Le 10 mars 1876, à Boston, un événement révolutionnaire se déroule dans le laboratoire de Alexander Graham Bell. Il prononce une phrase simple mais historique : “Monsieur Watson, venez ici, j’ai besoin de vous.” Cette requête, adressée à son assistant Thomas Watson, marque la première conversation téléphonique de l’histoire.
Qui est Alexander Graham Bell ?
Alexander Graham Bell est né le 3 mars 1847 à Édimbourg, en Écosse. Issu d’une famille de spécialistes de la diction et de l’élocution, il s’intéresse très tôt au son et à la parole. Après des études en phonétique et en anatomie, il émigre au Canada, puis aux États-Unis. Passionné par l’enseignement aux personnes sourdes, il invente des dispositifs pour améliorer leur communication. Le téléphone est évidemment son invention la plus connue ! Et quelle invention !
L’invention qui a tout changé
Cette journée n’a pas été le fruit du hasard. Bell et Watson travaillaient depuis des mois sur la transmission de la voix par fil. Le téléphone de Bell, à base d’un microphone et d’un haut-parleur rudimentaire, fonctionne enfin. L’électricité transporte le son, et le futur des communications est lancé !
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Comment ça fonctionne ?
Le premier téléphone de Bell fonctionne grâce à l’électricité et à la vibration du son. Quand on parle dans le microphone, les ondes sonores font vibrer une membrane reliée à un électro-aimant. Ces vibrations sont converties en impulsions électriques, transmises par des fils. Au bout de la ligne, un haut-parleur reconvertit ces signaux en sons audibles. Cette technologie primitive permet ainsi d’envoyer la voix humaine presque instantanément, une véritable révolution pour l’époque !
Boston est alors un centre d’innovation et de recherche scientifique. Sans nul doute, la proximité d’autres esprits brillants stimule les recherches de Bell.
Un impact mondial
En quelques années, le téléphone devient indispensable. Les premières lignes téléphoniques s’installent, reliant les foyers et les entreprises. Cette invention facilite les échanges et ouvre la voie à la communication instantanée, une révolution qui nous accompagne toujours aujourd’hui avec nos smartphones modernes.
La capitale maltaise La Valette a été construite en tant que ville portuaire fortifiée. visit malta
Malte fait partie de l’Union européenne depuis 2004 (la monnaie y est l’euro), et c’est une destination de vacances vivement recommandée ! Que ce soit pour une escapade rapide, où l’on peut profiter du beau temps, de la cuisine locale et d’une touche de culture, La Valette est une alternative parfaite aux destinations populaires, souvent bondées. Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, elle regorge d’histoire et bénéficie de 300 jours de soleil par an. Et tout cela avec vue sur la Méditerranée et tout en étant accessible directement depuis l’aéroport de Charleroi.
Avec 300 jours de soleil par an et une ambiance détendue, La Valette est un lieu de séjour très recommandé. Visit Malta
Une histoire riche
En tant que plus petite capitale d’Europe, avec une superficie de seulement 55 hectares, on pourrait facilement passer à côté de La Valette. Mais détrompez-vous : où que vous regardiez, vous trouverez des traces de son passé glorieux. La ville a été fondée par l’Ordre des Chevaliers de Malte, qui protégeaient les pèlerins à Jérusalem avant d’en être chassés par les Ottomans au XVIᵉ siècle. Les chevaliers ont déplacé la capitale de Malte, de Mdina (située à l’intérieur des terres) à La Valette, en raison des opportunités qu’offrait son emplacement en bord de mer.
Jean de la Valette, le fondateur de la ville. Arnaud Henckaerts
La ville porte le nom du 49ᵉ grand maître de l’Ordre, Jean de La Valette, dont une statue se trouve sur une place près de l’église « Our Lady of Victory » (Knisja tal-Madonna tal-Vitorja). Cette dernière, la plus ancienne église de La Valette, a été construite en hommage à la victoire contre le siège ottoman. Jean de La Valette transforma la presqu’île surplombant la mer en une forteresse, avec un profond fossé et des murs épais que l’on peut encore admirer aujourd’hui. En arrivant par la fontaine du Triton, vous franchirez ces murs en passant par un pont.
La fontaine du Triton et la porte d’entrée de La Valette. Visit Malta
Flâner dans les rues
Une fois à l’intérieur des remparts, promenez-vous dans les ruelles étroites de La Valette. Les maisons sont ornées de balcons en bois colorés, autrefois symboles de la richesse des habitants. L’atmosphère y est détendue, avec de nombreuses terrasses et restaurants proposant une cuisine italienne mais aussi des plats locaux traditionnels, principalement à base de poisson frais. Et à chaque coin de rue, on y voit des bâtiments historiques inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO, souvent liés à l’histoire de l’Ordre des Chevaliers.
