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Category: Actualité

  • Wallonie : 2 jours en 2025 pour se pourlécher les babines !

    Wallonie : 2 jours en 2025 pour se pourlécher les babines !

    La Région wallonne lance un appel à candidatures pour les prochaines Journées européennes du Patrimoine, qui auront lieu les 13 et 14 septembre 2025. Cette année, le thème donne l’eau à la bouche : le patrimoine gourmand !

    Ce rendez-vous annuel mettra en lumière monuments et lieux liés à la gastronomie, mais pas que ! La Wallonie propose aussi d’organiser des animations culinaires dans des sites patrimoniaux. Une belle manière de marier l’histoire aux plaisirs de la table. La Région souhaite ainsi créer des synergies entre tourisme et producteurs locaux.

    Patrimoine gourmand : un thème à croquer

    Sous ce thème alléchant, les pistes sont nombreuses. « Que l’on songe aux moulins, exploitations agricoles, anciennes auberges ou encore aux manufactures de vaisselle raffinée », explique la Région dans un communiqué, les opportunités sont riches et variées. Salles d’apparat, confréries culinaires, ou centres d’interprétation liés à l’histoire gastronomique locale : chaque lieu trouve sa place dans cette édition.

    Comment participer ?

    Les organisateurs intéressés – collectivités, associations ou privés – ont jusqu’au 22 mars 2025 pour déposer leur dossier auprès de l’Agence wallonne du Patrimoine. Les lieux retenus figureront au programme du week-end des 13 et 14 septembre.

  • Télétravailler en Nouvelle-Zélande ? C’est possible depuis peu !

    Télétravailler en Nouvelle-Zélande ? C’est possible depuis peu !

    new zealand
    dan-freeman

    La Nouvelle-Zélande frappe fort en s’ouvrant aux travailleurs à distance ! Désormais, les touristes étrangers pourront non seulement admirer ses fjords et ses volcans, mais aussi y poser leur ordinateur portable pour travailler. “Nous voulons que notre pays soit vu comme la destination idéale, où voyager et travailler se combinent à la perfection“, a déclaré Erica Stanford, ministre de l’Immigration.

    Stimuler une économie en convalescence

    Après une entrée en récession en 2024, l’économie néo-zélandaise a besoin d’un sérieux coup de pouce. Avec le tourisme représentant près de 11 milliards de dollars et 200 000 emplois, le gouvernement espère que ces nouveaux “nomades numériques” dynamiseront la consommation locale. Bien sûr, tout n’est pas gratuit : pour ceux qui resteront plus de 90 jours, une taxation pourrait s’appliquer.

  • Immobilier en Espagne : le plan Sánchez et ce qu’il change pour vous

    Immobilier en Espagne : le plan Sánchez et ce qu’il change pour vous

    spain
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    Un plan qui vise les étrangers

    Nous vous en parlions récemment, avec son nouveau plan logement, Pedro Sánchez entend freiner la flambée immobilière en Espagne. Parmi les mesures annoncées, une en particulier fait réagir : taxer jusqu’à 100 % la valeur des biens achetés par des étrangers non-européens. Une mesure qui vise les Britanniques, Américains ou encore Chinois, mais qui pourrait aussi profiter aux Belges en réduisant la concurrence pour acheter un bien au soleil.

    En 2023, les étrangers ont représenté 15 % des acquisitions immobilières en Espagne, avec un tiers des achats concentrés aux Baléares, sur la Costa Blanca et la Costa del Sol.

    Une réforme qui divise

    Si elle est votée par le Congrès, cette réforme pourrait limiter les acquisitions tout en créant un effet contraire : un rush sur les achats avant son entrée en vigueur. Résultat ? Une possible hausse des prix, notamment dans les zones touristiques.

    « Cette réforme pourrait avantager les Belges à long terme, mais dans l’immédiat, elle risque d’agiter le marché », commente Jonathan Buchet, CEO de ZAPINVEST.

    Aides et opportunités

    Pour équilibrer, le plan inclut des aides : exonération fiscale pour les propriétaires louant à prix abordables, soutien à la rénovation des biens vacants et garantie publique des loyers.

    Que faire ?

    Si vous rêvez d’un pied-à-terre en Espagne, surveillez de près ces changements. Avec moins de concurrence ou des prix en hausse, il pourrait être judicieux d’accélérer vos projets avant que ce plan ne transforme définitivement le marché.

  • Cet avion supersonique chinois entend ridiculiser le Concorde !

