Voilà une offre pour le moins originale. En effet, l’hôtel L’Arbézie propose des chambres où les clients peuvent dormir “la tête dans un pays et les pieds dans un autre”. Se balader dans l’hôtel à de quoi rendre fou tout douanier. En effet, l’escalier monte depuis la France vers la Suisse et, à la 13e marche, on traverse la frontière. De même, selon l’orientation des chambres, les clients dorment tantôt la tête en Suisse et les pieds en France, comme dans les chambres n° 6 et n° 9, tantôt en Suisse mais prennent par contre leur douche en France, comme dans la n°12.
L’établissement a poussé le bouchon plus loin en misant sur une gastronomie mixte. Côté France, on trouve une table à l’esprit “brasserie” avec des plats généreux tandis que côté suisse, c’est un restaurant gastronomique aux couleurs du terroir qui accueille les visiteurs. Au milieu, on trouve le bar, histoire de mettre tout le monde d’accord.
L’hôtel est tenu par la famille Arbez depuis 1921. Après Max et son fils Bernard, c’est aujourd’hui la 4e génération avec Alexandre Peyron et Bérénice Salino qui sont aux commandes de l’auberge. Une adresse insolite à impérativement visiter si vous êtes de passage dans la région du Jura français !
Dès son ouverture au grand public, le parc Sparkx permettra de pratiquer pas moins de 50 sports différents, physiquement ou virtuellement, le tout sur une surface de quelque 3.500 m² !
Avec son slogan “The joy of finding your spark” (littéralement “La joie de trouver son étincelle”), Sparkx défend l’idée qu’il existe un sport pour tout un chacun. L’enseigne annonce être la plus grande du genre en Europe, non pas par la superficie de ses locaux mais bien par le nombre de sports que l’on peut y pratiquer. Chaque visiteur pourra non seulement pratiquer physiquement les sports les plus connus, comme le football et le basket-ball, mais aussi, grâce à la réalité augmentée, en essayer de nouveaux, à l’image du curling, du parapente, de la pêche sportive et même du ski alpin ! Le tout au même endroit !
Grâce à des simulateurs de réalité augmentée, doublés d’autres technologies, les visiteurs pourront accéder à des sports qu’il n’est généralement pas facile de trouver et de pratiquer en toute sécurité en Belgique, en ce compris les plus extrêmes. En effet, il sera même possible de prendre place derrière le volant d’une monoplace de Formule 1 ou d’enfiler une combinaison de pilote de l’air avant de vous envoler en haute altitude !
La santé n’est pas oubliée
Mais Sparkx va encore plus loin. En effet, outre les installations sportives et virtuelles, on peut aussi s’y rendre entre collègues dans le cadre d’un team building, entre amis pour un enterrement de vie de célibataire ou encore pour participer à l’une des conférences dédiées à la santé mentale ou à la nutrition.
Sparks sera ouvert sept jours sur sept. Ce sont principalement les familles qui devraient fréquenter le lieu le mercredi et le week-end tandis que le reste du temps, le parc compte attirer les écoles et les entreprises.
A plus long terme, les six jeunes entrepreneurs à l’origine de ce concept comptent ouvrir plusieurs parcs en Belgique ainsi que dans les pays voisins.
Soyons un peu chauvins et fiers de nos carnavals wallons. Certes, ils n’ont pas l’élégance des tenues vestimentaires de Venise ou la folie des sambas brésiliennes… Quoi que ! La beauté et l’originalité des costumes de gilles ainsi que la ferveur et l’enthousiasme de tous les carêmes-prenants valent leur pesant d’oranges. Gilles, Blancs-Moussîs, Chinels, Haguètes, Paysans et Paysannes, Marins, Macrâles, Sôtés, Véheûs, Porais, Ours, Hârlikins, Sâvadjes, Joupsènes, Gugusses, etc., sont impatients de fêter le printemps, accompagnés des musiciens, des géants…
Jusqu’à Pâques, au fil des semaines à venir, les festivités vont se dérouler par étapes avec comme date charnière le célèbre Mardi gras (ce 21 février 2023). C’est la veille du mercredi des cendres qui marque le début du carême, cette ancienne période de la religion chrétienne qui bannissait de manger copieusement durant quarante jours… Il faut donc faire la fête une bonne fois avant le carême… Mais avant le mardi-gras, il faut se préparer. Il y aura donc plein de festivités comme les fameuses soumonces qui sont les répétitions sans costumes avec les tambours seuls et puis la fanfare complète. Les jours gras qui précèdent le mardi gras voient la fièvre monter petit à petit. Ceci dit, il faut savoir que tous les carnavals ne se produisent pas le mardi gras, certains sont décalés avec un pic à la mi-carême ou « Lætare » le dimanche 19 mars… D’autres se produisent encore à d’autres moments, voire tout près de Pâques.
