D’après les chiffres du SPF Finances relayés par De Zondag, 6.264 Belges ont choisi d’investir dans un petit coin de paradis hors de leurs frontières, soit nettement moins que les 9.024 de 2022.
Cap sur la France et l’Espagne
La France et l’Espagne se démarquent comme les destinations phares, capturant l’imaginaire de six investisseurs belges sur dix. L’aventure ne s’arrête pas là : 86 autres pays ont également su séduire les Belges : parmi elles, l’Italie, les Pays-Bas, le Portugal, et d’autres destinations comme la Pologne, la Grèce, l’Allemagne, la Roumanie et le Royaume-Uni complètent le top 10.
Le Musée du Circuit de Spa-Francorchamps, situé dans les caves voûtées de l’Abbaye de Stavelot, enrichit sa collection avec une exposition unique. Pour marquer cet anniversaire symbolique, 50 casques de Jacky Ickx, légende du sport automobile belge, sont désormais exposés. Ces casques représentent des moments clés de sa carrière, incluant des victoires comme celle des 24 heures de Spa-Francorchamps en 1966.
Des événements tout au long de l’année
En plus de cette exposition spéciale, une série d’événements thématiques est prévue. Cela inclut des hommages à d’autres légendes comme Ayrton Senna, et des présentations par des personnalités influentes du monde automobile. Les visiteurs peuvent aussi attendre une exposition de 12 voitures exceptionnelles pour le centenaire des 24 heures de Spa-Francorchamps.
Un lieu chargé d’histoire
Fondé en 1984, le musée trace l’histoire de ce circuit emblématique et met en lumière les avancées technologiques et les prouesses des pilotes qui ont marqué le monde de la course. Avec des véhicules provenant de collections privées, l’exposition offre une vue unique sur l’évolution du sport automobile.
“Chaque casque raconte une partie de l’histoire de la course, illustrant les défis et les triomphes de l’un des plus grands pilotes de tous les temps,” explique Jean-Claude Mathoul, directeur du musée. “C’est une reconnaissance de la place de Jacky Ickx dans l’histoire du sport et de notre région.”
Hybrid Air Vehicles (HAV), c’est le nom de l’entreprise britannique qui plaide pour le retour des dirigeables dans l’espace aérien afin d’en faire une alternative durable à l’aviation civile conventionnelle. Et c’est là tout sauf un projet fumeux puisque HAV a annoncé l’ouverture d’une usine de production à Doncaster, une ville située dans le Yorkshire du Sud. Le conseil municipal de cette dernière et l’entreprise d’aéronefs ont convenu d’implanter le site de production des futurs dirigeables à Carcroft Common, une zone désaffectée de 50 ha. HAV n’attend plus que le permis de construire pour entamer les travaux.
Sous réserve de l’approbation des plans de la future usine, HAV développera de nouvelles installations en vue de produire, d’essayer et de certifier l’Airlander 10, avec une capacité de production qui devrait tourner autour de 24 dirigeables par an. L’usine abritera des équipements de production aérospatiale de pointe, tels qu’une ligne d’assemblage pour la cellule composite de l’Airlander 10, mais également pour ses systèmes de propulsion ainsi que pour l’avionique embarquée.
L’Airlander 10, que l’entreprise décrit comme “le grand aéronef le plus efficace au monde”, est un type d’appareil volant à très faibles émissions capable de transporter 100 passagers ou 10 tonnes de charge utile. À distance égale, HAV estime que l’empreinte carbone par passager à bord de son dirigeable serait d’environ 4,5 kg, contre environ 53 kg pour un avion de ligne !
En 2021, HAV prévoyait d’exploiter plusieurs lignes dès 2025, mais la société vise désormais 2028 pour faire voler son Airlander 10. Malgré le retard emmagasiné et un vol d’essai qui s’est soldé par un accident en 2016, le carnet de commandes du dirigeable dépasse d’ores et déjà le milliard de livres sterling. Le premier dirigeable devrait entrer en service dans quatre ans, vraisemblablement avec la compagnie espagnole Air Nostrum qui croit dur comme fer en cet audacieux projet industriel.
