Quand on pense aux Alpes, on imagine le Mont Blanc, des pistes enneigées et des fondues. Mais saviez-vous que le terme “Alpes” est utilisé dans des endroits aussi improbables que le Japon, la Nouvelle-Zélande ou encore l’Australie ? Oui, les “Alpes” ont été exportées, parfois par la géographie, parfois par une simple analogie poétique.
Les Alpes japonaises : un air de Mont Fuji
Au Japon, les Alpes japonaises traversent Honshu, l’île principale. Elles culminent à plus de 3 000 mètres et attirent skieurs et randonneurs. La région est aussi célèbre pour ses sources thermales, parfaites après une journée dans la neige. Bonus : elles offrent une vue imprenable sur les macaques… qui se baignent avec vous !
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Alpes néo-zélandaises : Mordor ou Mont Blanc ?
Bienvenue dans les Southern Alps, qui traversent l’île du Sud en Nouvelle-Zélande. Ici, les sommets enneigés se mêlent à des fjords dignes de cartes postales. Vous pourriez presque y entendre des échos de “Le Seigneur des Anneaux”. Comparées aux Alpes européennes, elles sont plus sauvages, mais tout aussi impressionnantes.
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Et les Alpes australiennes ? Oui, oui, elles existent.
Les Alpes australiennes ne rivalisent pas en hauteur (le Mont Kosciuszko, point culminant, atteint 2 228 mètres), mais elles compensent par leur charme unique. Ski alpin et kangourous : un duo improbable !
Les îles Cíes font partie d’un parc naturel protégé. Ici, pas de tourisme de masse : seuls 1.800 visiteurs par jour sont autorisés pour préserver ce trésor écologique. L’eau cristalline et la faune variée, comme les nombreux oiseaux marins, font de cet endroit un véritable havre de paix pour les amoureux de la nature.
Des plages de carte postale
La plage de Rodas, régulièrement classée parmi les plus belles au monde, est un incontournable. Avec son sable blanc et ses eaux turquoise, elle rivalise avec les destinations tropicales !
Les randonneurs adoreront explorer les sentiers balisés qui serpentent à travers les collines et offrent des vues spectaculaires sur l’océan Atlantique. Ne manquez pas le phare des îles Cíes, un spot idéal pour admirer un coucher de soleil inoubliable !
Accessible uniquement en bateau depuis Vigo, Baiona ou Cangas, la visite des îles Cíes nécessite une réservation, au minimum 30 jours à l’avance ! Pensez à emporter votre pique-nique : aucun commerce n’est autorisé sur l’île !
La Drôme est un terrain d’aventure à ciel ouvert ! L’hiver, le Vercors drômois se transforme en paradis pour les amateurs de glisse : ski alpin, ski nordique, raquettes, il y en a pour tous les niveaux. À la belle saison, place aux randonnées, balades à vélo et VTT, du Vercors aux paysages provençaux. Les plus téméraires s’offriront une dose d’adrénaline avec du parapente, du canyoning ou de l’escalade.
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Au pays des saveurs
Les gourmets seront comblés par la richesse du terroir drômois. Entre les marchés provençaux et les tables gourmandes, laissez-vous tenter par des spécialités comme la truffe noire, le nougat de Montélimar, la caillette de Chabeuil ou encore les olives de Nyons. Côté vins, les Côtes-du-Rhône, la Clairette de Die et autres crus d’exception accompagneront vos découvertes culinaires. Promis, vous nous en direz des nouvelles !
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Des hébergements pour tous les goûts
Avec plus de 800 gîtes répartis sur tout le territoire, Gîtes de France Drôme propose des séjours adaptés à toutes les envies : gîtes insolites, séjours bien-être, escapades œnologiques, nuits à la ferme, ou encore hébergements haut de gamme. Le tout dans une démarche écoresponsable pour des vacances respectueuses de la nature…
Chambres d’hôtes Domaine de Chabanne à Crupies Drôme LaDromeTourismeGîtes Le Moulin du Val des Nymphes à La Garde Adhémar Drôme LaDromeTourismeGîtes Le mas des souvenirs à Montoison Drôme LaDromeTourisme
La Drôme, c’est aussi un voyage à travers le temps : des châteaux de Grignan et Suze-la-Rousse aux villages perchés, en passant par l’incontournable Palais Idéal du Facteur Cheval et la Tour de Crest. L’artisanat local est lui aussi à l’honneur, avec des potiers, sculpteurs et peintres qui perpétuent des savoir-faire ancestraux.