Mardi Gras – Carnaval de Binche
Pour s’y retrouver, voici un petit guide
Binche et ses Gilles ! 21 février
A tout seigneur, tout honneur. Voici Binche, inscrit Patrimoine oral et immatériel de l’UNESCO. Bien sûr, les Gilles n’avaient pas attendu ce couronnement pour marquer leur attachement séculaire à cette festivité mondialement connue, même s’ils ne quittent jamais Binche et ne peuvent revêtir le costume qu’au carnaval. Rythmé par les fanfares, le lancinant martèlement des sabots et le son des apertintailles (ceintures ornées de grelots), ce carnaval existe depuis des siècles. Avec son costume unique au monde aux 150 motifs (étoiles, lions et couronnes) en feutrine noire, jaune et rouge, le Gille est muni d’un ramon (petit coiffera son chapeau en plumes d’autruche l’après-midi… Mais avant ce jour, annoncé par les ‘soumonces’ des semaines qui précèdent (quand les instruments (tambours seuls au départ) s’ajoutent chaque semaine pour compléter la fanfare des jours gras), ce carnaval verra son apothéose le Mardi Gras 21 février. La soirée des Trouilles de Nouilles (lundi 13 février) voit tout le monde se masquer et se costumer pour arpenter les cafés de la cité.
Les plumes d’autruche de sortie Eric Valenne
Avec coiffes de plumes d’autruches
Puis vient le grand jour où dès potron-minet va se dérouler l’habillage du gille toujours aidé par madame qui se dévoue totalement à sa tâche et en famille (avec huîtres et champagne). La porte est grande ouverte pour inviter la famille, les amis, voire les passants à trinquer. Vient ensuite le « ramassage » du gille qui doit rejoindre sa société ou confrérie (avec l’obligatoire tambour qui doit absolument accompagner chaque gille) puis le rondeau… Avant de se rendre à l’hôtel de ville, la mise du masque à lunettes vertes, moustache, barbiche et favoris, est un moment poignant en fin de matinée. Il symbolise l’anonymat et l’égalité entre les gilles. Enfin, le cortège de l’après-midi verra les merveilleuses coiffes de plumes d’autruches (si pas de pluie), les lancers d’oranges, les fanfares se déchaîner. Et la grande foule. La soirée sera longue et se terminera par un feu d’artifice.
Nos mille gilles de Binche ont de respectables cousins qui appliquent quasi les mêmes règles (mais peuvent se représenter costumés en dehors de leur ville et hors période). Comme à Nivelles qui fête son 119ième carnaval le dimanche 26 février avec le grand cortège l’après-midi. Mais les soumonces générales se déroulent le 11 février et le carnaval aclot, plus intime se passe en soirée le lundi 27 février avant le raclot ou dernier rassemblement le 28 février). Mais les passionnés continuent encore à déambuler quelques jours…
La ville de La Louvière est fière de son Laetere également (19/3) qui dépasse ses 150 ans d’existence avec également un millier de Gilles. La fête se prolonge le lundi et le mardi.
