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Category: Actualité

  • Bruges en alerte bleue : une digue pour sauver ses cygnes des bactéries tueuses !

    Bruges en alerte bleue : une digue pour sauver ses cygnes des bactéries tueuses !

    bruges
    wendy geers

    Bruges fait face à une menace inattendue : les cyanobactéries. Ces micro-organismes prolifèrent dans certaines zones de la ville, transformant l’eau en cocktail toxique pour les cygnes !

    La ville a donc pris les devants : pendant deux semaines, les cygnes ont été confinés au sec, au Béguinage. Désormais, c’est une digue flottante qui les garde à l’abri, délimitant une “zone de natation” chic et sécurisée autour de la Wijngaardplein.

    Une barrière entre cygnes et danger

    Installée par les pompiers, la digue empêche environ 70 cygnes d’atteindre les zones à risque de Groenerei et Coupure, où les “algues bleues” font de la résistance. Ces bactéries, qui se développent avec le soleil et la chaleur, peuvent être toxiques en cas de contact ou d’ingestion, pour les humains comme pour les animaux.

    Et comme si cela ne suffisait pas, la ville rappelle gentiment aux touristes que les miettes de pain, bien intentionnées, ne font qu’aggraver la situation. L’alimentation inadaptée contribue au déséquilibre de l’écosystème.

    Dans une perspective plus large, Bruges s’attaque aussi au fond du problème avec Blue4green, un projet pour améliorer la qualité de l’eau.

  • Leo Express veut relier Ostende à Bratislava en train de nuit : 19 heures, 4 pays, 50 arrêts !

    Leo Express veut relier Ostende à Bratislava en train de nuit : 19 heures, 4 pays, 50 arrêts !

    Bratislava
    martin-katler

    Après un premier essai avorté en 2023, la compagnie ferroviaire tchèque Leo Express revient à la charge avec un projet de train de nuit entre Ostende et Bratislava, via l’Allemagne et la République tchèque. Mise en circulation visée ? Le 13 décembre 2026.

    Une odyssée ferroviaire de 19 heures (et 50 arrêts)

    Selon les documents remis à l’Agence de régulation des transports en Belgique, le trajet ressemblera à un tour de l’Europe centrale : plus de 50 arrêts, 4 pays traversés, et une durée de 19 heures.

    Le train partira chaque soir à 19h10 d’Ostende, traversera la Flandre (Bruges, Gand, Bruxelles, Louvain, Liège), l’Allemagne (Aix-la-Chapelle, Cologne, Düsseldorf, Dortmund, Hanovre, Leipzig, Dresde…), puis Prague, avant une arrivée prévue à 14h18 à Bratislava. Dans l’autre sens, le départ se fera à 14h44, pour une arrivée à Ostende à 09h52.

    Concurrence sur les rails nocturnes

    Le tronçon entre Dresde et Prague est déjà emprunté par les trains de nuit European Sleeper, qui relient Bruxelles à Prague via Anvers et Berlin. Mais Leo Express entend bien tirer son épingle du rail avec un trajet plus long…

  • IA vs Office de Tourisme : le duel qui va redessiner vos vacances

    IA vs Office de Tourisme : le duel qui va redessiner vos vacances

    digital joyful couple
    ai

    Les offices de tourisme vont-ils disparaître, emportés dans la tempête numérique menée par l’intelligence artificielle ? La question semble provocante, voire un peu dramatique. Et pourtant, elle mérite d’être posée. Car entre les recommandations instantanées de ChatGPT, les visuels époustouflants de Midjourney, les guides de voyage automatisés ou encore les itinéraires personnalisés proposés en deux clics, la promesse de vacances “sans prise de tête” n’a jamais été aussi forte.

    L’IA : la nouvelle boussole touristique

    Aujourd’hui, près de 40 % des voyageurs utiliseraient déjà une forme d’IA dans la préparation de leurs séjours, selon une étude de Kantar. De la suggestion de restaurants locaux aux conseils de visites insolites, ces technologies séduisent par leur rapidité, leur accessibilité et leur capacité à générer du contenu sur mesure. En France, certaines destinations comme Chamonix ont d’ailleurs sauté le pas, utilisant des IA génératives pour accélérer leur communication touristique. Un visuel accrocheur ? Un post Facebook à programmer ? En moins de 30 secondes, c’est dans la boîte.