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Nous, on est conquis. Et vous ? Tentez l’expérience et vous ne serez certainement pas déçus !
Que vous soyez amateur de plages ou curieux de nature, ce tram vous permet de découvrir une multitude de paysages : dunes, stations balnéaires et réserves naturelles. Avec ses 67 arrêts qui relient La Panne à Knokke, le tram du littoral est aussi un excellent moyen de visiter des sites culturels comme Ostende ou le musée Paul Delvaux.
Avec plus de 11 millions de passagers annuels, ce tram est un véritable pilier du transport public ! Il fonctionne été comme hiver et circule toutes les 10, 15 ou 20 minutes. Une manière intelligente de redécouvrir notre côte ! D’autant que s’y garer n’est pas une mince affaire en période de haute saison…
La Région wallonne lance un appel à candidatures pour les prochaines Journées européennes du Patrimoine, qui auront lieu les 13 et 14 septembre 2025. Cette année, le thème donne l’eau à la bouche : le patrimoine gourmand !
Ce rendez-vous annuel mettra en lumière monuments et lieux liés à la gastronomie, mais pas que ! La Wallonie propose aussi d’organiser des animations culinaires dans des sites patrimoniaux. Une belle manière de marier l’histoire aux plaisirs de la table. La Région souhaite ainsi créer des synergies entre tourisme et producteurs locaux.
Patrimoine gourmand : un thème à croquer
Sous ce thème alléchant, les pistes sont nombreuses. « Que l’on songe aux moulins, exploitations agricoles, anciennes auberges ou encore aux manufactures de vaisselle raffinée », explique la Région dans un communiqué, les opportunités sont riches et variées. Salles d’apparat, confréries culinaires, ou centres d’interprétation liés à l’histoire gastronomique locale : chaque lieu trouve sa place dans cette édition.
Comment participer ?
Les organisateurs intéressés – collectivités, associations ou privés – ont jusqu’au 22 mars 2025 pour déposer leur dossier auprès de l’Agence wallonne du Patrimoine. Les lieux retenus figureront au programme du week-end des 13 et 14 septembre.
Nous vous en parlions récemment, avec son nouveau plan logement, Pedro Sánchez entend freiner la flambée immobilière en Espagne. Parmi les mesures annoncées, une en particulier fait réagir : taxer jusqu’à 100 % la valeur des biens achetés par des étrangers non-européens. Une mesure qui vise les Britanniques, Américains ou encore Chinois, mais qui pourrait aussi profiter aux Belges en réduisant la concurrence pour acheter un bien au soleil.
En 2023, les étrangers ont représenté 15 % des acquisitions immobilières en Espagne, avec un tiers des achats concentrés aux Baléares, sur la Costa Blanca et la Costa del Sol.
Une réforme qui divise
Si elle est votée par le Congrès, cette réforme pourrait limiter les acquisitions tout en créant un effet contraire : un rush sur les achats avant son entrée en vigueur. Résultat ? Une possible hausse des prix, notamment dans les zones touristiques.
« Cette réforme pourrait avantager les Belges à long terme, mais dans l’immédiat, elle risque d’agiter le marché », commente Jonathan Buchet, CEO de ZAPINVEST.
Aides et opportunités
Pour équilibrer, le plan inclut des aides : exonération fiscale pour les propriétaires louant à prix abordables, soutien à la rénovation des biens vacants et garantie publique des loyers.
Que faire ?
Si vous rêvez d’un pied-à-terre en Espagne, surveillez de près ces changements. Avec moins de concurrence ou des prix en hausse, il pourrait être judicieux d’accélérer vos projets avant que ce plan ne transforme définitivement le marché.
Le Toubana Hôtel & Spa : élégance et vue à couper le souffle
Si vous cherchez le summum du luxe en Guadeloupe, posez vos valises au Toubana Hôtel & Spa, le seul hôtel 5 étoiles de Grande-Terre. Niché sur une colline, il offre une vue imprenable sur les eaux turquoise.