Des ajustements majeurs sont prévus pour améliorer l’expérience des festivaliers. Concernant le stationnement, de nouveaux parkings de délestage gratuits avec navettes seront disponibles, ainsi que des parkings de proximité sur réservation, sécurisés et éclairés. Un réseau de navettes payantes reliera également le festival aux grandes villes wallonnes et à Bruxelles.
Encouragement des modes de transport alternatifs
L’organisation encourage les alternatives à la voiture. L’utilisation du vélo sera facilitée par des itinéraires cyclables dédiés, des parkings vélo et des aménagements pour les cyclistes. Trois zones de “kiss and ride” seront également mises en place pour simplifier les arrivées et départs.
Aménagements du site
La scène principale sera déplacée pour offrir un terrain plus plat, limitant ainsi les problèmes en cas de pluie. La scène secondaire reste en place mais repositionnée pour une meilleure expérience. La capacité journalière sera limitée à 25.000 personnes pour garantir confort et sécurité. Les organisateurs espèrent ainsi prendre soin tant des festivaliers que des riverains.
Le Belge se plaint souvent du temps, surtout lorsqu’il pleut. Il faut néanmoins savoir qu’avec 170 jours de pluie par an en moyenne, Singapour est loin d’être le pays à la météo la plus clémente… L’Intercontinental Singapore, un palace de la cité-état insulaire, l’a bien compris et a donc décidé de lancer une offre commerciale pour le moins originale. Pour convaincre les touristes de réserver ses chambres les plus luxueuses, cet établissement lance le Rain Resist Bliss, un forfait qui prévoit de rembourser les séjours des personnes qui ont dû annuler leurs activités à cause de la pluie.
Pas pour tout le monde…
Il faut néanmoins noter que cette espèce d’assurance beau temps n’est pas proposée à tous les clients. En effet, pour en bénéficier et être remboursé, il faut qu’il ait plu “pendant au moins 120 minutes cumulées sur une période de 4 heures en journée”, précise l’hôtel dans un communiqué. En outre, il faut séjourner dans l’une de ses suites pour espérer jouir de cette garantie. Sachez que les tarifs de ces dernières démarrent à 850 SGD (585 €) la nuit et peuvent monter jusqu’à 4.500 SGD (3.100 €) pour ce qui est de la suite présidentielle. Enfin, ne pensez pas recevoir de l’argent liquide si votre séjour est ruiné puisque le remboursement de celui-ci ne s’effectue que sous la forme d’un bon d’achat à dépenser sur place dans les six mois.
Cette offre commerciale s’inscrit dans la lignée de plusieurs démarches lancées par des hôtels qui rivalisent d’imagination pour attirer le chaland. On pense notamment au “sleep tourism” proposé par certains établissements, avec la garantie de passer une nuit réparatrice. Non loin de Singapour, à Bali, un hôtel a interdit tout appareil électronique, en ce compris les smartphones, au bord de la piscine afin d’encourager les clients à se déconnecter et donc à se détendre…
Le tourisme à Amsterdam a atteint des niveaux qui semblent inquiéter les autorités locales. Pour y remédier, la ville a décidé d’imposer un plafond de 20 millions de nuitées annuelles.
Règles strictes pour les nouveaux hôtels
Dorénavant, les possibilités de développer de nouveaux hôtels dans la capitale sont quasi inexistantes. Les dernières exceptions qui permettaient encore la construction de nouveaux établissements hôteliers ont été supprimées. En clair, la seule solution pour ouvrir un nouvel hôtel, est de prendre la place d’un autre qui ferme, sans, en outre, augmenter le nombre de chambres disponibles et en proposant un niveau de qualité supérieure ! Bref, c’est plutôt sévère…
L’Antarctique est souvent perçu comme un sanctuaire de nature sauvage. Pourtant, il est confronté à une pollution insoupçonnée. Une étude de l’Université de Bâle a mis en lumière la présence alarmante de plastiques, bien au-delà des estimations précédentes. La majorité de ces particules sont si fines qu’elles avaient échappé aux radars scientifiques.
