Du 15 septembre au 15 octobre, l’événement « Saveurs du Littoral » met à l’honneur les poissons de saison comme la plie, la limande-sole et la crevette. Plus de 80 restaurants participent en proposant des plats délicieux à base de ces produits frais. Réservez une table et régalez-vous !
Westtoer
2. Découvrez les réserves naturelles
L’arrière-pays côtier est magnifique en automne et en hiver. Visitez des lieux comme le Zwin ou la réserve naturelle du Westhoek à La Panne pour une bouffée d’air frais. Ne manquez pas Raversyde près d’Ostende, où vous pouvez explorer l’histoire de l’Atlantikwall dans un cadre naturel.
Westtoer
3. Tentez les sports nautiques
Envie de sensations ? L’automne est idéal pour essayer des sports nautiques comme le surf, la planche à voile, le SUP ou le char à voile. Les clubs de plage restent ouverts jusqu’à fin octobre. Avec une bonne combinaison, vous n’aurez même pas froid !
4. Balades à pied ou à vélo
Les plages tranquilles sont parfaites pour des promenades revigorantes. Renseignez-vous auprès des Offices du tourisme pour des balades guidées. Notre conseil ? Louez un vélo pour explorer les stations balnéaires. Et pourquoi ne pas en profiter pour admirer les œuvres d’art de la triennale Beaufort, exposées jusqu’au 3 novembre ?
Westtoer
5. Des hôtels et des restaurants moins bondés !
C’est la saison parfaite pour profiter de l’ambiance conviviale de la Côte belge sans la foule de l’été. De nombreux hébergements accueillants vous attendent pour un séjour relaxant.
Vous les connaissez forcément, car ils sont les symboles mêmes de la ville de Londres. Le palais de Westminster est ce magnifique édifice dans lequel résident la Chambre des communes et la Chambre des lords, autrement dit le parlement britannique… Big Ben est cette énorme horloge rattachée au parlement qui fait la fierté de la ville depuis le milieu du 19e siècle.
Notez que si vous avez le temps, l’abbaye de Westminster, qui est l’un des édifices religieux les plus célèbres de Londres, est juste à côté !
Marcin Nowak
Buckingham Palace
Buckingham Palace est, aujourd’hui encore, le principal lieu de résidence de la monarchie britannique. Attention cependant, les visites ne sont pas toujours possibles. Pour avoir le privilège de visiter Buckingham Palace, il faut vous y rendre aux mois d’août ou de septembre… Mais quoiqu’il arrive, il faut à tout prix passer devant Buckingham Palace, ne serait-ce que pour assister à la relève de la garde ! Suivez les conseils de l’équipe de Bonjour Londres pour en savoir plus.
Debbie Fan
Le British Museum
S’il y a un musée à voir à Londres, c’est bien le British Museum. Avec plus de 5 millions de visiteurs par an, il s’agit du troisième musée le plus visité au monde ! Architecturalement, l’endroit est splendide, et bien entendu la collection vaut le détour. Momies égyptiennes, statues antiques… C’est également là que se trouve la fameuse pierre de Rosette. En plus, la visite est gratuite !
Viktor Forgacs
Piccadilly Circus
Piccadilly Circus est cette place londonienne bien connue, avec ses énormes panneaux publicitaires animés… Ici, on se sent un peu comme à New York ! L’endroit est central, et toujours très animé. C’est un point de départ parfait pour aller faire les boutiques ou aller au restaurant.
Mark Saxby
Tower Bridge
Autre grand symbole de la ville, Tower Bridge est un pont tout simplement mythique. Construit dans un style néogothique victorien, il s’agit d’un véritable pont à bascule qui fonctionnait autrefois à la vapeur ! Il est possible aujourd’hui de visiter ce pont, et surtout de traverser une passerelle en verre à plus de 40m de hauteur pour profiter d’une vue imprenable sur le reste de la ville.
1. Vallée des Temples (site du patrimoine mondial de l’UNESCO)
Le Parc Archéologique de la Vallée des Temples est un site de l’UNESCO qui témoigne de la grandeur de l’ancienne Akragas, l’une des villes les plus importantes de la Grande-Grèce en Méditerranée. La visite de la Vallée des Temples est immersive et vous guide à travers certains des temples classiques les mieux conservés du sud de l’Italie (Dioscures, Zeus Olympien, Concorde, Héraclès, Esculape, Théron, Vulcain et Junon) et le Musée Archéologique Régional.
