En analysant 938 sites côtiers du pourtour méditerranéen selon différents scénarios climatiques du GIEC, l’étude montre que 34,4 % de ces sites (soit 320 zones humides) pourraient disparaître même dans les scénarios les plus optimistes (+1,8 degré de réchauffement). Dans les scénarios pessimistes (+4,4 degrés), ce chiffre grimpe à 495 sites, soit plus de la moitié des zones humides côtières.
Le parc naturel régional de Camargue, la plus grande zone humide de France, pourrait par exemple perdre une surface équivalente à quatre fois la superficie de Paris. Cette montée des eaux pourrait être dévastatrice pour de nombreuses espèces d’oiseaux, à l’instar des flamants roses, avocettes élégantes et autres canards chipeaux.
Les auteurs de l’étude soulignent que ces chiffres pourraient être sous-estimés, car de nombreuses zones côtières, notamment en Espagne, n’ont pas été incluses et d’autres menaces comme l’érosion côtière, la salinisation et le surtourisme n’ont pas été prises en compte.
Quelles mesures pour contrer cette montée des eaux ?
Pour contrer ces menaces, les chercheurs recommandent la mise en place urgente de mesures, telles que la construction de digues et, plus efficacement à long terme, des solutions fondées sur la nature comme la fixation de dunes avec de la végétation et l’extension des aires protégées pour lutter contre l’urbanisation non maîtrisée.
L’Acropole d’Athènes, l’un des monuments antiques les plus visités au monde, vient de lancer des visites privées exclusives pour 5.000 euros, accessibles uniquement en dehors des horaires habituels d’ouverture. Ces visites sont réservées à des groupes de cinq personnes au maximum et débutent à 7h00 du matin ou après 20h00.
Selon le site “Hellenic Heritage”, qui promeut ces visites sous le nom de “The Acropolis Experience”, ce service exclusif est limité à quatre groupes simultanément. Les visiteurs peuvent également bénéficier d’un guide personnel. La première de ces visites a été effectuée par un couple russe accompagné de leur propre guide, selon les médias grecs.
Cependant, cette initiative a rapidement suscité des controverses, notamment du côté du syndicat des gardiens des sites archéologiques grecs qui n’est pas impliqué dans ces arrangements.
L’Acropole, de manière plus raisonnable
Classée au patrimoine mondial de l’Unesco, l’Acropole attire de plus en plus de visiteurs, notamment grâce aux touristes de croisière. L’année dernière, elle a enregistré près de quatre millions de visiteurs, une augmentation de plus de 31% par rapport à l’année précédente. Cette affluence a contraint l’Organisme national des ressources archéologiques (ODAP) à instaurer des créneaux horaires pour réguler le flux des visiteurs.
Ouverte au public chaque jour de 08h00 à 20h00, l’Acropole propose un ticket d’entrée standard à 20 euros, avec une option combinée à d’autres sites antiques pour 30 euros.
Greenpeace a analysé 990 itinéraires entre 45 grandes villes européennes. Seuls 12% de ces trajets peuvent être effectués directement en train, tandis que 69% peuvent l’être en avion. Selon Greenpeace, 305 trajets pourraient être réalisés directement par le rail, en moins de 18 heures, grâce aux infrastructures ferroviaires existantes.
Et à Bruxelles ?
Bruxelles est connectée à onze grandes villes par le rail, dont quatre avec des trains de nuit. Cependant, il n’existe aucune connexion ferroviaire directe de moins de 12 ou 18 heures avec des villes comme Barcelone, Birmingham, Budapest, Rome, Stockholm, ou Zurich.
“Les gouvernements européens et l’UE doivent corriger ce déséquilibre historique en améliorant la connectivité et le confort des trains. Ils doivent mettre fin aux avantages injustes du secteur aérien“, déclare Herwig Schuster, chargé de campagne pour les transports chez Greenpeace.
La division belge de l’ONG exhorte le futur gouvernement fédéral à augmenter le nombre de liaisons ferroviaires directes et à améliorer la coopération internationale. Elle demande également la suppression des subventions pour le secteur aérien, tout en maintenant celles pour les opérateurs de trains de nuit. Greenpeace propose enfin un système de réservation uniformisé au niveau européen et une garantie d’accès aux correspondances.
