cms

Category: Guides

  • Expérience vécue : un séjour improbable dans un « bateau-hôtel » à Düsseldorf !

    Expérience vécue : un séjour improbable dans un « bateau-hôtel » à Düsseldorf !

    viva riverside
    viva riverside

    C’est par un des ponts qui enjambent le Rhin que Düsseldorf m’est apparue : la Rheinturm au loin, la Rheinuferpromenade, le clocher de la Basilique Sint Lambertus, la Burgplatz avec sa jolie Schlossturm et la Grande Roue de Noël juste à côté. Et là, ancré juste après le pont Oberkasseler, le navire-hôtel VIVA RIVERSIDE dans lequel nous allions passer la nuit.

    viva riverside
    viva riverside

    Celui-ci était fort bien situé : ancré à 300 mètres de l’hôtel de ville, le navire-hôtel est le point de départ idéal pour découvrir Düsseldorf. Un parking (payant) est à moins d’un kilomètre seulement : pratique ! C’était une première pour nous : nous n’avions jamais dormi sur un bateau et cela nous a beaucoup plu. « La Croisière s’amuse », on en avait rêvé !

    viva riverside
    viva riverside

    Il faut dire : VIVA RIVERSIDE met les petits plats dans les grands pour que tout soit parfait. C’est un navire-hôtel luxueux : tout brille, tout est chic, tout est somptueux. Notre cabine était joliment agencée et la literie excellente. Nous avons choisi de souper au restaurant du navire : déguster un bon petit plat, dans un fauteuil en velours, en regardant les péniches portées par le Rhin, c’est original et charmant. Une expérience qui nous a enchantés !

    Quant à Düsseldorf, je m’y suis tout de suite sentie bien !

    Les incontournables à découvrir sont proches les uns des autres : on a tout fait à pied, au départ de notre navire-hôtel. Pour découvrir la ville, rien de tel que d’emprunter la promenade sur les rives du Rhin : elle longe la Burgplatz de la vieille ville (Altstadt) et vous emmène jusqu’à la Rheinturm. Cette tour de télévision, qui s’élève à 240 mètres de hauteur, restera dans ma mémoire : j’ai adoré son immensité, sa silhouette élancée et les lumières qui l’habillent la nuit.

    Düsseldorf
    Florence Brigode

    Un peu plus loin, c’est la quartier MedienHafen qui s’offre à vous. Les couleurs de l’automne magnifient cet ancien quartier portuaire, devenu quartier des médias et des télécoms. C’est l’endroit que j’ai préféré : des immeubles futuristes, des gratte-ciels, des arbres aux tons fauves, des bateaux amarrés et le large pont en bois (la Kaistrasse) qui vous fait prendre de la hauteur. Magique !

    Düsseldorf
    Florence Brigode

    Au départ de la vieille ville, nous sommes remontés vers la Königsallee : cette Avenue du Roi est un lieu incroyable pour les amoureux du shopping de luxe. Les boutiques se succèdent, dans cette allée ombragée traversée par une rivière enjambée de ponts. Et puis, juste à côté, le Hofgarten, que je vous recommande grandement d’emprunter. Il est à lui seule un poème d’automne.

    Joie suprême : le marché de Noël est partout à cette période. Il s’étire comme un ruban dans de nombreux quartiers. A nous les échoppes d’artisans et les cabanons gourmands. On n’a pas résisté aux currywurst, ces fameuses saucisses agrémentées de ketchup au curry. Ni au vin chaud d’ailleurs. Le must.

    dusseldorf
    Florence Brigode

    Düsseldorf, j’en reviens vraiment ravie : cette ville d’eau m’a séduite. Entre verdure et buildings, entre modernité et tradition, la ville offre bien des possibilités de dépaysement. Mon seul regret : n’avoir pas eu le temps de tout. On reviendra !

    Si vous voulez vivre cette expérience folle, rendez-vous ici !