    Cet avion supersonique chinois entend ridiculiser le Concorde !

     

    Un singe volant à Mach-4

    Sichuan Lingkong Tianxing Technology Co a dévoilé son prototype Cuantianhou (ou Soaring Monkey) de la série Yunxing. Ce bijou de technologie promet des vols à Mach-4 (près de 5.000 km/h), soit deux fois plus rapide que le Concorde. Présenté à Chengdu ce lundi, l’appareil est conçu pour opérer dans la stratosphère, entre 20 et 100 km au-dessus du sol. De quoi écraser la concurrence… et les temps de vol.

    Un premier envol en 2026

    Selon l’entreprise, le premier vol d’essai est prévu en 2026. Objectif : tester les matériaux résistants à la chaleur, les systèmes de propulsion et les performances aérodynamiques. Deng Fan, ingénieur en chef, se montre confiant : “Les avions de ligne supersoniques font un retour en force avec des percées majeures… Ils offriront bientôt des vols plus rapides et plus économiques.”

    Si tout se passe bien, la société prévoit d’envoyer un autre modèle, le Dasheng (ou Monkey King), dans les airs d’ici 2030.

    Déjà des records en poche

    Ce n’est pas un coup d’essai. En octobre dernier, l’entreprise avait déjà fait voler un prototype Yunxing à Mach-4. Alors, bientôt un Paris-New York en moins de deux heures ? Le rêve supersonique renaît, et cette fois, il vient de Chine. Signe des temps…

  • Walibi dévoile Dock World : un coaster record !

    Walibi dévoile Dock World : un coaster record !

    Walibi continue sa mue avec un chantier d’envergure : Dock World, un nouvel univers portuaire industriel en plein cœur du parc. Avec 35 millions d’euros sur la table, le parc belge ne fait pas les choses à moitié ! Prévu pour 2025, ce monde accueillera plusieurs attractions revues et corrigées, un restaurant, un café et même un phare de 15 mètres, affectueusement baptisé “Port du Wavre”.

    Mecalodon : le monstre des airs (et de l’eau)

    La star de Dock World ? Mecalodon, un family coaster dantesque qui décroche déjà le titre du plus grand du Benelux. Ses chiffres donnent le vertige :
    🦈 925 mètres de parcours
    3 propulsions pour un maximum de vitesse
    🎢 14 airtimes pour une sensation d’apesanteur garantie

    Avec ses trains en forme de requins mécaniques, ce coaster plongera les visiteurs au ras de l’eau pour un ride aussi impressionnant que thématisé.

    Un lifting industriel pour des attractions cultes

    Walibi profite de ce grand chambardement pour re-thématiser certaines de ses attractions iconiques :

    • Flash Back et Psyké Underground adopteront un look industriel, en accord avec Dock World.
    • Les attractions pour enfants Dragon Boat et Salsa y Fiesta deviendront respectivement Stormy et Tous en boîte.
    • Une halle centrale accueillera les visiteurs pour un peu de shopping bien mérité après les sensations fortes.

    Voilà, voilà. Il n’y a plus qu’à espérer que vous aurez bien digéré vos frites avant de vous faire trimballer dans ces joyeuses attractions !

  • Un week-end à Namur ? Voici notre super bon plan !

    Un week-end à Namur ? Voici notre super bon plan !

    On ne va pas se mentir, le retour au travail de mon amoureux ne s’est pas fait de gaieté de cœur ! Entre les piles de dossiers, les clients mécontents et les collègues stressés, il n’y avait qu’un remède : une échappée en Wallonie, au vert et au calme ! Enfin, pas trop quand même : c’est que je le connais, mon petit canard en sucre ! Le choix s’est rapidement arrêté sur Namur, une capitale, certes, mais à taille humaine et entourée d’une magnifique nature. Chose insolite : je n’ai pas pu choisir le programme. S’il adhérait à mon idée, mon chéri a insisté pour tout organiser, histoire de « se vider la tête », m’a-t-il dit… Allez comprendre les hommes !

    Avec mon amoureux (qui a un faible pour les châteaux), nous avons donc laissé les enfants chez mamie pour partir à la conquête de cette sublime ville…

    Flâner dans les rues…

    Avant de poser nos valises au château, nous avons flâné dans la vieille ville de Namur. Si vous aimez les ruelles pavées, les petites boutiques et les cafés charmants, c’est un passage obligé. La vue sur la Citadelle m’émerveille toujours autant. Je me sens comme protégée par ce bijou médiéval qui semble veiller avec bienveillance sur les habitants de la ville. Lassé par mes arrêts incessants dans les boutiques de la ville, amour a décidé d’écourter mes séances d’échauffement de la carte de crédit pour m’emmener vers « sa surprise »…

    François Piette | cms

    Une nuit au Château !