Charleroi avec ses gilles et son procès du corbeau en soirée (21/2) n’est pas en reste, (Morlanwelz les 26, 27 et 28 mars), Haine-St-Pierre et Anderlues (26 au 28/2) …
Le carnaval de Jemappes (Gilles) est une exception tant il se produit tard : le weekend de Pâques (9 avril)…
D’autres carnavals de Gilles se produisent hors saison (de l’été à l’automne comme Arquennes, Ligny…)
Malmedy Eric Valenne
Malmédy et son Cwarmê. 19 février
Classé au patrimoine immatériel de la Fédération Wallonie-Bruxelles, le Cwarmê dure quatre jours. Il commence le vendredi à… minuit et se termine le mardi gras à minuit avec son apothéose le dimanche après-midi (19 février 2023) et son grand cortège aux joyeux personnages hauts en couleurs dont certains attrapent avec leur ‘happe-chair’ les passants invités à implorer le pardon… Déjà attesté en 1459 (il en est à sa 563ème représentation cette année!), il se prépare des mois à l’avance et voit l’effervescence monter les jeudis précédents (lors des p’tites haguètes) où l’on se moque gentiment des clients des cafés et tavernes. Les couturières confectionnent de nouveaux costumes et les deux chorales d’hommes préparent leurs comédies satiriques (les Rôles), narrant les mésaventures des Malmédiens qui seront présentées sur des scènes ambulantes le lundi après-midi. Puis le samedi du carnaval, la « Grosse Police » voit le bourgmestre remettre ses pouvoirs au Trouv’lê.
Une quinzaine de personnages différents
Enfin, dimanche, c’est le grand cortège et les deux mille travestis aux masques traditionnels du Cwarmê. Les spectateurs sont gentiment pris à partie et se doivent de demander pardon un pied attrapé par le hâpe-char. Ils sont accompagnés par une quinzaine de personnages différents parfois uniques ou parfois représentés en nombre aux truculents surnoms wallons. Grosse Police, Djoup’sène (égyptienne), Long-né, Longuès-brèsses (longs bras), Longs-ramons, Sâvadge (sauvage), Sâvadge-cayèt (et ses plaquettes de bois), Boldgî (boulanger), Cwapî (cordonnier), viennent également le Vèheû (muni de sa vessie de porc), le Sotê (nuton), les Hârlikins (arlequins)… et quelques autres personnages plus improbables. Le tout sur des musiques originales, parfois fraîchement composées.
Le lundi, jour des « rôles », s’adresse avant tout aux Malmédiens et le « Brûlage de la Haguète » marquera la fin des festivités.
Bien que nous sommes dans les cantons de l’Est, ce carnaval n’est pas germanique mais bien latin et très… très wallon !
Stavelot Eric Valenne
Stavelot et les Blancs-Moûssis. 19 mars
Du 18 au 20 mars, ce sera la 518ième sortie du Laetare de Stavelot ! Tout de blanc vêtus avec leur longs nez rouges, ces « messieurs blancs » sont des centaines à déambuler seuls ou en files dans les rues où ils se déchaînent parfois en assénant gentiment les badauds de vessies de porc. Leur origine est incertaine et une légende voudrait qu’ils imitent des moines à qui il était interdit de s’amuser au Laetare suite à un édit du prince-abbé Guillaume de Manderscheidt en 1499. Les Stavelotains auraient tourné cette interdiction en dérision et se seraient tous habillés en moines blancs en 1502… Vrai u pas, peu importe, les Blancs-Moûssis sont parmi les plus incontournables personnages de nos carnavals wallons. C’est le dimanche de mi-carême (ou Laetare) 19 mars à partir de 13h30 que débutera l’apothéose du grand cortège folklorique avec ses 2500 participants entourés par près de 25 groupes folkloriques locaux ou invités. Le rondeau des Blancs-Moûssis à 17 heures est un incontournable. Entrée 5 euros.
Egalement au patrimoine de Wallonie, la superbe cavalcade inspirée par la Commedia dell’Arte voit les hommes de Fosses porter de jolis costumes de satin coloré avec deux bosses, l’une sur le thorax et l’autre dans le dos. Une légende raconte l’histoire de deux bossus, dont l’un perdit sa bosse, récompensé par les fées ; l’autre, jaloux et méchant, fut puni et hérita d’une bosse supplémentaire. C’est ce dernier qui inspira ce folklore. Et depuis plus d’un siècle, le Chinel est à Fosses ce qu’est le Gille à Binche. Ils sont deux à trois cents à parcourir les rues lors du Laetare et à virevolter munis de leur sabre de bois. Accompagnés des Doudous en blanc avec les boutons rouges (issus de carnavals plus anciens), les Chinels exécutent une chorégraphie où il faut entrechoquer les sabres de bois, se figer sans bruit puis redémarrer de plus belle au son d’une musique joyeuse chantée et spécialement composée pour la circonstance. Le Laetare se termine par un rondeau final au cours duquel tous les groupes viennent faire une démonstration de leurs talents sur la Place du Marché.
