Cette pratique, autrefois réservée aux cinéphiles avertis, séduit désormais un public plus large. Selon Expedia, 66 % des voyageurs affirment que leurs choix de destinations sont influencés par des lieux aperçus à l’écran.
Des destinations propulsées par le petit écran
Certaines séries ont propulsé des lieux au rang de destinations touristiques incontournables. Par exemple, la série “The White Lotus” a suscité un intérêt accru pour la Sicile, avec une augmentation de 300 % des recherches pour cette destination après la diffusion de la saison 2. De même, “Emily in Paris” a ravivé l’attrait pour la capitale française, notamment le quartier du Marais, où l’héroïne réside.
Un impact économique significatif
Le set-jetting a des retombées économiques notables pour les régions concernées. Par exemple, la Nouvelle-Zélande a vu son tourisme augmenter de 40 % entre 2000 et 2006, en grande partie grâce au succès de la trilogie “Le Seigneur des Anneaux”. Les autorités locales et les entreprises touristiques capitalisent sur cette tendance en proposant des circuits dédiés aux fans.
Tout n’est pas rose !
Cependant, cette popularité soudaine n’est pas sans risque. La plage de Freshwater West au Pays de Galles, lieu de tournage de “Harry Potter”, a par exemple été confrontée à une affluence massive, avec à la clé des plages polluées par des voyageurs peu scrupuleux…
Eurostar vise 30 millions de voyageurs par an d’ici 2030. Avec une commande prévue de 50 nouveaux trains, le réseau Eurostar prévoit une grosse expansion. Ces nouveaux trains permettront à la flotte de passer de 51 à 67 trains. Cela dit, il faudra se montrer un peu patient car l’arrivée des premières nouvelles rames est prévue pour 2030.
Un réseau stratégique
Bruxelles est au centre du réseau Eurostar, offrant des liaisons rapides vers Londres, Paris et Amsterdam. La SNCB détient 18,5% du groupe, tandis que la SNCF reste l’actionnaire majoritaire avec 55,75%. Eurostar explore de nouvelles destinations à partir de ses hubs, comme Bruxelles et Londres, qui devraient être annoncées prochainement.
Un Caravage inédit exposé à Rome. Appartenant à une collection privée, « Le portrait de Maffeo Barberini », futur pape Urbain VIII, est visible depuis ce samedi, et jusqu’en février, au palazzo Barberini, à Rome https://t.co/FOLeQqwBkapic.twitter.com/jaQjGzJZ1Y
Michelangelo Merisi, dit Le Caravage (1571-1610), révolutionne la peinture baroque par son clair-obscur dramatique et son réalisme saisissant. Provocateur et génial, ce troubadour a bouleversé les codes de son époque !
Une œuvre inédite dans un cadre historique
Pour la première fois, un tableau rarissime du Caravage, “Le portrait de Maffeo Barberini”, sort de l’ombre. Conservée dans une collection privée pendant des décennies, cette toile est désormais visible au palais Barberini, siège de la Galerie nationale d’art antique à Rome. Ce lieu emblématique, qui abrite déjà quatre œuvres majeures du maître, accueille ce prêt exceptionnel.
Une œuvre riche en symboles
Le tableau, peint entre 1598 et 1601, représente Maffeo Barberini, futur pape Urbain VIII. Paola Nicita, historienne de l’art, décrit ses mains comme “actrices” de la composition : la droite semble sortir du cadre, rappelant “La vocation de saint Mathieu“. Ce clair-obscur sublime le décor minimaliste, signature caravagesque.
Un événement attendu des experts
“D’une très grande valeur“, ce tableau “n’a jamais été vu dans un musée“, souligne Thomas Clement Salomon, directeur de la Galerie Barberini. Les portraits de Caravage, extrêmement rares, suscitent un vif engouement parmi amateurs et spécialistes.