Dagnija Berzina
2. Cathédrale de San Gerlando et centre historique
Une promenade dans le centre historique d’Agrigente révèle immédiatement ses monuments emblématiques. Parmi eux, l’ancienne cathédrale de San Gerlando, fondée à la fin du XIe siècle. Nous y accédons par un large escalier en observant le caractéristique et inachevé clocher. A ne pas manquer aussi la visite du Trésor de la cathédrale.
3. Plages d’Agrigente
Les amoureux de la mer trouveront à Agrigente des plages qui s’étendent sur des kilomètres, alternant entre des établissements balnéaires équipés de tout confort et des portions de littoral désertes et préservées : de Marina di Licata à Punta Bianca, jusqu’à la plus mondaine San Leone, centre animé de la vie nocturne estivale. Vous cherchez une plage adaptée aux enfants ? Porto Palo à Menfi arbore le Pavillon Vert, garant de sécurité, de services et de divertissements pour toute la famille.
Ricarco Gomez Angel
4. Scala dei Turchi à Realmonte
La plus emblématique des “marches” siciliennes, véritable plateau de cinéma en plein air, est la Scala dei Turchi, un monument naturel à part entière. Une falaise de marne blanche où les éléments naturels ont sculpté un escalier digne d’un “architecte-star”. L’origine du nom ? On raconte que les pirates sarrazins (turcs) se réfugiaient autrefois avec leurs navires dans cette baie tranquille.
Kentaro Komada
5. Farm Cultural Park à Favara
Aux alentours, ne manquez pas Favara et son centre historique qui abrite le Farm Cultural Park, un point de référence pour l’art contemporain international. Né de l’idée de deux passionnés d’art, Florinda et Andrea, la régénération artistique du quartier est aujourd’hui l’une des expressions les plus réussies de la réhabilitation urbaine à travers le street art et les formes de citoyenneté active : les anciennes maisons et les cours de Favara accueillent des expositions, des ateliers et des événements tout au long de l’année.
En Tunisie, la pratique du thermalisme remonte à l’époque romaine. Les Romains, fervents adeptes des bains thermaux, ont laissé derrière eux un patrimoine exceptionnel, dont certaines installations thermales sont encore en activité aujourd’hui. Un héritage qui a su traverser les siècles et qui s’est adapté aux besoins et exigences modernes. S’ajoute à cela la culture arabo-musulmane qui a, elle aussi, perpétué la tradition des bains publics et autres hammams, qui font partie des pratiques de soin du corps tout en étant source de détente et de convivialité. En outre, la Tunisie est dotée de nombreuses sources d’eau aux vertus curatives reconnues, disséminées à travers tout le pays, notamment à Korbous, Hammam-Lif, Tabarka et Djerba. Ces lieux attirent des visiteurs depuis l’Antiquité ! On comprend mieux pourquoi elle est devenue la deuxième destination mondiale en matière de thalassothérapie avec plus de 60 centres recensés en 2024 !
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5 bonnes raisons de se faire du bien en Tunisie
Depuis les années 1990, la Tunisie se place parmi les destinations de référence en thalassothérapie, certains de ses centres jouissant d’une renommée internationale. Il faut dire qu’une législation stricte et rigoureuse garantit l’excellente qualité de l’eau de mer utilisée, et que bon nombre d’infrastructures sont supervisées par un médecin. Une eau de mer dont les bienfaits ne sont plus à démontrer, notamment grâce aux oligo-éléments qu’elle contient, bénéfique pour le corps.
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S’ajoute à cela un ensoleillement exceptionnel, qui contribue à magnifier tout séjour axé sur le bien-être en Tunisie. Avec des températures clémentes tout au long de l’année, la majorité des centres sont conçus pour profiter pleinement de cet environnement privilégié, en étant largement ouverts sur l’extérieur avec des vues à couper le souffle sur la mer toute proche.