    Les algorithmes vont même plus loin : des systèmes prédictifs aident désormais à anticiper la fréquentation touristique pour désengorger les sites saturés. En Écosse, VisitScotland utilise l’IA pour orienter les visiteurs vers des alternatives moins fréquentées. Résultat : des flux mieux répartis, une expérience plus sereine et un tourisme un peu plus durable.

    Les limites d’un guide sans visage

    Mais tout cela, aussi bluffant soit-il, ne raconte pas tout. Il manque à l’IA quelque chose de fondamental : l’émotion, le ressenti, le vécu local. Vous avez déjà essayé de demander à un chatbot où trouver “le petit resto du coin où tout le village va le dimanche” ? Bonne chance. L’IA reste limitée par ses sources, souvent trop globales, pas assez enracinées dans la réalité d’un territoire.

    Solenn Guillanton, dans un article pour RMC, le résume bien : « L’IA est là pour vous aider, vous faciliter l’expérience. » Pas pour remplacer le lien humain. Elle ne vous dira pas pourquoi un sentier est magique au coucher du soleil, ni ne vous offrira un sourire lorsqu’il pleut des cordes sur votre randonnée.

    Les offices de tourisme : entre reconversion et renouveau

    Alors, quelle est la valeur ajoutée des offices de tourisme aujourd’hui ? Elle réside justement dans ce que l’IA ne sait pas faire (encore) : créer du lien. Le personnel local est souvent le premier ambassadeur d’une région. Il connaît ses histoires, ses anecdotes, ses habitudes. Il parle de la météo “comme là-bas”, et propose des détours imprévus qui finissent parfois par être les meilleurs souvenirs.

    Face à l’automatisation, les offices doivent toutefois évoluer. Exit les dépliants poussiéreux et les cartes à l’échelle douteuse. Place aux apps géolocalisées, aux experiences interactives, aux ateliers sur place, à l’organisation d’événements qui fédèrent habitants et touristes.

    Le bon mélange : une intelligence partagée

    La vraie solution ne réside pas dans une opposition binaire, mais dans une cohabitation intelligente. L’IA peut prendre en charge les tâches chronophages : création de contenu, réponses aux FAQ, collecte de données. Pendant ce temps, les humains peuvent se concentrer sur ce qu’ils font de mieux : accueillir, écouter, orienter.

  • Ces lézards aux allures de dragon bleuté débarquent en France !

    Ces lézards aux allures de dragon bleuté débarquent en France !

    ferme aux crocodiles
    ferme aux crocodiles

    La Ferme aux Crocodiles de Pierrelatte (Drôme) fait parler d’elle en accueillant un duo inédit : deux varans à queue bleue (Varanus doreanus), originaires de Nouvelle-Guinée. En prime ? C’est une première nationale !

    Ce transfert, réalisé en partenariat avec un soigneur-éleveur de Rhône-Alpes, ouvre la voie à un ambitieux projet de reproduction. Jusqu’ici, très peu de cas de reproduction en captivité ont été documentés. Autant dire que si Cupidon s’en mêle, ce sera une victoire pour la science comme pour la conservation !

    Nos deux reptiles séjournent dans un enclos spécialement conçu pour leur bien-être, alliant rigueur scientifique et sensibilisation du public.

    Une réserve tropicale qui ne fait pas les choses à moitié

    Avec plus de 1200 animaux, dont 22 espèces menacées, la Réserve Tropicale ne se contente pas d’être un simple zoo. C’est un acteur engagé, membre de l’AFdPZ (Association Française des Parcs Zoologiques ) et désormais du Centre pour la Sauvegarde des Espèces France.

    Et si vous en doutiez encore : 350 crocodiliens, 600 variétés de plantes exotiques, 150 oiseaux tropicaux… Une immersion grandeur nature dans une jungle où le climat reste tempéré, été comme hiver.

  • De la jungle au château médiéval : on part à l’aventure autour d’Aywaille !