Ce jeu-vidéo, édité par un studio ukrainien, se déroule dans un univers post-apocalyptique peuplé de mutants et de monstres humanoïdes autour de la centrale accidentée en 1986. « Il a été constaté qu’un nombre considérable d’aventuriers qui ont tenté de pénétrer illégalement dans la zone interdite à la recherche de sensations fortes étaient des amateurs de jeux vidéo », ont déclaré les gardes-frontières ukrainiens dans un communiqué.
Un périmètre hautement contaminé
Pour rappel, la zone d’exclusion est l’une des plus contaminées par la radioactivité au monde et reste strictement interdite au public. D’après les gardes-frontières, près de 120 personnes ont été interpellées en 2021 pour avoir pénétré illégalement sur ce site. Depuis l’invasion russe en 2022, leur nombre a diminué, mais certains curieux continuent à enfreindre la loi. « Il s’agit principalement d’Ukrainiens qui voulaient visiter la zone de Tchernobyl et marcher dans des endroits où il est interdit de se promener », explique une source proche des gardes-frontières.
Des Tobacco Lords à Macintosh, signes intérieurs de richesse
A Glasgow, l’histoire se lit dans la pierre. Fondée au VIe s., la cité s’établit sur une colline au nord-est du centre-ville actuel. Là se trouvent toujours la cathédrale catholique St Mungo’s (XIIe-XIIIe s., remaniée), devenue presbytérienne, et la plus ancienne maison de Glasgow, Provand’s Lordship (1471), souvenir de son passé moyenâgeux. Elles sont bordées par Necropolis, cimetière-jardin victorien (XIXe s.) dominant la ville de ses 3 500 pierres tombales.
Pollok House, manoir au sud de la rivière Clyde Bourget Philippe
Glasgow entre réellement dans la lumière en 1707, quand l’Ecosse se lie à la couronne d’Angleterre. Depuis le port, les navires peuvent accéder plus facilement que depuis Londres aux terres anglaises d’Amérique. Des marchands locaux, les Tobacco Lords, vont ainsi faire fortune dans le tabac et bâtir de riches demeures. C’est dans Merchant City – partie du centre-ville – que l’on peut les voir, comme celle à colonnes du 78, Hutcheson Street, ou la Gallery of Modern Art, ex maison du négociant William Cunningham. Ou encore Merchant Square, un ancien marché couvert qui deviendra au 19e s. un haut-lieu de commerce.
Immeuble de style Ecossais Baronial sur Argyle Street Bourget Philippe
Dans ce quartier s’affichent aussi les marques bourgeoises d’une autre ère : la révolution industrielle. A la fin du XVIIIe s., l’écossais James Watt décuple le potentiel de la machine à vapeur. Jackpot pour la ville, qui fait tourner ses mines de fer, de charbon et ses industries à plein régime. Avec la construction navale, Glasgow devient aux XIXe s. et XXe s. une cité ouvrière prospère. Les big boss y bâtissent de nouveaux édifices : face au Tron Theater, l’ancienne banque de style « écossais baronial » (décors médiévaux et Renaissance) ; sur St Vincent Street, Anchor Line (ex compagnie maritime, 1906) et Citizen Office.
Argyle Street Bourget Philippe
La période révèle aussi le talent de l’architecte Charles Rennie Mackintosh. Inspirateur de l’Art Nouveau à Glasgow, son travail se lit en différents lieux, comme la Lighthouse (un « phare » en ville), la Glasgow School of Arts et The House of an Art Lover, dans le parc Bellahouston. L’âme ouvrière, elle, transparait à Hidden Lane, dans le quartier aujourd’hui bobo de Finnieston. D’anciens ateliers en briques sont devenus des studios d’artistes. Quant aux puces de Barras, dans East Side, elles drainent le week-end une clientèle populaire fan de vintage.