La co-cathédrale Saint-Jean est dédiée au saint patron des Chevaliers de Malte. Arnaud Henckaerts
La co-cathédrale Saint-Jean, par exemple, dédiée à Jean-Baptiste, saint patron des chevaliers, est incontournable. Derrière une façade plutôt sobre, vous découvrirez un intérieur éclatant de couleurs et d’une finition minutieuse dans les moindres détails, rendant hommage aux chevaliers qui y reposent. Ne manquez pas non plus « La Décollation de Saint Jean-Baptiste », un chef-d’œuvre de 1608 signé Caravage, qui a résidé un temps à Malte.
La simplicité de la façade de la cathédrale tranche avec l’intérieur. Visit Malta
Une offre culturelle variée
Pour la culture, La Vallette regorge également de lieux fascinants. Sur St. George’s Square se trouve le « Grandmasters’ Palace », aujourd’hui résidence de la présidente de Malte, Myriam Spiteri Debono. Ce bâtiment, en grande partie accessible au public, permettra bientôt d’admirer une collection restaurée de tapisseries françaises de Gobelins datant de 1710. Ces dix chefs-d’œuvre, hauts de près de cinq mètres, sont actuellement en restauration à Malines, mais reviendront à leur emplacement d’origine en mars 2026. Pas d’inquiétude, le palais offre déjà de nombreuses découvertes, tout comme les environs. Par exemple, le MUZA, musée situé dans l’Auberge d’Italie, expose des œuvres maltaises (peintures, sculptures, objets,…) du XVe au XXIe siècle. Ou encore le Fort Saint-Elme avec le Musée national de la guerre, le Musée archéologique, etc.
Cour intérieure du Grandmasters’ Palace avec une statue de Neptune réalisée par Jean de Boulogne, le sculpteur flamand des Médicis. Visit malta
Une pause shopping et détente
Envie d’une pause shopping ? La Vallette offre aussi des possibilités de shopping, notamment sur Republic Street, une artère d’un kilomètre qui relie presque tous les sites de la ville. Elle propose une belle combinaison de grandes enseignes internationales et de boutiques locales. Pour se reposer, les nombreuses places ou les jardins de l’Upper Barrakka sont parfaits ! Ces derniers offrent non seulement de l’ombre sous les arbres, mais aussi une vue imprenable sur la baie et le port, véritable cœur économique de la ville, où accostent toujours les paquebots de croisière.
Les Upper Barrakka Gardens, un havre de verdure avec une vue sur le port. Visit Malta
Découvertes architecturales
Les bâtiments de La Vallette sont construits en pierre jaune, la globigérine. Cela vaut tant pour les bâtiments anciens que pour les plus modernes, comme les œuvres de l’architecte italien renommé Renzo Piano. En 2009, ce dernier a dessiné les plans de la porte de la ville, du Parlement et du théâtre en plein air, construit à l’emplacement de l’opéra détruit lors des bombardements allemands de la Seconde Guerre mondiale. Le résultat est un chef-d’œuvre architectural combinant pierre traditionnelle et design contemporain. Il s’intègre dans son environnement tout en créant un contraste frappant. Si ce contraste a d’abord suscité des critiques parmi les habitants, il fait désormais partie du charme de la ville.
L’architecte italien Renzo Piano a redessiné l’entrée de la ville et le Parlement maltais. Arnaud Henckaerts
Malte vit du tourisme, et en dehors des remparts de La Vallette, vous trouverez une large gamme d’hôtels. Notez que lorsque la ville a été désignée Capitale européenne de la culture en 2018, cela a marqué le début du développement de petits hôtels-boutiques au cœur de la ville. Une manière idéale de découvrir La Vallette de façon authentique et de profiter de la ville sous toutes ses facettes, même en soirée.
Les nombreux balcons du centre-ville étaient autrefois un signe de richesse. Visit Malta
Dans les alentours de La Vallette
De l’autre côté de la baie se trouvent les « three cities », trois quartiers qui valent le détour lors d’une escapade citadine : Vittoriosa (Birgu), Senglea (L-Isla) et Cospicua (Bormla). Pour les Maltais, la distinction entre ces trois villes (chacune avec un nom d’inspiration italienne et un nom traditionnel maltais) est importante, mais elles peuvent aussi être vues comme des quartiers de la ville. Là encore, vous découvrirez des ruelles étroites, des restaurants pittoresques, des bâtiments historiques et des quais animés où vous pourrez observer les yachts de luxe ou simplement profiter du soleil. Si vous disposez de plus de temps, explorez davantage l’île de Malte ou prenez le ferry pour Gozo ou Comino, les deux autres îles du pays.