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En tant que destination bien-être, la Tunisie se distingue aussi par ses centres somptueux et par ses équipements de grande qualité, conçus pour allier santé, confort et plaisir. Certains établissements proposent même des espaces VIP permettant de savourer des soins et des rituels dans la plus grande intimité. Ces installations sont par ailleurs régulièrement rénovées et équipées des dernières innovations dans le domaine du bien-être.
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Derrière des techniques et un équipement de pointe se cache aussi une tradition ancestrale qui apportera une touche particulière à votre séjour, à commencer par un doigté particulier pour les massages et par des soins dont les protocoles sont directement issus de la culture locale, à l’image du gommage traditionnel ou des enveloppements à l’argile parfumée.
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Enfin, la Tunisie se démarque par une palette de soins et de traitements parmi les plus diversifiées au monde. Des rituels de beauté raffinés aux massages relaxants ou énergétiques, en passant par la médecine esthétique et le renforcement musculaire, les spas, centres de thalassothérapie et centres de thermalisme tunisiens renouvellent constamment leur offre afin de répondre aux besoins les plus variés, le tout à des tarifs compétitifs.
Pour en savoir sur l’offre en thalassothérapie et en bien-être proposée par la Tunisie, n’hésitez pas à visiter le site de Discover Tunisia.
Du XIème siècle à 1596 et son transfert à Varsovie, Cracovie fut la capitale de la Pologne et le siège du royaume. Epargné par les guerres et le communisme, le centre historique fourmille de monuments hérités de ce rang. Et quels monuments ! Dans ce cœur urbain cerné autrefois de murailles – elles ont été remplacées au XIXème s. par les Planty, couronne de verdure relaxante qui le sépare des faubourgs -, le visiteur explore, ébahi, les bâtiments les plus prestigieux.
Le château du Wawel et Basilique Cathédrale de Cracovie Gerald Villena
L’ensemble de la colline du Wawel en est l’épicentre. S’y trouvent côte à côte le château royal et la cathédrale, témoins du partage des pouvoirs et haut lieu de l’identité polonaise. Site de couronnement et de sépulture des rois, la cathédrale égrène tombeaux et monuments des souverains autour de l’autel de Saint-Stanislas, saint-patron de la Pologne. Autour de sa cour centrale encadrée de galeries, le château, lui, a été transformé en musée dédié à la royauté et en lieu d’évènements.
Le début de la rue Grodzka, artère principale de la vieille ville Philippe Bourget | cms
Hors l’enclave du Wawel, le cœur historique bât tout aussi fort. Des hordes de touristes arpentent la colonne vertébrale que forment les rues Grodzka et St-Florian, irriguant tout le centre. A condition de ne pas être distrait par la profusion de boutiques, voici ce qu’il ne faut pas manquer : l’église Saints Pierre-et-Paul, modèle d’architecture baroque ; l’église Saint-André, le plus ancien édifice roman ; l’adorable rue Kanonicza et ses bâtiments des XIVe et XVe s., dont l’un abrite le Centre Jean-Paul II, dédié à sa mémoire – icône de la ville, il en fut l’archevêque avant d’être pape ; le Collegium Maius, siège de la prestigieuse université Jagellonne, où étudia Nicolas Copernic… et le futur Jean-Paul II ; les basiliques des Franciscains et des Dominicains, puissants ordres de cette ville religieuse.
Le château de Wawel vu depuis la Vistule K. Skubala
La rue Grodzka débouche sur le Rynek. C’est le foyer incandescent de Cracovie. Sur la plus grande place médiévale d’Europe (200 m x 200 m) se tient la prestigieuse Halle aux Draps et ses échoppes de souvenirs, symbole de la ville commerçante de jadis. Devant les terrasses de cafés et de restaurants, l’église Notre-Dame et le beffroi de l’Hôtel de Ville font office de totems. A voir et à entendre dans la première : le retable gothique de Veit Stoss (XVe s.), l’une des plus beaux et grands du monde, avec 200 personnages ; la ritournelle du hejnał, une mélodie jouée chaque heure par un trompettiste posté en haut d’une tour de l’église, interprétée depuis le 16ème s. et expression de l’indépendance de la ville.
