Nous sommes à Salatiga, une petite ville située dans une province du centre de Java, en Indonésie. Là, un architecte qui répond au nom d’Ary Indra a décidé de concevoir un hôtel atypique, dont la façade ne mesure que 2,8 mètres de largeur ! Il faut dire que le terrain retenu pour le projet (un lopin de terre laissé à l’abandon) ne permettait guère d’être plus généreux. Qu’à cela ne tienne, l’hôtel PituRooms a tout de même pu sortir de terre et s’élever sur pas moins de 5 étages.
De quoi proposer sept chambres aux touristes de passage, chacune disposant d’un lit double et d’une salle de bains équipée d’une douche et d’un cabinet de toilette.
Si l’expérience vous tente, sachez que Salatiga se trouve au pied du volcan Merbabu que l’on peut admirer depuis les fenêtres de l’hôtel. La région est pour l’heure préservée du tourisme de masse mais vaut pourtant la peine d’être visitée. Pour résider à l’hôtel PituRooms, comptez une quarantaine d’euros par nuit, petit-déjeuner compris.
Située à environ 200 kilomètres de Los Angeles, The Landing House est une création de Industry of All Nations, conçue pour se fondre harmonieusement dans le paysage désertique du Mojave.
Design écoresponsable
L’architecte Fernando Gerscovich, avec l’aide de ses frères Juan Diego et Patricio, a imaginé The Landing House en mettant l’accent sur le respect de l’environnement. Ils annoncent avoir soigneusement conçu cette maison pour préserver l’écosystème fragile du désert, en utilisant des matériaux à faible impact comme le cèdre et le verre qui vieilliront naturellement pour s’intégrer encore plus dans le décor.
Ye Rin Mok
Un cadre naturel envoûtant
Le terrain de 2 hectares sur lequel repose The Landing House est un véritable bijou, avec des formations rocheuses naturelles et des arbres « Joshua », que l’on ne retrouve que dans ce parc. La maison, pensée comme une branche tombée, s’intègre parfaitement dans ce paysage sauvage, offrant un contraste saisissant entre modernité et nature.
Ye Rin Mok
Sérénité et intimité
Accessible via un chemin privé, la maison se révèle derrière un mur discret, avec un design qui invite à la tranquillité et à la contemplation. Chaque élément, de la piscine plongeante à la plateforme de yoga, est conçu pour célébrer la beauté du désert.
Ye Rin Mok
Intérieur chaleureux et invitant
L’intérieur de la maison est un mélange de matériaux naturels et d’aménagements modernes. Les chambres sont des suites, offrant toutes une vue imprenable sur le désert, et la cuisine et le salon sont bien entendu, équipés d’une technologie dernier cri.
Dino Snores for Grown-ups (littéralement Les ronflements des dinosaures pour les adultes) est le nom de l’activité insolite proposée par le Natural History Museum de Londres. Une expérience unique durant laquelle le musée britannique ouvre ses portes le temps d’une nuit. De quoi permettre aux férus de sciences et aux amateurs d’expériences insolites de découvrir les riches collections de cette institution puis de passer la nuit dans son sublime hall victorien, entourés de squelettes de dinosaures et de baleines.
Situé dans le quartier huppé de Kensington, le musée d’histoire naturelle de Londres est surnommé par les locaux “la cathédrale de la nature”. Et pour cause : l’édifice néo-roman a tout d’un monument religieux ! Sauf que ses murs abritent la plus grande collection au monde des sciences de la vie et de la terre avec plus de 70 millions de spécimens ! On y trouve aussi les trouvailles de l’ex-empire colonial, dont celles rapportées par le célèbre explorateur James Cook et le naturaliste Charles Darwin.
