La compagnie hongroise Wizz Air ouvre une nouvelle route aérienne entre l’aéroport de Charleroi (BSCA) et la capitale moldave Chisinau. Les premiers vols commenceront le 19 décembre avec deux rotations hebdomadaires : le jeudi et le dimanche.
Anaghan
Le 21 février prochain, c’est au tour de la compagnie espagnole Volotea d’inaugurer une ligne entre Charleroi et Bordeaux. Les vols seront assurés les lundis et vendredis, à bord d’Airbus A320 de 180 places. Et pour l’été 2025, les horaires passeront au jeudi et dimanche.
Tout au long de l’année 2025, le Domaine de la bataille de Waterloo présente une exposition exceptionnelle intitulée “La légende de Napoléon en briques Lego”. Accessible au Mémorial, situé au pied de la Butte du Lion, cette exposition propose de découvrir les moments forts de l’époque napoléonienne à travers 40 maquettes réalisées avec un million de petites briques Lego.
Une exposition immersive et éducative
Réalisée par une société spécialisée, l’exposition a déjà fait sensation en France depuis 2021, lors du bicentenaire du décès de Napoléon. Pour sa venue à Waterloo, le parcours a été enrichi de quelques exclusivités, notamment une maquette reconstituant les combats de la ferme d’Hougoumont. Des panneaux explicatifs ont été élaborés pour aider les visiteurs à mieux comprendre les scènes historiques.
Une expérience pour toute la famille
Conçue pour captiver petits et grands, l’exposition propose une salle de création où les enfants et leurs familles peuvent s’amuser avec des Lego. Une application interactive disponible en 7 langues permet aussi aux adultes d’approfondir leur visite.
Le prix d’entrée est de 12 euros pour les adultes, avec une offre combinée “domaine + exposition” disponible pour seulement 3 euros supplémentaires.
Désormais, il est interdit d’organiser des tournées des barsguidées entre 22h et 6h du matin dans les rues de Prague. La municipalité souhaite protéger la tranquillité des riverains face aux excès liés à ces virées nocturnes, souvent prisées par des groupes d’enterrements de vie de garçon, notamment britanniques.
Vers un tourisme de qualité à Prague
Prague souhaite attirer des visiteurs “plus cultivés, plus riches“, explique Jiri Pospisil, un autre élu de la ville. Ces tournées festives nocturnes, qui n’étaient pas toujours du goût des habitants ni des autres touristes, étaient devenues problématiques : les riverains souffraient en effet du bruit et des débordements, notamment dans le centre historique classé par l’Unesco.
Vaclav Starek, directeur de l’association tchèque des hôtels et restaurants, approuve la décision et affirme que cela ne devrait pas affecter les ventes. “Personne n’interdira d’aller dans un pub, mais ces tournées organisées tous les soirs ne sont pas nécessaires“, a-t-il déclaré.
Prague et sa culture de la bière
Malgré cette interdiction, la bière reste indissociable de la culture tèche. Avec une consommation moyenne de 128 litres de bière par personne en 2023, les Tchèques gardent leur titre de plus gros buveurs de bière au monde ! Et ce n’est pas un hasard si la bière est souvent moins chère que l’eau dans certains restaurants de Prague. De nombreux pubs du centre proposent encore des demis de la célèbre bière Plzen à moins de trois euros.
Voici venue la saison des monstres et des sorcières, et avec elle, le frisson de cette période si particulière. Visiter quelques lieux lorsque la nuit tombe ou par une journée brumeuse vous promet une bonne dose d’adrénaline. Alors, oserez-vous vous aventurer sur ces terres maléfiques ? Voici cinq sites incontournables qui vous promettent une expérience hors du commun, à la frontière de l’émerveillement et de l’effroi.
1. La Tour d’Eben-Ezer : la sentinelle mystérieuse
Perchée sur une colline, la Tour d’Eben-Ezer est un monument fascinant, à mi-chemin entre une forteresse mystique et un livre d’alchimie grandeur nature. Les quatre impressionnantes statues de pierre (un taureau, un sphinx, un lion et un aigle) qui trônent sur les extrémités du bâtiment vous accueillent d’un regard glacial. Construite par un homme seul, la tour est chargée de symbolisme biblique et ésotérique. À la nuit tombée, sa silhouette sombre se découpe dans le ciel sombre et l’atmosphère devient lourde, au point de faire frissonner les plus téméraires, jeunes et moins jeunes. Alors, qui aura le courage de gravir ces marches ?