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Ici, chaque détail respire l’exclusivité : suites et villas élégantes, certaines avec piscine privée, plage privée et spa dédié à la détente. Après une escapade à la Pointe des Châteaux ou à Saint-François, laissez-vous séduire par un dîner gastronomique avec l’océan en toile de fond. Un cadre idyllique pour une parenthèse hors du temps !
Le Jardin Malanga : une immersion en pleine nature
Pour une expérience plus intimiste, cap sur Le Jardin Malanga, un havre de paix niché au cœur d’un jardin tropical à Trois-Rivières. Avec ses cottages en bois et sa vue panoramique sur Les Saintes, cet hôtel offre une parenthèse authentique et raffinée.
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Et tant qu’à faire, partez à l’aventure en gravissant la Soufrière, explorez les fonds marins de Malendure à la rencontre des tortues ou embarquez pour une excursion vers Les Saintes ! Le Jardin Malanga est l’adresse idéale pour une immersion en pleine nature, loin de l’agitation. Nous, on adore !
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Un archipel aux mille trésors
En séjournant dans ces hôtels d’exception, vous serez aux premières loges pour explorer la diversité de la Guadeloupe : les paysages sauvages de la Pointe de la Grande Vigie, les eaux cristallines de Marie-Galante, ou encore les falaises spectaculaires de la Pointe des Châteaux.
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Que vous soyez amateur de plages paradisiaques, de randonnées tropicales, ou de villages pittoresques comme Pointe-à-Pitre, la Guadeloupe a tout pour séduire !
On ne va pas se mentir, le retour au travail de mon amoureux ne s’est pas fait de gaieté de cœur ! Entre les piles de dossiers, les clients mécontents et les collègues stressés, il n’y avait qu’un remède : une échappée en Wallonie, au vert et au calme ! Enfin, pas trop quand même : c’est que je le connais, mon petit canard en sucre ! Le choix s’est rapidement arrêté sur Namur, une capitale, certes, mais à taille humaine et entourée d’une magnifique nature. Chose insolite : je n’ai pas pu choisir le programme. S’il adhérait à mon idée, mon chéri a insisté pour tout organiser, histoire de « se vider la tête », m’a-t-il dit… Allez comprendre les hommes !
Avec mon amoureux (qui a un faible pour les châteaux), nous avons donc laissé les enfants chez mamie pour partir à la conquête de cette sublime ville…
Flâner dans les rues…
Avant de poser nos valises au château, nous avons flâné dans la vieille ville de Namur. Si vous aimez les ruelles pavées, les petites boutiques et les cafés charmants, c’est un passage obligé. La vue sur la Citadelle m’émerveille toujours autant. Je me sens comme protégée par ce bijou médiéval qui semble veiller avec bienveillance sur les habitants de la ville. Lassé par mes arrêts incessants dans les boutiques de la ville, amour a décidé d’écourter mes séances d’échauffement de la carte de crédit pour m’emmener vers « sa surprise »…
Et pour une surprise, ce fut une surprise ! C’est qu’il m’emmenait directement au château, le grand prince ! Et pas n’importe lequel : le château de Namur, un hôtel 4 étoiles qui porte magnifiquement son nom et se dresse au sommet d’une colline boisée. Avec son architecture majestueuse et ses jardins soignés, on se croirait dans un conte de fées. Faut l’avouer, ce rôle de princesse me va à merveille !
La chambre
Notre chambre était d’un confort absolu : un lit ultra confortable qui nous a donné envie de ne jamais en sortir, une salle de bain élégante et des petites attentions qui font toute la différence. Tout cela pour moins de 150 euros, un tarif plus que raisonnable vu le cadre et les prestations.
Le restaurant et sa cuisine aux petits oignons !
Le vrai clou du spectacle ? Contrairement à nos petites habitudes, nous ne sommes pas partis en ville pour souper, mais avons tout simplement descendu les escaliers ! Le restaurant du Château met les étudiants de l’École Hôtelière de la Province de Namur à l’exercice. Encadrés par des professionnels, ils s’entraînent à concocter et servir des plats dignes des plus grands chefs. Et croyez-moi, on était bluffés !