Le Laetare se fête également à Andenne (Carnaval des Ours), à Tilff avec les Porais, à Welkenraedt, à Houdeng…
Carnavals rhénans dans les Cantons de l’Est. Lundi 20 février
Le plus célèbre des carnavals d’inspiration allemande est celui d’Eupen. A l’instar des grands carnavals de l’Allemagne toute proche (Cologne, Düsseldorf, etc.), il voit un Prince Carnaval recevoir les clefs de la ville le dimanche pour les garder trois jours. Des chars et des sociétés costumées vont déambuler en grands cortèges dès le lundi gras mars (Rosenmontag) aux cris d’Alaaf, Alaaf ! Ce carnaval a débuté le jeudi précédant le mardi gras avec l’ « Altweiberdonnerstag » ou Jeudi des Femmes, jour de liesse pour les dames où tout leur est permis. Le point culminant de ce carnaval est le fameux « Rosenmontag » ou lundi des roses.
Un cortège constitué de chars très colorés va défiler dans les rues sous la direction du Prince Carnaval. Ce dernier entouré de ses gardes du corps ou « funkenkorps » jettera bonbons, oranges et des tonnes de confettis. De nombreuses fanfares se joignent à la fête qui se clôture par un bal où le Prince Carnaval remettra les clés de la ville aux autorités de la commune, à minuit.
Idem à La Calamine (même date), Büllingen, Bütgenbach, Faymonville, Oudler, Schönberg, Sourbrodt…
Les grands feux sont fascinants… Liés aux fêtes printanières, ils brûlent Bonhomme Hiver et trouvent leur origine dans la nuit des temps. Cela se passe notamment le dimanche des Brandons, à savoir le premier dimanche de Carême, donc cette année le 26 février 2023. Le plus célèbre va crépiter à Bouge, sur les hauteurs de Namur en soirée (début du cortège à 19 h). Cette tradition se perpétue depuis plus de mille ans et toute la région reste fidèle à cet évènement. « Au grand feu, les sizes au feu », dit un vieux proverbe local qui signifie au feu les longues nuits d’hiver… Ce soir-là verra flamber également six autres feux dans les alentours. Les voir tous briller dans la nuit est un porte-bonheur. Mais bon an mal an, des dizaines de feux semblent reprendre vigueur dans nos provinces (parfois à d’autres dates)…
Malmédy dimanche (gras) 19 février Eupen lundi (gras) 20 février Binche mardi gras 21 février Grand feu de Bouges dimanche 26 février Nivelles dimanche 26 février Stavelot dimanche 19 mars (Laetare) Fosses-la-Ville dimanche 19 mars (Laetare) La Louvière dimanche 19 mars (Laetare)
Le Bright Festival sera de retour en février prochain à Bruxelles. Comme pour les éditions précédentes, les rues et places de la ville s’orneront donc de milliers de lumières et d’éclairages en tous genres. Durant quatre soirées, de 19 à 23h, trois parcours lumineux vous promettent des moments féériques, à partager en famille ou entre amis, le tout au cœur de la capitale belge. De quoi bercer l’imaginaire des petits comme des grands et offrir des souvenirs inoubliables à tout un chacun. Si, pour l’instant, le programme exact n’a pas encore été dévoilé, on sait par contre que ce festival des lumières aura lieu du 16 au 19 février.
Visit Brussels – Eric Danhier
Les organisateurs ont précisé que “pour cette nouvelle édition, le plus brillant des rendez-vous bruxellois illuminera trois quartiers : le quartier Royal, le quartier Européen et le quartier Lehon jusqu’à l’avenue Louis Bertrand à Schaerbeek”. Et d’ajouter que les itinéraires de cette édition 2023 “seront subtilement rythmés par une vingtaine d’œuvres immersives et poétiques”.