Le Rynek avec la Halle aux Draps et le beffroi de l’hôtel de ville Philippe Bourget | cms
Le nord du Rynek est à l’unisson. Autour de la rue St-Florian, le musée des Princes Czartoryski (et sa célèbre peinture La Dame à l’Hermine, de Léonard de Vinci), la Jama Michalika (archétype du café-musée du XIXe s.), le théâtre Slowacki, la porte Saint-Florian et la Barbacane constituent le quinté de choc. Au-delà, la balade peut se poursuivre jusqu’au Stary Kleparz, authentique marché populaire de la ville.
Vieilles maisons dans le quartier de Kazimierz Philippe Bourget | cms
Kazimierz, héritage de la culture juive
Rattaché à la ville au tournant du XIXe s., ce quartier diffuse une atmosphère autant historique que bohême. C’est ici que, dès le XIVe s., une première communauté juive s’implante. Elle va se développer et prospérer durant cinq siècles, jusqu’à la seconde guerre mondiale. Au point qu’en 1939 un quart des 250 000 habitants de Cracovie est de culture juive.
La persécution nazie va tragiquement décimer cette population, transférée dans le quartier voisin devenu ghetto de Podgórze (voir ci-dessous), puis déportée vers les camps de concentration – dont Auschwitz, situé à 60 km. Depuis 20 ans, alors que le souvenir du conflit de 39-45 s’estompe, ce quartier longtemps livré aux squats et à la délinquance retrouve son identité juive autour de lieux de culte et de mémoire et d’une indéniable animation boutiquière et touristique.
Anciennes façades de magasins juifs de Kazimierz, transformés en restaurant Philippe Bourget | cms
Il suffit d’arpenter les rues Mieselza, Józefa et Szeroka pour s’en convaincre. Les cafés et les restaurants de cuisine juive y côtoient les synagogues, les musées et centres de culture ashkénaze, deux cimetières juifs et une flopée d’adresses de bouche, de boutiques et de galeries branchées non ethniques où se mélangent touristes et jeunes cracoviens. Autour de la rue Szeroka (en réalité, une place), le restaurant casher Ariel est proche d’Hamsa, où l’on mange des spécialités orientales dans l’esprit « Tel-Aviv ». Les deux font face à la synagogue et au vieux cimetière juif Remu’h (l’un des plus anciens d’Europe), très fréquentés par les communautés juives orthodoxes étrangères, reconnaissables à leurs tenues vestimentaires typiques.
La visite de Kazimierz passe aussi par la place Nowy. Hôte d’une rotonde où l’on vend dans des kiosques les célèbres zapiekanki (baguettes avec du fromage, du ketchup et de la ciboulette), elle est investie chaque dimanche par un marché aux fripes vintage, qui a retrouvé un allant auprès des touristes et des bobos. Depuis la place Wolnica où se dresse la grande bâtisse de l’ancien hôtel de ville du quartier, la rue Mostowa conduit à la passerelle design (piétonne et cycliste) Ojca Bernatka qui, par delà la Vistule, mène au quartier de Podgórze.
Dans le musée de la Fabrique d’Oskar Schindler Philippe Bourget | cms
Podgórze et Zabłocie, souvenirs du ghetto et cluster muséal
Situé rive droite de la Vistule, ce quartier plus excentré conserve la mémoire tragique du génocide contre les Juifs de Cracovie, parqués ici à partir de 1941 puis déportés vers différents camps de concentration et de travail, dont celui de Płaszów, au sud-est de la ville. C’est aujourd’hui un vrai quartier cracovien, résidentiel, qui n’a pas (encore) succombé au tourisme de masse. Sur la Vistule, la passerelle Ojca Bernatka qui le relie depuis 2010 à Kazimierz assure toutefois une connexion facile qui induit de nouvelles habitudes.
Cette place constitue un lien parfait avec la visite suivante, dans le quartier contigu de Zabłocie : le musée de la Fabrique d’Oskar Schindler. Aménagé dans l’ancienne usine éponyme et rendu célèbre par le film (1993) de Steven Spielberg, « La liste de Schindler », il rappelle le rôle crucial tenu par Oskar Schindler, le directeur allemand de cette usine de batteries de cuisine pour soustraire plus de 1 000 juifs à la déportation. Consacré plus globalement à Cracovie sous l’Occupation, le musée, aux commentaires non traduits en français, est certes très émouvant mais pâtit de l’exiguïté des salles d’exposition et de son atmosphère sépulcrale, sur fond de profusion d’informations.