Stephen Kidd
Une nuit au musée
Comment se déroule cette nuit au musée ? Les visiteurs sont accueillis à 18h30. On leur remet un badge spécifique et un petit matelas en mousse qui permet d’installer son “couchage” dans le grand hall du musée ou dans l’une de ses alcôves. Une fois installé, on reçoit un verre de bienvenue au bar du musée. Dans le même temps, il est demandé aux visiteurs de prendre connaissance d’un bref règlement même si on est avant tout là pour s’amuser. Un repas comptant trois services est prévu un peu plus tard, puis à vous les innombrables couloirs et collections du musée !
Bruno Martins
Des animations diverses sont prévues dans le courant de la soirée, au cas où vous n’auriez pas envie de dormir tout de suite. Le lendemain, une séance de yoga vous est offerte dès 6h30 tandis que le breakfast est pour sa part servi à 7h30.
Envie de prendre part à cette expérience unique en son genre ? Alors réservez votre place sur le site du musée ! Comptez tout de même 220 £ (soit environ 250 €) par personne !
Así luce la final del Campeonato Mundial de Excel. Tuvo lugar de noche en Las Vegas.
El primer torneo oficial tuvo lugar en 2020. Desde entonces, la disciplina ha crecido hasta alcanzar tres torneos oficiales con el apoyo de Microsoft. pic.twitter.com/QkFgb6wXCw
Les Championnats du Monde d’Excel ont eu lieu à Las Vegas, réunissant les meilleurs experts d’Excel dans des défis pour le moins insolites. Cette compétition inhabituelle a fusionné le monde de la finance avec celui de l’e-sport, créant un spectacle pour le moins singulier…
Des talents de classe mondiale
Les 16 meilleurs experts d’Excel du monde se sont affrontés, résolvant des casse-têtes complexes devant un public enthousiaste et des milliers de spectateurs en ligne. Aussi curieux que cela puisse paraître, il était bel et bien question de suspens !
Tous les trois ans, Gand brille de mille feux durant son Festival de la lumière. Un événement gratuit qui, grâce aux multiples installations lumineuses réalisées par des artistes locaux et internationaux, fait de chaque nuit un décor féerique doublé d’un spectacle surprenant composé de structures tantôt surnaturelles tantôt originales. De quoi aussi découvrir la belle ville de Gand sous un autre… jour.
Martin Corlazzoli – Martin Corlazzoli – stad gent
XXIe siècle oblige, cet événement mettra à l’honneur des nouvelles technologies, à l’image de l’intelligence artificielle et des drones. Le programme de cette sixième édition a été dévoilé et s’annonce plus que jamais captivant. Parmi les artistes internationaux invités à exhiber leurs œuvres lumineuses, il y a l’espagnol SpY. La création qu’il a conçue sera exposée sur la Schipperskaai et fera office de pièce maîtresse de ce Festival de la lumière.
Martin Corlazzoli – stad gent
Autre incontournable : la structure proposée par l’Agence spatiale européenne, qui utilisera la réalité augmentée afin de montrer comment les images satellites nous aident au quotidien. La société gantoise Fisheye, elle, a planché sur un mapping qui combinera code Morse et images spatiales. Enfin, Drone Racing Flanders proposera une installation inédite en collaboration avec les pompiers de la ville de Gand. De nombreuses autres installations et structures pourront être admirées par les visiteurs du 31 janvier au 4 février. Le parcours comptera en effet pas moins de 32 étapes, que l’on pourra découvrir seul ou accompagné d’un guide.
Du nord au sud, une côte caraïbe aux multiples visages
Située en zone intertropicale, la Jamaïque coche toutes les cases d’un séjour balnéaire réussi. Cela d’autant mieux qu’ici, sur la mer des Caraïbes, il y en a pour tous les goûts. De Montego Bay à Oracabessa en passant par Ochos Rios, la côte nord est de loin la plus touristique.
Plage de Ocho Rios
Le long des 120 km de littoral se concentre la plupart des hôtels-resorts. Comme en « Rép Dom » ou sur la Riviera Maya mexicaine, les marques Zoëtry, Sandals, Iberostar, Bahia Principe… ont pignon sur rue, avec leurs habituelles prestations all inclusive : restaurants de plage, piscines, activités nautiques… et toute l’intendance que recherchent les clients en quête de confort et d’une prise en charge totale de leurs besoins.