En parallèle de ces installations artistiques, les participants pourront aussi profiter de nocturnes dans les musées, de visites guidées d’édifices remarquables ainsi que de diverses installations éphémères. Notons enfin que les illuminations de cette année mettront l’Art Nouveau à l’honneur, Bruxelles ayant été proclamée “Capitale de l’Art Nouveau 2023”.
Les festivités des trois jours “gras” seront lancées le dimanche 19 février avec le “ramassage” des acteurs du carnaval à leur domicile dès le début de matinée. Les participants évolueront en costume dans Binche en matinée, ils danseront en cortège dans l’après-midi avant des “rondeaux en musique” devant les locaux des sociétés carnavalesques tard dans la soirée.
La journée du lundi gras, le 20 février, sera consacrée aux “jeunesses” dès le début de matinée. Des feux d’artifice tirés dans le quartier de la gare ponctueront le programme en soirée.
Le mardi gras, “jour J” du Carnaval de Binche, débutera à 5 heures du matin avec le traditionnel ramassage des gilles et autres acteurs costumés. Le grand cortège, avec les gilles portant leurs chapeaux de plumes et lançant leurs oranges au public, partira à 15 heures. Le soir, un second cortège sera organisé et un grand feu d’artifice clôturera le carnaval.
Des mesures pour une fête en toute sécurité
Les autorités binchoises ont annoncé la mise en place de mesures pour faciliter la mobilité, notamment des trains supplémentaires, des navettes de bus gratuites et des mesures pour les personnes à mobilité réduite. La sécurité sera également renforcée. Le Musée du Masque de Binche proposera également plusieurs activités dans le cadre du carnaval.
“Nous attendons une édition record après deux années d’annulation“, a déclaré Laurent Devin, bourgmestre de Binche et gille cette année. “Les louageurs n’ont plus de chapeau depuis la mi-décembre, un signe qui montre que le nombre de participants sera très important.”
Le Musée des Celtes, situé dans la Halle aux Foires à Libramont, vous dira tout de la vie quotidienne des Gaulois et des Celtes : à vous l’héritage incroyable qu’ils ont laissé ! Les fouilles archéologiques, reconstituées sous vos yeux, fascineront les petites têtes blondes. Modules à manipuler, contes à écouter, carnet de visite à compléter… : ils passeront inévitablement un bon moment ! Et si vous n’avez pas peur du froid, osez la balade celtique qui vous emmène sur les traces des origines celtiques de la région !
Indécis ?
Si vous ne savez pas encore précisément de quoi vous avez envie, rendez-vous à Orbis aventures, à Liège. Escape games, expériences immersives, bar à jeux : il y en a pour tous les goûts ! Un parc d’aventures indoor, quand il fait froid, c’est toujours sympa ! Défis physiques, théâtre immersif, événements à thèmes et on en passe ! Les 500 jeux de société mis à disposition promettent aussi de passer des heures de plaisir en famille !
Battlekart
Karting-gaming !
Pourquoi ne pas emmener les enfants s’éclater à BattleKart, à Mouscron ? Ce centre de karting-gaming vous propose de rouler sur une piste virtuelle projetée sur un immense écran au sol. Les deux pistes de 2000 m2 vous assurent de vivre le grand frisson. Et si on est certains que cela ravira vos petits et grands ados, on est aussi persuadés que cela vous plaira !
A la découverte de vos sens…
Et pourquoi ne pas vous initier, en famille, aux expériences sensorielles ? C’est à Walcourt que ÔÔ Paradis des Sens organise des ateliers ludiques à la découverte des sens et des parfums. Vous aurez même l’occasion de créer votre eau de parfum unique et de tester votre odorat. Une visite un peu insolite qui éveillera vos sens. Une sortie pour le moins originale !
A la chasse aux totems !