    Et pour une surprise, ce fut une surprise ! C’est qu’il m’emmenait directement au château, le grand prince ! Et pas n’importe lequel : le château de Namur, un hôtel 4 étoiles qui porte magnifiquement son nom et se dresse au sommet d’une colline boisée. Avec son architecture majestueuse et ses jardins soignés, on se croirait dans un conte de fées. Faut l’avouer, ce rôle de princesse me va à merveille !

    La chambre

    Notre chambre était d’un confort absolu : un lit ultra confortable qui nous a donné envie de ne jamais en sortir, une salle de bain élégante et des petites attentions qui font toute la différence. Tout cela pour moins de 150 euros, un tarif plus que raisonnable vu le cadre et les prestations.

    Le restaurant et sa cuisine aux petits oignons !

    Le vrai clou du spectacle ? Contrairement à nos petites habitudes, nous ne sommes pas partis en ville pour souper, mais avons tout simplement descendu les escaliers ! Le restaurant du Château met les étudiants de l’École Hôtelière de la Province de Namur à l’exercice. Encadrés par des professionnels, ils s’entraînent à concocter et servir des plats dignes des plus grands chefs. Et croyez-moi, on était bluffés !

    Pour 48 euros par personne, nous avons savouré un menu 3 services à vous faire tomber les papilles ! En entrée, des noix de Saint-Jacques, suivies d’un coucou de Malines, une volaille délicieusement tendre et juteuse ; et pour finir, un tiramisu léger comme un nuage. Et je vous l’avoue, moi aussi j’avais l’impression d’être sur un nuage ! La carte change régulièrement, mais une chose est certaine : peu importe ce qui est inscrit, vous allez vous régaler !

    Un départ en douceur…

    Le lendemain matin, après un petit-déjeuner royal, direction le parc de la Citadelle. On peut y marcher tranquillement et admirer une vue sensationnelle sur la ville ! Avant de repartir, nous n’avons pu nous empêcher de flâner à nouveau près de la Meuse, histoire de refaire le plein d’énergie !

    Le château de Namur

  • Gouvernement Arizona : une taxe à l’embarquement revue

    Gouvernement Arizona : une taxe à l’embarquement revue

    plane
    sawada-kedavra

    La taxe d’embarquement n’a rien de neuf puisqu’elle fut introduite en avril 2022. Elle visait principalement les vols courts de moins de 500 km, avec un tarif de 10 euros par passager (ciblant notamment les jets privés). Pour les autres vols, elle était fixée à 2 euros en Europe et 4 euros au-delà. Aujourd’hui, le nouveau gouvernement veut remettre de l’ordre dans ces taxes !

    Désormais, l’Arizona simplifie le système : 5 euros pour tout le monde, quelle que soit la destination. Une décision qui rebat les cartes et redistribue… la charge !

    Gagnants et perdants du nouvel équilibre

    Avec cette réforme, les passagers des jets privés bénéficient d’un rabais de 50%, passant de 10 à 5 euros. À l’inverse, les voyageurs sur vols commerciaux intra-européens (qui payaient 2 euros) et ceux des longs courriers (4 euros) verront leur contribution augmenter.

    Mais la grosse surprise, c’est que cette harmonisation pourrait doubler les recettes. En 2024, la taxe a rapporté 40,4 millions d’euros. Avec le nouveau tarif unique, une simulation prévoit 73,3 millions de recettes. Plus d’argent pour l’État, certes, mais une politique qui interroge sur sa réelle équité ?

  • Expérience insolite : séjournez dans un site naturel exceptionnel, au Domaine des Grottes de Han !

    Expérience insolite : séjournez dans un site naturel exceptionnel, au Domaine des Grottes de Han !

    Domaine des Grottes de Han
    Domaine des Grottes de Han

    Les Tree Tents, une immersion parmi les animaux

    Et si vous passiez la nuit dans une tente perchée entre les arbres du Parc Animalier ? Depuis votre petit nid, profitez d’une vue imprenable sur la plaine où gambadent cerfs, biches, chevaux de Przewalski, aurochs… Un séjour magique au contact de la nature, agrémenté, entre autres, d’une visite privilégiée de la vallée avec un Ranger, d’un petit déjeuner du terroir et d’un barbecue en forêt. Déconnexion et émerveillement garantis !