Des méthodes révélant l’invisible
Traditionnellement, les études s’appuyaient sur des filets à mailles de 300 micromètres pour capturer les particules de plastique. Toutefois, ces techniques se sont révélées inefficaces pour les microparticules. En analysant l’eau de mer par spectroscopie infrarouge, les chercheurs ont découvert des particules jusqu’à 11 micromètres, dévoilant ainsi l’étendue réelle de la pollution.
Un écosystème en péril
Les conséquences écologiques peuvent être alarmantes, surtout pour les organismes vivants adaptés à l’environnement extrême de l’Antarctique. La vulnérabilité de ces écosystèmes aux nouveaux polluants pourrait avoir des répercussions dramatiques sur leur survie.
Origines ?
La question demeure : comment ces microplastiques ont-ils atteint les eaux isolées de la mer de Weddel ? Les activités humaines telles que le tourisme, la pêche et la recherche scientifique sont pointées du doigt. Cependant, les courants marins et atmosphériques jouent également un rôle dans cette contamination globale, transportant les microplastiques sur de longues distances.
Des chercheurs chinois ont mis au point un moteur hypersonique, décrit comme le plus puissant au monde, capable de propulser des avions à une vitesse de 20 000 km/h, soit Mach 16 !
Fonctionnement du moteur
Le moteur fonctionne en deux modes distincts selon la vitesse. Jusqu’à Mach 7, il utilise la détonation rotative où les détonations circulent continuellement autour d’un canal, ce qui permet une combustion plus efficace du carburant. Au-delà de Mach 7, il passe à la détonation oblique, où les ondes de choc sont dirigées de manière linéaire, augmentant la stabilité à des vitesses extrêmement élevées…
Au-delà de l’impact sur le transport civil, où un vol de Paris à New York pourrait se réduire à seulement 20 minutes, cette technologie ouvre également de nouvelles perspectives dans le domaine militaire.
Toutefois, ce développement n’est pas exempt de défis. Les chercheurs travaillent à surmonter les instabilités du moteur autour de Mach 7 et à optimiser la transition entre les deux modes de fonctionnement pour garantir une efficacité maximale à toutes les vitesses. Bref, ce n’est pas pour demain, mais si le Concorde est mort, la descendance s’organise !
Avec ses 500.000 m2, le parc promet une immersion totale dans les sept différentes zones thématiques inspirées de l’univers de Dragon Ball. Plus qu’un simple lieu de divertissement, il intégrera une trentaine d’attractions, des hôtels et des restaurants, de quoi attirer fans et familles du monde entier. Pourtant, malgré l’ampleur du projet, les détails financiers et la date d’ouverture restent enveloppés de mystère, suivant le modèle habituel des mégaprojets du royaume. Il faut dire que la récente disparition d’Akira Toriyama, le génie derrière Dragon Ball, ajoute une dimension émotionnelle à ce projet.
Ce parc d’attractions s’inscrit dans le cadre de la Vision 2030 de l’Arabie Saoudite, un projet ambitieux visant à diversifier l’économie du royaume.
L’Espagne prend des mesures significatives pour assurer la protection de son marché immobilier. Le Premier ministre Pedro Sánchez a annoncé l’arrêt des “visas dorés”, une initiative permettant jusqu’à présent aux non-Européens d’obtenir facilement un permis de séjour en échange d’investissements immobiliers conséquents (on parle de minimum, un demi-million d’euros). Cette mesure vise à rééquilibrer le marché du logement…
Introduit dans un contexte économique difficile, le programme des visas dorés visait à attirer les capitaux étrangers. Toutefois, son succès a contribué à une tension sur le marché immobilier, particulièrement dans des villes comme Barcelone, Madrid, et sur des îles comme les Baléares.
Un mouvement partagé en Europe
Cette décision s’inscrit dans un contexte plus large, où d’autres nations européennes, comme le Portugal, conscientes des effets parfois délétères de tels programmes, ajustent ou mettent fin à leurs dispositifs similaires.