Et si vous préférez vous retrouver pour une balade hivernale amusante, pourquoi ne pas télécharger l’application Totemus ? Jeu de piste et balade d’orientation pour partir à la découverte des 4 coins de Wallonie ! Les enfants, pris par la résolution des énigmes et la recherche des indices, ne rechigneront pas à parcourir quelques kilomètres ! La butte du Lion à Waterloo, le Château de la Hulpe ou celui d’Hélécine… : 22 chasses proposées rien que sur le Brabant wallon !
La couche de poudreuse qui recouvre les hauteurs de pays varie entre 15 et 25 cm, ce qui permet la pratique de ski de fond et de la luge à de nombreux endroits. À Ovifat, toutefois, où 25 cm de neige recouvre le sol, seule la piste de ski alpin bleue est accessible, la rouge et la verte étant impraticables.
Pour favoriser l’accueil des visiteurs dans de bonnes conditions, l’agence du tourisme de l’Est la Belgique a développé un bulletin d’affluence, qui les informe de la situation ou d’une éventuelle saturation.
Du 2 au 6 juin 2023, vous partez en petit groupe découvrir quelques-unes des plus belles abbayes de Normandie avec leur cloître et leur jardin médicinal. Des lieux empreints d’histoire qui livrent leurs secrets et émeuvent tous ceux qui les visitent.
Tout au long de ces Boucles de la Seine, il y a également des forêts, des vergers, des chaumières à colombages et toits de chaume ainsi que des châteaux : les tableaux bucoliques se suivent et ne se ressemblent pas. Tout suscite l’émerveillement, depuis le bac qui relie les berges de la Seine, ou depuis la vélo-route qui suit ses méandres.
Les jardins privés que vous allez découvrir en Seine-Maritime, sont des lieux d’exception: champêtres ou insolites, ils déploient des palettes de couleurs et inspirent à la sérénité. Labélisés « Jardin Remarquable », ils sont de véritables œuvres d’art dans lesquels vous prendrez plaisir à vous perdre.
Un autre joyau vous séduira : dans un vallon préservé, vous admirerez le plus ancien Manoir de Normandie, un moment fort qui vous transportera au cœur du Moyen Age. Ce manoir a reçu le Grand Trophée de la plus belle restauration de France, c’est vous dire !
Lyons-la-Forêt
Un détour par Lyons-la-Forêt, classé parmi « Les plus Beaux Villages de France » sera nouvelle occasion de s’extasier : la halle du 18ème siècle ainsi que les maisons du village, fleuries de rosiers sur les façades, vous laisseront rêveurs.
Cette escapade promet un véritable kaléidoscope de couleurs : roseraie, potager, cours d’eau, bassins, chêne millénaire, vitraux, fresques, statues, jardins, cloître, colombier… Des couleurs, des parfums, des émotions, tout partout ! Sans oublier les pauses gourmandes…
Les inscriptions pour ce séjour enchanteur sont déjà ouvertes et on attend plus que vous pour faire partie de cette jolie aventure ! Il n’y a plus qu’à grimper dans l’autocar de luxe et à vous laisser emmener…
Attention il n’y aura pas de place pour tout le monde : clôture des inscriptions à 30 participants.
Ce lieu hors du temps propose 6 cabanes pouvant accueillir de 2 à 8 personnes au cœur de la forêt ainsi qu’une cabane collective idéale pour les stages, les formations ou encore les teambuilding. Nichées dans un domaine de 3 ha au cœur de la forêt, ces cabanes ont toutes une thématique particulière qui vous plongera à chaque fois dans un univers différent. Elles sont aussi parfaitement isolées, afin de pouvoir affronter la chaleur comme le froid, et équipées d’une petite kitchenette, d’une salle de bain comprenant WC et douche, et d’une literie confortable.
Le “Gîte Martin” à Dinant pour une ambiance “montagne”
Il ne faut pas forcément se rendre dans les Alpes pour passer un moment dans un cadre rustique, digne des plus belles stations de sports d’hiver. En effet, à Dinant, le Gîte Martin offre un cadre unique qui semble tout droit sorti d’un village suisse. Situé en surplomb de la Meuse, ce gîte offre une vue majestueuse sur la forêt et les rochers aux alentours. La grande terrasse de 36 m2 est pour sa part une véritable invitation à la détente. De quoi y déguster un délicieux repas ou plus simplement y profiter du lever ou du coucher du soleil au beau milieu de la campagne dinantaise, sans le moindre vis-à-vis !