La passerelle design Ojca Bernatka et ses sculptures Philippe Bourget | cms
Dans un autre genre, le MOCAK (2011) propulse le visiteur dans la création artistique polonaise. Constitué d’un nouvel édifice et de bâtiments d’usine réhabilités, le Musée d’Art contemporain de Cracovie met en scène les œuvres d’artistes du pays et organise des expositions temporaires très courues.
La place Podgórski et l’église néogothique Saint-Joseph Philippe Bourget | cms
Pour découvrir l’aspect très cracovien du quartier, on n’hésitera pas à se perdre autour de la place Podgórski. Autour de l’église néogothique Saint-Joseph, on découvrira des immeubles résidentiels des XVIIIe et XIXe s., un ou deux « bars à lait » authentiques de la ville (cantines héritées de la période communiste) et l’ambiance de village résidentiel de la colline située derrière l’église (rue Dembowskiego et parc Bednarskiego).
Une ville ‘arty’ et ‘foody’
Avec 160 000 étudiants pour 1 million d’habitants, des dizaines de nationalités (Français, Allemands, Italiens, Espagnols, Ukrainiens…) employées dans différents secteurs d’activités – les centres de services, le design… – et des valeurs européennes affichées avec force, rien d’étonnant à ce que cette ville de « professeurs », qui baigne depuis des siècles dans un climat artistique et intellectuel, soit une des cités les plus dynamiques d’Europe.
Au-delà de ses richesses muséales et du nombre de théâtres (six), Cracovie est une ville d’intense culture urbaine. Ce secteur serait d’ailleurs le second pôle économique de la cité, après le tourisme. Le nombre de festivals organisés chaque année et l’armée de salariés du Bureau de la ville chargé de les organiser, 140 personnes, en témoigne : Festival Misteria Paschalia (Pâques) ; Fête des étudiants de Cracovie (une semaine en mai, le maire leur remet alors les clefs de la ville) ; Festival de la Culture Juive (juin) ; Festival de la Musique de Film (mai-juin, le plus grand du monde) ; Festival de la poésie (juin) ; Festival de musique classique (juillet) ; Festival d’été de jazz (juillet) ; Festival international de théâtre de rue (juillet) ; Unsound Festival (musique électronique, octobre) ; All Soul Jazz Festival (novembre)… Jusqu’au Forum des villes européennes, dont Cracovie sera l’hôte en juin 2025, consécration de son ouverture au Vieux Continent.
Décoration design dans le récent hôtel de luxe H15 cms | cms
Ce multiculturalisme se retrouve dans l’assiette. Aux restaurants traditionnels polonais servant dans des cadres chics les recettes immémoriales (soupes, pierogi…) s’ajoute une multitude d’adresses ethniques (arméniennes, lituaniennes, japonaises, coréennes…) et branchées, de lieux vintage, de marchés bios… Et chacun a forcément son idée sur le meilleur endroit du moment ! Dans Kazimierz, certains vous emmèneront dans les bars en vue Hevre (cadre vintage chic dans une ancienne synagogue) ou Eszeweria (vieux meubles en bois et jardin intimiste à l’arrière).
Lipowa 6, un bar en vue du quartier de Zabłocie Philippe Bourget | cms
Les fans de cafés-lecture vous inviteront à se poser à Austeria, un café-restaurant de cuisine juive également petite maison d’édition. Elle est devenue célèbre pour ses « livres à écrire », qui alternent pages d’auteur et pages blanches réservées aux commentaires du lecteur. Karakter pour les vins en biodynamie, Bottigliera 1881 (et sa récente déclinaison bistronomique, Buffet) pour goûter la cuisine 2 étoiles Michelin de Przemysław Klima… Kazimierz, quartier hipster gentrifié, est une mine d’or pour les dénicheurs de tendance.