Vue aérienne de La Vallette avec en arrière-plan les « three cities ». Visit Malta
Ryanair propose des vols directs depuis Charleroi vers l’aéroport international de Malte, situé à Luqa. De là, vous pouvez rejoindre la fontaine de Triton et l’entrée de La Vallette en une demi-heure en transport en commun. Préparez votre voyage et découvrez d’autres incontournables sur www.visitmalta.com.
Queen Victoria kijkt van aan de nationale bibliotheek uit over één van de vele terrassen van Valletta. Arnaud Henckaerts
À bord de son avion monoplan spécialement conçu, le Spirit of St. Louis, Lindbergh s’élance dans le ciel à 7h52 du matin.
Un pari audacieux
À cette époque, traverser l’Atlantique en avion est un défi de taille. Plusieurs tentatives ont échoué, et les risques étaient immenses. Lindbergh, surnommé “Lucky Lindy”, décide de relever ce défi en solitaire, sans radio et avec une visibilité limitée !
Le Spirit of St. Louis
Le Spirit of St. Louis est un monoplan monomoteur à aile haute, conçu spécifiquement pour cette traversée historique. Construit par la Ryan Airlines Company à San Diego, il est équipé d’un moteur Wright Whirlwind J-5C de 223 chevaux. L’avion mesure 8,41 mètres de longueur avec une envergure de 14 mètres. Pour maximiser l’autonomie, il dispose de réservoirs pouvant contenir jusqu’à 1 700 litres de carburant, lui permettant de parcourir environ 6 600 kilomètres sans escale. Afin de réduire le poids, Lindbergh a choisi de ne pas installer de pare-brise frontal, utilisant à la place un périscope pour la visibilité avant.
Une traversée périlleuse
Pendant plus de 33 heures, Lindbergh affronte des conditions météorologiques difficiles, la fatigue et la solitude. Il survole l’océan Atlantique, guidé par ses instruments et son instinct. Le 21 mai, à 22h22, il atterrit enfin à l’aéroport du Bourget, près de Paris, accueilli par une foule en liesse. Cet exploit fait de lui un héros mondial et marque une étape majeure dans l’histoire de l’aviation. Le vol de Lindbergh a ouvert la voie à l’aviation commerciale transatlantique !
Le nouveau téléphérique reliant Stechelberg à Mürren est désormais le plus raide du monde. Grâce à un système innovant, ses deux cabines (d’une capacité de 85 passagers chacune), suspendues à un bras de 11 mètres, s’adaptent à une pente vertigineuse.
Cette réalisation fait partie du projet ambitieux “Schilthornbahn 20XX”, destiné à moderniser les infrastructures jusqu’au sommet du Schilthorn (2 970 m). À terme, l’ascension totale sera réduite à 18 minutes, facilitant l’accès au célèbre restaurant tournant Piz Gloria, un incontournable pour les fans de James Bond.
Une modernisation nécessaire
L’ancien téléphérique, en service depuis les années 1960, nécessitait une rénovation majeure. Désormais, la Suisse détrône la Norvège et son Loen Skylift (133 % de pente) grâce à cette nouvelle prouesse. Le projet complet sera finalisé d’ici 2026, promettant des infrastructures ultra-modernes.
Après une navigation de nuit, notre bateau Viva Cruise s’est arrêté à Rüdesheim, petite ville entourée de vignes. Pour ce premier jour à terre, nous avons réservé une excursion (c’est le seul service payant : 23 € dans ce cas-ci). Après un costaud petit-déjeuner avec buffet bien garni, nous avons donc rendez-vous à 9h avec notre guide Andreas.
Grimpette dans les vignes du Rheingau
Un funiculaire mène au sommet de Rüdesheim en 15 minutes, mais Andreas préfère nous faire découvrir sa ville à la force des mollets. Il grimpe à travers les vignes escarpées sans perdre son souffle ni ses mots. On apprend sans étonnement que cette région viticole (Rheingau) se concentre sur le vin blanc, majoritairement du Riesling, mais il y a aussi une minorité de vin rouge (Pinot Noir).