“L’Hostellerie Lafarques” pour les amoureux de manoirs à l’anglaise
Bien connu des gastronomes, l’Hostellerie Lafarques, située à mi-chemin entre Spa et Chaudfontaine, fut d’abord un manoir construit en 1927 pour une famille nantie de Verviers. Durant les années 1960, le domaine et son parc arboré de 13 ha furent transformés en pensionnat pour jeunes filles. Après son rachat par Michel et Agnès Lafarque en 1989, l’endroit devint rapidement un temple de la gastronomie belge reconnu notamment par le Guide Michelin. C’est aussi un hôtel 4 étoiles comptant 5 magnifiques chambres très cosy ainsi que 3 luxueuses suites ! Les fines fourchettes en quête de repos apprécieront !
Un gîte à la ferme dans la “Roulotte les Mésanges” à Rebecq
Voilà un endroit que les amoureux… de nature apprécieront ! En effet, la Roulotte les Mésanges est située dans un verger qui côtoie un joli petit étang, très bucolique. Selon la saison, ce cadre unique en son genre, situé au cœur du Brabant wallon, vous fera profiter du coassement des grenouilles tandis que vous pourrez observer de nombreux oiseaux, et, si l’envie vous en dit, de pêcher ! De quoi savourer les plaisirs simples de la vie tout en renouant avec Dame Nature.
Une nuit au “Moulin du Ya” à Houdeng-Aimeries près de La Louvière
Le Moulin du Ya est un gîte hors du commun aménagé dans un ancien moulin à vent, à Houdeng-Aimeries dans la province de Hainaut. Après une minutieuse restauration qui a duré près de 3 ans, supervisée par des artisans locaux, ce lieu hors du temps, qui dispose de 3 niveaux, compte un vaste loft équipé et décoré avec soin dans un style industriel. Le rez-de-chaussée compte une cuisine équipée, un WC séparé, un coin salle à manger et un salon équipé d’un feu ouvert. Au premier, on trouve une première chambre et une salle de bain tandis que le deuxième héberge une vaste suite parentale.
On vous rassure tout de suite : non, un bébé ne signifie pas la fin de vos petits séjours touristiques. Il suffit simplement d’être bien organisé et de respecter quelques règles de base.
1. La destination
Inutile de partir trop loin : en montagne, votre enfant souffrira de l’altitude et du froid, alors que dans le Sud, il pourrait avoir trop chaud. Evitez également les trop longs trajets, votre bébé pouvant ne pas supporter longtemps la voiture. Une destination à 4 heures maximum de votre domicile est un bon compromis.
2. Le lieu de résidence
Facilitez-vous la vie ! Si vous êtes un campeur invétéré, il va peut-être falloir réviser vos habitudes. Optez pour un logement unique, si possible déjà équipé d’une chaise haute, d’un lit bébé, d’une baignoire bébé et d’une table à langer. C’est ça en moins que vous devrez transporter avec vous !
3. Que devez-vous emporter ?
Tout dépend évidemment du logement que vous avez sélectionné (voir ci-dessus). Outre les vêtements, crèmes et langes de rechange, ne passez surtout pas à côté de l’essentiel (lingettes, sucette, doudou). N’oubliez pas non plus ses jouets et bien évidemment, un thermomètre et quelques affaires de premier soin. Si vous oubliez un élément clé, comme une gigoteuse par exemple, il existe toujours des solutions, comme un bon vieux gros pull en laine de papa !
4. Respectez le rythme de votre enfant
Si votre enfant est une marmotte, respectez ses heures de sommeil ! C’est sûr, les restaurants le soir risquent d’être plus compliqués. Cela dit, vous pouvez toujours prévoir des visites et des promenades quand votre poussin pique sa sieste dans la poussette ou dans le porte-bébé !
5. Soyez tranquille !
Les vacances, ça sert surtout et avant tout à se reposer et à se changer les idées. Inutile donc de stresser pour un rien ou de trop en faire, votre enfant pourrait le ressentir, ce qui nuira tant à votre confort qu’au sien.