L’intérieur du bar francophile Les Couleurs Philippe Bourget | cms
Podgorze n’est pas mal non plus. D’aucuns jurent que Luktung y est le meilleur « asiat » de la ville, tandis que les bobos vont faire leurs courses chaque samedi au marché bio-écolo Pietruszkowy, devant la piscine Korona. Même le centre historique est concerné : Pimienta est considéré comme le meilleur restaurant de viande de la ville et le récent hôtel de luxe H15 fait l’actualité avec son restaurant Artesse, remarqué aussi par Michelin. A Cracovie, la surprise est à chaque coin de rue.
La façade du restaurant Austeria, à Kazimierz Philippe Bourget | cms
Infos pratiques
Y aller
Vols Bruxelles Charleroi-Cracovie avec Ryanair (ryanair.com) et Bruxelles National-Cracovie avec Brussels Airlines (brusselsairlines.com).
Avec la rentrée des classes et les journées qui rétrécissent, l’automne n’inspire a priori pas la joie… Mais la Wallonie a de quoi vous distraire et remettre du soleil dans votre cœur, avec de nombreuses activités entre amis et en famille. Des moments que vous ne serez pas près d’oublier.
En forêt à l’écoute des cerfs
Grand classique mais toujours aussi magique : le brame du cerf est une activité incontournable du début de l’automne. De mi-septembre à début d’octobre, c’est la période de reproduction des cerfs et les mâles font entendre leur cri (le brame) au lever et au coucher du soleil, pour chasser les concurrents hors de leur territoire et attirer les biches. Seul ou avec un guide, il y a plusieurs possibilités pour partir à la découverte de ce cri si particulier qui perce la nuit.
Les Globe Blogueurs
La cueillette des champignons
L’automne, c’est aussi la saison des champignons. Avant de les glisser dans l’omelette, il faut partir à leur cueillette. Une belle balade dans les bois en perspective. Vous pouvez bien sûr vous risquer à pratiquer seul cette activité, mais pour que l’omelette ne soit pas indigeste, mieux vaut opter pour une balade accompagnée d’un expert en champignons.
WBT – Olivier Bourgi
Des frissons entre sorcières et démons
Si vos enfants aiment se faire peur mais que les citrouilles d’Halloween ne les impressionnent plus, voici 5 lieux insolites et effrayants qui, une fois le jour éteint, les feront frissonner d’angoisse et les jetteront dans vos bras.
Pour les escapades automnales de plus d’un jour, vous aurez un large choix d’hébergements, du classique hôtel au gîte pour familles et groupes, en passant par des lieux insolites, pour par exemple passer la nuit dans une cabane, une abbaye ou un château.
WBT – Sebastien Roberty
Les expos d’automne
Enfin, si vous êtes fans de culture et de musées, voici le calendrier des activités culturelles et expos wallonnes de l’automne. Pour payer moins cher l’entrée du musée, on vous conseille d’opter pour le Pass VISITWallonia.be.
Les Menhirs de Carnac sont un ensemble de plus de 3000 pierres dressées, réparties sur plusieurs sites dans la région de Carnac. Ces structures mégalithiques, érigées entre 4500 et 3300 avant notre ère, sont parmi les plus anciennes de l’humanité. Leur alignement précis et leur disposition en rangées et cercles laissent perplexes les chercheurs.
La construction ? Le mystère reste entier !
La question de la construction des menhirs reste une énigme. Comment les peuples préhistoriques ont-ils pu transporter et ériger ces pierres massives sans les technologies modernes ? Les théories abondent, allant de l’utilisation de rondins de bois pour rouler les pierres à des techniques plus sophistiquées impliquant des rampes et des treuils. Les légendes locales racontent même que les menhirs ont été placés par des géants ou des forces surnaturelles.
Alex Guillaume
A quoi servaient ces menhirs ?
Les fonctions des menhirs de Carnac sont encore débattues. Certaines hypothèses suggèrent qu’ils servaient à des rituels religieux ou funéraires. D’autres théories les associent à des calendriers solaires et lunaires, permettant de suivre les cycles agricoles et astronomiques. Les alignements de Carnac pourraient également avoir été des symboles de pouvoir et de prestige pour les communautés de l’époque.
On résume souvent le quartier rouge à ses prostituées éclairées par des néons… Mais en réalité, ce quartier a énormément d’attraits ! La plupart des immeubles du quartier sont de magnifiques bâtiments historiques.