2. La Grotte Saint-Antoine à Crupet : sous les racines du mal
En plein cœur de Crupet (région namuroise) se cache un lieu qui m’a toujours effrayée étant petite : la grotte Saint-Antoine. Cet ensemble de galeries dédiées au fameux ermite embusque en effet un… diable ! Et ce dernier est réaliste au possible, avec ses cornes, ses ongles et ses ailes ! Certes, lui-même a peur de Saint-Antoine, mais ça, je n’ai fini par le comprendre que bien plus tard… Enfant, face à Belzébuth, j’étais tétanisée ! Et histoire de rajouter une couche à l’ambiance maléfique, la descente dans la grotte s’apparente à une visite au plus profond des entrailles de la terre… Rajoutez un courant d’air frais et vous obtenez un vrai moment d’épouvante !
3. Le Sentier de l’Etrange : entre rêve et cauchemar
Pour une balade hors du commun, rendez-vous sur le Sentier de l’Etrange. Ce chemin en plein bois près d’Ellezelles est ponctué de sculptures énigmatiques signées par un artiste local. Sorcières, lutins et autres créatures étranges sont cachés dans les fourrés, prêts à surgir à tout instant. On croirait que la forêt elle-même est vivante, comme si les arbres et les pierres chuchotaient quelques secrets anciens au travers de ces créatures ! Ce sentier n’est pas qu’une promenade, c’est une plongée immersive dans l’atmosphère d’Halloween.
4. Le Château de Reinhardstein : la citadelle des ombres
En plein cœur des Ardennes, le château de Reinhardstein se dresse fièrement sur son éperon rocheux. Majestueux et intriguant le jour, il devient comme hanté la nuit, semblant sorti tout droit d’un conte gothique. Les pierres anciennes paraissent murmurer des histoires de chevaliers et de trahisons… Il n’est pas difficile d’imaginer des fantômes errant dans ses couloirs, des bruits de pas résonnant dans l’obscurité, ou le froissement d’une cape invisible glissant dans la cour ! Le visiter, c’est faire un retour express au Moyen-Âge.
5. Les Mégalithes de Wéris : sur les traces de l’inconnu
Pour finir, direction Wéris, un des plus beaux villages de Wallonie, qui cache un secret préhistorique. Les mégalithes qui parsèment la région sont des pierres dressées, témoins d’un passé lointain et énigmatique. Certains y voient l’œuvre de nains, de fées, voire du diable… Imaginez une promenade sous une brume épaisse, où chaque pierre prend des airs de sentinelle silencieuse, où chaque bruissement du vent semble être un murmure venu du passé. Émotions fortes garanties, surtout si vous avez l’impression d’être observé… L’êtes-vous ?
Des événements immanquables pour parfaire votre Halloween
Pour prolonger votre immersion dans le monde mystérieux d’Halloween, ne manquez pas les deux spectacles éblouissants qui se tiennent jusqu’au 3 novembre.
D’abord, le spectacle itinérant de Luc Petit, “Le Secret des Dragons“, à l’institut Saint-Luc de Tournai. Cette création magique, à mi-chemin entre le conte et la performance artistique, vous emporte dans un monde fantastique ! On vous promet des acrobaties, des jeux de lumière et des effets spéciaux spectaculaires !
Les Nocaturnales
Ensuite, le spectacle “Héléween” au château d’Hélécine vous plongera dans l’horreur, avec une visite terrifiante du château… Lugubres, les jardins et le château vous ensorcellent dans un décor sinistre, avec couloirs hantés et énigmes à la clé… Prenez garde : le dôme du château est devenu un pénitencier pour fantômes et il serait malheureux de les laisser s’échapper !
Entre frissons garantis et moments de féerie, cette saison vous promet des souvenirs inoubliables !
L’agence flamande du tourisme, Toerisme Vlaanderen, a dévoilé un projet ambitieux : Smaakhaven, un centre d’expérience autour de la gastronomie qui verra le jour en 2029 dans l’ancien bâtiment du Loodswezen, sur les quais du port d’Anvers. Ce lieu emblématique, autrefois destiné aux pilotes de navires, deviendra une référence pour tout ce qui touche à l’alimentation et à la gastronomie flamande.
Le bâtiment, protégé et construit au 19e siècle, est inoccupé depuis plusieurs années. Les autorités cherchaient une nouvelle affectation qui valoriserait le patrimoine tout en le faisant vivre. Et voilà qui est fait avec Smaakhaven !
Une expérience culinaire immersive
Le futur centre comprendra une cuisine de démonstration, un parcours expérimental, un espace événementiel, un magasin et un bar lounge. Selon Peter De Wilde, CEO de Toerisme Vlaanderen, le projet repose sur trois piliers : innovation, tradition et savoir-faire. Ce sera un lieu où se rencontreront chefs, agriculteurs, et amateurs de bonne cuisine pour échanger autour de leurs passions.
Koen Kennis, échevin du tourisme à Anvers, souligne l’importance de donner une nouvelle vie à ce bâtiment historique. Avant d’accueillir les pilotes de navires, l’endroit servait de bourse pour la commercialisation du froment, de l’orge et d’autres ingrédients dès le 16e siècle.