C’est un loisir en pleine expansion qui fait de plus en plus d’adeptes. L’escape game (ou jeu d’évasion en français) est un jeu de rôle grandeur nature qui constitue, en quelque sorte, la déclinaison physique des jeux vidéo du même genre. Le principe est simple : pouvoir s’échapper d’une pièce ou d’une environnement clos grâce à une série d’indices disséminés sur les lieux ainsi qu’à des épreuves. Un concept qui s’adresse aussi bien aux groupes qu’aux personnes seules, et tant aux adultes qu’aux enfants. Certains escape games sont construits autour d’une histoire tandis que d’autres proposent une succession de jeux de logique qui s’enchaînent au fil du temps.
Si vous faites partie des nombreux fans de cette nouvelle manière de s’amuser, vous trouverez sans aucun doute votre bonheur dans la région Famenne-Ardenne, celle-ci comptant plusieurs escape games sur son territoire. Vous n’avez donc plus qu’à vous armer de courage et de patience et de vous entourer d’amis ou de membres de votre famille afin de constituer une équipe de choc !
Nouveauté en Famenne-Ardenne
La Maison du Tourisme Famenne-Ardenne vous invite à découvrir son prestigieux territoire à travers 7 nouveaux Escape Games. Une besace, une carte avec des points d’intérêts, un livre servant au démarrage du jeu et de la chasse aux indices… Des jeux à faire en famille sur un parcours de +/‐5 km, idéalement pour groupe de maximum 6 personnes.
MFTA
A Durbuy, la plus petite Ville du Monde, existe une légende de Hanyu… Un habitant de cette ville japonaise aurait laissé un bijou en jade, pierre précieuse aux mile vertus. A travers des indices, seuls ceux qui la méritent la trouveront…
MFTA
Hotton et son passé lié à la deuxième guerre mondiale, notamment le sergent H.N. Wade qui a combattu dans la Royal Air Force. De retour en Nouvelle-Zélande, il devait épouser sa promise, mais tout bascula le 30 mai 1943. Un livre devait revenir à sa fiancée afin qu’elle puisse découvrir ce qu’il renferme …
Houyet et Léopold II… Le roi des Belges fit construire le plus beau château de Belgique en 1874 dans le magnifique parc du Domaine d’Ardenne. Il en fit un hôtel de grand luxe pour attirer les têtes couronnées et les plus grosses fortunes du monde entier. Après sa destruction on découvrit dans une chapelle cette besace. L’oubli d’un pèlerin…mais quel secret renferme-t-elle ?
Lesse Coast Media
Détour ensuite par Marche-en-Famenne…Six jours après la disparition de Gugusse, deux copains, Charly et Auguste, continuent leurs investigations. Il faut les aider à le retrouver avant le spectacle du soir. Dans une ville chargée d’histoire, retrouver cette célèbre marionnette emblématique est indispensable au théâtre amateur « Les Mautchis Mi Tchis Qu’Ti ».
Nassogne et le fameux St-Monon, écossais de naissance. Il voulut faire le pèlerinage à Rome aux tombeaux des apôtres, comme le firent beaucoup de ses contemporains. Quand il revint par la Gaule, il découvrit le silence de la forêt d’Ardenne et s’y bâtit une solitude. Mais de solitude bientôt il n’en fut plus question…Une clochette a disparu…
Rocha Fortis (Rochefort) en 1615, la ville est prospère grâce au comte de Loewenstein et à la comtesse de la Marck qui ont beaucoup œuvré pour la ville et son château. Leur fils, Hildebert est enlevé par le singe de Conrad, directeur de cirque et homme cupide. Il sait que les parents feront tout pour que leur fils leur soit rendu ! Mais quelle sera la phrase mystère pour qu’il puisse descendre du toit…
Et pour terminer, Beauraing, qui vous offre une version « Kids » : la légende raconte que le Duc d’Osuna, qui a vécu de longues années dans le château du Castel Sainte Marie, aurait enfermé un secret dans cette besace à destination de ses petits-enfants mais quel est-il… ?
63% des Wallons qui conduisent à l’étranger choisissent la France. L’Espagne et l’Italie suivent avec respectivement 11% et 9%. Et les Wallons ne sont pas très optimistes : 72% des conducteurs s’attendant à recevoir une amende pour excès de vitesse !
