism Board
Retour en fin de journée pour un shopping de dernière minute au Central Market ou au PMQ, avant un dernier verre dans l’un des bars primés de Lan Kwai Fong, le quartier nocturne le plus animé de l’île.
Bon à savoir : pas besoin de visa pour les Belges souhaitant découvrir Hong Kong pour moins de 90 jours. Un passeport valable un mois après la date de retour suffit pour s’envoler vers cette destination aussi dépaysante qu’accessible.
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