  • Un jour, un endroit : Le 24 mars 1603, l’union des couronnes d’Angleterre et d’Écosse

    Un jour, un endroit : Le 24 mars 1603, l’union des couronnes d’Angleterre et d’Écosse

    scotland
    Jorg Angeli

    Ce jour-là, deux royaumes longtemps séparés, parfois ennemis, commencèrent une nouvelle ère sous une seule couronne, établissant les bases de ce qui allait devenir le Royaume-Uni. Cette union dynastique allait transformer la géopolitique des îles Britanniques et ouvrir la voie à une nouvelle époque de collaboration, mais aussi de… tensions !

    Jacques VI et Ier : Un roi pour deux royaumes

    À la mort de la reine Élisabeth Ire d’Angleterre, qui n’avait pas d’héritier direct, c’est Jacques VI d’Écosse, son cousin, qui monta sur le trône d’Angleterre. Cette union personnelle des deux couronnes signifiait qu’un seul monarque gouvernait désormais deux royaumes distincts, chacun conservant ses propres lois, son Parlement, et ses institutions. Le règne de Jacques VI/I marquait une tentative de rapprochement entre les deux nations, même si la pleine unification politique ne fut réalisée que plus tard, avec l’Acte d’Union de 1707.

    Scotland
    Bjorn Snelders

    Une nouvelle ère de collaboration et de tension

    Bien que les couronnes aient été unies, l’union des peuples ne fut pas immédiate. L’idée d’une seule nation unifiée n’était pas partagée par tous, et les résistances, tant en Angleterre qu’en Écosse, étaient nombreuses. Jacques Ier rêvait d’une “Grande-Bretagne” unifiée, mais il se heurta aux réalités des différences culturelles et politiques profondément ancrées. Le roi dut naviguer entre ces deux identités, essayant d’apaiser les tensions tout en posant les bases d’une future unification.

    Héritage et impact

    L’union des couronnes en 1603 ouvrit la voie à des changements profonds dans la vie politique et sociale des îles Britanniques. Cette période vit l’émergence d’une identité commune, bien que partielle, et l’intensification des échanges entre les deux nations. Les efforts de Jacques Ier pour créer une réelle unité étaient parfois freinés par les rivalités historiques et les conflits religieux, mais son règne permit de jeter les fondations de ce qui deviendra, plus tard, une union politique formelle.

  • Un jour, un endroit : la construction d’Angkor Wat au XIIe siècle

    Un jour, un endroit : la construction d’Angkor Wat au XIIe siècle

    angkor-wat
    angkor-wat

    Commandé par le roi Suryavarman II, le temple fut érigé non seulement comme un lieu de culte dédié au dieu Vishnu, mais également comme une démonstration de la puissance et de la grandeur du royaume. Aujourd’hui, Angkor Wat est l’une des merveilles les plus célèbres au monde, attirant des millions de visiteurs chaque année !

    Une vision divine et politique

    Le roi Suryavarman II rêvait de construire un temple à la hauteur de ses ambitions, une structure qui refléterait à la fois sa piété et son pouvoir. Angkor Wat était conçu comme un microcosme de l’univers hindou, avec ses cinq tours symbolisant le Mont Meru, la montagne sacrée considérée comme le centre de l’univers dans la mythologie hindoue. Sa construction, qui s’étendit sur plusieurs décennies, mobilisa des milliers d’artisans et de travailleurs, mettant en lumière les techniques de construction avancées et la maîtrise de l’art de la sculpture par les Khmers.

    angkor-wat
    angkor-wat

    Un chef-d’œuvre d’ingénierie et d’art

    Angkor Wat est bien plus qu’un simple temple; c’est un véritable exploit d’ingénierie. Le site est entouré par un vaste fossé, et ses galeries ornées de bas-reliefs détaillés racontent des scènes épiques tirées des textes sacrés hindous comme le Ramayana et le Mahabharata. La symétrie parfaite et l’alignement astronomique de ses structures démontrent une connaissance approfondie de l’astronomie et une compétence architecturale inégalée à l’époque. Chaque pierre raconte une histoire, illustrant la puissance et l’esthétique raffinée de la civilisation khmère.

    angkor-wat
    angkor-wat

    Une transition vers le bouddhisme

    Bien que conçu initialement comme un temple hindou, Angkor Wat devint au fil des siècles un important lieu de culte bouddhiste. Cette transition reflète l’évolution religieuse de la région et l’adaptabilité de la culture khmère. L’empire khmer, au fil du temps, adopta progressivement le bouddhisme comme religion dominante, et Angkor Wat devint un lieu de prière et de pèlerinage pour les moines bouddhistes, tout en conservant les symboles hindous qui en font un site unique et sacré.