Preuve que ce tourisme là a le vent en poupe, un Hard Rock Hôtel doit ouvrir en 2025 à Montego Bay. C’est aussi sur cette côte, à Oracabessa, que se trouve le mythique hôtel Golden Eye Resort. Sur une propriété ayant appartenu jadis à Ian Fleming, le romancier britannique créateur du personnage de James Bond, une quarantaine de villas et de cottages de luxe attend les clients aisés. L’hôtel a été créé par l’actuel propriétaire du site, Chris Blackwell, le légendaire producteur anglais de Bob Marley. Il faut ajouter à ce panorama touristique la station balnéaire de Negril, à l’extrême ouest de l’île. Elle est connue pour son enfilade d’hôtels, restaurants et bars musicaux le long du célèbre 7-mile Beach.
Baigneurs à Treasure Beach, au sud-ouest de l’île Philippe Bourget | cms
Plus authentique, la côte sud-ouest plaira aux touristes cherchant une immersion réellement jamaïcaine. Treasure Beach en est un bel exemple. Les boutiques-hôtels et commerces de cette station balnéaire s’insèrent dans un paysage préservé, constitué de ports de pêche et de petites exploitations agricoles (voir 3/ « Une île intérieure pleine de surprises »). Un hébergement, en particulier, correspond à cette image : le Jakes Hotel. Ses bungalows colorés disséminés sous la végétation en font un lieu d’esprit 100% local.
Le Jakes Hôtel sur la côte sud. Philippe Bourget
Près de là, à Crawford, on découvrira un espace de nature remarquablement préservé : MalcomBay. La communauté locale protège ce sanctuaire marin, soit près de 5km de côte vierge à mangrove. En bateau à moteur avec les pêcheurs locaux, on pourra y observer lamantins et tortues marines. Il restera à embarquer à nouveau pour aller boire un rhum au Pelican Bar, un « café » de planches sur pilotis situé à quelques encablures du rivage, tenu par le charismatique rasta Floyd.
Bongo Herman, percussionniste jamaïcain et ami de Bob Marley dans la maison-musée de l’artiste à Kingston. Philippe Bourget | cms
Le reggae, Bob Marley et la culture rasta
Qu’évoque la Jamaïque pour celui qui n’y est jamais venu ? Forcément, le reggae et Bob Marley ! Roi de ce genre musical créé dans Trenchtown, un quartier pauvre de la capitale, Kingston, Bob Marley, disparu à 36 ans, reste à jamais le « premier » et une fierté absolue pour les Jamaïcains. Il n’est qu’à voir le nombre de portraits à son effigie, peints sur les murs ou imprimés sur les tee-shirts portés par des hommes dans la rue. Alors si l’on vient à Kingston (1,25 million d’habitants pour 3,2 millions dans le pays), capitale qui n’est plus le coupe-gorge décrit dans les années 80, ce n’est pas seulement pour découvrir la belle demeure d’architecture géorgienne Devon House ou se balader dans Downtown afin d’admirer les œuvres de street art – certaines représentent d’ailleurs des artistes de reggae. C’est aussi et surtout pour visiter la maison-musée de Bob Marley, sur les hauteurs de la ville, près de Jamaica House, la résidence du premier ministre.
La statue de Bob Marley devant sa maison-musée, à Kingston. Philippe Bourget
On vient de partout en pèlerinage dans ce lieu où toute la vie de l’artiste est exposée. Des photos, des lettres, des disques d’or, des objets personnels, son studio d’enregistrement… s’offrent au public sous les commentaires et les reprises émouvantes des chansons du maître par le guide Ricky, un pur rasta, qui fut ami de Bob Marley. Vous voilà au cœur de la légende – yeah man ! -, avec en prime la présence d’un coffee-shop. Au-delà du musée, la culture rasta reste omniprésente en Jamaïque. Le look caractéristique, avec dreadlocks, bonnet de laine enveloppant aux couleurs de la Jamaïque et spliff de ganja à la bouche, est toujours d’actualité !