Porte des City Chambers, l’hôtel de ville Philippe Bourget | cms
Depuis les années 1990, une renaissance et une vie culturelle intenses
La prospérité de Glasgow s’effondre dans les années 1970-1980. Avec la fin de l’aventure minière britannique et les crises industrielles, la cité tombe dans la pauvreté. Quartier populaire, la rive sud de la Clyde, fleuve côtier qui traverse la ville, est exsangue. La traversée du tunnel va durer plus de 20 ans. Jusque aux années 1990 quand, sous l’impulsion de la sphère artistique de la ville, un début de renaissance s’engage.
Passerelle piétonnière sur la rivière Clyde Philippe Bourget | cms
Mot d’ordre : rénovation urbaine à tout-va et culture musicale. C’est à ce moment là que les groupes locaux Simple Minds, Frantz Ferdinand et Texas se révèlent, dans l’ancienne salle de bal Barrowland, devenue lieu de concert. Le street art envahit les murs. Glasgow offre de nos jours un mélange étonnant de dynamisme culturel. Une ardeur friendly qui tient autant à la solidarité héritée de l’histoire ouvrière qu’à ce présent arty et musical. « On rit plus à Glasgow lors d’un enterrement que durant un mariage à Edimbourg ! », se moquent les locaux.
Le marché aux puces des Barras, East Side Philippe Bourget | cms
Même si des friches urbaines sont toujours visibles et qu’une certaine pauvreté se lit dans des rues et sur des visages, l’éveil glasvégien se renforce depuis trente ans. Proche de la chic Ingram Street et de George Square, où se dressent les City Chambers (l’hôtel de ville), la piétonne et large Buchanan Street aligne de nombreux commerces. Merchant Square est devenu un lieu prisé de fooding, dans un secteur urbain qui vibre aux couleurs LGBT. Au-delà du quartier boboïsé de Finnieston (restaurants, bars…), West End est aussi un exemple de mutation. Autour de la vaste université où enseigna Adam Smith, père de l’économie libérale, ce quartier est devenu un repaire de magasins et de cafés branchés. On s’en aperçoit en flânant sur la très animée Byres Road ou dans la ruelle villageoise Ashton Lane, riche en pubs.
Pub dans une ancienne courette industrieuse Philippe Bourget | cms
Restent les quais de la Clyde. D’industriels, ils sont devenus « arty ». Depuis la toute récente passerelle piétonne et cycliste jetée sur le fleuve au confluent avec la Kelvin, les rives sont scandées par l’ultra design Riverside Museum (histoire des transports), le Glasgow Science Center, le siège de la BBC Scotland, le SEC Armadillo (auditorium) et Ovo Hydro (salle de concerts). Au milieu des runners qui s’époumonent, tout cela est très tendance mais par trop clinique. Des mouettes piaillent, un pâle soleil transparait… et Glasgow poursuit sa mue trendy.
Ashton Lane, rue villageoise à pubs de West End Philippe Bourget | cms
Kelvingrove Art Gallery and Museum et Burrell Collection, l’art au sommet
Ces deux grands musées sont à visiter absolument. Dans le quartier de West End, près de l’université, l’immense et impressionnant Kelvingrove Art Gallery and Museum, aménagé dans un palais en grès rose du début du XXè s. – cette pierre a servi à bâtir de nombreux édifices à Glasgow -, exige un peu plus qu’une demi-journée si l’on veut tout voir en profondeur. Les espaces d’exposition se déploient dans des patios et des étages à galeries, de part et d’autre d’un grand hall central.