Ferenc Horvath
On trouve également dans le quartier rouge la Oude Kerk, une très vieille église bâtie en 1306, ainsi que le musée Ons’ Lieve Heer op Solder (« Notre Seigneur dans le grenier »), qui est une ancienne église catholique clandestine cachée dans un grenier.
Visiter le Rijksmuseum
Stale Grut
Son nom ne vous dit peut-être rien, mais le Rijksmuseum est le musée d’art le plus important des Pays-Bas. Il compte plus de 200 salles d’expositions accueillant bien entendu des peintres flamands tels que Rembrandt ou Vermeer, mais aussi d’autres œuvres importantes, notamment des objets d’art asiatiques.
Wil Van Wingerden
Ne manquez pas la bibliothèque Cuypers, qui est la plus ancienne bibliothèque du pays que vous pourrez admirer depuis un balcon.
Faire une croisière sur les canaux
Kelly Sikkema
Ce n’est pas une légende, Amsterdam est vraiment remplie de canaux. La ville se trouve littéralement sous le niveau de la mer, et elle a donc été bâtie en conséquence… Les balades en bateaux comme celles présentées par l’équipe de Bonjour Amsterdam se passent toujours très tranquillement. Pendant que vous admirerez les bâtiments et les ponts, le guide prendra le temps de vous raconter de nombreuses anecdotes dans une ambiance conviviale et détendue.
Découvrir la maison d’Anne Frank
L’histoire est terrible et il peut être difficile de se motiver à aller visiter la maison d’Anne Frank lors d’un court voyage à Amsterdam… Mais c’est un endroit à voir absolument pour comprendre toute l’horreur et la tragédie qu’a dû affronter la communauté juive durant ces années sombres. Entrer dans la chambre cachée derrière la bibliothèque est une expérience glaçante.
Kelly Sikkema
Visiter le musée Van Gogh
Comme nous le disions, Amsterdam est une ville de culture… Avec le Rijksmuseum, le musée consacré à Vincent Van Gogh est l’autre incontournable à ne surtout pas manquer. Avec plus de 200 tableaux (parmi lesquels la chambre et les tournesols), 500 dessins et des centaines de lettres, l’endroit est d’une richesse infinie.
Relativement petit par la taille, la Tunisie n’en demeure pas moins un pays riche de paysages variés et fascinants. Si ses 1.300 km de côtes et ses luxueuses stations balnéaires sont synonymes de relaxation et de bien-être, le Sud vous invite pour sa part au dépaysement avec ses montagnes imposantes, ses profonds canyons, ses palmeraies à perte de vue et ses déserts enivrants. Voici 5 perles du Sud tunisien, véritables joyaux du désert qui éveilleront vos sens et votre imagination, que nous vous invitons à (re)découvrir d’Est en Ouest.
1. Les Ksours autour de Tataouine : Forteresses des nomades
On démarre notre voyage du côté de Tataouine, au sud-est de la Tunisie. Là, le désert revêt une allure rocailleuse : la grande plaine caillouteuse débouche sur de grandioses paysages de montagnes. C’est dans ce décor façonné par les falaises et les pitons rocheux que surgissent les étonnantes architectures des « Ksour » aux noms énigmatiques tels que Ksar Haddada, Ksar Ouled Debbab ou encore Ksar Ouled Soltane. Soit des greniers collectifs fortifiés érigés par les nomades sahariens.
Cheneni SUD-CHENINI
Ces « châteaux du désert » (ksour est le pluriel de ksar signifiant lieu fortifié) leurs servaient autrefois à y stocker leurs récoltes dans des compartiments superposés appelés ghorfas. Les plus grands Ksours comptent plusieurs centaines de ghorfas et jusqu’à quatre étages superposés !
Ksar Ouled Debbeb
2. Les troglodytes de Matmata : Habitats lunaires
Si on aime les visites dépaysantes, on ne peut pas passer à côté des grottes troglodytes de Matmata. On se croirait dans un décor lunaire abandonné ! Pourtant, ces cratères béants sont habités par le peuple des monts Matmata.