Devon House, belle demeure géorgienne, à Kingston, de George Stiebel, « premier Noir millionnaire », à la fin du 19ème s. Philippe Bourget
Pour continuer l’expérience, on pourra séjourner au Jakes Hôtel . L’établissement abrite deux restaurants, dont le célèbre Jack Sprat. Dédié au reggae et à Jimmy Cliff, il rappelle que l’hôtel est la propriété du fils du réalisateur jamaïcain Perry Henzell, qui a tourné un film dans lequel le célèbre musicien de reggae, toujours en vie, a joué. Pour aller encore plus loin, on ne manquera pas le détour par le Rastafari Indigenous Village, l’un des derniers camps retranchés rastafariens de l’île. Près de Montego Bay, dans un bout de vallée perdue à l’écart d’une « Babylone » qu’ils considèrent comme dévoyée, une poignée de rastafaris y vit d’autosuffisance, entre musique kumina (à base de percussions), nourriture végétarienne et spliffs – cigarettes de ganja. Si le cœur vous en dit, on peut même y effectuer une retraite, dans des bungalows conçus pour les touristes.
Belle maison-hôtel dans les Blue Mountains. Philippe Bourget | cms
Une île intérieure pleine de surprises
Cascades et vasques pour se baigner, rivières à descendre en bateau, en radeau ou en canyoning, visite de fermes locales et découverte de spécialités culinaires… La découverte de la Jamaïque « intérieure », au-delà du cas des Blue Mountains est une mine d’or.
Blue Hole, à Island Gully Falls, un des sites naturels les plus beaux de Jamaïque. Philippe Bourget | cms
Au sud-ouest, entre Treasure Beach et Black River, la végétation raréfiée et une terre riche a fait émerger à une petite économie paysanne. Au pied des Santa Cruz Mountains, des tours en scooters accompagnés permettent d’aller à la rencontre de fermiers. On en croise plusieurs, occupés à surveiller dans les champs autour de leurs cases en bois la croissance du coco (une grosse tubercule), du thym (!), des pears (avocats), des sauer soaps, des naseberries, du jum plum… Tout ou presque pousse dans ce secteur, considéré comme l’un des « jardins maraichers » de Jamaïque.
Plus loin dans ces terres du sud-ouest, on s’arrêtera à Middle Quarters pour déguster sur le bord de la route les pepper schrimps, des crevettes pêchées dans la rivière locale, assaisonnées au poivre. Pour le fun, on ira sur le site des YS Falls, un ensemble de cascades rafraîchissantes qui dévalent le long d’un bras de la Black River, aménagée ici avec des bassins et des gazébos (pavillons de jardin) pour le pique-nique. Pour le frisson, on poussera jusqu’au port de pêche de Black River, histoire de naviguer sur la rivière éponyme et d’observer de rares oiseaux ainsi qu’une colonie de crocodiles. Si l’on aime le rhum, bonne pioche ! La Jamaïque en produit et deux distilleries, notamment, ouvrent leurs portes aux touristes : Hampden Estate, près de Falmouth (nord-ouest) et Appleton Estate, proche de Santa Cruz (centre-ouest). Dans un décor digne du 19ème s., la première produit un pure single d’excellence et présente aussi dans sa boutique… une paire de chaussures d’Usain Bolt. Le champion jamaïcain, voisin originaire de Falmouth, les a dédicacées et offertes à la fabrique.