Le Kelvingrove Art Gallery and Museum, dans West End Philippe Bourget | cms
Entièrement gratuit, le « Kelvingrove » parle autant de zoologie que de sculpture et de peinture. On ira voir en particulier l’espace consacré aux grands peintres modernes écossais (Leslie Hunter, JD Fergusson, SJ Peploe…) dont certains tableaux exaltent la nature locale (superbe « Balmoral Autumn », par Joseph Denovan Adam, 1896) et les salles dédiées à l’impressionnisme français, où sont présentés des tableaux des grands maîtres Courbet, Monet, Cézanne, Matisse, Renoir…
La Burrell Collection est aussi indispensable. Plus importante collection d’art issue d’un legs privé d’Ecosse, elle provient de Sir William Burrell, industriel glasvégien du tournant du XXè s. ayant fait fortune dans la construction navale. Il a passé sa vie, avec son épouse, à réunir des œuvres. Près de 10.000, dit-on. Sa passion éclectique l’a conduit à posséder des peintures d’impressionnistes, des céramiques, des sculptures, des objets antiques… Tous plus remarquables les uns que les autres.
Une salle d’exposition dans la Burrell Collection Philippe Bourget | cms
A sa mort, en 1958, il en fit don à sa ville. Depuis les années 1980, celle-ci les présente dans ce vaste musée design récemment rénové, posé au sud de la rivière Clyde, dans le Pollok Country Park, grand jardin de 150 ha avec ferme, vaches highlands et manoir, un poumon vert parmi d’autres de la ville. Détendu par cet environnement de nature, le public est invité à découvrir des statuettes asiatiques, des céramiques chinoises et iraniennes aux couleurs splendides et une superbe série de tableaux impressionnistes de Degas (peintre préféré de Wlliam Burrell), Manet, Courbet (splendide tableau de la « Charité à Ornans »), Pissaro, Renoir, Corot, Daumier… ainsi que des sculptures de Rodin et de Camille Claudel. Un régal.
Botanic Gardens et Kelvingrove Park, références d’une cité verte
Comme dans beaucoup d’autres villes britanniques, la nature est très présente. Autant en profiter après avoir trekké dans les rues de la cité ! Parmi les parcs de Glasgow, le jardin botanique, dans West End, est un must. Proche de la station de métro Hillhead, il offre une respiration charmante avec ses parterres jardinés, ses serres et sa vallée sauvage de la Kelvin. Fondé en 1817 par le botaniste Thomas Hobkirk, il propose ses allées bordées de pelouses bien taillées à des déambulations romantiques (de nombreux écureuils gris gambadent en liberté) et 12 serres abritant plus de 12.000 sortes de plantes et fleurs exotiques et du désert.
Dès l’entrée, on tombe nez à nez avec un magnifique palais de verre, le Kibble Palace, qui abrite une luxuriante végétation tropicale. On achèvera la balade par une plongée le long de la rivière Kelvin, vallée verte et secrète longée par un sentier pédestre.
La rivière Kelvin près de l’université, dans Kelvingrove Park Philippe Bourget | cms
Non loin de là, toujours dans West End, Kelvingrove Park est un autre poumon de verdure. Situé près de l’université, cet espace traversé par la rivière Kelvin, affluent de la Clyde, offre sur plus de 30 ha ses grands arbres, ses pelouses et ses allées ombragées aux promeneurs et aux joggeurs. Les enfants adorent titiller les écureuils gris, peu farouches, qui hantent ce parc.
Très fréquenté, le Kelvingrove Park est aussi le « campus vert » des étudiants de l’université, qui n’ont qu’à descendre de leurs doctes salles de cours pour venir s’alanguir sur l’herbe, aux beaux jours. Depuis deux ans, fin septembre, le parc accueille Big Feed, sur la Kelvin Way. Un évènement musical et culinaire, avec concerts et offre de street food.
Infos
• Passeport valide obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni.
• A partir du 2 avril 2025, une ETA (Electronic Travel Authorisation) est aussi obligatoire pour se rendre au Royaume-Uni depuis la Belgique. Prix : 10 £ (env. 12 €), valable pendant deux ans (sauf si validité du passeport expirée avant). gov.uk/government/organisations/home-office
• A Glasgow, on pourra utiliser le métro (une ligne circulaire) et les bus pour les sites éloignés. Billet à la journée : métro (env.5€) ou bus (5,50€).