Certaines de ces sphères de pierre pèsent plusieurs tonnes. Ces boules intrigantes, dont la plus grande mesure plus de 2,15 mètres de diamètre, sont composées de calcaire ou de grès.
Une énigme non résolue
Découvertes dans les années 1930 lors de travaux de déforestation par une entreprise bananière, ces sphères ont rapidement attiré l’attention des archéologues. Mais malgré des décennies de recherches, l’origine et la fonction de ces boules restent un mystère. Les théories abondent : certains pensent qu’elles servaient de symboles de pouvoir, tandis que d’autres suggèrent qu’elles étaient alignées avec des constellations ou utilisées comme outils de navigation. Cependant, aucune de ces hypothèses n’a été prouvée. Hélas, de nombreuses pierres ont été dynamitées, certains archéologues en herbe pensant à l’époque que ces pierres enfermaient de l’or… Aujourd’hui, ces sphères mégalithiques font partie du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Elle prévoit aussi de réduire de 60 % ses vols vers Hambourg et de 20 % ceux vers Berlin. En cause, un conflit avec le gouvernement allemand concernant une hausse des taxes aériennes, qui rendrait les vols en Allemagne plus chers qu’ailleurs.
Cette décision entraînera une baisse de 12 % du nombre de passagers de Ryanair en Allemagne l’été prochain, soit une diminution de 1,8 million de sièges. La compagnie irlandaise appelle le gouvernement à supprimer les taxes aériennes et à réduire les coûts de contrôle du trafic aérien et de sécurité.
La Lufthansa et EasyJet ont également exprimé leurs inquiétudes quant aux coûts croissants en Allemagne. Cette situation pourrait affecter davantage l’offre de vols dans le pays, augmentant la pression sur les prix… Affaire à suivre !
La brasserie Rodenbach à Roulers, fondée en 1821, a inauguré un parcours de visite entièrement repensé. L’objectif ? Faire revivre l’histoire de cette brasserie de renom tout en offrant au public la possibilité de composer leur propre bière. En effet, la Rodenbach est connue pour être un assemblage complexe d’une bière jeune et d’une autre vieillie deux ans en foudre, ce qui lui confère son caractère unique et sa légère acidité.
La première étape de cette transformation a vu l’inauguration de la Foederhuis au printemps dernier. Cet espace horeca, situé au cœur des barriques de bois de chêne, permet de déguster la gamme Rodenbach. Ces barriques, pouvant contenir de 12 000 à 65 000 litres, constituent d’ailleurs le visage même de la brasserie !
Le parcours de visite permet aux visiteurs de déambuler dans les caves de stockage où sont entreposées près de 300 barriques. Avant cela, une vue imprenable sur la salle de brassage moderne, inaugurée en 2002, est offerte aux curieux. Chaque année, 50.000 hectolitres de Rodenbach sont produits, majoritairement destinés à la Belgique. L’expérience s’achève en permettant aux visiteurs de composer leur propre bière à partir de trois breuvages différents.
La Commission européenne a proposé de permettre aux citoyens de demander un passeport ainsi qu’une carte d’identité numérique. Ces outils doivent faciliter les démarches et les passages aux frontières, ont expliqué Didier Reynders et Ylva Johansson lors d’une conférence de presse.
“Non moins de 600 millions de personnes viennent visiter l’UE chaque année, ce qui représente une charge de travail importante pour les gardes-frontières“, a déclaré la commissaire aux Affaires intérieures, Ylva Johansson.
Faciliter le passage aux frontières
La Commission souhaite permettre aux citoyens européens de demander un passeport numérique, que les États membres seraient obligés de fournir en cas de requête. L’objectif serait de rendre plus facile le passage aux frontières de l’espace Schengen. Les voyageurs pourraient envoyer leur passeport à l’avance, de sorte que les vérifications aient été effectuées au moment de leur passage à la douane, a expliqué Mme Johansson. “Cela permettrait aux garde-frontières de se concentrer sur les cas plus complexes qui nécessitent un examen approfondi“, a invoqué la commissaire.
Pas obligatoire !
“Pour les citoyens, le passeport numérique ne serait pas une obligation, mais une opportunité“, a souligné la Suédoise. Ils auraient alors accès à une version numérique de leur passeport qu’ils pourraient scanner pour les démarches aux frontières. Plus besoin d’ouvrir le passeport papier ! Le passeport numérique pourrait aussi être transmis par les utilisateurs aux compagnies aériennes au moment de l’enregistrement des passagers, par exemple.