    De la jungle au château médiéval : on part à l’aventure autour d’Aywaille !

    aywaille
    Monde Sauvage Safari Parc

    Monde Sauvage : un safari… en pleine Wallonie

    C’est par un roaaar enthousiaste que mes petits neveux ont accueilli notre visite au Monde Sauvage Safari Parc. En voiture ou à bord du petit train, on traverse un monde peuplé de girafes, éléphants, zèbres et autres créatures exotiques. Le cadre est verdoyant et on jurerait être à des milliers et des milliers de kilomètres au sud ! Ce qu’un hippopotame m’a semblé confirmer… Et puis, il y a aussi les makis qui bondissent d’arbre en arbre, les grands singes majestueux et les petits pandas roux qui jouent les vedettes. Bref, un zoo grandeur nature, où la frontière entre l’homme et l’animal semble s’amenuiser…

    Téléchargez le guide de Stavelot

    aywaille
    Monde Sauvage Safari Parc

    Les Grottes de Remouchamps : sous la terre, le rêve

    À peine trois kilomètres plus loin, changement d’ambiance. On s’engouffre dans les Grottes de Remouchamps, un bijou géologique ! Une marche souterraine parmi les stalactites et stalagmites nous a menés à la “cathédrale”, une immense salle aux airs mystiques. Mais le clou du spectacle, c’est cette balade en barque sur la rivière souterraine – la plus longue d’Europe, s’il vous plaît. Silence, fraîcheur et magie. Une parenthèse hors du temps.

    Téléchargez le guide de Stavelot

    Les Grottes de Remouchamps
    Les Grottes de Remouchamps

    Randonner au fil de l’eau et des ruines

    Rien de tel, après ces aventures souterraines, qu’un bon bol d’air pur. Le vallon du Ninglinspo est un de mes coups de cœur : des cascades, des bassins naturels, des ponts de bois… Un véritable décor de conte. J’ai aussi adoré flâner le long de la majestueuse Charmille du Haut Maret, la plus longue allée de charmes d’Europe. Et que dire des points de vue depuis la Roche aux Faucons, à Esneux ? Grandiose. Même les ruines du château d’Amblève, pourtant bien modestes, semblent conter des histoires oubliées…

    Ninglinspo
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    Comblain-au-Pont : entre art, chauves-souris et silence minéral

    Vous voulez un petit conseil ? Si vous avez le temps, ou si vous restez pour un séjour prolongé, dirigez-vous vers Comblain-au-Pont, où tout semble plus calme, presque feutré. Mais ne vous fiez pas aux apparences. Derrière ses airs discrets, se cachent des trésors inattendus ! Les Grottes de Comblain offrent une expérience sensorielle unique : ici, on écoute la roche, on touche l’argile, on observe le travail millénaire de l’eau. Un peu plus loin, le Centre de la Chauve-souris va sûrement vous réconcilier avec ces petites créatures souvent mal aimées. Et puis, en plein air, les sculptures monumentales en pierre bleue rappellent que l’art aussi, peut être enraciné dans le paysage.

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    Cap sur l’Ourthe en kayak !

    L’adrénaline n’est jamais loin à Aywaille. Pour vous en convaincre, prenez la direction d’Hamoir, pagaie à la main. La descente de l’Ourthe, entre rochers, rapides et feuillages frôlant l’eau, va vous permettre de redécouvrir la rivière avec une intensité rare, et c’est peu de le dire ! Les parcours sont adaptés à tous les niveaux : 8, 15 ou 23 kilomètres selon l’humeur (ou l’état des bras).

    Chargement en cours…

    Kayak Club Les Remous - geoffreymeuli
    Kayak Club Les Remous – geoffreymeuli

    Stavelot : une abbaye, des musées… et un art de vivre !

    À seulement 25 kilomètres d’Aywaille, Stavelot est l’un de ces joyaux discrets qui mêlent patrimoine, culture et traditions populaires. Au cœur de la ville trône l’ancienne abbaye bénédictine, un site majestueux au passé millénaire. Aujourd’hui, elle accueille trois musées incontournables : le Musée de la Principauté de Stavelot-Malmedy, passionnant pour comprendre l’histoire de cette région jadis indépendante ; le Musée du Circuit de Spa-Francorchamps, un circuit tout proche au tracé et à l’histoire mythiques ; et enfin, le Musée Guillaume Apollinaire, dédié au célèbre poète français qui séjourna dans la région.