Hébergements-Restaurants-Cafés
Le 10 novembre, la flotte des 40 IMOCA a pris le départ du Vendée Globe. Dans des vents légers, Denis Van Weynbergh, skipper belge, s’est lancé dans cette course mythique. Arrivé au Golfe de Gascogne, les vents se sont subitement agités, allant jusqu’à 40 nœuds ! Denis a alors rencontré quelques soucis techniques : “J’ai dû empanner, mais la bosse de ris a cédé et le Lazy Jack s’est cassé“, a-t-il expliqué. Après une accalmie, il a pu monter au mât et tout réparer.
La descente de l’Atlantique
Gardant sa légendaire bonne humeur, Denis a continué sa progression vers le Sud : après avoir franchi le Pot-au-Noir dans des conditions relativement clémentes, il a franchi l’équateur le 23 novembre. Le vent capricieux a obligé la flotte à longer les côtes du Brésil pour profiter des vents portants.
Vers les mers du Sud
Le cap est maintenant mis sur le Cap de Bonne Espérance. Denis navigue dans des vents qui varient entre 8 et 25 nœuds, l’obligeant à répéter les manœuvres : enrouler, dérouler, prendre des ris et les relâcher. “Cela me prépare aux mers du Sud“, rapporte-t-il, impatient d’en découdre avec les 40e rugissants et les 50e hurlants.
Les mots de Denis
“Un projet IMOCA, c’est un bateau, une équipe, un skipper et des partenaires. D’Ieteren Group a pris des risques, ils ont osé, cela fait partie de leur culture“, explique-t-il. « Le fait d’être au départ du Vendée Globe est déjà une victoire. C’est un bonheur d’être sur l’eau. Maintenant, l’ambiance a changé. Il commence à faire gris, j’ai remis le ciré. On est vraiment dans les mers du Sud ! Je reste près des écoutes mais c’est toujours aussi grandiose. »
Du 21 décembre au 5 janvier inclus (exceptés les 25/12 et 01/01), un chaleureux marché de Noël s’installera sur la terrasse du Pavillon, restaurant situé à la Sortie de la Grotte de Han.
À travers cet évènement, le Domaine remonte le temps et fête les origines de Noël, en célébrant le solstice d’hiver et le retour de la lumière comme le faisaient nos ancêtres celtes et scandinaves.
Grottes de Han
Rencontrez le Roi Houx et son elfe Nisse, tout droit issus de légendes celtiques, embrassez-vous sous le gui, partagez un verre de vin chaud autour du brasero, shoppez des objets artisanaux, dégustez des produits locaux et de saison…
Et cerise sur le gâteau : Le 21/12 à 15h30 et le 26/12 à 14h30, une chorale d’enfants animera le Marché. Venez vous réchauffer le cœur en leur compagnie !
Rendez-vous du 21/12 au 05/01 (exceptés les 25/12 et 01/01), de 11h à 18h, pour profiter de l’ambiance magique et pétillante de ce Marché de Noël aux mille et une lumières féeriques.
Combinez la découverte de ce marché de Noël unique en son genre à une visite du Domaine des Grottes de Han, son immense Parc Animalier sous son manteau d’hiver et sa merveilleuse Grotte aux trésors géologiques scintillants.
À seulement quatre heures de route de la Belgique, les Pays de la Loire se parent de leurs jolis habits de lumières durant la saison de Noël. Chaque recoin de la région, de Nantes à Le Mans, brille de mille feux grâce à de spectaculaires installations lumineuses qui habillent les monuments et les places ! Les marchés de Noël se parent de chalets en bois où l’on retrouve des produits artisanaux et des spécialités locales, illustrant le riche savoir-faire régional. Ces marchés sont les lieux parfaits pour dénicher des cadeaux uniques et se régaler les papilles !