Descente en radeau de bambous de la Martha Brea River, au nord-ouest de l’île. Philippe Bourget | cms
Au nord-est de l’île, les distractions dans les vallées intérieures ne manquent pas non plus. On dénichera avec peine, dans les hauteurs d’Ocho Rios, le vrai Blue Hole, un trou d’eau d’un bleu intense, réceptacle d’une cascade s’échappant d’une rivière de montagne. Le site, nommé Island Gully Falls, est de toute beauté et bien équipé. A l’orée du Cockpit Country, l’un des territoires les plus isolés de Jamaïque, au nord-ouest de l’île, on testera la descente en radeau. Sur la Martha Brae River, des bateliers, comme dans l’ancien temps, font glisser leur embarcation légère sur la rivière ombragée, en poussant sur une longue perche en bois. Comme touriste, c’est une façon originale de s’immiscer dans les replis de la forêt
Un village perché dans les Blue Mountains. Philippe Bourget | cms
Les Blue Mountains, fertile forêt pluviale
On peut sans complexe mettre cette région à part tant elle concentre un maximum d’intérêts naturels et culturels particuliers. Situé à l’est de l’île, dominant Kingston, ce massif montagneux culminant à 2 256 m d’altitude est difficile d’accès. Depuis la capitale, de mauvaises routes étroites et tortueuses partent à l’assaut des versants, grimpant au milieu d’une végétation qui semble vouloir avaler le bitume. Luxuriantes et noyées de brumes, soumises à des pluies soudaines et violentes, les Blue Moutains se prêtent aux randonnées et aux trails, en particulier dans le Blue and John Crow Mountains National Park. Sous un air frais agréable qui fait oublier la chaleur étouffante de Kingston, à 1 250 m d’altitude, quatre trails sont accessibles aux marcheurs depuis l’une des entrées du parc, nommée Holywell. Ce sera l’occasion de croiser deux des symboles du pays : l’arbre national, le Blue Mahoe, une variété d’hibiscus ; l’oiseau national, le Red-billed Streamertail, un colibri.
Les Blue Mountains sont aussi la région du café. Et quel café ! La variété d’arabica qui pousse ici est l’une des plus chères du monde et produit un café doux mais fort en goût et dépourvu d’amertume. Plusieurs fermes caféières se visitent, comme l’UCC Blue Mountain Coffee Craighton Estate, à Irish Town. Les balades dans les plantations permettent en prime de profiter de vues panoramiques superbes sur la capitale et la côte. Quelques hôtels et lodges, disséminés sur les hauteurs, offrent l’occasion de passer une ou deux nuits hors du temps.
Les cascades de Blue Mountains
Cette « jungle amicale » cache aussi d’autres surprises. On sera étonné d’apprendre que le massif abrite encore des villages « marrons », du nom de ces descendants d’esclaves échappés jadis des plantations, réfugiés dans les hauteurs et vivant en communautés. On pourra vivre aussi l’étonnante expérience d’un petit-déjeuner au Pretty Close 876, à Gordon Town. Il s’agit d’un « restaurant » aménagé sous une case, posé au creux d’un torrent, dans une vallée cachée des Blue Mountains. On y déguste, sur réservation, une excellente cuisine traditionnelle i-tal (végétarienne). Aller dans les Blues Mountains, c’est découvrir un nouveau pays !
Y aller Vol TUIFLY au départ de Bruxelles vers Montego Bay, le jeudi. tuifly.fr
Formalités – Il est nécessaire de compléter un formulaire en ligne pour l’Immigration et les Douanes avant le départ. enterjamaica.com – Décalage horaire : en hiver – 6 h ; en été – 7 h.
– Monnaie : le dollar jamaïcain (JA$). 1€ = env. 164 JA$. On peut aussi payer en dollars US.
– Electricité : Prévoir des adaptateurs avec 2 pôles plats.
Découvrez le plus grand Parc Animalier de Belgique sous la magie de l’hiver, explorez la magnifique Grotte de Han et ses trésors géologiques scintillants et terminez votre visite par un passage au marché de Noël qui vous accueille tous les jours, du 23 décembre au 7 janvier inclus (excepté les 25/12 et 01/01) de 11h à 18h.