    Un héritage intemporel

    Aujourd’hui, Angkor Wat est un symbole de la fierté cambodgienne et figure sur le drapeau national du Cambodge. Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1992, il est devenu un site emblématique représentant non seulement l’histoire ancienne du pays !

  • Mont Roraima : le monde perdu qui flotte entre ciel et terre !

    Mont Roraima : le monde perdu qui flotte entre ciel et terre !

    Mont Roraima
    adobe

    Bordé de falaises abruptes de 400 mètres de haut, le Mont Roraima est souvent enveloppé de nuages, créant l’illusion d’un monde flottant dans le ciel. Le Roraima marque la jonction entre le Venezuela, le Brésil et la Guyane et sa silhouette unique fascine les explorateurs depuis des siècles !

    Une biodiversité unique

    Isolé du reste du monde pendant des millions d’années, le Mont Roraima abrite une faune et une flore uniques, dont certaines espèces ne se trouvent nulle part ailleurs sur Terre. On y trouve des plantes carnivores, des mousses rares et des formations rocheuses érodées qui semblent tout droit sorties d’un décor de science-fiction. Ce plateau est également la source de plusieurs fleuves majeurs, faisant de lui un véritable château d’eau naturel.

    Une inspiration pour la fiction

    Le Mont Roraima a captivé l’imaginaire collectif. Il aurait inspiré le roman Le Monde Perdu d’Arthur Conan Doyle, où des dinosaures et des créatures préhistoriques peuplaient un plateau isolé. Plus récemment, il a servi de modèle pour les paysages du film Là-Haut de Disney-Pixar, renforçant son image de lieu magique et inexploré.

    Une aventure réservée aux audacieux

    Atteindre le sommet du Mont Roraima est un défi réservé aux aventuriers chevronnés. Une randonnée jusqu’au plateau peut durer plusieurs jours et nécessite de traverser la jungle, des rivières et des pentes raides. Mais une fois au sommet, la vue panoramique, les paysages surréalistes et le silence mystique valent tous les efforts.

  • Hashima : l’île fantôme du Japon qui semble sortie d’un film post-apocalyptique !

    Hashima : l’île fantôme du Japon qui semble sortie d’un film post-apocalyptique !

    Hashima
    Jason Rost

    Située à 15 km au large de Nagasaki, l’île d’Hashima, surnommée Gunkanjima (« l’île cuirassée ») en raison de sa forme ressemblant à un navire de guerre, fut autrefois un centre névralgique de l’industrie japonaise. À partir de 1887, l’île devint un site d’extraction de charbon sous-marin et connut une explosion démographique. Dans les années 1950, Hashima comptait plus de 5.000 habitants sur seulement 6,3 hectares, en faisant l’une des zones les plus densément peuplées au monde.

    Une chute brutale

    Le déclin du charbon au profit du pétrole entraîna la fermeture de la mine en 1974. Les habitants quittèrent l’île en masse, laissant derrière eux un paysage urbain figé dans le temps. Aujourd’hui, Hashima est un labyrinthe de bâtiments en ruine, de blocs d’appartements effondrés et de structures envahies par la végétation.

    Hashima
    pixabay

    Une star du cinéma et un lieu de mémoire

    Hashima a captivé le grand public en devenant le décor du film Skyfall (2012), un James Bond où l’île servait de repaire au méchant. Mais au-delà de son attrait cinématographique, Hashima est aussi un lieu chargé d’une mémoire sombre. Durant la Seconde Guerre mondiale, l’île a abrité des travailleurs forcés coréens et chinois dans des conditions extrêmes.

    Hashima
    pixabay

    Un site à visiter… à distance

    Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, Hashima est aujourd’hui accessible uniquement par visite guidée en bateau. Les touristes peuvent admirer ce paysage post-apocalyptique depuis des zones sécurisées, car les ruines restent dangereuses.