Olivier Maloteaux
Sur les traces de Sainte-Hildegarde
Après une heure de grimpette, on atteint l’abbaye bénédictine d’Eibingen, fondée en 1165 par l’abbesse Hildegarde de Bingen. Le bâtiment actuel, de style néo-roman, date de 1904. Les sœurs sont toujours présentes aujourd’hui et l’abbaye vit de son vignoble réputé. On y a goûté un blanc pétillant très agréable au palais et une liqueur aux herbes dont la recette est inchangée depuis 1000 ans. De quoi nous faire dévaler la colline nettement plus vite qu’on y est monté…
abtei-st-hildegard.de
La vieille ville et sa Drosselgasse
Pour la descente, nous empruntons la célèbre Drosselgasse, rue étroite et piétonne qui sillonne la vielle ville et se garnit de bar à vins et de magasins de souvenirs. Nous aurions aussi pu nous rendre au pied du colossal Niederwalddenkmal (monument commémorant l’unification de l’Allemagne, en 1871), mais notre balade a duré 2h30 et il est temps de rentrer au bateau pour ne pas louper son départ (ni le dîner…), donné sur le temps de midi. Nous avons donc profité d’un repas au fil de l’eau, quittant le Main pour plonger dans les flots du Rhin. Comme digestif, nous aurons droit à une somptueuse vue sur la vallée de la Loreley, que l’on vous présente dans le prochain épisode…
1. Madrid est littéralement au centre de l’Espagne
La Puerta del Sol abrite une plaque marquant le kilomètre zéro, le point de départ de toutes les routes radiales d’Espagne. Une photo s’impose ! 📸
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2. Le plus ancien restaurant du monde
Le Sobrino de Botín, ouvert en 1725, est reconnu par le Guinness World Records comme le plus ancien restaurant du monde. Ses plats traditionnels, comme le cochon de lait rôti, sont toujours au menu !
3. Une station de métro fantôme
Saviez-vous qu’il existe une station de métro abandonnée en plein cœur de Madrid ? La station Chamberí, fermée depuis 1966, est aujourd’hui un musée. On y retrouve les publicités et les décors d’époque : un vrai voyage dans le passé ! 🚇
4. Madrid et ses ours mystérieux 🐻
Le symbole de la ville est un ours s’appuyant contre un arbousier. Ce symbole, visible sur le blason et à la Puerta del Sol, rappelle l’abondance de ces arbres à l’époque médiévale.
5. La maison des trésors artistiques
Le musée du Prado abrite certaines des plus célèbres œuvres d’art du monde, notamment des tableaux de Velázquez et Goya. Une visite incontournable pour les passionnés de culture ! 🎨
L’iceberg A23a, avec une surface de 3 800 km² (près de la moitié de la Corse), est à nouveau en mouvement. Détaché de l’Antarctique en 1986, ce monstre de glace était resté bloqué pendant plus de 30 ans dans la mer de Weddell. En 2024, il s’est retrouvé piégé dans un vortex marin, une « colonne de Taylor », près des îles Orcades du Sud.
Selon le British Antarctic Survey (BAS), le 13 décembre dernier, A23a a enfin quitté ce piège et se dirige désormais vers le nord.
Quel destin pour A23a ?
En route vers l’océan Atlantique, A23a finira par se fragmenter en morceaux plus petits avant de fondre sous l’effet des eaux plus chaudes. Même si sa fonte ne contribuera pas directement à la hausse du niveau des mers, le changement climatique bouleverse sérieusement l’Antarctique. En 2023, des niveaux « historiquement bas » de glace de mer ont été enregistrés, rappelle El Mundo.
Un impact bénéfique pour l’écosystème marin
Malgré sa disparition imminente, A23a joue un rôle important. Il laisse derrière lui des nutriments précieux qui stimulent la vie marine. Comme l’explique la scientifique Laura Taylor, rapportée dans Geo.fr : « Ces icebergs peuvent créer des écosystèmes florissants dans des zones autrement moins productives. »
Viva Cruise est une jeune compagnie (fondée en 2018), spécialisée dans les croisières fluviales. Parmi l’offre de produits, on trouve un large choix de croisières durant les fêtes de fin d’année. Nous avons opté pour un programme de 4 nuits au fil de 3 cours d’eau allemands : le Main, le Rhin et la Moselle, à la découverte des villes et marchés de Noël de Rüdesheim, Coblence, Cochem, Mayence, Wiesbaden et Francfort.