C’est la nouveauté de cette fin d’année au Domaine : un chaleureux marché de Noël s’installera sur la terrasse du Pavillon, brasserie située à la sortie de la Grotte de Han, transformée, pour l’occasion, en un havre lumineux, chaleureux et festif.
À travers cet évènement, le Domaine remonte le temps et fête les origines de Noël, en célébrant le solstice d’hiver et le retour de la lumière comme le faisaient nos ancêtres.
Rencontrez le Roi de Houx et son elfe Nisse, tout droit issus de légendes celtiques et scandinaves. Embrassez-vous sous le gui, partagez un verre de vin chaud autour du brasero, shoppez des objets artisanaux, dégustez des produits locaux et de saison… Un moment convivial dans une ambiance musicale réconfortante, entouré de mille et une lumières féériques !
Le Ritz, un des hôtels les plus luxueux de Paris, a été le théâtre d’une histoire peu commune. En ce début de mois de décembre, une cheffe d’entreprise malaisienne en visite à Paris signale la disparition d’une bague en diamant, laissée dans sa chambre d’hôtel. Valeur estimée : 750 000 euros. L’alerte est donnée, et une enquête est rapidement lancée par la Brigade de répression du banditisme (BRB).
Contre toute attente, le mystère trouve sa résolution deux jours plus tard, lorsque la bague est découverte dans un… sac d’aspirateur par les agents de sécurité du Ritz ! L’hôtel s’est évidemment excusé et a offert trois nuits supplémentaires à la femme d’affaires…
Avec la réapparition de la bague, l’enquête ouverte pour vol est classée “pour absence d’infraction” par le parquet de Paris. De quoi inspirer l’un des nombreux films de Noël ?
Cette première édition de Mons en Lumières sera bien plus qu’un simple festival. Elle rendra hommage à la poésie et célébrera le 100e anniversaire du surréalisme. Le centre-ville de Mons se transformera en un spectacle captivant, où la magie de la lumière s’entremêlera avec la beauté de l’architecture urbaine. Les 25 installations lumineuses, conçues en synergie avec des artistes locaux, nationaux et internationaux, offriront une expérience unique aux visiteurs. En invité guest star, l’artiste écossais Robert Montgomery.
Production Magic Street
Durable et gratuit
Mons s’engage pour la durabilité, en collaborant avec des artistes pour minimiser l’impact environnemental. Le meilleur ? L’entrée est gratuite, pour que tous puissent profiter de la magie des Lumières à Mons.
La tendance des destinations « dupes » fait référence à des lieux qui imitent des destinations populaires, mais à un coût bien inférieur. Cette approche permet aux voyageurs de profiter d’expériences similaires sans les coûts prohibitifs souvent associés aux endroits les plus courus. En voici quelques exemples :
1. Leiden : Le petit Amsterdam
Norbert Staudt
Leiden, aux Pays-Bas, est souvent comparée à Amsterdam pour ses canaux et ses façades historiques. Cependant, Leiden offre une atmosphère plus intime et des coûts nettement inférieurs.
2. Gdansk : L’alternative à Venise
Krzysztof Maksimiuk
Gdansk, en Pologne, avec ses canaux et son architecture élaborée, est une excellente alternative à Venise. Moins fréquentée et plus abordable, elle offre une expérience culturelle riche et authentique.
3. Da Nang : Miami en Asie
Ngo Thanh Tung
Da Nang, au Vietnam, avec ses longues plages de sable et sa vie nocturne animée, est souvent comparée à Miami, mais elle est beaucoup plus accessible financièrement.
4. La région de la Moselle (Luxembourg)
Thimothy Kindrachuk
Bien sûr, pour beaucoup, la Bourgogne est incomparable, mais la Moselle offre une expérience viticole plus proche, pas dénuée d’intérêt et souvent moins coûteuse.
5. Île de Terschelling, Pays-Bas
Wim van 't einde
Cette île fait partie des îles Wadden, offrant une expérience similaire aux îles plus connues comme l’île de Ré en France, avec ses dunes, bois, et une faune et flore particulières