TataouineTataouine
Un peuple berbère qui a profité de la roche tendre de la région pour y creuser des habitations et élire domicile sous terre. De quoi s’offrir un havre de fraîcheur lors des canicules d’été… et créer une ville à l’architecture inimitable. Ce n’est pas pour rien que de nombreuses scènes de la saga Star Wars ont d’ailleurs été tournées dans le sud tunisien, notamment à Tataouine et… Matmata !
Ong Jmel (site Star Wars)
3. Le Grand Erg oriental : Mer de sable à perte de vue
La région de Douz, connue comme étant la porte du désert, offre de son côté la plus douce des approches du désert. Là, ce sont des cordons de dunes et de gracieux bouquets de palmiers qu’on ne peut absolument pas manquer de découvrir ! Le Sahara Tunisien s’étend, en effet, sur plus de 40 000 kilomètres carrés et fait partie du Grand Erg oriental. Ces étendues infinies de sable doré invitent tant à la contemplation dans un silence absolu qu’à s’évader à pieds, à dos de dromadaires ou en véhicules tout-terrain. Sans oublier le must absolu pour une expérience hors du commun : passer la nuit, en bivouac, au cœur des dunes sculptées par le sable. Souvenirs inoubliables garantis !
GRAND ERG
L’émotion du voyage saharien autour de Douz se vit aussi grâce à la découverte des palmeraies et oasis qui parsèment la région. Des havres de quiétude qui offrent de délicieuses haltes ombragées dans des forêts de palmiers dattiers. Avis aux amateurs : la sève de l’arbre roi de la Tunisie sert également de base à une boisson fermentée, le lagmi.
4. Le Chott El-Jerid : Miroir éphémère du désert
En partant de Douz vers l’est en direction de Tozeur, vous traverserez une immense étendue salée aux reflets changeants : le Chott El-Jerid. Cette ancienne mer intérieure, dorénavant en grande partie asséchée, offre un paysage époustouflant. S’étendant à perte de vue, la plus grande étendue saline d’Afrique et ses cristaux de sel constituent en effet une surface scintillante fantasmagorique où se forment d’étranges mirages. Dépaysement garanti !
chott-el-jerid
5. Vieilles villes de Nefta et Tozeur : Architectures géométriques
Proches de la frontière Est tunisienne, les villes de Nefta et de Tozeur offriront encore un autre spectacle. Villes surgies du désert et blotties contre d’immenses palmeraies, elles présentent des architectures traditionnelles caractéristiques. Du côté de Nefta, on s’émerveillera par exemple en découvrant les innombrables coupoles signalant la présence de tombeaux de saints. Dans la région, les amateurs de la saga pourront aussi revivre les aventures de Star Wars sur l’authentique site de tournage de Mos Espa.
Ong Jmel (site Star Wars) Ong Jmel (site Star Wars)
À Tozeur, ce sont des palaces, parcs à thème et musées qui ont fleuri autour de la vieille ville qu’on découvrira en flânant. Tout en découvrant également de splendides murs composés de petites briques artistement disposées en saillie et en retrait : losanges, chevrons, palmes ou hexagones sont autant de décors géométriques qui accompagneront votre promenade. Toujours dans la région de Tozeur, on n’hésitera pas non plus à découvrir les fameuses oasis de montagne de Chebika et de Tamerza ainsi que le Canyon de Mides. On pourra y explorer les cascades, canyons et palmeraies nichées dans les rochers.
Le célèbre « Tram Experience » a fait son retour ! Le concept, toujours aussi original, n’a pas changé : parcourir les rues de Bruxelles tout en dégustant les plats créés par de jeunes chefs talentueux. Cette année, ce sont Milan La Roche, Jordan Joubert, Ugo Federico et Alexandru Sapco qui se succèdent pour proposer des menus innovants et 100 % locaux. Jusqu’au 13 octobre, c’est Milan La Roche, du restaurant St Kilda à Uccle, qui régalera les passagers avant de passer le relais à ses confrères. À bord du tram, les plats seront préparés par le chef traiteur Thibault Granville qui suivra les recettes des maîtres nommés ci-dessus. Pour info, l’édition 2023 avait déjà attiré 8 500 amateurs ! Les organisateurs espèrent faire encore mieux cette année…