    📅 Séjours à partir du 4 avril 2025.
    🔗 Infos et réservation

    Domaine des Grottes de Han
    Domaine des Grottes de Han

    Le Cocoon Village, séjour sous tente cosy et ambiance chaleureuse

    Situé au cœur du village de Han, à quelques pas seulement de la Lesse et du Domaine, le Cocoon Village vous invite dans une bulle de nature, le confort en plus ! Lits douillets, petit déjeuner champêtre, animations pour enfants et accès illimité au Domaine vous garantissent un séjour inoubliable.

    Vivez une aventure magique faite de détente, émotions et découvertes. Partagez des moments privilégiés, créateurs de souvenirs lumineux !

    📅 Séjours à partir du 25 avril 2025.
    🔗 Infos et réservations

  • La France et l’aviation : une taxe qui décolle mal ?

    La France et l’aviation : une taxe qui décolle mal ?

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    Son raisonnement ? D’un côté, la France exporte ses avions innovants aux quatre coins du globe. De l’autre, elle alourdit la fiscalité aérienne, encourageant presque à préférer le train. Une approche qui, selon Walsh, manque de cohérence avec les ambitions technologiques du secteur.

    Les taxes, ennemies de l’environnement ?

    Pour Walsh, augmenter les taxes n’est pas la réponse magique aux défis environnementaux. « Si vous êtes sincères dans votre envie d’affronter les problèmes environnementaux, les taxes ne sont pas la solution », a-t-il martelé.

    Selon la Fédération nationale de l’aviation et de ses métiers (Fnam), la hausse des redevances de navigation aérienne et d’autres prélèvements, comme la taxe de solidarité sur les billets d’avion, représente un surcoût de 1,2 milliard d’euros pour 2024. Une addition salée qui, selon eux, met en danger la compétitivité du secteur français.

    Une alternative : le ciel unique européen

    Et si la solution était ailleurs ? Willie Walsh plaide pour un « ciel unique européen », une réforme vieille de 20 ans mais encore bloquée par des résistances nationales. Cette mesure, simple à mettre en œuvre, permettrait de réduire de 10 % les émissions de CO2, soit bien plus que la suppression des vols courts, qui n’apporterait qu’une réduction de 3,8 %.

    Une équation à résoudre

    La France peut-elle concilier ambition environnementale et soutien à son secteur aérien ? Parce qu’il faut bien l’avouer : à court et moyen termes, le secteur ferroviaire restera plus écologique que l’aérien. Favoriser le premier a donc plus de sens que le second d’un point de vue environnemental… Reste que le second fait la fierté de l’hexagone et emploie un grand nombre d’employés ! Plutôt que de penser opposition, pensons peut-être complémentarité !

  • Danemark : une envie de photographier la Petite Sirène ? Attention !

    Danemark : une envie de photographier la Petite Sirène ? Attention !

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    line-kjaer

    Si vous visitez Copenhague, la Petite Sirène est probablement sur votre liste. Ce chef-d’œuvre de 1913, inspiré par le célèbre conte d’Andersen, est un emblème du Danemark. Mais saviez-vous qu’en la photographiant, vous pourriez involontairement enfreindre les droits d’auteur ? Oui, même après plus d’un siècle d’existence, cette charmante sirène est protégée… et ses avocats veillent.

    Des droits d’auteur encore actifs

    En général, les œuvres tombent dans le domaine public 70 ans après la mort de leur créateur. Mais ici, il y a un twist : la statue originale de la Petite Sirène a été créée par Edvard Eriksen, décédé en 1959. Résultat ? Ses droits d’auteur resteront valides jusqu’en 2030.

    Ainsi, tout usage commercial d’une photo ou vidéo de la statue, sans autorisation, pourrait entraîner des poursuites. Et ces poursuites ne sont pas une légende urbaine : des entreprises et même des guides touristiques se sont déjà fait rappeler à l’ordre. Même la presse est concernée !

    Comment éviter les ennuis ?

    • Limitez-vous à un usage personnel : immortalisez votre passage pour Instagram, mais évitez les publications monétisées ou professionnelles.
    • Si vous souhaitez vendre des clichés, pensez à demander une autorisation préalable… ou visez un autre angle de Copenhague.

    Et pourtant, la Petite Sirène est probablement l’une des statues les plus photographiées au monde !