Les deux icônes du tourisme belge, l’Ardenne et la Côte, ont décidé de joindre leurs forces pour se promouvoir mutuellement. Une initiative ambitieuse de collaboration dévoilée jeudi par les fédérations touristiques de la province de Luxembourg (FTPLux) et de Westtoer (Flandre occidentale). L’idée? Attirer un public plus large, en valorisant non seulement les trésors naturels de leurs régions respectives, mais aussi l’esprit d’hospitalité qui unit flamands et francophones.
Une campagne commune pour 2025
Pour donner corps à ce projet, une campagne de communication commune sera lancée en début d’année prochaine. “La Côte et l’Ardenne font partie des icônes belges. Nos deux destinations phares ne sont plus des concurrentes depuis longtemps, elles peuvent se renforcer mutuellement“, soulignent Marie-Eve Hannard (Luxembourg) et Sabien Lahaye-Battheu (Flandre occidentale).
Les deux offices du tourisme lancent un appel aux vacanciers : “Partagez votre amour pour la Côte et/ou l’Ardenne“. Les témoignages serviront de base à la campagne, autour du thème “Soyez le bienvenu” ou “Hartelijk welkom“.
Des projets au-delà de l’hospitalité
Les deux régions vont plus loin et prévoient d’autres collaborations sur des thématiques comme le tourisme nature, la gastronomie ou le patrimoine. Un message clair : renforcer ensemble l’attractivité touristique de la Belgique.
— 🇹🇷 🇬🇧 Turkey Türkiye (@Anatolia_Today) March 5, 2023
L’Arabie Saoudite ne manque pas d’ambition avec son projet futuriste : le Mukaab, le plus grand bâtiment du monde, à savoir un cube gigantesque de 400 mètres de haut, qui promet de transformer le visage de Riyad. Ce bâtiment prévoit d’accueillir des espaces pour la restauration, le shopping, des activités culturelles immersives et un hôtel de 500 chambres.
Une expérience immersive unique
Avec une coupole à l’intérieur pouvant projeter des images, le Mukaab mise sur des expériences à la pointe de la technologie. Ce nouveau quartier de Riyad comptera également des écoles, des hôpitaux, ainsi qu’un stade de 45.000 places. Le but est de faire de Riyad une destination incontournable pour les touristes en quête de nouveauté et d’expériences hors du commun.
Le tourisme au cœur de la stratégie saoudienne
Ce projet fait partie de la stratégie de Mohammed ben Salmane visant à transformer l’Arabie Saoudite en un centre majeur du tourisme international. Le Mukaab s’ajoute à d’autres initiatives audacieuses comme “The Line“, la fameuse ville miroir en plein désert.
Le Groenland, la plus grande île du monde, s’apprête à inaugurer son tout premier aéroport international aux abords de la capitale Nuuk. Cet aéroport, qui sera opérationnel dès le 28 novembre prochain, permettra l’atterrissage et le décollage de plus gros avions, offrant ainsi des connexions directes avec l’Europe et l’Amérique du Nord. Actuellement, rejoindre le Groenland est possible uniquement via le Danemark ou l’Islande.
Des ambitions pour le développement
La construction de cet aéroport a commencé en 2019 pour améliorer l’accessibilité de l’île, qui reste encore difficile à atteindre. Avec seulement 57.000 habitants, le Groenland espère booster son tourisme et renforcer ses liens avec l’étranger. Les premières liaisons relieront Nuuk à Copenhague, puis au Canada et aux États-Unis à l’été 2025. Le Groenland ne s’arrête pas là. Deux autres aéroports internationaux sont prévus à Ilulissat et Qaportoq, qui devraient être opérationnels d’ici fin 2026.
Depuis le 1er octobre, Paris interdit la distribution de diesel dans quatre stations Total Energies situées aux portes de la capitale (à la porte d’Orléans, d’Aubervilliers, de Clignancourt et du quai d’Issy-les-Moulineaux). Ces points stratégiques, auparavant des arrêts pratiques pour les visiteurs, ne proposent donc plus que de l’essence !
Cette mesure vise à renforcer les zones à faible émission dans Paris. Toutefois, quatorze autres stations parisiennes continuent encore de distribuer du gazole, mais leur statut pourrait évoluer.
La Grèce a accueilli en août une hausse de 6,6% de touristes étrangers par rapport à l’année précédente, selon la Banque de Grèce. Toutefois, les revenus du secteur touristiqueont baissé de 1,8% sur la même période. Cette tendance se poursuit sur les neuf premiers mois de l’année, avec une augmentation de 9,9% des touristes et une baisse de 3,2% des revenus.