  • Mon adresse coup de cœur pour une échappée belle hivernale en Famenne Ardenne

    Mon adresse coup de cœur pour une échappée belle hivernale en Famenne Ardenne

    quartier latin
    MTFA et Denis Closon

    Si la fraîcheur qui règne en hiver invite à rester bien au chaud chez soi, elle peut aussi nous encourager à sortir pour découvrir des paysages extraordinaires. En la matière, la Famenne Ardenne, qui est incontestablement une des plus belles régions du pays, est le lieu parfait pour profiter d’une mise au vert hivernale. Il ne m’a pas fallu plus de cinq minutes pour convaincre mon compagnon de réserver un week-end au Quartier Latin, l’adresse idéale pour rayonner dans cet écrin de nature magnifiquement préservé.

    Niché au cœur de la petite ville de Marche-en-Famenne dans la province de Luxembourg, l’hôtel-restaurant Quartier Latin est un complexe hôtelier quatre étoiles qui compte 70 chambres, occupant les murs d’une église jésuite classée du 18e siècle. Chargée d’histoire et reconvertie tout en élégance, j’apprécie particulièrement cette halte de charme qui parvient à conjuguer le cachet du passé avec tout le confort d’aujourd’hui. À chaque fois que j’ai eu la chance d’y séjourner, je constate que tout y a été pensé pour une parfaite harmonie entre gastronomie, bien-être et nature. Une adresse que j’affectionne et qui invite, sans chichi, à la détente, avec sous le même toit un restaurant gourmand, un spa moderne avec des soins relaxants (juste parfaits pour cette période !) et des chambres au confort exceptionnel.

    quartier latin
    quartier latin

    Une kyrielle d’activités hivernales

    Ce ne sont pas les activités qui manquent en Famenne Ardenne, en ce compris en hiver, que vous soyez ou non accompagné d’enfants. À commencer par la deuxième attraction la plus visitée de Wallonie : les Grottes de Han. Un voyage au cœur de la terre, à la découverte de joyaux naturels que vous n’êtes pas prêts d’oublier, doublé d’une expérience unique, vécue par plus de 23 millions de visiteurs ! Autre option : le centre de loisirs Multiwex, situé aux abords de la ville de Marche-en-Famenne. Cet espace futuriste vous accueille pour de nombreuses activités telles que du karting en réalité augmentée, du karaoké ou encore de la réalité virtuelle. Idéal pour une sortie à plusieurs !

    Les amateurs de bière apprécieront aussi la Brasserie Minne, une brasserie artisanale située à 8km du Quartier Latin. Après la visite, n’oubliez pas de tester la « Super Sanglier », une bière blonde conviviale, légère et rafraichissante.

    quartier latin
    quartier latin

    Enfin, les amateurs de balades et de patrimoine d’exception apprécieront sans aucun doute mes deux coups de cœur de la région : l’église romane Saint-Étienne de Waha, l’une des plus anciennes du pays, avec ses vitraux sublimes que l’on doit à l’artiste Jean-Michel Folon, et la petite vallée du Fond des Vaulx, située à moins d’un kilomètre de l’hôtel. Ce site naturel d’une quinzaine d’hectares offre un paysage qui contraste avec l’étendue de la plaine marchoise. Elle fait partie de cette frange de calcaire, appelée Calestienne, qui a été modelée durant des millions d’années par les eaux acides du massif ardennais. De nombreuses légendes se rattachent à ce site rempli de mystères…

    quartier latin
    quartier latin

    Si l’envie vous en dit, le Quartier Latin vous propose également de visiter la ville de Marche-en-Famenne et la région à vélos, de réserver une calèche ou même une voiture ancienne avec un roadbook ! Le tout à des prix très démocratiques ! Plus que tout autre établissement hôtelier de la région, le Quartier Latin jouit d’une localisation parfaite grâce à sa proximité avec les principaux axes routiers de la région.

    Pssst … en cette période de fêtes, ils proposent aussi une grande sélection de bons cadeaux à offrir ou à se faire offrir 

  • Islande : 5 faits insolites !

    Islande : 5 faits insolites !

    iceland
    rory-hennessey

    1. Les elfes ont leur mot à dire

    En Islande, les elfes (également appelés Huldufólk) ne sont pas que des créatures de contes. Une partie significative des Islandais croit à leur existence. Des projets de construction ont déjà été modifiés ou abandonnés pour ne pas perturber les habitats supposés de ces esprits invisibles.