    Téléchargez le guide de Stavelot

    Abbaye de Stavelot
    WBT – Vincent Ferooz

    Mais Stavelot ne se résume pas à ses musées. Flâner dans ses ruelles pavées, c’est découvrir une ville pleine de cachet, aux maisons anciennes bien conservées, aux placettes conviviales et aux petits cafés où l’on peut déguster une gaufre maison en regardant le monde passer. Et si vous avez la chance d’y être en mars, ne ratez pas le Laetare, le carnaval local. Les Blancs-Moussis, personnages facétieux vêtus de blanc avec un long nez rouge, envahissent les rues dans une ambiance bon enfant et décalée. Entre culture, folklore et plaisir de vivre, Stavelot est bien plus qu’une étape, c’est un gros coup de cœur !

    Abbaye de Stavelot
    WBT – David Samyn

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  • Les Belges en vadrouille : voici où ils préfèrent voyager !

    Les Belges en vadrouille : voici où ils préfèrent voyager !

    biaritz
    ilona-bellotto

    Les Belges ont signé un record historique avec 23,7 millions de voyages effectués en 2024, selon Statbel. Depuis le début des relevés en 2015, jamais autant de valises n’avaient été bouclées, avec une augmentation par rapport à 2023 de 2,1 %.

    Si les départs n’explosent pas, les séjours s’allongent : 181,4 millions de nuitées, soit une hausse de 10,9 %.

    La France conserve son statut de destination préférée, avec 5,6 millions de voyages (+4,3 %) et 41,4 millions de nuitées (+6,3 %). Deuxième cette année, l’Espagne gagne du terrain : 2,1 millions de voyages (+5,1 %) et 21,9 millions de nuitées (+18 %). Les Pays-Bas, eux, dégringolent à la troisième place, avec une chute de 11,2 % des voyages. Bon à savoir, la Turquie (9e, +72,8 % de nuitées) et la Suisse (10e, +60,2 % de voyages) séduisent également de plus en plus !

  • Un village belge classé parmi les pépites d’Europe !

    Un village belge classé parmi les pépites d’Europe !

    Vresse-sur-Semois
    CGT – Arnaud Siquet

    En effet, Vresse-sur-Semois, décroche la 22e place parmi 50 joyaux ! Le classement repose sur plusieurs critères : prix des logements, qualité des paysages, météo, randonnées et gastronomie. Si le climat belge plafonne à un modeste 7,37/10, la commune fait un carton plein sur les sentiers de rando avec un impressionnant 9,77/10. Vresse-sur-Semois se distingue aussi par des hébergements abordables (8,66/10) et des paysages pittoresques (7,58/10).

    Que faire à Vresse-sur-Semois ?

    Côté activités, les promeneurs seront ravis. La réserve naturelle de Bohan-Membre vous attend avec ses versants boisés, ses ruisseaux cachés, et une forêt dense peuplée de chênes et érables. Envie de fraîcheur ? On opte pour une virée en kayak sur la Semois.

    Ne manquez pas la promenade des légendes, un parcours parsemé de panneaux explicatifs pour en apprendre davantage sur les contes et l’architecture locale. Le pont Saint-Lambert, avec ses trois arches irrégulières en pierre, constitue un autre immanquable du coin.

    Les amateurs d’art s’arrêteront à la Fondation Chaidron-Guisset et son centre dédié à l’art régional, où l’École de Vresse continue de faire vivre l’âme artistique de la vallée.

    Découvrir Vresse-Sur-Semois

  • Le plus vieil office de tourisme français fête ses 150 ans…

    Le plus vieil office de tourisme français fête ses 150 ans…

    gerardmer
    pierre-gui

    Le tout premier office de tourisme de France a vu le jour le 23 juillet 1875 à Gérardmer, dans les Vosges. Son nom ? Le Comité des Promenades, fondé pour accueillir une clientèle chic venue de Paris profiter des rives fraîchement aménagées du lac et des villas cossues. Très vite, le succès est au rendez-vous, dopé par l’arrivée du train direct Paris-Gérardmer dès 1878. En 1907, la ville crée même une station de sports d’hiver.