Voyage artistique à Nantes
La ville de Nantes se transforme en galerie à ciel ouvert grâce au parcours artistique “Le Voyage en Hiver“. Cette initiative propose une immersion au cœur d’œuvres lumineuses et de créations contemporaines, créant une fusion entre modernité et féérie de Noël. Parmi les lieux emblématiques, on retrouve les Machines de l’île et le Passage Pommeraye.
Fontevraud et Laval illuminés
À l’Abbaye Royale de Fontevraud, l’événement “Un Hiver à Fontevraud” propose des spectacles enchanteurs, des illuminations et des ateliers créatifs, offrant un cadre magique pour toute la famille. Non loin, le Festival des Lumières de Laval illumine chaque année les quais et le centre-ville.
Pascal_Beltrami__Laval_Tourisme
Le Mans, un incontournable de Noël
Le célèbre marché de Noël du Mans fait une nouvelle fois briller la place de la République de ses décorations traditionnelles. La vieille ville de la cité Plantagenêt, quant à elle, invite les visiteurs à une balade nocturne au cœur de son patrimoine, sublimée par des éclairages festifs.
C’est par un des ponts qui enjambent le Rhin que Düsseldorf m’est apparue : la Rheinturm au loin, la Rheinuferpromenade, le clocher de la Basilique Sint Lambertus, la Burgplatz avec sa jolie Schlossturm et la Grande Roue de Noël juste à côté. Et là, ancré juste après le pont Oberkasseler, le navire-hôtel VIVA RIVERSIDE dans lequel nous allions passer la nuit.
viva riverside
Celui-ci était fort bien situé : ancré à 300 mètres de l’hôtel de ville, le navire-hôtel est le point de départ idéal pour découvrir Düsseldorf. Un parking (payant) est à moins d’un kilomètre seulement : pratique ! C’était une première pour nous : nous n’avions jamais dormi sur un bateau et cela nous a beaucoup plu. « La Croisière s’amuse », on en avait rêvé !
viva riverside
Il faut dire : VIVA RIVERSIDE met les petits plats dans les grands pour que tout soit parfait. C’est un navire-hôtel luxueux : tout brille, tout est chic, tout est somptueux. Notre cabine était joliment agencée et la literie excellente. Nous avons choisi de souper au restaurant du navire : déguster un bon petit plat, dans un fauteuil en velours, en regardant les péniches portées par le Rhin, c’est original et charmant. Une expérience qui nous a enchantés !
Quant à Düsseldorf, je m’y suis tout de suite sentie bien !
Les incontournables à découvrir sont proches les uns des autres : on a tout fait à pied, au départ de notre navire-hôtel. Pour découvrir la ville, rien de tel que d’emprunter la promenade sur les rives du Rhin : elle longe la Burgplatz de la vieille ville (Altstadt) et vous emmène jusqu’à la Rheinturm. Cette tour de télévision, qui s’élève à 240 mètres de hauteur, restera dans ma mémoire : j’ai adoré son immensité, sa silhouette élancée et les lumières qui l’habillent la nuit.
Florence Brigode
Un peu plus loin, c’est la quartier MedienHafen qui s’offre à vous. Les couleurs de l’automne magnifient cet ancien quartier portuaire, devenu quartier des médias et des télécoms. C’est l’endroit que j’ai préféré : des immeubles futuristes, des gratte-ciels, des arbres aux tons fauves, des bateaux amarrés et le large pont en bois (la Kaistrasse) qui vous fait prendre de la hauteur. Magique !
Florence Brigode
Au départ de la vieille ville, nous sommes remontés vers la Königsallee : cette Avenue du Roi est un lieu incroyable pour les amoureux du shopping de luxe. Les boutiques se succèdent, dans cette allée ombragée traversée par une rivière enjambée de ponts. Et puis, juste à côté, le Hofgarten, que je vous recommande grandement d’emprunter. Il est à lui seule un poème d’automne.