    2. Pas de nom de famille, mais une tradition unique

    En Islande, on ne porte pas de nom de famille classique. Les enfants reçoivent un nom basé sur le prénom de leur père ou de leur mère, suivi de « son » ou « dóttir » (fils ou fille). Ainsi, un Garðarsson est le fils de Garðar, et une Björnsdóttir, la fille de Björn. Ce système reflète l’égalité et l’importance des lignées individuelles.

    iceland
    jonatan-pie

    3. Une langue figée dans le temps

    Le vieux norrois, ancêtre des langues scandinaves, est resté étonnamment intact en Islande. Aujourd’hui encore, les Islandais peuvent lire les sagas médiévales sans trop de difficultés. Cela s’explique par l’isolement géographique du pays et une politique stricte de préservation de la langue.

    iceland
    ferdinand-stohr

    4. Une absence surprenante de moustiques

    L’Islande est l’un des rares pays au monde sans moustiques. Grâce à des variations rapides de température et à un sol volcanique, ces nuisibles ne parviennent pas à survivre. Une bénédiction pour les visiteurs !µ

    iceland
    andrey-andreyev

    5. Les piscines géothermiques : une institution sociale

    En Islande, se baigner dans une piscine géothermique fait partie de la vie quotidienne. Ces lieux sont bien plus que des endroits pour se détendre : ce sont des espaces sociaux où les locaux discutent des nouvelles ou des affaires. Essayez le fameux Blue Lagoon, mais sachez que chaque village a sa propre piscine.

  • Les 5 visites incontournables à faire à Lisbonne

    Les 5 visites incontournables à faire à Lisbonne

    lisbonne
    andreas-brucker

    La Tour de Belém : un symbole historique

    Impossible de visiter Lisbonne sans faire un détour par la célèbre Tour de Belém. Construite au XVIe siècle, cette tour en pierre blanche surplombant le Tage est un symbole de l’ère des grandes découvertes maritimes du pays.

    Inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, elle offre un panorama exceptionnel sur le fleuve, et ses nombreux bateaux qui défilent tout au long de la journée.

    belem
    Julius_Silver

    Le monastère des Hiéronymites : chef-d’œuvre de l’art manuélin

    Situé à deux pas de la Tour de Belém, le monastère des Hiéronymites est une autre perle architecturale de Lisbonne. Ce monastère impressionnant témoigne de la richesse de l’époque des explorations portugaises.

    Ne manquez pas de visiter son cloître magnifiquement orné et d’observer les tombeaux de Vasco de Gama et de Fernando Pessoa, deux figures emblématiques de l’histoire portugaise.

    lisboa
    the-creativv

    L’Alfama : un voyage dans le temps

    L’Alfama, le plus ancien quartier de Lisbonne, est un labyrinthe de ruelles étroites, de maisons colorées et de petites boutiques typiques. Ici, le temps semble suspendu. C’est l’endroit idéal pour prendre des clichés mémorables.

    Profitez de la balade pour découvrir le charme de la ville, notamment ses tramways… Et si vous avez le temps, allez écouter du Fado dans un restaurant traditionnel !

    lisbonne
    francois-le-nguyen

    Le château de São Jorge : une vue imprenable

    Perché sur l’une des sept collines de Lisbonne, le château de São Jorge offre une vue imprenable sur la ville et le fleuve. Ce site historique est parfait pour une immersion dans le passé médiéval de Lisbonne, avec ses remparts bien conservés et ses jardins paisibles.

    lisboa
    Mylo Kaye

    Bairro Alto : entre tradition et modernité

    Pour une expérience plus contemporaine, dirigez-vous vers le Bairro Alto, connu pour sa vie nocturne animée et ses boutiques branchées. Ce quartier montre une facette dynamique et plus moderne de Lisbonne. Flânez dans ses rues pavées durant la journée, puis profitez de l’ambiance festive des bars et restaurants le soir. Pour connaître les meilleurs endroits pour manger et boire un verre dans ce quartier pas comme les autres, suivez les conseils de l’équipe de Bonjour Lisbonne.

    bairro alto
    alano-oliveira
  • Lancez-vous dans le “Grand Tour” des plus beaux villages de Wallonie

    Lancez-vous dans le “Grand Tour” des plus beaux villages de Wallonie

    wallonia
    PBVW – Rita Photographie

    Malgré sa petite taille, la Wallonie se distingue par une diversité paysagère hors du commun. Un territoire qui compte huit régions agro-géographiques, chacune d’entre elles bénéficiant de points de vue et de panoramas qui leur sont propres, jalonnées de villages pittoresques qui invitent à la flânerie.