De Francfort à Rüdesheim
Le départ se donne à Francfort (arrivée sur place à vos propres frais). Le bateau mouille à seulement 15 minutes à pieds de la gare. Pratique ! Notre embarcation (le Viva Tiara) est un navire à taille humaine, comptant 76 cabines, soit 152 passagers maximum. L’embarquement débute à 15h et un sapin de Noël nous accueille au centre du lobby. Après avoir récupéré la carte magnétique pour la chambre et un code Wifi, direction le bar pour un en-cas et un briefing sur le voyage de plus de 300 km qui nous attend.
VivaCruise
Cabines cosy
Avant l’apéro, on vide nos valises dans les placards. Vous avez le choix entre une cabine double (15 m²) ou une suite (19 m²). Les cabines du niveau inférieur n’ont que de petites fenêtres, mais celles des deux ponts supérieurs offrent un balcon à la française (baie vitrée coulissante). En hiver, on ouvre rarement la fenêtre, mais la vue sur l’eau et le rivage est agréable.
VivaCruise
Les cabines sont modernes et bien agencées, avec TV à écran plat, lit confortable, petit bureau, machine à café et minibar réassorti chaque jour sans supplément. La salle de bains convient à tous les gabarits et est garnie de produits de soin de marque.
Croisière all-inclusive
À part les excursions, tout est compris dans le prix : des repas aux boissons (y compris alcoolisées) disponibles en continu au bar, en passant par la piscine (extérieure), le spa ou l’emprunt d’un vélo pour une balade. À 18h, les moteurs prennent vie. On laisse derrière nous les buildings de Francfort pour glisser le long du Main, direction Rüdesheim, que l’on atteint vers minuit sans même sans rendre compte, endormis au fond de notre lit. On vous détaille cette première escale dans le prochain épisode…
En 2025, la capitale vous invite à remonter le temps pour célébrer l’Art Déco, cent ans après son apparition officielle lors de l’Exposition de Paris en 1925. De nombreux monuments iconiques de Bruxelles comme le Palais Stoclet, la Villa Empain ou encore le Palais des Beaux-Arts ouvriront leurs portes pour vous plonger dans l’esthétique des années folles.
Jen-Paul Rémy
Tout au long de l’année, Bruxelles vibrera au rythme de conférences, d’expositions et d’animations qui rendront hommage à ce mouvement emblématique. Ces événements viseront également à rappeler les bouleversements sociaux des années 20-30, une période marquée par des transformations majeures de la société. Orchestrée par visit.brussels et urban, cette année sera coordonnée par Paul Dujardin.
La pyramide de Gizeh fait partie d’un complexe de pyramides sur le plateau de Gizeh, aux côtés des pyramides de Khéphren et de Mykérinos. Reconnue comme la plus grande des Sept Merveilles du monde antique, la Grande Pyramide est une sacrée démonstration de la puissance de l’Ancien Empire égyptien !
La vision de Khéops
Le pharaon Khéops souhaitait ériger une structure qui symboliserait sa puissance divine et assurerait sa transition vers l’éternité. La Grande Pyramide, conçue par l’architecte Hémiounou, était bien plus qu’un tombeau ; elle représentait l’ascension spirituelle et la stabilité du royaume. Le monument a été construit avec plus de 2,3 millions de blocs de calcaire, dont certains pèsent plusieurs tonnes !
Une prouesse technique et logistique
La Grande Pyramide de Gizeh est une véritable prouesse d’ingénierie. Elle mesure environ 146 mètres de hauteur à l’origine, bien que l’érosion et la perte de son revêtement aient réduit sa taille à 138 mètres aujourd’hui. Les quatre côtés de la pyramide sont alignés presque parfaitement avec les points cardinaux. La logistique nécessaire pour transporter et ériger ces blocs de pierre est toujours un sujet de débat parmi les historiens, certains suggérant l’utilisation de rampes gigantesques.
Mystères et exploration
À l’intérieur de la Grande Pyramide, se trouvent plusieurs chambres, y compris la Chambre du Roi et la Chambre de la Reine, qui étaient destinées à abriter le corps du pharaon et à lui fournir un lieu propice pour son voyage vers l’au-delà. Les passages secrets et couloirs complexes ajoutent aux mystères entourant la pyramide. Des fouilles et des explorations modernes ont révélé des détails fascinants sur les techniques de construction, mais de nombreuses questions restent en suspens !
Un symbole intemporel
Inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, elle est le témoignage de la grandeur de l’Égypte antique et du désir des pharaons de laisser une trace indélébile dans l’histoire.