Joie suprême : le marché de Noël est partout à cette période. Il s’étire comme un ruban dans de nombreux quartiers. A nous les échoppes d’artisans et les cabanons gourmands. On n’a pas résisté aux currywurst, ces fameuses saucisses agrémentées de ketchup au curry. Ni au vin chaud d’ailleurs. Le must.
Florence Brigode
Düsseldorf, j’en reviens vraiment ravie : cette ville d’eau m’a séduite. Entre verdure et buildings, entre modernité et tradition, la ville offre bien des possibilités de dépaysement. Mon seul regret : n’avoir pas eu le temps de tout. On reviendra !
Si vous voulez vivre cette expérience folle, rendez-vous ici !
L’hiver au Val d’Arimont est un moment à part. Même si la saison se pare de teintes plus ternes, avec une nature tombée dans un profond sommeil, le domaine, lui, demeure un lieu féérique. Pour rompre avec la morosité ambiante, tout le Val d’Arimont s’illumine dès décembre avec des guirlandes scintillantes, ce qui ajoute une touche magique qui réchauffe instantanément le cœur. Ces décorations lumineuses, en place jusqu’en février, créent en effet une atmosphère propice à la rêverie.
Val d'Arimont
À chaque journée son activité
Les journées d’hiver, qu’elles soient ensoleillées, pluvieuses ou enneigées, réservent chacune leurs moments d’évasion. Par temps sec, une balade revigorante dans les bois alentours est un incontournable. Les sentiers balisés qui traversent le domaine invitent à l’exploration et, une fois la marche terminée, rien de tel qu’un chocolat chaud à la brasserie pour se réchauffer et se détendre. Lorsque la pluie s’invite, pas de panique : le Val d’Arimont offre de nombreuses alternatives pour profiter pleinement de son séjour. Un moment de détente au wellness ou des parties de jeux de société suffisent à faire oublier les averses.
Val d'Arimont
Les jours de grand froid sont pour leur part, synonymes de cocooning. Chaque chalet du domaine est équipé d’un poêle à bois, permettant d’apprécier la chaleur d’un bon feu de cheminée. La réception propose du petit bois et des bûches pour profiter de ce plaisir réconfortant. Et quand la neige fait son apparition, on a droit à un véritable enchantement. Les forêts enneigées qui entourent le domaine transportent les visiteurs dans un décor digne d’un conte de fées. Que ce soit pour une promenade dans cette nature immaculée, la construction de bonhommes de neige ou des batailles de boules de neige dans les espaces extérieurs, les occasions de se divertir ne manquent pas. Le domaine étant situé dans un cul-de-sac, il est aussi un havre de tranquillité qui demeure parfaitement accessible même en cas de neige.
Les fêtes de fin d’année apportent également leur lot d’animations festives à proximité. Malmedy s’illumine avec son marché de Noël, sa patinoire et son village d’hiver. Des balades aux flambeaux et un circuit des crèches dans les villages voisins, ainsi que des contes de Noël au Château de Reinhardstein, complètent le tableau de cette période magique.
Val d'Arimont
Et le reste de l’année ?
Le Val d’Arimont, niché dans un écrin de nature préservée, offre une escapade idéale à tout moment de l’année. Pour les séjours plus courts, les chambres d’hôtel et le loft se louent à la nuitée. Quant aux chalets et villas, ils sont disponibles pour des week-ends, des midweeks ou des semaines complètes. Peu importe la saison, chaque coin de ce domaine familial et convivial permet de se reconnecter à la nature ! L’ambiance qui y règne, à la fois décontractée et ressourçante, contraste agréablement avec les lieux souvent impersonnels des grandes destinations touristiques.
Quelle que soit la saison, le Val d’Arimont, c’est l’assurance d’un séjour plein de charme, où confort et convivialité règnent en maîtres !
Pour réserver votre séjour au Val d’Arimont ou pour vous inspirer, cliquez ici.