Pour 48 euros par personne, nous avons savouré un menu 3 services à vous faire tomber les papilles ! En entrée, des noix de Saint-Jacques, suivies d’un coucou de Malines, une volaille délicieusement tendre et juteuse ; et pour finir, un tiramisu léger comme un nuage. Et je vous l’avoue, moi aussi j’avais l’impression d’être sur un nuage ! La carte change régulièrement, mais une chose est certaine : peu importe ce qui est inscrit, vous allez vous régaler !
Un départ en douceur…
Le lendemain matin, après un petit-déjeuner royal, direction le parc de la Citadelle. On peut y marcher tranquillement et admirer une vue sensationnelle sur la ville ! Avant de repartir, nous n’avons pu nous empêcher de flâner à nouveau près de la Meuse, histoire de refaire le plein d’énergie !
Perché sur le mont Corcovado à Rio, le Christ semble embrasser le monde. Ce symbole de paix mesure 30 mètres, sans compter sa base ! Si vous n’avez pas encore vu ce chef-d’œuvre en vrai, c’est un rendez-vous incontournable.
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2. La Statue de la Liberté (États-Unis)
Offerte par la France aux Américains, cette statue de cuivre de 93 mètres (socle compris) est bien plus qu’un monument : elle est le symbole de la liberté. Avouez, même dans vos cours d’histoire, elle vous fascinait.
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3. Le Grand Bouddha de Leshan (Chine)
Sculpté directement dans une falaise il y a plus de 1.200 ans, ce bouddha géant (71 mètres) domine le paysage. Les visiteurs disent souvent ressentir une étrange sérénité en le regardant. Magie ? Peut-être.
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4. Le Manneken Pis (Belgique)
Petit, mais mondialement connu. Et puis, il fallait bien une statue belge ! Ce gamin bruxellois de bronze est l’incarnation de l’humour belge. Avec ses déguisements réguliers, il prouve que la taille n’a rien à voir avec l’impact. Et il est toujours prêt à faire rire les touristes.
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5. La Mère-Patrie (Russie)
Avec son épée levée, cette statue massive de 85 mètres à Volgograd représente le courage soviétique. Une œuvre imposante et un brin intimidante.
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Critique ? Les statues sont impressionnantes, mais qu’en est-il de l’entretien ? Certaines semblent en quête désespérée d’un coup de chiffon…
Le Louvre n’en peut plus : conçu pour 4 millions de visiteurs par an, il en reçoit aujourd’hui plus du double. Résultat ? Files d’attente interminables, circulation chaotique, et surtout une Pyramide dépassée. Face à ce constat, Emmanuel Macron a annoncé un projet titanesque baptisé “Nouvelle Renaissance du Louvre”, avec à la clé une nouvelle entrée et un déménagement de La Joconde.
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Une deuxième entrée et un nouvel espace pour La Joconde
L’idée phare ? Créer une nouvelle entrée sous la colonnade de Perrault, avec un concours d’architecture à la clé et une inauguration prévue d’ici 2031. Cette extension sous la Cour Carrée permettra aussi la création de nouvelles salles d’exposition.
Mais la véritable révolution concerne La Joconde. La star du Louvre, actuellement perchée dans une salle souvent bondée, aura droit à son propre espace, accessible indépendamment du reste du musée. Un moyen de fluidifier la circulation et d’offrir à Mona Lisa un cadre digne de sa célébrité planétaire !
Un budget colossal (mais pas trop pour l’État)
L’enveloppe globale de ce plan avoisine les 700 à 800 millions d’euros, dont 400 millions exclusivement pour le déménagement de La Joconde. Bonne nouvelle pour les finances publiques : l’État ne mettra la main à la poche que pour une part très minoritaire, le reste étant financé par les ressources propres du musée.
En plus de ces transformations visibles, le Louvre en profitera pour une mise à niveau en termes de sécurité, normes environnementales et confort, le tout pour 300 à 400 millions d’euros supplémentaires.
2031 : une nouvelle ère pour le Louvre
Il faudra donc patienter jusqu’en 2031 pour voir le Louvre revu et corrigé. D’ici là, les visiteurs continueront de se presser sous la Pyramide… et devant La Joconde, qui attend son déménagement avec son sourire énigmatique. 😏