Près de 39% des Wallons ont déjà reçu une amende lors de voyages précédents. Les excès de vitesse sont les plus courants, représentant 30% des infractions, suivis par l’usage du téléphone (5%) et la conduite sous influence d’alcool (3%).
Il peut y avoir de nombreuses raisons pour lesquelles vous préférez ne pas participer au voyage que vous avez réservé. Cela peut aller d’une rupture amoureuse à une perte de revenu en passant par un deuil…
Laisser quelqu’un d’autre prendre votre place ?
La loi vous donne le droit de laisser partir quelqu’un d’autre à votre place. Vous pouvez transférer le voyage à forfait que vous avez réservé à quelqu’un d’autre. La condition est que la personne à qui vous transférez le voyage remplisse toutes les conditions applicables au contrat.
Toutefois, vous devez informer le voyagiste de la cession sur un support durable, dans un délai raisonnable avant le début du voyage à forfait : selon la loi, l’organisateur doit être mis au courant au plus tard sept jours avant le début du voyage à forfait.
Qui paie ?
Si vous transférez votre voyage, vous pouvez convenir avec le bénéficiaire de la répartition des frais. Par exemple, vous pouvez décider de payer chacun une partie, le cessionnaire peut tout payer, etc. Toutefois, cet accord mutuel ne s’applique pas à l’encontre de l’organisateur de voyages. En effet, le cédant et le cessionnaire sont solidairement responsables du paiement du montant restant dû et de tous les frais supplémentaires, surcharges et autres coûts relatifs à la cession.
Frais supplémentaires ?
L’organisateur de voyages peut en effet facturer des frais supplémentaires. Il doit évidemment informe la personne qui transfère le contrat, des coûts réels de ce transfert. Ces frais sont toutefois limités : ils ne peuvent excéder les coûts réels supportés par l’organisateur pour le transfert du contrat de voyage à forfait. L’organisateur doit également apporter la preuve des frais supplémentaires, des surcharges et autres coûts résultant du transfert du contrat.
Au cœur du pays, à quelques minutes de route de Bruxelles, Mons, Charleroi et Namur, se trouve l’hôtel Van der Valk Nivelles-Sud, un établissement quatre étoiles supérieur. Facilement accessible grâce à sa proximité avec l’E19, cet hôtel offre 155 chambres et suites de grand confort, réparties en 3 catégories (Standard, Confort et Executive). Cosy, spacieuses et fonctionnelles, elles sont la garantie de nuits douces et réparatrices.
Délices mixologiques
Mais le Van der Valk Nivelles-Sud est bien plus qu’un hôtel à la localisation idéale ! En effet, l’établissement brabançon vous propose également d’embarquer pour un voyage dans le petit monde de la mixologie et de déguster les cocktails concoctés par l’équipe du Petrus Bar Lounge. Un endroit incontournable pour tous les amateurs de Manhattan, Negroni, Old Fashioned et Aperol Spritz pour ne citer qu’eux. Le lieu propose aussi une vaste sélection de bières, de vins et de spiritueux d’exception que l’on peut siroter installé dans de confortables canapés Art-Déco, tout en écoutant un concert privé ou l’un des DJ qui se produisent sur place chaque fin de semaine !
vdv nivelles
Pour tous les palais
Que vous soyez de passage à Nivelles et à la recherche d’un restaurant de qualité pour le lunch ou pour la soirée ou que vous soyez pris d’une faim de loup avec l’envie de vous attaquer à un buffet à volonté, là aussi l’hôtel Van der Valk Nivelles-Sud est une adresse à sérieusement considérer.
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Trois possibilités s’offrent à vous : une cuisine savoureuse et de saison proposée par le chef Cédric Tennstedt (ancien chef du Vieux Marronnier à Nivelles) qui met un point d’honneur à sublimer les produits frais et de qualité, et à les mettre en scène avec sa touche personnelle. Tous ses plats sont préparés sur place par une brigade attentive à satisfaire les moindres envies des clients de passage, en ce compris pour les végétariens. La carte des vins pour sa part est ouverte sur le monde avec une belle sélection, locale comme internationale. Le tout se déguste dans un décor récemment rénové qui combine une atmosphère chaleureuse et classe avec un service aux petits soins.