Vers une identité numérique européenne sécurisée
Didier Reynders, commissaire à la Justice, a proposé une disposition similaire pour les cartes d’identité. Le mécanisme serait également accessible sur base volontaire et aurait pour but de faciliter la liberté de mouvement au sein de l’espace Schengen. Il permettrait par ailleurs de “libérer le potentiel” de différents services et applications numériques, a souligné le Belge. “Des méthodes de cryptage sont utilisées pour garantir le respect des règles de protection des données et je peux assurer aux utilisateurs que leurs données seront protégées“, a mis en avant Didier Reynders.
L’avenir des documents de voyage
Une application dédiée aux documents de voyage doit voir le jour d’ici 2030 pour y loger les documents dans un “portefeuille d’identité numérique européen“, selon la Commission.
L’idée d’une “identité électronique européenne sécurisée” date d’il y a quelques années déjà. Au moment de son discours sur l’état de l’Union en septembre 2020, Ursula von der Leyen avait annoncé un tel outil : “Une identité fiable, que tout citoyen pourra utiliser partout en Europe pour n’importe quel usage, comme payer ses impôts ou louer un vélo. Une technologie qui nous permettra de contrôler quelles données nous partageons et l’usage qui pourra en être fait.”
Bastogne est une destination fascinante aussi bien pour les amateurs d’histoire que pour les férus de traditions locales. Et si la petite ville ardennaise est surtout connue pour le rôle qu’elle a joué lors de la Bataille des Ardennes, ses musées mettent aussi à l’honneur la richesse de la culture ardennaise sous toutes ses formes.
Unique en son genre, ce musée vous propose un voyage au cœur de la culture ardennaise à travers trois espaces d’exposition qui offrent des regards diversifiés et complémentaires sur la vie des Ardennais d’hier et d’aujourd’hui. Vous y découvrirez les coutumes, les jeux traditionnels pratiqués dans la région, ainsi que l’éducation et les traditions locales. Adapté aux familles, le Musée de la Grande Ardenne offre une expérience intergénérationnelle et conviviale.
Ce musée vivant propose une visite en trois temps. Les visiteurs peuvent tout d’abord explorer un parc animalier regroupant 25 espèces d’animaux lainiers. Ensuite, ils découvriront les différentes étapes du travail de la laine, à la fois dans sa version contemporaine et telle qu’elle se pratiquait au début du XXe siècle. Enfin, les visiteurs voyageront à travers le temps et seront guidés dans une maison d’époque reconstituée. Les plus jeunes seront ravis de parcourir le parc tout en côtoyant ses animaux au doux pelage !
Espace dédié à l’art contemporain et à la promotion des arts plastiques et visuels, l’Orangerie organise cinq expositions par an. De quoi découvrir divers artistes venus de tous les horizons, qu’ils soient actifs dans la peinture, la sculpture, la photo, la vidéo ou encore la performance scénique. Un lieu où l’art est mis à l’honneur sous toutes ses formes !
Rue Porte Haute 30 (Parc Elisabeth), 6600 Bastogne
La ville du souvenir
Témoin de la culture et des traditions locales, Bastogne est aussi une destination incontournable pour les passionnés d’histoire, notamment de la Seconde Guerre mondiale et de la célèbre Bataille des Ardennes. Quatre institutions majeures vous permettent de revivre cet épisode marquant du XXe siècle, à commencer par le Bastogne War Museum, qui fait office de centre de mémoire retraçant la chronologie de la Seconde Guerre mondiale à travers le regard de quatre personnages. Plusieurs espaces interactifs et immersifs, dont Génération 45, vous renvoient près de 80 ans en arrière afin de mieux prendre l’ampleur de cette époque trouble.
Anne Segers
Les Bastogne War Rooms pour abritent les caves où les soldats américains se sont réfugiés lors de la Bataille des Ardennes. Avec une scénographie moderne et immersive, vous revivrez les moments clés du début de l’offensive. C’est notamment dans ces caves que le Général Anthony McAuliffe prononça son célèbre « Nuts ! » face à la demande de reddition des allemands.
Anne Segers
Les Bastogne Barracks, une caserne construite en 1936, abritait un camp de formation des Jeunesses hitlériennes avant de devenir un QG américain. Ce lieu, aujourd’hui reconverti en centre d’interprétation de la Seconde Guerre mondiale, est également un pôle de restauration et d’exposition de véhicules militaires.
A. Preser
Enfin, le 101st Airborne Museum plonge les visiteurs lui aussi au cœur de la Bataille des Ardennes grâce à ses nombreux objets d’époque et une scénographie très réaliste. Créé et géré par une équipe de passionnés, ce lieu permet de mieux comprendre l’horreur vécue par les soldats lors de l’offensive des Ardennes en 1944 et 1945.
Anne Segers
Pour en savoir plus sur l’offre muséale du Pays de Bastogne, n’hésitez pas à consulter le site www.paysdebastogne.be