    Une idée qui fait boule de neige

    Le modèle vosgien séduit : partout en France, on s’inspire de Gérardmer pour organiser le tourisme local. Syndicats d’initiatives, Touring Club, associations : l’idée se propage et finit par se structurer. L’État s’en mêle, avec la création de l’Office national du tourisme (1910), du Commissariat général au tourisme (1935) ou encore de Maison de la France (1987). Ce maillage unique a contribué à faire de la France la première destination touristique mondiale, rapporte le Figaro.

    Offices de tourisme : toujours debout

    Aujourd’hui, les offices de tourisme ne sont plus gérés par des notables moustachus en haut-de-forme, mais par des collectivités territoriales. Et depuis 2010, c’est ADN Tourisme qui fédère tout ce petit monde. Bien sûr, la concurrence est rude : entre Google Maps, Insta et les IA, les voyageurs se débrouillent souvent tout seuls. Mais l’accueil humain, le conseil personnalisé et la connaissance fine du terrain gardent toute leur valeur.

  • Vous êtes salarié ? Attention à ce que vous postez sur les réseaux pendant vos vacances !

    Vous êtes salarié ? Attention à ce que vous postez sur les réseaux pendant vos vacances !

    facebook
    timothy-hales-bennett

    En principe, vous êtes libre en tant que salarié de décider quelles photos ou quels messages vous postez sur Facebook ou sur les autres réseaux sociaux. Votre employeur n’a, en soi, rien à dire à ce sujet. Sachez toutefois que de nombreux employeurs consultent de temps à autre les profils de leurs collaborateurs. S’ils y trouvent des photos ou propos manifestement tenus ou pris sous l’emprise de l’alcool, cela pourrait influencer leur jugement à votre égard (et par exemple freiner une éventuelle promotion).

    Il y a des limites

    Vous devez dans tous les cas veiller à ce que vos publications ne portent pas atteinte à la réputation de votre employeur. Si vous postez, par exemple, une photo compromettante alors que vous portez un t-shirt avec en grand le nom de l’entreprise, ou si vous publiez des commentaires négatifs sur votre patron (dans lesquels vous dites par exemple, être momentanément soulagé d’être débarrassé de ce chef désagréable), celui-ci n’est pas tenu de le tolérer. Il en va de même si vous partagez du contenu à caractère raciste : votre employeur n’est pas obligé de l’accepter.

    Licenciement ?

    Si vous dépassez les bornes, votre employeur pourrait aller jusqu’à vous licencier pour motif grave. Si votre profil Facebook est public, ou si votre employeur fait partie de vos « amis » sur les réseaux sociaux, vous ne pouvez pas invoquer une atteinte à votre vie privée pour contester la prise de connaissance de vos publications. En cas de litige, c’est le tribunal qui décidera en dernier ressort s’il s’agit bien d’un motif grave de licenciement. Et même si un licenciement pour faute grave n’est pas retenu, il se peut que votre employeur considère vos publications ou photos comme une raison valable pour vous licencier moyennant un préavis ou une indemnité compensatoire de préavis.

    Jan ROODHOOFT, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Pokémon débarque en vrai : Tokyo aura son parc à thème en 2026 !

    Pokémon débarque en vrai : Tokyo aura son parc à thème en 2026 !

    François Piette | cms

    La Pokémon Company a annoncé l’ouverture du tout premier parc à thème Pokémon, baptisé PokePark Kanto, en plein cœur de Tokyo. Prévu pour le printemps 2026, ce temple du Pikachu s’étendra sur 2,6 hectares dans l’enceinte de Yomiuri Land, le plus grand parc d’attractions de la capitale.

    Junichi Masuda, directeur créatif chez Pokémon Company, explique : « Nous voulons créer un lieu où les Pokémon sont toujours présents, et où chacun peut s’amuser avec eux. »

    Deux zones, mille aventures

    Le parc sera divisé en deux univers :

    • Une forêt Pokémon, sauvage et mystérieuse, idéale pour jouer au dresseur en herbe.
    • Une zone commerciale et d’attractions, pour vider son portefeuille avec le sourire.

    Le Japon mise sur ses monstres de poche

    Depuis la sortie du premier jeu Pokémon en 1996 sur Game Boy, la franchise n’a cessé de muter. Jeux, films, série animée, cartes à collectionner et bien sûr Pokémon Go, qui a ramené des millions de fans dans les rues. Un parc à thème semblait être l’évolution logique8