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Autre option : une zone live-cooking dominée par une série de buffets chauds et froids proposés le vendredi soir, le samedi soir ainsi que le dimanche midi. De quoi assouvir les appétits les plus gourmands dans un cadre tout aussi convivial que celui du restaurant. En outre, à partir du 15 août et tout au long de l’année, un business lunch est proposé tous les midis sous la forme d’un buffet chaud et froid, accessible aussi bien aux clients de l’hôtel qu’aux visiteurs extérieurs.
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Enfin, pour un repas sur le pouce et sans chichi, l’hôtel dispose également d’une brasserie où les tables, équipées de prises électriques, permettent de profiter d’un délicieux repas tout en travaillant si cela s’impose. Ce bistrot propose une carte composée de plats tantôt typiquement belges, tantôt classiques, ainsi que de la petite restauration, des pâtes et des burgers de qualité.
Pour toute information complémentaire sur l’offre gastronomique de l’hôtel Van der Valk Nivelles-Sud, n’hésitez pas à consulter son site internet.
Harry Armstrong, responsable du développement durable à la CAA, a déclaré : “Nous voulons tous contribuer à réduire notre impact environnemental, mais il est difficile de faire des choix éclairés lorsque les données ne sont pas disponibles“. Actuellement, le secteur aérien est responsable de 2,5 à 3 % des émissions mondiales deCO2.
Consultation publique et propositions
La CAA lance une consultation, qui durera jusqu’en octobre, sur des propositions visant à garantir que les consommateurs disposent de données environnementales au moment de la réservation. Les informations devront être “exactes, compréhensibles et accessibles” et utiliser des unités standard, telles que les kilos de CO2 par trajet et par passager.
En janvier, l’agence européenne de sécurité aérienne (EASA) avait annoncé que les passagers pourraient consulter à partir de 2025 des informations standardisées sur “l’empreinte carbone” et “l’efficacité carbone” des vols dans l’Union européenne. Cependant, la participation à ce système “d’étiquetage environnemental” se ferait sur la base du volontariat pour les compagnies aériennes.
Après trente ans dans les médias, Thomas Van Hamme a redéfini sa vie en se consacrant à la méditation active. Formé en Inde, il propose désormais des retraites qui combinent pratiques méditatives et exercices ludiques. Thomas vous guidera vers une introspection profonde, aidé par son empathie naturelle et son talent pour l’animation.
Candice Mangon : la passion du yoga
Candice Mangon, professeure de yoga certifiée, allie rigueur et bienveillance dans ses séances. Formée en Inde et en Belgique, elle saura adapter ses cours à tous les niveaux, permettant à chacun de tirer le meilleur parti de cette expérience. Ses sessions de yoga sont enrichies par des mantras, apportant une dimension spirituelle unique.
Un programme riche et varié
Le programme de cette retraite est conçu pour vous offrir un équilibre parfait entre activité physique, détente et découverte :
Yoga dynamique au réveil
Méditation et reconnexion
Randonnées et exploration de la forêt ardennaise
Cercle de parole autour d’un feu de camp
Chaque journée est une invitation à vous immerger pleinement dans la nature et à renouer avec votre essence.
Un cadre enchanteur : l’atelier des cimes
Situé à proximité des chemins de grande randonnée, L’Atelier des Cimes est l’endroit idéal pour cette retraite. Entouré de forêts et de rivières, ce lieu insolite offre un cadre propice au lâcher-prise et à la relaxation. Les participants seront logés dans des cabanes pittoresques, offrant confort et proximité avec la nature.
En 2023, les Belges ont réalisé un total de 23,2 millions de voyages, dépassant de 2,2% le nombre de voyages de 2019, qui était l’année record avant la pandémie de Covid-19. Le nombre de nuitées a également connu une hausse, avec un total de 163,6 millions, soit 7,1% de plus qu’en 2019.
Le Belge moyen a effectué deux voyages en 2023, totalisant 14,2 jours. Au niveau de la population, 21,8 millions de voyages ont été réalisés pour les vacances. Parmi les destinations, la Belgique reste la préférée pour les séjours courts (une à trois nuits) avec 47% des voyages. Elle est suivie par la France (19%) et les Pays-Bas (16%).
Pour les vacances de quatre nuits ou plus, la France se positionne comme la destination favorite des Belges avec 26% des voyages, devant l’Espagne (13%) et la Belgique (12%).