Un nouveau record en 2024 ?
En 2023, la Grèce avait battu un record en accueillant 32,7 millions de touristes, malgré les feux de forêt et la canicule qui avaient perturbé la saison estivale. Le porte-parole du gouvernement, Pavlos Marinakis, a indiqué que 2024 pourrait encore être à la hauteur en termes de visites. Le ministère du Tourisme prévoit de publier sous peu un rapport détaillé sur le bilan de la saison estivale.
Pourquoi moins de revenus ?
Les experts estiment que l’écart entre l’afflux de touristes et la baisse des revenus pourrait s’expliquer par une dépense moyenne plus faible par visiteur. La Grèce reste une destination populaire, mais il semble que les touristes dépensent moins que les années précédentes.
Quand j’ai proposé à mes proches de partir avec moi sur les pas du surréalisme, ils m’ont regardée d’un air béat : « c’est quoi ça ? ». J’ai répondu fièrement : « être surréaliste, c’est bannir de l’esprit le déjà vu et rechercher le pas encore vu ». Cette définition n’est pas de moi, mais de René Magritte… J’ai ajouté que le surréalisme, c’est l’art de déformer les objets et éléments du quotidien pour créer de nouvelles approches esthétiques. Une façon de voir la vie d’un autre œil, en somme. Intrigués, ils ont accepté de plonger dans cet univers. Ce courant de pensée est né il y a tout juste 100 ans, lorsque le Français André Breton signait le premier manifeste du surréalisme. En Belgique, le surréalisme a dépassé toutes les formes d’arts pour devenir un véritable état d’esprit…
Première halte : Charleroi et son musée de la photographie situé dans un ancien couvent, où se tient jusqu’au 26 janvier l’expo « Surréalisme, pour ainsi dire… ». Les gestionnaires du musée ont sorti des tiroirs toutes les photos surréalistes de leurs collections, les exposant en sections thématiques : la ville, les vitrines, les objets, les pas perdus, le corps, les fenêtres du désir, liaisons dangereuses, les ombres domestiques, etc. On trouve des photos d’artistes belges, comme Marcel Lefrancq ou encore René Magritte qui s’est essayé à la photo occasionnellement. Mais l’expo dépasse nos frontières, avec des clichés d’artistes étrangers comme Man Ray ou Manuel Alvarez Bravo. Des photos solarisées, découpées, collées, brûlées ou encore surimprimées. Bref, des clichés qui ne cherchent pas à figer la réalité, mais nous plongent dans un univers décalé. La photo est ici une fenêtre sur un autre monde.
JP Remy Musée de la photographie
Des objets qui bouleversent le réel à Mons
On poursuit notre route sur les traces du surréalisme en poussant la porte du CAP/musée des Beaux-Arts de Mons, qui accueille jusqu’au 16 février prochain l’expo « Le surréalisme : bouleverser le réel ». Ici, on découvre le surréalisme sous un angle inédit : celui de l’objet qui fait évoluer la société. L’expo retrace l’histoire des objets (mais aussi peintures, photos, affiches, collages et films) au sein du surréalisme des années 1920 et 1930, puis dans la société de consommation de l’après-guerre. Cela au travers de 30 artistes belges comme Paul Nougé, René Magritte, Jane Graverol, Rachel Baes ou encore Marcel Mariën. Ou quand le surréalisme questionne notre rapport à la consommation. J’ai particulièrement aimé les nombreuses affiches avec de jolis jeux de mots qui font réfléchir…
Enfin, direction Liège et le musée des Beaux-Arts de La Boverie, qui accueille jusqu’au 16 mars 2025 l’expo « Les Mondes de Paul Delvaux ». Représentant majeur de la peinture belge du 20e siècle, Paul Delvaux (1897-1994) est souvent considéré comme le peintre des femmes et des gares. L’expo présente plus de 150 œuvres (peintures, dessins, objets) de la première à la dernière création de l’artiste (1920-1986). Des œuvres qui n’avaient plus été vues ni rassemblées depuis des années. Certaines toiles interpellent par leur approche subversive et décalée. D’autres éblouissent par leur côté magique et fantastique.
Mes ados ont apprécié la section multimédia, qui nous fait entrer dans l’intimité de l’artiste grâce à la reconstitution originale de son atelier : on surprend le peintre occupé à travailler, entouré d’objets personnels. J’ai aussi pu prendre la place du peintre en composant mon propre Delvaux grâce à un dispositif interactif. Malheureusement, cet outil n’a pas fait de moi une véritable artiste… Mais ces trois expos consacrées au surréalisme m’ont plongée dans un voyage à la frontière du réel. Ce mouvement est un véritable hommage à l’imagination. Il bouleverse l’ordre établi et appelle à l’émerveillement, nous offrant un petit moment hors du temps et une belle réflexion sur le présent.