    Caractérisée par un sous-sol, un relief et une végétation spécifiques, chacune de ces régions a développé un habitat traditionnel qui diffère tantôt par les matériaux utilisés, tantôt par le style et le gabarit des édifices que l’on peut croiser. Autant de hameaux et patelins que l’asbl Les Plus Beaux Villages de Wallonie vous invite à découvrir à votre rythme, en suivant les itinéraires qui sont détaillés dans trois nouvelles brochures baptisées “Grand Tour des plus beaux villages de Wallonie par les GR®”.

    Trois tomes, trois régions

    Ces trois brochures, qui peuvent être commandées en ligne, permettent de découvrir huit régions distinctes de la Wallonie. Le Grand Tour repris dans le premier tome vous propose de démarrer à Namur et de rallier le très beau village de Nobressart, dans la province de Luxembourg. Celui-ci se distingue par son bâti traditionnel lorrain, niché au cœur d’un sublime amphithéâtre vallonné. Pour rejoindre Nobressart, vous sillonnerez le Condroz, la Fagne-Famenne, l’Ardenne ainsi que la Lorraine belge.

    wallonia
    PBVW – Rita Photographie

    Le deuxième tome vous mènera de Nobressart à Mélin, non loin de Jodoigne dans le Brabant wallon. Ici, vous traverserez la Lorraine belge, le Condroz, la Fagne-Famenne, le pays de Herve et la Hesbaye. Mélin, au détour de ses ruelles et chemins pavés, invite à admirer ses fermettes en pierres et briques, son église Notre-Dame de la Visitation ainsi que ses “grandes censes” qui portent encore l’empreinte de l’époque seigneuriale.

    Enfin, le troisième tome vous guidera de Mélin à Namur, en sillonnant cette fois la Hesbaye, les plateaux limoneux brabançon et hennuyer, la Fagne-Famenne et le Condroz. De quoi traverser les magnifiques villages de Ragnies, Falaën, Sosoye et bien d’autres avant de rallier la capitale wallonne.

    Si les Grands Tours repris dans ces guides consistent à chaque fois en un parcours d’environ 500 km, il est bien entendu possible d’opter pour des tronçons plus courts qui permettent de relier trois à quatre villages par exemple. Chacun d’entre eux fait l’objet d’une double page reprenant notamment un QR code qui vous renvoie vers une série d’informations à même de vous renseigner sur les villages que vous traversez.

    Pour plus d’informations sur ces trois nouveaux guides proposés par l’asbl Les Plus Beaux Villages de Wallonie, cliquez ici.

    plus beaux villages de wallonie
    plus beaux villages de wallonie
  • Pompéi limite ses visiteurs !

    Pompéi limite ses visiteurs !

    Vésuve, depuis Pompéi
    andy holmes

    En effet, Pompéi n’accueillera pas plus de 20.000 visiteurs par jour : « ce sont essentiellement des raisons de sécurité, aussi bien des visiteurs que du personnel, mais aussi la protection du patrimoine », a expliqué Gabriel Zuchtriegel, directeur du site. Avec près de 4 millions de visiteurs en 2023, cette mesure vise à assurer une expérience de qualité tout en préservant ce joyau classé au patrimoine mondial de l’UNESCO.

    D’autres initiatives en Italie

    Pompéi n’est pas un cas isolé.

    Ces mesures s’inscrivent dans une dynamique de « croissance durable » selon Zuchtriegel, qui prévoit d’étendre les zones visitables de Pompéi et de ses sites archéologiques voisins. Il faut dire que le site de Pompéi compte 22 hectares de terrain, dont un tiers encore inexploré.