1. Le Festival de Pâques : La musique au cœur de la ville
Chaque année, le Festival de Pâques d’Aix-en-Provence attire les amateurs de musique classique du monde entier. Cet événement, qui se déroulera cette année du 27 mars au 7 avril, est un rendez-vous immanquable pour vivre une expérience musicale unique. Avec des artistes de renom, des orchestres prestigieux et une ambiance inoubliable, le festival transforme la ville en une escapade culturelle hors du commun.
2. La Cathédrale Saint-Sauveur
La Cathédrale Saint-Sauveur est un joyau historique d’Aix-en-Provence. Avec son architecture mélangeant plusieurs styles – du roman au gothique – et ses magnifiques tableaux, cette cathédrale est un véritable témoignage de l’histoire riche de la ville. Promenez-vous dans son cloître et laissez-vous transporter par le charme de ses jardins paisibles.
3. Le Cours Mirabeau
Le Cours Mirabeau, bordé de platanes, est l’artère principale de la ville et sans doute l’une des plus belles avenues de Provence. Flânez entre les fontaines et les bâtiments aux façades typiques, profitez des terrasses de cafés pour prendre un verre et admirer la vie aixoise à son meilleur.
4. Les Thermes Sextius
Les Thermes Sextius sont un lieu de bien-être parfait pour ceux qui souhaitent se détendre après une journée de découverte. Ces thermes, qui reposent sur les anciennes sources romaines, offrent une variété de soins qui vous permettront de déconnecter et de profiter d’un moment de relaxation dans un cadre historique.
5. L’Atelier de Paul Cézanne
Pour les amateurs d’art, une visite à l’Atelier de Paul Cézanne est incontournable. Ce lieu, où le célèbre peintre a réalisé certaines de ses œuvres les plus emblématiques, offre un aperçu fascinant de la vie et du travail de cet artiste emblématique. L’atelier est resté intact, permettant aux visiteurs de ressentir l’inspiration qui y règne.
La ville du Mans accueille une nouvelle fresque monumentale en plein cœur de la cité Plantagenêt, fruit de la collaboration entre le street-artiste Wen2 et François Schuiten, célèbre pour sa série “Les Cités Obscures“. Le résultat ? Un allumeur de lampadaire qui arpente une ville en construction, surveillé par un visage lumineux. L’œuvre transporte les passants dans un univers mêlant futurisme et patrimoine, une signature indéniable de l’artiste belge !
Un hommage à l’architecture onirique
Avec ses bâtiments peints d’une profondeur saisissante, cette fresque semble dépasser les limites du mur pour fusionner avec l’architecture manceau. Schuiten y fait revivre sa passion pour un urbanisme empreint de rêve et de fantaisie, invitant chaque spectateur à s’imaginer dans un futur alternatif où le passé et l’avenir se mêlent harmonieusement. Située rue des Falotiers, cette œuvre est la 58e fresque à embellir la ville, confirmant Le Mans comme acteur majeur de la scène street art en France.
Autant dire que les automobilistes parisiens ne comprennent pas tous cette nouvelle limitation, que de son côté, la présidente de la Région Île-de-France, Valérie Pécresse (LR), ainsi que des organisations patronales franciliennes, ont dénoncé en parlant d’une mesure prise de manière “unilatérale” et “anti-sociale“.
Long de 35 km, le périphérique est emprunté quotidiennement par plus d’un million de véhicules. Attention donc quand vous y mettre les roues et surveillez votre compteur de vitesse !
Les compagnies ÖBB et European Sleeper continueront de proposer trois trajets par semaine chacune, mais les trains partiront aux.. mêmes jours, les lundi, mercredi et vendredi à partir du 15 décembre ! Le comble ? les deux trains quitteront Bruxelles-Midi en l’espace de 20 minutes seulement : 19h03 pour le Nightjet d’ÖBB et 19h22 pour le train d’European Sleeper.
Cette synchronisation est due à des “raisons opérationnelles“, selon ÖBB. Autant dire qu’European Sleeper n’est pas franchement ravie… Cependant, la société estime pouvoir tenir son rang, notamment car le Nightjet a unecapacité moindre en raison de sa division pour desservir à la fois Berlin et Vienne.
European Sleeper propose aussi un itinéraire distinct, passant par les Pays-Bas et continuant vers Prague, contrairement au trajet d’ÖBB.